allergies Flashcards

1
Q

définition:

Hypersensibilités

Anticorps

Autoanticorps

Antigène

Allergène

A
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2
Q

Dans une réaction allergique d’hypersensibilité immédiate (allergie), à
quel type d’anticorps a-t-on affaire?

A

IgE

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3
Q

Dans une réaction allergique d’hypersensibilité immédiate (allergie),
quelles cellules sont surtout impliquées ?

A

mastocytes

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4
Q

: Typiquement, combien de phases décrit-on à une réaction allergique
d’hypersensibilité immédiate (allergie)?

A

Deux (Bravo ! Bonne réponse. En effet, on décrit classiquement deux phases à la réaction allergique. D’abord, la réaction immédiate se produit de quelques secondes à quelques minutes suite au contact avec un allergène, chez une personne sensibilisée. Elle est attribuable à la dégranulation des mastocytes.
Ensuite, on décrit une phase tardive, qui survient de deux à huit heures (dure jusqu’à vingt-quatre heures selon certains auteurs) suite au contact avec l’allergène. Les cytokines produites par les mastocytes recrutent des leucocytes (principalement des éosinophiles, des neutrophiles) sur une plus longue période de temps, ce qui explique la phase tardive.)

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5
Q

qu’est-ce ue le processus de sensibilisation?

A
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6
Q

explique la réaction immédiate dans l’hypersensibilité de type I

A
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7
Q

quelles sont les différents types de granules relachées par un mastocyte activé ou juste lors de l’hypersensibilité de type I?

A
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8
Q

explique la réaction tardive de l’hypersensibilité I

A
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9
Q

il y a-t-il un remodelage tissulaire dans l’hypersensibilité de type I

A
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10
Q

voici donc les effets d’une réaction allergique sur la muqueuse respiratoire :

A
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11
Q

quelles sont les entités cliniques de l’hypersensibilité immédaite?

A
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12
Q

Quelles, parmi les entités cliniques suivantes, sont des exemples
d’hypersensibilité médiée par les anticorps, ou de type II?

a. Diabète de type I
b. Purpura thrombocytopénique autoimmun ou idiopathique (PTI)
c. Rhumatisme articulaire aigu
d. Polyartérite noueuse
e. Sclérose en plaques
f. Polyarthrite rhumatoïde
g. Anémie hémolytique auto-immune

A

a. Diabète de type I (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Le diabète de type I
est une hypersensibilité de type IV auto-immune, médiée par les lymphocytes
TCD8+ cytotoxiques, entraînant une destruction des cellules bêta des îlots
pancréatiques.)
b. Purpura thrombocytopénique autoimmun ou idiopathique (PTI) (Il s’agit d’une
réponse partielle.)
c. Rhumatisme articulaire aigu (Il s’agit d’une réponse partielle.)
d. Polyartérite noueuse (Non, ce n’est pas la bonne réponse. La polyartérite
noueuse, une vasculite des moyens vaisseaux, est un type d’hypersensibilité
de type III, médiée par des complexes immuns. Comme toutes les entités
cliniques induites par ce type d’hypersensibilité, cette vasculite est due à un
dépôt de complexes immuns dans les vaisseaux sanguins.)
e. Sclérose en plaques (Non, ce n’est pas la bonne réponse. La sclérose en
plaques est une maladie auto-immune caractérisée par des plaques de
8
démyélinisation au niveau du système nerveux central. La physiopathologie
postulée est une réponse immunitaire médiée des macrophages activés par
des cytokines produites par des lymphocytes Th1 et Th17. Il y a ici présence
d’une hypersensibilité de type IV, médiée par les cytokines de lymphocytes
TCD4+.)
f. Polyarthrite rhumatoïde (Non, ce n’est pas la bonne réponse. C’est une
hypersensibilité de type IV médiée par des cytokines produites par des
lymphocytes T, dont l’ensemble de la physiopathologie reste à être élucidée.)
g. Anémie hémolytique auto-immune (Il s’agit d’une réponse partielle.)

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13
Q

Qu’est-ce qu’un complexe immun?

A

Une association anticorps-antigène

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14
Q

En combien de sous-types divise-t-on les réactions d’hypersensibilité
retardée, médiée par les lymphocytes ou de type IV?

