118.2 Flashcards

1
Q

Personnes ensevelies - quels sont les risques pour les sauveteurs ?

A

Insuffisance ou absence d’étaiement des ruines dans la zone d’action

Non respect des mesures de sécurité pendant les recherches

Chutes de matériaux

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2
Q

Personne tombé en profondeur - quels sont les risques pour la personne ?

A

Décès suite aux blessures ou à l’asphyxie

Difficulté à manifester sa présence

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3
Q

Personne tombé en profondeur - avant l’opération il faut :

A

Chercher à entrer en contact

Localiser la victime avec la CTHE

Recherche des renseignements (témoins…)

Contrôle atmosphère (altair 4 ou détecteur CO)

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4
Q

Personne menacée de noyade - conduite à tenir ?

A

Réalisation de sauvetage uniquement sur personnes vivants car action dangereuse. Attention aussi au risque d’hydrocution
Facteur essentiel: RAPIDITÉ

si en surface:

Lancer bouée ou corde 
Tendre une perche 
Opérer à la nage sauveteur amarré 
Utiliser une embarcation 
Demander moyen: SIS

Si sous l’eau rechercher à l’aplomb puis en aval:

Sonder à l’aide d’une gaffe
Rechercher en apnée par un sauveteur amarré

Si utilisation embarcation:

Personnel strictement nécessaire
Alléger autant que possible l’équipement indiv
Équipée personnel de gilet de sauvetage
Par temps froid utiliser les échelles pour augmenter la portance

Si véhicule tombé à l’eau:

Faire préciser le nombre de pers par des témoins
Plonger pour dégager les victimes dans le véhicule
Puis rechercher en aval les victimes emporter par le courant

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5
Q

Personne tombé en profondeur - quel est le risque pour le sauveteur ?

A

Une chute pendant la progression liée à un problème matériel

Une asphyxie due à la méconnaissance du milieu

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6
Q

Risque d’explosion - quels sont les seuils de ruptures des différentes bouteilles de gaz ?

A

O2 = 350C
GPL et CO2 = 100
C
Acétylène = LCPP si TC sup à 65C

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7
Q

Risque électrique - expliquer la tension de pas.

A

C’est la différence de potentiel qui s’établit entre les pieds, qui est d’autant plus importante que l’écartement est grand et qu’il se fait près du point de contact

Distance de sécurité est de 10m minimum

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8
Q

Manœuvre de force - avant la manœuvre, il faut ?

A

Estimer le poids des masses à déplacer

S’assurer que les moyens sont adaptés

Vérifier le bon état du matériel

Installer les engins sur une base solide

Sur la charge à déplacer, choisir un point d’application robuste

Assurer la sécurité du personnel

Établir un périmètre de sécurité par les forces de l’ordre

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9
Q

Manœuvre de force - pendant la manœuvre, il faut ?

A

Ne jamais se placer sous la charge

Ne pas s’approcher plus que nécessaire des câbles en tension

Attention aux mains

Agir avec calme, sans précipitation

Faire suivre le calage au fur et à mesure

Utiliser les appareils, engins et agrès que dans les conditions prévus à leur emploi

Personnel strictement nécessaire

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10
Q

personne ensevelie: la difficulté est accrue par:

A
  • l’ensevelissement simultané de plusieurs personnes
  • l’impossibilité pour les victimes de manifester leur présence
  • le risque de décès pour les personnes ensevelies par:
  • asphyxie dans des volumes clos
  • absence de soins
  • écrasement des membres
  • privation d’aliments
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11
Q

Lors d’une recherche de personnes ensevelie, il faut:

A

-procéder à une enquête de voisinage afin d’obtenir des renseignements sur le recensement de personnes potentiels

  • procéder selon la chronologie d’une opération de sauvetages et de déblaiement:
  • recherche de victimes en surface
  • recherche dans les parties peu endommagés
  • recherche approfondie et localiser des victimes non visibles
  • l’enlèvement sélectionné puis généralisé des décombres
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12
Q

Pendant les opérations de recherche de personne ensevelie, il faut:

A
  • demander les moyens RSMU adaptés
  • utiliser les moyens de localisation de victimes (detecteur acoustique, cyno)
  • n’engager que le minimum de personnel, qu’après s’être assuré de la coupure des fluides
  • dans la zone de recherche ou dans la zone de sauvetages, étayer et ou consolider les parties menaçantes.
  • amarrer le personnel effectuant les missions de recherches, de dégagements, ou d’explorations, en restant vigilants sur la présence de sols meubles
  • garder à l’esprit qu’il peut s’être former des poches d’atmosphères explosifs ou inflammables

si des troués sont faites pour accéder aux victimes, prendre gardes aux chocs répétés qui peuvent causer de nouveaux éboulements

