2. Système somesthésique Flashcards
Décrire les récepteurs somesthésiques
- terminaisons encapsulées (proprioception) ou libres (nociception)
- axones plus ou moins myélinisés
- corps cellulaire dans le ganglion spinal
Nommer les 4 types de fibres et leur vitesse de conduction
- fibre Aα ou type I: 120m/s
- fibre Aβ ou type II: 72m/s
- fibre Aδ ou type III: 30m/s
- fibre C ou type IV: 1m/s
Quelle type de fibre est amyélinisée
Fibre C/type IV car c’est la fibre de la nociception (douleur)
Nommer les nerfs cutanés qui servent à l’innervation de la peau et quel type de nerf sont-ils? (sensitif ou moteur)
Sensitif
- Aβ
- Aδ
- C
Nommer les nerfs mixtes qui servent à l’innervation de la peau et des structures profondes, muscles, capsules articulaires, ligaments, etc. et quel type de nerf sont-ils? (sensitif ou moteur)
Sensitifs:
- Ia, Ib (Aα)
- II (Aβ)
- III (Aδ)
- IV (C)
Moteurs:
- α (Aα)
- γ (Aγ)
Quelles fibres constituent le système de “double alarme” pour la nociception?
Type III (Aδ): + rapide, permet de s’écarter du danger immédiat
Type IV (C): lent pour être une leçon au SNC de ne pas répéter l’action et donne feedback sur l’état des tissus
Définir: champ récepteur
Zone cutanée circonscrite et bien délimitée où un récepteur peut être activé par une stimulation
Sa taille varie selon les propriétés physiologiques du récepteur
Quel CR à la surface la plus grande? CR de surface ou CR profond?
Profond
Définir: acuité tactile
Capacité de discerner les qualités fines d’un stimulus
Le chevauchement des CR rend difficile la discrimination de 2 points
Ce n’est qu’en écartant assez deux stimuli que l’on peut les discerner (2 signaux de 2 récepteurs distincts)
Facteurs qui influencent l’acuité tactile (2)
- taille du CR
- densité du CR (ex: plus présents aux doigts qu’au dos)
Vrai ou Faux: l’acuité tactile est plus précise à la paume qu’au dos
Vrai
Vrai ou Faux: l’acuité tactile est plus précise aux épaules qu’aux orteils
Faux
Décrire l’adaptation des récepteurs à adaptation rapide VS lente
Rapide: déchargent dès l’application du stimulus, mais s’adaptent rapidement et cessent de décharger même si le stimulus est toujours actif (détectent les changements de stimulation soudains provoqués par le mvt d’un objet sur la peau)
Lente: émettent une décharge continue en présence d’un stimulus durable (renseignent sur la forme et la texture d’un stimulus ainsi que le degré d’étirement de la peau)/
Quel facteur détermine le type d’adaptation d’un récepteur
la configuration de la capsule
Vrai ou Faux: les récepteur folliculaires des poils remplacent les corpuscules de Meissner dans la peau pileuse
Vrai
Nommer les récepteurs tactiles à adaptation rapide
- corpuscules de Pacini
- corpuscules de Meissner
- récepteurs folliculaires des poils
Nommer les récepteurs tactiles à adaptation lente
- Disque de Merkel
- Corpuscules de Ruffini
Quel récepteur tactile reproduit le mieux la forme spatiale
Disque de Merkel
Quel récepteur tactile est le plus sensible
Corpuscule de Pacini
Quel récepteur tactile informe sur l’étirement de la peau
Corpuscule de Ruffini
Fonction du récepteur proprioceptif Ia
Répondent à l’étirement musculaire et donnent des réponses à adaptation rapide. Elles renseignent sur la dynamique des membres (vitesse et direction du mvt)