A

a. Deux (Bravo ! Bonne réponse.)

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15
Q

mécanisme de l’hypersensibilité de type II

A
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16
Q

Exemples cliniques d’hypersensibilité médiée par les anticorps :

A
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17
Q

mécanisme de l’hypersensibilité de type III

A
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18
Q

Exemples cliniques d’hypersensibilité médiée par les complexes immuns :

A
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19
Q

définit l’hypersensibilité de type IV

A
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20
Q

On retient deux mécanismes physiopathologiques pour ce type d’hypersensibilité IV:

A
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21
Q

Exemples cliniques d’hypersensibilité retardée :

A
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22
Q

Mécanisme physiopathologique

A
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23
Q
A

herbe à poux

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24
Q

Fluctuations mensuelles des concentrations de pollens et autres aéro-allergènes:

A
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25
Q

Quelle est la cause la plus probable de son asthme ?

A

d. Moisissures (Bravo ! Bonne réponse. Evelyne est probablement allergique à
certaines moisissures que l’on retrouve à la fois dans le foin sec, le vin et le
fromage.)

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26
Q

vrai ou faux

Les moisissures (ou mycètes) proviennent de toute substance organique en
décomposition (ex. : pain moisi).

A

vrai

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27
Q

Les moisissures se reproduisent de façon .. par des spores. Les spores sont transportées par le vent et donc, contaminent l’atmosphère. Elle se retrouvent partout, mais sont plus abondantes à certains
endroits :

….

A
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28
Q

aéro-allergènes communs non saisonniers comprennent :

A

les acariens, les particules animales, la poussière de maison et les plumes de coussins. C’est la pellicule de l’animal qui est allergisante (aussi l’urine et la salive), et non le poil.

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29
Q
A
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30
Q

vrai ou faux.

Les aliments sont rarements une cause d’asthme ou de rhinite chez l’adulte.
Quelques fois, les aliments agissent comme aéro-allergènes non saisonniers (ex. :
farine, etc.).

A

vrai

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31
Q

Quelle est l’étiologie la plus probable de ses crises d’asthme ?

A

Asthme non allergique d’origine médicamenteuse (Bravo! Bonne réponse. Le médicament de la classe des bêta-bloqueurs qu’Étienne utilise pour traiter son hypertension artérielle fait souvent apparaître de l’asthme chez un patient prédisposé.)

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32
Q

Les agents professionnels sensibilisants constituent une autre catégorie pouvant déclencher une crise d’asthme, mais pas toujours par des mécanismes
immunologiques bien connus :

A
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33
Q

Les médicaments constituent une autre catégorie pouvant déclencher une crise
d’asthme :

A
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34
Q

Enfin, d’autres facteurs étiologiques pouvant causer un bronchospasme sont:

A

exercice physique

IVRS

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35
Q

Parmi la liste suivante, quelles sont les facteurs irritants des voies respiratoires ?

a. Fumée secondaire de tabac
b. Détersif à base d’ammoniaque
c. Polluants provenant d’industries, de systèmes de chauffage et du transport
d. Odeurs fortes
e. Dioxyde d’azote

h. Toutes ces réponses

A

h. Toutes ces réponses (Bravo ! Bonne réponse.)

36
Q

Facteurs irritants des voies respiratoires -

vrai ou faux.

des substances présentes dans l’air ambiant qui sont irritantes pour les
voies respiratoires de tous, mais qui donnent beaucoup plus d’ennuis aux patients
souffrant d’asthme ou de rhinite.

A

vrai

37
Q

: Au niveau de la muqueuse respiratoire, quels sont les effets causés par
l’ensemble des médiateurs de l’inflammation relâchés dans une crise d’asthme aiguë
(réaction d’hypersensibilité de type I ou immédiate)?

a. Oedème tissulaire
b. Augmentation de la CVF
c. Diminution de la production de mucus
d. Contraction des cellules musculaires lisses
e. Augmentation de production de mucus
f. Métaplasie cellulaire
g. Prurit (Il s’agit d’une réponse partielle.)

A

a. Oedème tissulaire (Il s’agit d’une réponse partielle.)

d. Contraction des cellules musculaires lisses (Il s’agit d’une réponse partielle.)
e. Augmentation de production de mucus (Il s’agit d’une réponse partielle.)

g. Prurit (Il s’agit d’une réponse partielle.)