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13
Q

Pendant l’opération d’une personne tombée en profondeur, il faut :

A
  • engager que le personnel strictement nécessaire
  • amarrer les sauveteurs
  • ari coiffé pour les sauveteurs tant que le caractère respirable du milieu n’est pas établi
  • si l’atmosphère est explosive, ventiler l’excavation et prendre toutes les mesures pour éviter l’apparition d’un facteur déclenchant une explosion
  • pendant toute la durée de l’opération, garder la liaison entre les sauveteurs et le personnel en surface
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14
Q

Dans tout les cas, l’organisation du chantier pour une personne ensevelie impose:

A
  • d’éloigner les curieux hors d’un large périmètre ce qui nécessite un service d’ordre important
  • d’exiger le silence en toute circonstances
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15
Q

Les circonstances d’un accidents liés aux ascenseurs sont :

A
  • personne bloquée dans la cabine (personne vulnérable ou bloqué)
  • personne bloquée dans la cabine par un objet
  • personne blessée dans la cabine suite à une chute de la cabine
  • personne coincée entre la cabine et la gaine
  • personne tombée dans la gaine
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16
Q

Avant toute action sur l’ascenseur, il faut :

A
  • recueillir un maximum d’informations
  • localiser la machinerie (y laisser un personnel)
  • coupée l’alimentation moteur
  • rassurer les personnes dans la cabine
  • s’assurer que les portes palières soient bien fermées
  • demander les moyens nécessaires (police, CD)
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17
Q

En fin d’intervention sur l’ascenseur, il faut :

A
  • s’assurer que les portes palières soient bien fermées et verrouillées
  • laisser l’ascenseur hors service
  • préciser a une personne qualifiés que la société doit venir réparer l’ascenseur
18
Q

Les circonstances d’une personne menacée de noyade sont :

A

Un accident sportif ou de loisirs ( chute, fatigue)
Un acte volontaire ou malveillant
Un véhicule tombé à l’eau
Une inondations

18
Q

Les types d’accidents possibles pour une personnes menacées de noyade sont :

A

ERP flottant menaçant de couler ou ayant sombré

Collision entre plusieurs bateaux ou ouvrage d’art

19
Q

Les risques des interventions pour personnes menaçants de se noyer sont :

A
  • difficultés pour les intervenants terrestres d’effectuer les sauvetages et mises en sécurité
  • survie brèves liées aux conditions climatiques
  • dispersion des victimes liées a la force du courant
  • visibilité réduites et localisation difficile des victimes
  • incapacité des sauveteurs terrestres
  • nombre de victimes potentiellement élevé et impossible à connaître
  • sur attentat
20
Q

Les 3 premières actions à mener pour une intervention à caractères aquatiques sont :

A
  • sauvetages rapide de toutes les victimes visibles
  • prise en charge des victimes
  • recherche des corps
21
Q

Lors d’un accident de la circulation, pour les victimes le risque principale réside dans l’aggravation de leurs états :

A
  • leurs blessures
  • un sur accidents
  • la survenue de blessures supplémentaires lors de leur dégagement
  • de brûlures
22
Q

Lors d’accident de la circulation, le risque pour les sauveteurs sont :

A
  • coupures sur les tôles acérées
  • la réalisation des manœuvres de forces
  • un sur accident
  • un déclenchement intempestifs des dispositifs pyrotechniques (airbags)
  • un choc électrique lors de la coupure des câbles de courant de traction sur les véhicules électrique/hybride
  • un emballement thermique d’une batterie sur traction
23
Q

L’intervention d’un accident de la circulation comprend 2 aspects distincts traités simultanément :

A
  • l’action sur les victimes

- l’action sur le véhicules

24
Q

Les facteurs essentiels pour un accident de la circulation sont :

A
  • la rapidité d’intervention
  • l’emploi des moyens et procédé convenables
  • le respect des mesures de sécurité
  • le balisage en amont et en aval pour éviter le sur accident
25
Q

La MGO SR comprend :

A
  • la sécurisation de l’intervention (balisage, ÉPI, extincteur)
  • la sécurisation du véhicule ( 4i = identifier, inspecter, interdire, intervenir)
  • l’aborde de la ou des victimes
  • la recherche d’éventuelle victime éjecté
  • la demande de moyens
  • la désincarcération
  • la cueillette et l’évaluation
26
Q

Combien existe t’il de dispositif anti intrusion à fumigène sur le secteur brigade depuis 2002 ?

