AAPA - autonomie Flashcards
Définir vieillissement normal
n’altère pas le fonctionnement normal de la personne
Expliquer l’erreur de type A et l’erreur de type B
A: intervenir sur un problème qui constitue en fait un phénomène normal du vieillissement
B: ne pas reconnaitre un vrai problème de santé en croyant qu’il est causé par le vieillissement normal
Quels sont les objectifs de l’AAPA
Diminuer les déclins fonctionnels et les déliriums liés à l’hospitalisation.
évaluation et surveillance clinique des indicateurs de déclin fonctionnel (autonomie, intégrité de la peau, nutrition et hydratation, élimination, état cognitif, sommeil)
Quels sont les niveaux d’interventions de l’AAPA
- interventions préventives systématiques
- interventions spécifiques
- interventions spécialisées
Quels sont les deux outils pour dépister le risque de perte d’autonomie
- ISAR (incidence)
- PRISMA (prévalence)
Décrire les caractéristiques de l’ISAR
identifier les ainés à risque élevé de perte d’autonomie pendant ou après une visite à l’urgence jusqu’à 6 mois après
score sur 6, environ 3 min
pointage de 2 et plus représente les ainés à risque
Décrire les caractéristiques du questionnaire PRISMA
identifier les personnes agées en perte d’autonomie modérée à grave, en l’absence d’un score SMAF connu.
administration en 5 min.
un pointage de 4 oui et plus indique un risque de perte d’autonomie.
Quels sont les niveaux dans l’échelle de SMAF
0: autonomie
-0,5: avec difficulté
-1: besoin de surveillance ou de stimulation
-2: besoin d’aide partielle
-3: besoin d’aide totale
nommer des interventions systématiques concernant l’autonomie
- le laisser accomplir ses AVQ
- fractionner les AVQ selon tolérence
- mettre le matériel à porter de main et disposer d’un éclairage suffisant
- mettre les lunettes et appareils auditifs
- diminuer les stimuli durant acitivité
- faire participer la famille dans AVQ
qu’est-ce que le syndrome d’immobilisation?
dégénérescence physiologique due à une inactivité musculosquelettique, niveau d’activité inférieur à la mibilité optimale de la personne
Nommer des conséquences du syndrome d’immobilisation
- diminution de l’endurance à l’effort
- HTA
- risque de pneumonie
-risque infection urinaire - risque incontinence urinaire
- diminution de l’appétit
- risque constipation
- risque lésion de pression
- risque de chute
- délirium
que doit-on évaluer avec la mobilité
- comparaison du niveau de mobilité à domicile vs milieu hospitalier
- marche intéreur/extérieur? exercice?
- chute dans la dernière année?
- observation de la démarche et de l’équilibre
- vérifier la capacité de se transférer et se mobiliser
- test court
-identification facteurs de risque de chute - syndrome de fragilité
- présence de douleur
interventions systématiques mobilité
- impliquer les proches
- mobiliser dès que possible
- mibilisation TID, exercices debout/assis
-réduire utilisation de sonde, cathéter, drains - s’assurer du port de lunettes et des prothèses auditives
- établir horaire de marche
- supervision de l’utilisation adéquate de l’accessoir de marche
- alterner périodes de repos et mobilisation
intervention spécifique mobilité
- soulagement de la douleur pré-mobilisation et attendre pic d’action
- interventions spécifiques en présence de HTO
- programme d’intervention individuel selon évaluation des déficits/capacités
- interventions spécifiques au risque de chute identifié
nommer les deux méthodes de poser le PQRSTU et les expliquer
méthode journaliste: poser directement les questions à l’ainé, centrer l’entrevue sur le malaise
méthode enquêteur: à utiliser quand ainé atteint de troubles cognitifs, infirmière s’appuie sur ses observations, les proches, les autres soignants, les notes au dossier