38
Q

: Quel est le type de cellules ayant le rôle le plus critique dans la pathogenèse de l’asthme ?

a. Cellules TH1
b. Mastocytes
c. Macrophages
d. Cellules TH2
e. Éosinophiles

A

d. Cellules TH2 (Bravo! Bonne réponse. L’asthme allergique est associé à une réponse TH2 excessive contre des antigènes environnementaux. Les cytokines relâchées par les cellules TH2 sont responsables de la réponse immunitaire caractéristique subséquente dans l’asthme :
- IL-4 : stimule la production d’IgE
- IL-5 : active les éosinophiles
- IL-13 : stimule la production de mucus et la production d’IgE)

39
Q

Plusieurs cellules sont impliquées dans la réaction inflammatoire se produisant
dans l’asthme :

A
  • Éosinophiles;
  • Mastocytes;
  • Macrophages;
  • Lymphocytes;
  • Neutrophiles;
  • Cellules épithéliales.
40
Q

La réaction allergique provoque chez Hubert la rhinite et la conjonctivite. Cette
réaction se produit aussi au niveau de ses bronches :

A
  • Oedème de la muqueuse;
  • Augmentation de la production de mucus;
  • Spasme des muscles lisses bronchiques;
  • Réaction inflammatoire et prurit.
41
Q

Une augmentation réversible de la résistance des voies aériennes se traduit par :
au niveau de la fonction respiratoire

A
42
Q

À l’auscultation pulmonaire, quel est le nom du bruit adventice qui traduit une obstruction bronchique ?

a. Ronchis
b. Crépitants fins
c. Crépitants grossiers
d. Sibilances
e. Wheezing
f. Stridor

A

a. Ronchis (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
b. Crépitants fins (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
c. Crépitants grossiers (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
d. Sibilances (Bravo! Bonne réponse. Les sibilances sont créées par le passage
de l’air dans des bronches dont le calibre est réduit et très inégal, à cause de
la réaction allergique qui s’y produit.)

e. Wheezing (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Il s’agit d’un bruit entendu à
l’oreille à l’expiration sans stéthoscope.)
f. Stridor (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Il s’agit d’un bruit entendu à
l’oreille à l’inspiration sans stéthoscope.)

43
Q

: Vrai ou faux ? Il y a eu une augmentation significative de la prévalence
de l’asthme dans les sociétés occidentales dans les quatre dernières décennies.

A

vrai

44
Q

Vrai ou faux ? On désigne l’asthme allergique comme étant l’asthme « extrinsèque ».

A

vrai

45
Q

qu’est-ce que l’asthme extrinsèque

A
46
Q

qu’est-ce que l’asthme intrinsèque?

A
47
Q

En admettant que la crise d’asthme de Denise est très sévère, quelle association de paramètres cliniques est la plus probable si le médecin de l’urgence note une respiration paradoxale ?

pH, PaCO2, Pa02, CV, VEMS

A
48
Q

classe l’intensitié d’une crise d’asthme en fonction des paramètres suivants : pH, PaCO2, PaO2

A
49
Q

: Quelle est la tétrade de symptômes caractéristique de la crise d’asthme
?

A

Dyspnée, toux, wheezing, oppression thoracique (Bravo ! Bonne réponse. La
toux est présente généralement la nuit ou tôt le matin, lors d’une activité
physique ou par temps froids. Par contre, les symptômes auto-déclarés seuls
ne peuvent pas être diagnostiques de l’asthme.)

50
Q

Question 1 : Quelle(s) est (sont) la (les) trouvaille(s) radiologique(s) pouvant être
observée(s) à la radiographie pulmonaire en crise d’asthme aiguë?

a. Hypertransparence
b. Consolidation
d. Diaphragme abaissé
e. Côtes « horizontales »

