allergies Flashcards
définition:
Hypersensibilités
Anticorps
Autoanticorps
Antigène
Allergène
Dans une réaction allergique d’hypersensibilité immédiate (allergie), à
quel type d’anticorps a-t-on affaire?
IgE
Dans une réaction allergique d’hypersensibilité immédiate (allergie),
quelles cellules sont surtout impliquées ?
mastocytes
: Typiquement, combien de phases décrit-on à une réaction allergique
d’hypersensibilité immédiate (allergie)?
Deux (Bravo ! Bonne réponse. En effet, on décrit classiquement deux phases à la réaction allergique. D’abord, la réaction immédiate se produit de quelques secondes à quelques minutes suite au contact avec un allergène, chez une personne sensibilisée. Elle est attribuable à la dégranulation des mastocytes.
Ensuite, on décrit une phase tardive, qui survient de deux à huit heures (dure jusqu’à vingt-quatre heures selon certains auteurs) suite au contact avec l’allergène. Les cytokines produites par les mastocytes recrutent des leucocytes (principalement des éosinophiles, des neutrophiles) sur une plus longue période de temps, ce qui explique la phase tardive.)
qu’est-ce ue le processus de sensibilisation?
explique la réaction immédiate dans l’hypersensibilité de type I
quelles sont les différents types de granules relachées par un mastocyte activé ou juste lors de l’hypersensibilité de type I?
explique la réaction tardive de l’hypersensibilité I
il y a-t-il un remodelage tissulaire dans l’hypersensibilité de type I
voici donc les effets d’une réaction allergique sur la muqueuse respiratoire :
quelles sont les entités cliniques de l’hypersensibilité immédaite?
Quelles, parmi les entités cliniques suivantes, sont des exemples
d’hypersensibilité médiée par les anticorps, ou de type II?
a. Diabète de type I
b. Purpura thrombocytopénique autoimmun ou idiopathique (PTI)
c. Rhumatisme articulaire aigu
d. Polyartérite noueuse
e. Sclérose en plaques
f. Polyarthrite rhumatoïde
g. Anémie hémolytique auto-immune
a. Diabète de type I (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Le diabète de type I
est une hypersensibilité de type IV auto-immune, médiée par les lymphocytes
TCD8+ cytotoxiques, entraînant une destruction des cellules bêta des îlots
pancréatiques.)
b. Purpura thrombocytopénique autoimmun ou idiopathique (PTI) (Il s’agit d’une
réponse partielle.)
c. Rhumatisme articulaire aigu (Il s’agit d’une réponse partielle.)
d. Polyartérite noueuse (Non, ce n’est pas la bonne réponse. La polyartérite
noueuse, une vasculite des moyens vaisseaux, est un type d’hypersensibilité
de type III, médiée par des complexes immuns. Comme toutes les entités
cliniques induites par ce type d’hypersensibilité, cette vasculite est due à un
dépôt de complexes immuns dans les vaisseaux sanguins.)
e. Sclérose en plaques (Non, ce n’est pas la bonne réponse. La sclérose en
plaques est une maladie auto-immune caractérisée par des plaques de
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démyélinisation au niveau du système nerveux central. La physiopathologie
postulée est une réponse immunitaire médiée des macrophages activés par
des cytokines produites par des lymphocytes Th1 et Th17. Il y a ici présence
d’une hypersensibilité de type IV, médiée par les cytokines de lymphocytes
TCD4+.)
f. Polyarthrite rhumatoïde (Non, ce n’est pas la bonne réponse. C’est une
hypersensibilité de type IV médiée par des cytokines produites par des
lymphocytes T, dont l’ensemble de la physiopathologie reste à être élucidée.)
g. Anémie hémolytique auto-immune (Il s’agit d’une réponse partielle.)
Qu’est-ce qu’un complexe immun?
Une association anticorps-antigène
En combien de sous-types divise-t-on les réactions d’hypersensibilité
retardée, médiée par les lymphocytes ou de type IV?
a. Deux (Bravo ! Bonne réponse.)
mécanisme de l’hypersensibilité de type II
Exemples cliniques d’hypersensibilité médiée par les anticorps :
mécanisme de l’hypersensibilité de type III
Exemples cliniques d’hypersensibilité médiée par les complexes immuns :
définit l’hypersensibilité de type IV
On retient deux mécanismes physiopathologiques pour ce type d’hypersensibilité IV:
Exemples cliniques d’hypersensibilité retardée :
Mécanisme physiopathologique
herbe à poux
Fluctuations mensuelles des concentrations de pollens et autres aéro-allergènes:
Quelle est la cause la plus probable de son asthme ?
d. Moisissures (Bravo ! Bonne réponse. Evelyne est probablement allergique à
certaines moisissures que l’on retrouve à la fois dans le foin sec, le vin et le
fromage.)
vrai ou faux
Les moisissures (ou mycètes) proviennent de toute substance organique en
décomposition (ex. : pain moisi).
vrai
Les moisissures se reproduisent de façon .. par des spores. Les spores sont transportées par le vent et donc, contaminent l’atmosphère. Elle se retrouvent partout, mais sont plus abondantes à certains
endroits :
….
aéro-allergènes communs non saisonniers comprennent :
les acariens, les particules animales, la poussière de maison et les plumes de coussins. C’est la pellicule de l’animal qui est allergisante (aussi l’urine et la salive), et non le poil.
vrai ou faux.
Les aliments sont rarements une cause d’asthme ou de rhinite chez l’adulte.
Quelques fois, les aliments agissent comme aéro-allergènes non saisonniers (ex. :
farine, etc.).
vrai
Quelle est l’étiologie la plus probable de ses crises d’asthme ?
Asthme non allergique d’origine médicamenteuse (Bravo! Bonne réponse. Le médicament de la classe des bêta-bloqueurs qu’Étienne utilise pour traiter son hypertension artérielle fait souvent apparaître de l’asthme chez un patient prédisposé.)
Les agents professionnels sensibilisants constituent une autre catégorie pouvant déclencher une crise d’asthme, mais pas toujours par des mécanismes
immunologiques bien connus :
Les médicaments constituent une autre catégorie pouvant déclencher une crise
d’asthme :
Enfin, d’autres facteurs étiologiques pouvant causer un bronchospasme sont:
exercice physique
IVRS