Fonction du récepteur proprioceptif II et Ib
Répondent par une émission continue à des longueurs constantes du muscle et donnent des réponses à adaptation lente. Elles renseignent sur la position statique des membres
Fonction des récepteurs articulaires
Permettent de confiner les mvts aux limites de leur étendue normale
Sont omniprésents dans la main et ressemblent aux récepteurs cutanés (Pacini et Ruffini)
Décrire les fibres intrafusales des motoneurones
- innervées par motoneurone γ
- modulent la sensibilité à l’étirement musculaire
- permettent de raffiner l’image corporelle
- permettent les mvts fins
Décrire les fibres extrafusales des motoneurones
- innervées par motoneurones α
- permettent la génération de fortes contractions musculaire
Les muscles oculaires sont modulés par quels fibres de motoneurone? (intra- ou extrafusale)
Intrafusale, car permettent de bouger yeux très précisément, saccades oculaires
Nommer les 4 fibres des récepteurs nociceptifs
- Fibres Aδ mécanoréceptrices
- Fibres Aδ mécanothermiques
- Fibres C polymodales
- Fibres C silencieuses
Fonction des fibres Aδ mécanoréceptrices des nocirécepteurs
réagissent aux pressions susceptibles de porter atteinte à l’intégrité des tissus
Fonction des fibres Aδ mécano-thermiques des nocirécepteurs
Sensibles aux variations de température
Fonction des fibres C polymodales des nocirécepteurs
Sensibles à la fois aux stimuli mécaniques, thermiques et chimiques
Fonction des fibres C silencieuses des nocirécepteurs
sensibles aux différentes substances chimiques relâchées lors de l’inflammation ou encore à des irritants appliqués sur la peau
Les fibres nociceptives comprennent-elles une capsule?
Non, elles ont des terminaisons libres donc ne peuvent renseigner sur le spécificités du signal douloureux
Quels sont les différents canaux TRP des nocirécepteurs (3)
- TRPV1: hautes températures, capsaïcine du piment et irritants volatiles
- TRPM8: basses températures et menthol
- ASIC3: sensible aux changements de pH en ischémie
Par quelle corne entrent les fibres somesthésiques dans le SNC
corne dorsale de la ME
où décusse les fibres tactiles et proprioceptives VS les fibres nociceptives
- fibres tactiles et proprioceptives: cheminent du côté ipsi. avant de décusser dans le bulbe rachidien
- fibres nociceptives: décussent dès l’entrée dans la ME
Dans quelles couches REXED se projettent les fibres Aδ et C?
Couches I et II, mais la fibre Aδ se projette aussi dans la couche V
Dans quelles couches REXED se projettent les fibres Aβ?
Couches III et V
Dans quelles couches REXED se projettent les fibres proprioceptives Ia, Ib et II?
Couche VI
Quelle couche REXED est responsable des douleurs référées?
Couche V car elle reçoit la convergence des stimuli provenant des touchers légers, des sensations des viscères et des stimuli nociceptifs
Décrire la voie ascendante tactile des fibres provenant du corps
- montent ipsilatéralement et décussent dans les noyaux gracile (bas du corps) et cunéiforme (haut du corps)
- rejoignent le faisceau lemnisque médian
Décrire la voie ascendante tactile des fibres provenant du visage et du crâne
- entrent par le ganglion trigéminal (de Gasser) et décussent dans le complexe sensitif du trigéminal au niveau du pont pour rejoindre le faisceau trigéminal