A

a. Hypertransparence (Il s’agit d’une réponse partielle. Ce signe radiologique
permet de suspecter un piégeage de l’air (air trapping) et une hyperinflation
pulmonaire secondaire en raison de l’obstruction bronchique.)
b. Consolidation (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
c. Infiltrat interstitiel diffus avec aspect en verre dépoli (Non, ce n’est pas la
bonne réponse.)
d. Diaphragme abaissé (Il s’agit d’une réponse partielle. Ce signe radiologique
permet de suspecter un piégeage de l’air (air trapping) et une hyperinflation
pulmonaire secondaire en raison de l’obstruction bronchique.)
e. Côtes « horizontales » (Il s’agit d’une réponse partielle. Ce signe radiologique
permet de suspecter un piégeage de l’air (air trapping) et une hyperinflation
pulmonaire secondaire en raison de l’obstruction bronchique.)
g. a, d et e (Bravo! Bonne réponse. Tous ces signes radiologiques décrivent une
hyperinflation pulmonaire en raison de l’obstruction bronchique.)

51
Q

vrai ou faux.

En pratique, la radiographie pulmonaire a une grande valeur diagnostique dans l’asthme.

A

faux.

52
Q

Quelles sont les deux investigations paracliniques le plus utiles à l’évaluation de la sévérité d’une crise d’asthme

a. Spirométrie (VEMS, DEP)
b. Dosage des IgE sérique
c. Gaz artériel (ou capillaire)
d. Test de provocation bronchique non spécifique à la métacholine
e. Radiographie pulmonaire

A

a. Spirométrie (VEMS, DEP) (Il s’agit d’une réponse partielle.)
b. Dosage des IgE sérique (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
c. Gaz artériel (ou capillaire) (Il s’agit d’une réponse partielle.)
d. Test de provocation bronchique non spécifique à la métacholine (Non, ce
n’est pas la bonne réponse. Ce test permet de poser le diagnostic d’asthme
ou de mettre en évidence une hyperréactivité bronchique, mais n’est pas
indiqué en épisode aigu.)
e. Radiographie pulmonaire (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)

53
Q

: Quel test serait le plus utile dans ce cas ?

a. Radiographie pulmonaire
b. Tomodensitométrie thoracique
c. Test de provocation bronchique non spécifique à la métacholine
d. Tests d’allergie cutanée
e. Dosage des immunoglobulines E (IgE) sériques

A

c. Test de provocation bronchique non spécifique à la métacholine (Bravo!
Bonne réponse.)

54
Q

Test de bronchoprovocation non spécifique à la métacholine

expliqe en gros?

A
55
Q

Quelle serait la prochaine étape pour déterminer la cause de l’obstruction bronchique de Nicolas?

a. Test cutané d’allergie
b. Test de RAST
c. Dosage des immunoglobulines E (IgE) sériques
d. Test de bronchoprovocation spécifique
e. Biopsie transthoracique à l’aiguille

A

a. Test cutané d’allergie (Bravo ! Bonne réponse.)
b. Test de RAST (« Radio-Allergo-Sorbent-Test ») (Non, ce n’est pas la bonne
réponse. Les tests cutanés d’allergie sont préférés au test de RAST pour la
majorité des allergènes parce qu’ils sont moins coûteux, plus faciles à faire et
plus sensibles.)
c. Dosage des immunoglobulines E (IgE) sériques (Non, ce n’est pas la bonne
réponse.)
d. Test de bronchoprovocation spécifique (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
e. Biopsie transthoracique à l’aiguille (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)

56
Q

juste lis

A
57
Q

Quel est le type d’asthme que présente Simone?

a. Asthme professionnel
b. Asthme induit par l’exercice
c. Asthme non allergique
d. Asthme allergique
e. Asthme d’origine médicamenteuse

A

c. Asthme non allergique (Bravo! Bonne réponse.)

58
Q

L’asthme chronique, caractérisé par de multiples poussées d’inflammation bronchique, entraîne un remodelage des voies respiratoires au niveau de la paroi des bronches :

A
59
Q

Si Simone avait présenté un asthme allergique chronique, quelles auraient été les modalités non pharmacologiques de traitement de son asthme?

a. Adapter l’environnement pour éviter l’exposition à des allergènes ou des
irritants des voies respiratoires
b. Physiothérapie respiratoire
c. Éducation du patient
d. Plan d’action
e. Oxygène

A

a. Adapter l’environnement pour éviter l’exposition à des allergènes ou des
irritants des voies respiratoires (Il s’agit d’une réponse partielle.)

