1-25 Flashcards
1) L’imaginaire collectif, c’est :
a) L’ensemble des normes, des représentations, des symboles(…) qui nous donnent l’impression de vivre dans un monde commun, mais c’est aussi la réalité de chaque individu et c’est enfin la capacité d’un individu à imposer une réalité commune.
b) L’ensemble des normes, des représentations, des symboles ( ..) qui donnent l’impression de vivre dans un monde commun ; c’est aussi notre réalité commune et c’est enfin la capacité du social à faire « Etre » une réalité commune.
c) L’ensemble des normes, des habitudes, des attitudes et des comportements qui donnent à chaque individu l’impression de vivre dans des mondes séparés : mais c’est aussi notre réalité commune et c’est enfin la capacité du social à créer des liens entre les mondes des individus.
d) L’ensemble des normes, des représentations, symboles, des valeurs et des images véhiculées par les opinions purement politiques des individus qui composent une société donnée.
L’ensemble des normes, des représentations, des symboles ( ..) qui donnent l’impression de vivre dans un monde commun ; c’est aussi notre réalité commune et c’est enfin la capacité du social à faire « Etre » une réalité commune.
2) La neutralité axiologique renvoie à :
a) L’adoption d’un regard normatif au sein de sa réflexion.
b) L’étude de ce qui devrait être plutôt que ce qui est.
c) La suspension de tout jugement de valeur au sein de sa réflexion.
d) L’inclusion de jugements de valeurs au sein de sa réflexion.
la suspension de tout jugement de valeur au sein de sa réflexion
3) La légitimité, c’est :
a) La capacité d’un acteur A d’amener un acteur B à faire quelque chose qu’il n’aurait pas effectué autrement.
b) La reconnaissance accordée à celui qui exerce un pouvoir autrement de l’acquisition de fait qu’il est normal, naturel, juste souhaitable qu’un individu donne des ordres et prescrive des comportements.
c) Un ensemble de connaissance et de normes que les individus intègrent et auxquels ils se soumettent pour se conformer spontanément à ce qu’ils considèrent comme normal.
d) Un phénomène d’autocontrôle généré par l’intériorisation de contraintes extérieurs étatiques.
b) La reconnaissance accordée à celui qui exerce un pouvoir autrement de l’acquisition de fait qu’il est normal, naturel, juste souhaitable qu’un individu donne des ordres et prescrive des comportements.
4) Selon Max Weber, l’état est une entreprise ……………. De type institutionnel, quand et tant que sa direction ……….. revendique …….. succès, dans l’application des règlements, le monopole de sa contrainte physique légitime.
a) Politique/ administrative / sans.
b) Administrative/ politique / avec.
c) Politique/ administrative / avec.
d) Administrative / politique / sans.
politique - administrative - avec
5) Si, au lieu de comprendre d’où viennent les coutumes, les rites et les pratiques d’une société, nous nous posons la question de leur utilité, alors nous adoptons une démarche :
a) Historiciste
b) Structuraliste
c) Rationaliste
d) Fonctionnaliste
fonctionnaliste
6) Le bicaméralisme :
a) Est l’objet d’une tendance en augmentation depuis la Seconde Guerre Mondiale. (monocaméralisme, pas bicaméralisme)
b) Est particulièrement important dans les états fédéraux.
c) Permet une prise de décision en matière législative plus rapide que dans une structure monocaméralisme.
d) Diminue le contrôle du pouvoir législatif sur le gouvernement.
est particulièrement important dans les états fédéraux
7) L’imaginaire, c’est la capacité du social :
a) À faire être une réalité commune.
b) À produire un monde inconscient.
c) À obéir à l’Etat.
d) À guérir le pouvoir.
a faire être une réalité commune
8) Qu’est-ce qu’un concept normatif ?
a) Un concept dont le contenu n’est pas lié à un jugement de valeur et à une norme.
b) Un concept utilisé uniquement en droit et en science politique.
c) Un concept qui relie sans ambiguïté un principe théorique à un phénomène social.
d) Un concept dont le contenu est lié à un jugement de valeur et à une norme.
d) Un concept dont le contenu est lié à un jugement de valeur et à une norme.
9) Parmi les types de légitimité définis par Weber, on retrouve :
a) La légitimité émotionnelle.
b) La légitimité charismatique.
c) La légitimité géographique.
d) La légitimité intellectuelle.
charismatique
10) Selon Max Weber, le « monopole de la violence physique légitime » détenu par l’état désigne :
a) La source du « droit » à la violence.
b) Le recours légitimé à la force.
c) Une concentration des moyens de coercition ( forces armées et policières, prisons, armes..)
d) Le déni pour tout individu de se faire justice lui-même.
e) Toutes
toutes
11) Les discours idéologiques se distinguent des discours scientifiques :
a) Dans la mesure où ils ne prétendent pas détenir la vérité.
b) Parce qu’ils sont imprégnés d’énoncés falsifiables.
c) Parce qu’ils sont imprégnés d’énoncés infalsifiables.
d) Dans la mesure où ils n’essayent pas de comprendre le monde qui nous entoure.
c) parce qu’ils sont imprégnés d’énoncés infalsifiables
12) Laquelle de ces méthodes de répartition des sièges n’est pas une méthode par quotient ?
a) Hare
b) Imperiali
c) D’hondt (diviseur)
d) Dropp
d’hondt
13) Une société autonome est :
a) Une société qui assume collectivement le fait qu’elle ne peut pas toujours être la cause de son devenir.
b) Une société qui n’est pas consciente de son imaginaire mais qui assume son rôle dans l’existence de celui-ci.
c) Une société qui peut trouver sa raison d’être dans certaines formes immanentes d’autorité.
d) Une société qui se donne elle-même sa propre loi explicitement.
une société qui se donne elle-même sa propre loi explicitement
14) Appliquer une démarche scientifique en sciences humaines, c’est considérer :
a) Que la frontière entre le savoir et l’opinion est ténue dans la mesure où le savoir est le fruit d’un travail rigoureux obéissant à certaines règles et s’inspirant des opinions pouvant être partagées dans la société.
b) Que la limite entre le savoir et l’opinion n’est pas toujours claire car le savoir est le fruit d’un travail collectif alors que l’opinion se construit souvent individuellement.
c) Qu’il existe une différence très forte entre le savoir et l’opinion : le savoir est le fruit d’un travail rigoureux qui obéit à des règles, l’opinion est le point de vue de quelqu’un sur un sujet donné.
d) Que la frontière entre le savoir et l’opinion est très forte car le savoir est construit et détenu par une petite partie de la société alors que l’opinion est une faculté pour tout individu de se construire son point de vue.
qu’il existe une différence très forte entre le savoir et l’opinion : le savoir est le fruit d’un travail rigoureux qui obéit à des règles, l’opinion est le point de vue de quelqu’un sur un sujet donné
15) Définie par Weber, la légitimité rationnelle-légale :
a) S’inscrit dans la répartition de cycles, dans les pratiques consolidées au cours de l’histoire.
b) Repose sur des règles juridiques auxquelles dominés et dominants sont soumis.
c) Se construit autour de la personnalité de celui qui prétend incarner le pouvoir.
d) S’institue autour d’un « méta-niveau inviolable » (le roi pour les monarchies, la religion pour la théocraties, le leader pour les régimes autoritaires).
repose sur des règles juridiques auxquelles dominés et dominants sont soumis