- rejoignent le faisceau trigémino-thalamique
Décrire la voie ascendante proprioceptive des fibres provenant du corps
- Haut du corps: montent ipsilatéralement et décussent dans le noyau cunéiforme
- Bas du corps: relais supplémentaire préalable dans le noyau de Clark avant d’atteindre le noyau gracile et décusser
- rejoignent le faisceau lemnisque médian
Décrire la voie ascendante proprioceptive des fibres provenant du visage
- Entrent par le ganglion trigéminal (de Gasser) puis montent vers le mésencéphale pour décusser dans les noyaux mésencéphaliques du trijumeaux
- rejoignent le faisceau trigémino-thalamique
Décrire la voie ascendante nociceptive des fibres provenant du corps
- décussent dans la corne dorsale pou rejoindre la colonne antéro-latérale
- rejoignent le faisceau spino-thalamique
Décrire la voie ascendante nociceptive des fibres provenant du visage
- entrent au niveau du pont moyen, descendent au travers du faisceau trigéminal spinal vers le noyau spinal du complexe trigéminal dans le bulbe rachidien où elles décussent
- rejoignent le faisceau trigémino-thalamique
Décrire le syndrome de Brown-Sequard
Perte de sensibilité thermique et nociceptive controlatérale à la lésion
Perte de sensibilité mécanique tactile ipsilatérale à la lésion
Définir l’inhibition latérale
Mécanisme qui s’opère à chaque relais/synapse et permet à une cellule nerveuse de réduire l’activité des cellules avoisinantes afin de délimiter des zones claires d’activité et d’inhibition. Elle permet d’éviter la surcharge d’information et d’optimiser l’acuité spatiale d’un signal sensoriel
Différencier la pro-inhibition, rétro-inhibition et modulation descendante
Pro-inhibition: Neurone de 1er ordre/pré-synaptique inhibe le signal aux autres récepteurs
Rétro-inhibition: Neurone de 2e ordre/post-synaptique inhibe le signal et simplifie l’information
Modulation descendante: Récepteur inhibe le signal
Les afférences sensori-discriminatives du corps et du visage aboutissent dans quels noyaux thalamiques? Décrire les CR
Corps: noyau ventro-postéro-latéral
Visage: noyau ventro-postéro-médian
Petits CR et somatotopie
Les afférences affectives-motivationnelles aboutissent dans quels noyaux thalamiques? Décrire les CR
Noyaux intralaminaires et autres noyaux de la ligne médiane
Grands CR et aucune somatotopie du corps
Expliquer l’organisation somatotopique du thalamus
Noyaux ventro-postéro-latéral: associé aux corps
Noyaux ventro-postéro-médian: associé aux visage
Décrire l’emplacement du cortex somesthésique et ses aires (primaire et associatives)
- situé dans le gyrus postcentral
- aire primaire: cortex somesthésique primaire (S-I)
- aires associatives: cortex somesthésique secondaire (S-II) et cortex pariétal postérieur (CPP)
décrire les aires du cortex somesthésique primaire
3a: proprioception
- peau: ALC2 et C
- tissus profonds: fuseaux neuro-musculaires
3b: tactile
- peau: AR1, AL1 et Aδ
1: tactile
- peau: AR1 et AR2 et Aδ
2: proprioception
- peau: toucher léger
- tissus profonds: proprioception
Décrire la cartographie du corps dans le cortex somesthésique primaire
Très précise et organisée en colonnes fonctionnelles qui répondent à:
- la même région du corps
- la même modalité (tactile, proprioception, etc.)