b. Physiothérapie respiratoire (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
c. Éducation du patient (Il s’agit d’une réponse partielle. Elle implique de donner
des informations au patient sur le cours normal de la maladie, les symptômes
que le patient doit reconnaître et les moyens de diminuer le risque d’exacerbation.)

d. Plan d’action (Il s’agit d’une réponse partielle. Il s’agit d’un plan écrit conjointement entre le clinicien et son patient pour évaluer dans quelle zone (verte, jaune ou rouge/urgence) ce dernier se situe selon sa symptomatologie ainsi que les options thérapeutiques disponibles pour chaque zone.)

e. Oxygène (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)

60
Q

Critères de contrôle de l’asthme

A
61
Q

Quelle(s) est (sont) le(s) type(s) de réactions immunologiques impliquées dans l’alvéolite allergique extrinsèque ?

a. Réaction d’hypersensibilité immédiate (type I)
b. Réaction d’hypersensibilité médiée par des anticorps (type II)
c. Réaction d’hypersensibilité médiée par des complexes immuns (type III)
d. Réaction d’hypersensibilité médiée par des lymphocytes T (type IV)
e. a, c et d
f. Toutes ces réponses.

A

a, c et d (Bravo ! Bonne réponse)

62
Q

: Comment est-on être exposé aux antigènes responsables de l’alvéolite
allergiques extrinsèque ?

A

Voie respiratoire (Bravo ! Bonne réponse. Il s’agit de particules inhalées, c’est-à-dire de poussière organique majoritairement d’origine animale ou végétale, ou bien, plus rarement, d’antigènes en aérosol comme des produits chimiques. L’exposition répétée à ces antigènes rend le patient sensibilisé à ceux-ci, entraînant le développement d’une hypersensibilité.)

63
Q

: Vrai ou faux ? Tous les individus exposés au même antigène inhalé vont
développer une pneumonite d’hypersensibilité.

A
64
Q

juste lis

A
65
Q

alvéolite allergique extrinsèque est caractérisée par:

A
66
Q

: Quel est le diagnostic le plus probable?

a. Exacerbation aiguë d’une MPOC
b. Aspiration
c. Pneumonie bactérienne
d. Fibrose pulmonaire
e. « Poumon du fermier »

A

a. Exacerbation aiguë d’une MPOC (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Alfred
est non fumeur.)
b. Aspiration (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Il n’y a pas d’histoire de
dysphagie, d’étouffement ou de maladies neurologiques altérant l’état de
conscience.)
c. Pneumonie bactérienne (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Plusieurs
épisodes récidivants en peu de temps n’est pas compatible avec ce
diagnostic. En outre, une pneumonie ne se résout pas d’elle-même en 24 à
48 heures. Le traitement par des antibiotiques est nécessaire.)
d. Fibrose pulmonaire (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Alfred ne présente
pas de facteurs de risque de fibrose pulmonaire idiopathique ou de maladies
liées au travail comme l’amiantose ou la silicose.)
e. « Poumon du fermier » (Bravo ! Bonne réponse. Alfred fait des épisodes aigus récidivants qui ressemblent à des grippes ou des pneumonies, qui
semblent survenir surtout à la fin de l’hiver et au début du printemps et qui ont tendance à guérir sans traitement et rapidement (24 à 48 heures). Alfred souffre du « poumon du fermier », un type d’alvéolite allergique extrinsèque.)

67
Q

Les deux agents responsables du poumon du fermier sont

quelles conditions favorisent leur croissance

A

Actinomyces thermophilic et
Saccharopolyspora rectivirgula.

La fenaison par temps chaud et humide crée les conditions qui permettent une croissance rapide de ces bactéries résistantes à la chaleur dans les récoltes mises en réserves dans les silos.