A

Environ 1000 systèmes

27
Q

Expliquer le fonctionnement d’un dispositif anti intrusion ?

A

Lors d’une effraction, un appareil producteur de fumée froide propulsé en 1min 600m3 de fumée froide blanche et mentholée puis alterne des séquences d’enfumage de 5sec toutes les 15 sec
Le cycle complet dure 7 min
Ce système est auto alimenté et ne peut être mis à l’arrêt sans un code spécial

28
Q

Quels sont les risques du dispositif anti intrusion à fumigène ?

A

Elle est non toxiques mais peut générer des irritations de la peau et des yeux

29
Q

Qu’est ce que le réseau climespace ?

A

Elle assure la production et la distribution de la climatisation centralisée sur la capitale

31
Q

Combien compte t’il de sites le réseau climespace ?

A

Il y a 6 sites de production, d’un réseau de distribution de 58 kilomètres et de plusieurs sous station

32
Q

tableau du courant electrique

A
TRÈS BASSE TENSION (TBT)
T ≤ 50 (courant alternatif)
T ≤ 120 ( courant continu)
BASSE TENSION (BT)
50 < T ≤ 1 000 (courant alternatif)
120 < T ≤ 1500 (courant continu)
HAUTE TENSION (HT)
T > 1 000 (courant alternatif)
T > 1 500 (courant continu)
33
Q

citer la MGO NRBC ?

A
  • recherche de renseignement
  • protection du personnel intervenant
  • sauvetage/ évacuation/ mise à l’abri de la population
  • périmètre de sécurité réflexe (50m SP; 100m pop; 500m risque d’explosion; ajouter 300m dans le sens du vent si vent fort)
  • détection d’alerte
34
Q

quel est le but des manœuvres de force ?

A
  • de modifier la position d’un fardeau

- d’en assurer le déplacement éventuellement

35
Q

pour préparer et diriger une manœuvre de force, il faut :

A
  • étudier sur place la manière de procéder
  • déterminer les besoins en personnel et en matériel
  • articuler l’emploi du personnel et du matériel au cours des différentes phases de la manœuvre, de manière à éviter les encombrements et le désordre
  • assurer la sécurité du personnel et le bon emploi des matériels
36
Q

le risque d’explosion peut être généré par la présence:

A
  • un gaz combustible ou de vapeurs de liquides inflammables dont la concentration se situe dans la plage d’explosibilité
  • de poussières en suspension dans l’air
  • de produits explosifs par nature
    d’un récipients ou d’une conduite sous pression
37
Q

l’explosion peut être déclenchée par :

A
  • une source externe (étincelle, flamme)
  • un échauffement trop important (surpression)
  • un refroidissement trop rapide (choc thermique)
  • un choc mécanique
  • un apport brusque de comburant
38
Q

l’intervention pour un risque d’explosion consiste à:

A
  • reconnaître le risque
  • protéger l’environnement
  • supprimer le risque
39
Q

en présence de bouteille de gaz, il faut :

A
  • éviter toute action mécanique ou thermique brutale
  • ne pas négliger le risque de “BLEVE” pour les bouteilles de GPL
  • ne pas négliger le risque de combustion interne qui existe avec l’acétylène
40
Q

installation basse tension: Cette manoeuvre sera effectuée par un porte-lance aguerri, qui doit :

A
  • manœuvrer dans un premier temps la lance dans une direction non dangereuse, puis diriger le jet avec précaution sur les pièces sous tension
  • procéder par gestes lents et précis
  • reculer à la moindre sensation de picotement
  • faire attention au risque d’électrisation : éviter de marcher dans les eaux de ruissellement, qui peuvent conduire le courant
  • rester vigilant vis-à-vis des pièces métalliques avoisinantes (rambardes, canalisations, fils volants, etc.)
41
Q

INTERVENTION NRBC : La marche générale des opérations face aux risques technologiques se divise en deux phases :

A
  • une phase réflexe, du ressort des premiers intervenants non spécialistes, constituée de plusieurs étapes ;
  • une phase dite réfléchie, dévolue aux intervenants spécialisés.