- la même vitesse d’adaptation )rapide ou lente)
Expliquer la plasticité cérébrale
Le cerveau est malléable, surtout pendant le développement, et la somatotopie tend à changer
- avec l’exercice
- à la suite d’une lésion périphérique qui engendre une reprise fonctionnelle
- temporairement
- à la suite d’une anesthésie
Les noyaux thalamiques VPL et VPM ont quelle fonction
Sensibilité cutanée tactile
Le noyau thalamique VPS a quelle fonction
Proprioception
Quelles aires somesthésiques appartiennent au cortex associatif
Aires 5 et 7
quel est le principe de convergence des aires associatives
La convergence des afférences somesthésiques à chaque niveau hiérarchique résulte en une augmentation de la taille des CR des neurones et leur latéralisation tend à disparaitre
Quelles aires somesthésiques se rejoignent pour faire partie de la voie VENTRALE des aires associatives responsable de l’identification des objets manipulés
3b et 1 = SII
Quelles sont les conséquences d’une lésion de la voie ventrale (SII)
- diminution de la perception tactile
- diminution de la perception de la force et taille des objets
- astéréognosie ou agnosie tactile: difficulté à reconnaitre des objets placés dans la main (difficulté à reconnaitre les objets placés dans la main)
Quelles aires somesthésiques se rejoignent pour faire partie de la voie DORSALE des aires associatives responsable du guidage sensoriel du mvt
3a et 2 = CPP (aires 5 et 7)
Conséquences d’une lésions de la voie dorsale CPP
héminégligence = incapacité de porter attention au côté controlatéral à la lésion
ex: inutilisation du côté G si lésion D
Différencier les CR et la somatotopie des aires primaires et associatives
CR aire primaire: petits/précis, organisation somatotopique
CR aire associative: grands/imprécis, somatotopie imprécise
Vrai ou Faux: une lésion des aires associatives affecte la capacité à détecter les stimuli sensoriels
Faux: on retrouve plutôt des anomalies dans l perception et les fonctions cognitives mais ont détecte tout de même les stimuli
Définir la douleur
- Expérience sensorielle et émotionnelle désagréable résultant d’une lésion tissulaire (réelle, potentielle ou décrite en de tels termes)
Vrai ou Faux: La douleur N’EST PAS l’expression directe d’un événement sensoriel, mais le produit d’un processus cérébral élaboré qui découle d’une variété de signaux neuronaux
Vrai
La douleur est décrite selon 3 dimensions; nommer les
- sensorielle-discriminative: intensité, emplacement, qualité et durée
- affective-motivationnelle: désagrément et envie d’éviter le désagrément
- cognitive-évaluative: attention/distraction, valeurs culturelles, suggestions hypnotique
Fonction du système antéro-latéral
Traite
- les sensations de chaleur et froid non douloureux
- les démangeaisons par histamine
- les stimulations mécaniques lentes du toucher sensuel
- les sensations désagréables par une activité musculaire intense ou soutenue
Et rôle clé dans le caractère intéroceptif de la douleur intimement liée aux conséquences émotionnelles de celle-ci
Décrire la dimension sensori-discriminative de la douleur
Faisceau spinothalamique
- emplacement
- intensité
- nature de la stimulation
Décrire la dimension affective-motivationnelle de la douleur
- désagrément
- peur
- anxiété
- réponses autonomiques (FC, FR, etc.)
La dimension affective-motivationnelle de la douleur est régulée par quelles structures
Régions sous-corticales
- subdivisions de la formation réticulaire
- substance grise périaqueducale
- couches profondes du colliculus supérieur
- noyau parabrachial du tronc cérébral
Le noyau parabrachial du tronc cérébral régulent quelles structures
- amygdale
- hypothalamus
- noyaux thalamiques intralaminaires et médians
Inputs et projections de la dimension affective-motivationnelle de la douleur
Inputs:
- couches VII, VIII (liens avec SNA)
Projections
- insula (via noyaux thalamiques médians, adaptation selon anticipation)
- cortex cingulaire antérieur (décisions ponctuelles, système limbique)
Inputs et projections de la dimension sensori-discriminative de la douleur
Input:
- couches I, V
Projections:
- SI et SII via les noyaux thalamiques VPL, VPM et PO
Nommer les 4 types de douleur
- Douleur nociceptive
- Douleur inflammatoire
- Douleur neuropathie
- Douleur dysfontionnelle
Décrire la douleur nociceptive
douleur aigue dont la source est habituellement facilement identifiable et qui résulte de l’activité des nocicepteurs à la suite d’un dommage tissulaire potentiel ou avéré
Décrire la douleur inflammatoire
Douleur à durée variable (aigue ou chronique) qui résulte de la sensibilisation des nocicepteurs lors de l’inflammation
Décrire la douleur neuropathique
douleur persistante (chronique) qui résulte d’un dommage aux fibres nerveuses
Décrire la douleur dysfonctionnelle
aucun signe de pathologie périphérique ou centrale. Traitements non efficaces.