68
Q

poumon du fermier induise une inflammation via quelles réactions d’hypersensibilités

A
69
Q

qu’est-ce que le squawk?

il reflète quoi

A
70
Q

Quelle(s) investigation(s) paraclinique(s) vont nous permettre de confirmer le diagnostic présomptif de « poumon du fermier »?
a. Précipitines contre les actinomycètes
b. Radiographie pulmonaire
c. Tests de fonction respiratoire
d. Inhalation de poussière de foin moisi
e. Dosage des IgE sériques
f. a, b, c et d
g. a, d, et e
h. Toutes ces réponses

A

a. Précipitines contre les actinomycètes (Il s’agit d’une réponse partielle. Par
ailleurs, on retrouve de telles précipitines (IgG) chez 40-50% des sujets
exposés aux actinomycètes, mais non atteints de la maladie.)
b. Radiographie pulmonaire (Il s’agit d’une réponse partielle. Voir la section sur
les investigations paracliniques pour de plus amples détails.)
c. Tests de fonction respiratoire (Il s’agit d’une réponse partielle. Dans les
alvéolites allergiques extrinsèques symptomatiques, en général, on retrouve
surtout un tableau respiratoire restrictif. Parfois, un déficit ventilatoire
obstructif est mis-en-évidence.)
d. Inhalation de poussière de foin moisi (Il s’agit d’une réponse partielle. Ce test
permet de prouver le diagnostic de façon certaine, mais il peut y avoir des
faux négatifs. Or, il est long, présente des risques et requiert une installation
spéciale, de telle sorte qu’il n’est généralement jamais fait.)
e. Dosage des IgE sériques (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Le taux
sanguin d’IgE est normal dans le « poumon du fermier », alors qu’il serait fort
probablement augmenté chez un patient qui présenterait de l’asthme dû à
une allergie au foin. En outre, dans un tel cas, les crises surviendraient durant
l’exposition au foin et non 6 à 8 heures après comme dans l’histoire d’Alfred.
Les antécédents atopiques sont rares chez les individus souffrant du «
poumon du fermier ».)
f. a, b, c et d (Bravo ! Bonne réponse. Il faut bien comprendre que c’est la
combinaison de tous ces tests associée à une présentation clinique
suggestive qui permet un diagnostic définitif.)

g. a, d, et e (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Voir l’explication au choix de
réponse e.)
h. Toutes ces réponses (Non, ce n’est pas la b

71
Q

juste lis

A
72
Q

: Quel est le diagnostic le plus probable?
a. MPOC type bronchite chronique (
b fibrose pulmonaire idiopathique
c. pneumonie
d. poumon du femier
e. pneumonie aviaire

A
73
Q

Quel sera le tableau ventilatoire dominant lors des épreuves de fonction
respiratoire ?
(pneumonie aviaire)

A
74
Q

Laquelle des affirmations suivantes est fausse?

a. La rhinorrhée et le prurit nasal font partie de la symptomatologie de la forme aiguë de l’alvéolite allergique extrinsèque.
b. Dans toutes les formes d’alvéolite allergique extrinsèque, la dyspnée et la toux sont des symptômes fréquents.
c. Les crépitants fins seront les seuls bruits audibles à l’auscultation pulmonaire en l’absence de condition pulmonaire de base sous-jacente.
d. La forme aiguë peut s’accompagner de fièvre et d’autres manifestations systémiques.
e. La forme chronique mène inexorablement vers l’insuffisance respiratoire, le coeur pulmonaire et le décès si l’exposition à l’antigène est maintenue

A
75
Q

Alvéolite allergique extrinsèque aiguë vs chronique

juste lis

A
76
Q

Vrai ou faux ? La présence de précipitines (IgG) contre les
actinomycètes dans le sérum du patient ne signifie pas nécessairement que le
patient souffre d’alvéolite allergique extrinsèque.

A
77
Q

: Dans toutes les formes d’alvéolite allergique extrinsèque, quel sera le
tableau ventilatoire dominant lors des épreuves de fonction respiratoire ?

A

restrictif

78
Q

Laquelle des affirmations sur le test d’inhalation d’antigènes est fausse?

a. Il doit être pratiqué dans un centre spécialisé par des professionnels qualifiés.

b. Un test positif est caractérisé par de la toux, de la dyspnée ainsi qu’une
augmentation de la CVF et de la PaO2 quelques heures (8-12 heures) après l’exposition à l’antigène.
c. Des faux négatifs peuvent se produire.
d. Il existe un risque de réactions sévères limitant son utilisation.