Ex: syndrome de fibromyalgie
Décrire la contribution des peptides sécrétés par les fibres C lors de l’inflammation (2)
Chaleur et rougeur
- activation des nocicepteur
- action de la CGRP (v. sanguins moins étanche)
- vasodilatation
Oedème
- activation des nocicepteurs
- action de la substance P
- extravasation de plasma
Mécanisme d’action, sécrétion et élimination de la substance P
Sécrétion: libérés en périphérie
Mécanisme: augmente l’excitabilité des nocicepteurs avoisinants causant une hyperalgie secondaire (peau autour de lésion devient ++sensible)
Élimination: aucun mécanisme de recapture, taux élevé chez pt avec douleur chronique
Qu’arrive t-il suite à la stimulation répétée des fibres C
Une relâche de plus en plus grande de substance P dans la fente synaptique de la corne dorsale
= augmente le nombre de canaux ioniques à la surface du neurone post-synaptique et donc l’efficacité du glutamate
Définir hyperalgie
- réponse exagérée aux stimuli douloureux
- douleur persiste même en l’absence de stimulation (ex: suite à une entorse)
Définir allodynie
- douleur provoquée par les stimuli normalement non douloureux (ex: toucher léger après coup de soleil)
- sans stimulation, il n’y a pas de douleur
Expliquer la douleur fantôme
- réorganisation de SI chez les amputés par la plasticité cérébrale
- représentation corticale prend de l’expansion
- anesthésie locale en plus de l’anesthésie générale peut limiter les effets
Expliquer la théorie du portillon
Le flux des afférences Aβ qui innervent les mécanorécepteurs de bas seuil activent des interneurones qui, à leur tour, inhibent les signaux provenant de nocicepteurs. Explique la réaction de frotter un membre après l’avoir cogner pour soulager
- stimulation afférences nociceptives provoque douleur via activation neurones de la voie spinothalamique (portillon ouvert)
- Stimulation afférences Aβ (si douleur) diminue transmission douleur au niveau de la corne dorsale via l’activation d’un interneurone inhibiteur (portillon fermé)
*effet segmentaire: il faut activer les afférences Aβ innervant la même région
Quelle est une des principales structures du tronc cérébrale à l’origine des effets analgésiques de la modulation descendante de la douleur
Substance grise périaqueducale du mésencéphale (SPG)
Mécanisme d’action de la substance grise périaqueducale du mésencéphale (SPG)
Inhibe la transmission de l’influx nerveux dans la corne dorsale en activant des interneurones à enképhaline (2) qui réduisent l’efficacité synaptique entre les neurones de 1er et 2e ordre
Qu’est-ce qui produit un effet analgésique (2)
- stimulation électrique de la SGP
- injection de morphine dans la SPG
Qu’est-ce qui produit un effet anti-analgésique (2)
- injection de naloxone dans le noyau raphé magnus
- section bilatérale des cordons dorso-latéraux
où se trouve les récepteurs opioïdes du corps
dans la SPG et au niveau de la corne dorsale
où se trouvent les opioïdes produits par le corps
SPG, bulbe et corne dorsale
Mécanisme d’action des opioïdes dans le corne dorsale (pré- et postsynaptique)
Pré-synaptique: diminution de la libération de glutamate (conduction Ca2+) et diminution de la durée du PPSE
Post-synaptique: hyperpolarisation (conductance K+) et diminution de l’amplitude du PPSE
nommer les utilisations ponctuelles d’opioïdes (3) et comment minimiser les effets
- constipation (récepteur =sphincters)
- nausée, vomissement, dépression de la respiration (action au tronc cérébral)
- démangeaisons
Minimiser les effets avec des injections localisées ou timbres périphériques (patches)
nommer les conséquences de l’utilisation chronique d’opioïdes
- tolérance (donc peu efficace pour la douleur chronique car on sent moins les effets après une certaine période)
- toxicomanie