A

b. Un test positif est caractérisé par de la toux, de la dyspnée ainsi qu’une augmentation de la CVF et de la PaO2 quelques heures (8-12 heures) après l’exposition à l’antigène. (Bravo! Bonne réponse. Il faudrait lire : « (…) ainsi qu’une diminution de la CVF et de la PaO2 quelques heures (8-12 heures) après l’exposition à l’antigène. » Voir le complém

79
Q

Un homme de 34 ans, non fumeur, sans antécédent clinique pertinent, se présente à l’urgence de votre hôpital à 2h00 du matin. Il présente une toux qu’il dit « sans arrêt » depuis 3 heures ainsi que des difficultés respiratoires. Il est légèrement tachypnéique, son pouls est régulier et sa température est de 39,7oC buccale.

À l’auscultation pulmonaire, vous entendez des crépitants fins bilatéralement. Un gaz capillaire (astrup) fait au chevet du patient révèle une PaO2 à 77 mm Hg.

Après avoir stabilisé la condition du patient, prescrit des examens d’imagerie et lui avoir installé une lunette nasale avec un débit d’O2 à 1L, vous vous empressez
d’aller chercher votre externe pour qu’il prenne en charge ce cas fort intéressant.

Plus tard, lors du résumé de la situation clinique fait par l’étudiant, une information vous interpelle : le patient travaille en maintenance des systèmes de ventilation de
gros immeubles à logements.

Vous obtenez les images radiologiques fait plutôt durant la soirée

Quelle est (sont) la (les) trouvaille(s) radiologique(s) la (les) plus fréquemment rencontrée(s) dans la forme aiguë de l’alvéolite allergique extrinsèque?

a. Opacités micronodulaires diffuses
b. Opacités réticulaires à prédominance aux lobes supérieurs
c. Infiltrat interstitiel en verre dépoli
d. Changements fibrotiques diffus, piégeage de l’air
e. Aucun changement
f. b et d
g. a, c et e
h. Toutes ces réponses

A
80
Q

Quelles sont les caractéristiques histologiques observées à la biopsie transbronchique d’un patient atteint de la forme aiguë d’alvéolite allergique extrinsèque?

a. Dépôts de fibrine
b. Infiltrations cellulaires (surtout neutrophiles, lymphocytes, plasmocytes)
c. Petit granulomes
d. a, b et c

A

a. Dépôts de fibrine (Il s’agit d’une réponse partielle.)
b. Infiltrations cellulaires (surtout neutrophiles, lymphocytes, plasmocytes) (Il
s’agit d’une réponse partielle.)
c. Petit granulomes (Il s’agit d’une réponse partielle.)
d. b et c (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
e. a, b et c (Bravo! Bonne réponse.)

81
Q

: Vrai ou faux? La « triade histologique » représente les caractéristiques
histologiques observées à la biopsie transbronchique d’un patient atteint de la forme
chronique d’alvéolite allergique extrinsèque

A
82
Q

: Quelle est la seule intervention ayant le potentiel de ralentir la progression de l’alvéolite allergique extrinsèque vers une forme chronique caractérisée par une fibrose pulmonaire diffuse irréversible?

a. Traitement par des corticostéroïdes systémiques
b. Éviter l’exposition à l’antigène inhalé causal
c. Soulagement des symptômes par des agonistes B2
-adrénergiques à courte
durée d’action
d. Arrêt tabagique
e. Oxygène

A
83
Q

Traitement de l’alvéolite allergique extrinsèque

juste lis

A
84
Q

juste lis

Enfin, rappelez-vous qu’une forme chronique de pneumonite d’hypersensibilité doit
toujours être envisagée et exclue avant de poser le diagnostic de fibrose
pulmonaire idiopathique.

A
85
Q

Quels sont les éléments qui composent la « triade atopique » ?

a. Dermatite de contact allergique (eczéma)
b. Rhinite allergique
c. Asthme
d. Alvéolite allergique extrinsèque
e. a, c et d
f. a, b et c

A

a. Dermatite de contact allergique (eczéma) (Il s’agit d’une réponse partielle.)
b. Rhinite allergique (Il s’agit d’une réponse partielle.)
c. Asthme (Il s’agit d’une réponse partielle.)
d. Alvéolite allergique extrinsèque (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
e. a, c et d (Non, ce n’est pas la bonne réponse.)
f. a, b et c (Bravo ! Bonne réponse.)

86
Q

: Vrai ou faux? D’après cette vignette clinique et les résultats obtenus aux
différents tests, le diagnostic de « poumon du fermier » est le plus probable?

A