VRAI/FAUX Flashcards
Selon l’approche BÉHAVIORISTE résoudre un problème revient à sélectionner parmi un ensemble de comportements ceux qui sont les plus adaptés.
Vrai
p.37
L’analyse de l’espace problème et de l’espace de recherche permettent à un sujet novice de résoudre un nouveau problème par transfert analogique.
FAUX
(p.43 et 44)
La notion d’espace de recherche ne permet pas de résoudre le problème et aucun sujet en situation de résolution de problème ne construit la combinatoire de tous les états possibles
Selon Greeno, la résolution de problèmes d’INDUCTION requiert essentiellement la mise en oeuvre de capacités de planification fondées sur des heuristiques.
FAUX
(p.43)
Elle requière essentiellement la capacité à faire des inférences et des mises en relation.
Le jeu d’échec est à la fois un problème de transformation et un problème d’arrangement.
Vrai
(p.43)
Elle requière essentiellement la capacité à faire des inférences et des mises en relations.
Une contrainte est une restriction sur un ensemble d’action. Grâce à cette approche il est possible d’exprimer différentes composante de la situation problème et de modéliser une partie du processus de résolution des sujets (Richard, Poitrenaud, Tijus, 1993)
Vrai
p.72
Dans la résolution de la tour de Hanoi, le modèle ACT-R (Anderson, 1993) prédit que le temps pour réaliser un mouvement dépend du nombre de sous-buts à construire.
Vrai
p.71
L’activité de résolution de problèmes est comparable à celle de l’exécution de la tâche.
FAUX
(p.36)
L’activité de résolution de problème n’est pas comparable à celle de l’exécution d’une tâche parce que la procédure pour exécuter la première n’est pas connue alors qu’elle est dans le cas d’une exécution de tâche.
Dans la classification des types de problèmes - selon type de situations- on oppose les situations dynamiques aux situations statiques.
Vrai
p.41
Lorsque l’on fait passer le problème de la tour d’Hanoï et celui des ascenseurs à des adultes, on observe qu’ils font d’avantage d’actions pour parvenir à la solution dans le problème des ascenseurs (Clément, 1996)
Vrai
p.47
Dans PROBLÈMES DE RÉARRANGEMENT les éléments de la situation doivent être réorganisés pour satisfaire à un ou plusieurs critères. Les éléments peuvent être réorganisés de plusieurs façons, dont seulement quelques-unes, voir une seule en respectant les contraintes proposées.
Vrai
(p.42)
Un exemple typique sont les anagrammes
Un sujet qui ne dispose pas de procédure lui permettant de passer à l’état final mais qui est capable de se construire une interprétation de la situation est en situation d’exécution de tâche et non pas en situation de résolution de problème.
FAUX
Si un sujet même ayant une interprétation de la situation correcte n’est pas en mesure de déployer les procédures lui permettant de passer de l’état initial, il est face à une situation de résolution de problème.
Le transfert analogique consiste à appliquer la procédure d’une situation connue à la situation présente.
Vrai
La compréhension intervient comme composante dans toutes les activités finalisées.
Vrai
Selon Greeno, pour résoudre les PROBLEMES DE TRANSFORMATION le sujet doit mettre en oeuvre des capacités de planification fondées sur des heuristiques
Vrai
Les mécanismes de compréhension s’appliquent à l’unique domaine de la compréhension de texte.
FAUX
Les mécanismes de défenses sont étudiés dans ce cours sous l’angle de la compréhension de textes, mais il ne s’agit pas de l’unique domaine où ces mécanismes s’appliquent.
Selon l’approche gestaltiste résoudre un problème revient à sélectionner le comportement adéquat suite à un apprentissage par insight.
FAUX
Selon l’approche Gestaltiste résoudre un problème, ce n’est pas sélectionner le comportement adéquat mais construire de nouvelles relations entre les éléments de la situation.
Particulariser les variables d’un schéma signifie identifier qu’il doit être modifié pour correspondre à un nouveau schéma.
FAUX
Particulariser les variables d’un schéma signifie les remplacer par les éléments particuliers correspondant à la situation courante.
Dans les problèmes mal définis, l’imprécision de l’information peut porter sur l’état initial, sur l’état final, ou bien sur les actions licites.
Vrai
Il existe plusieurs formes de schémas de récit, dont par exemple les scripts.
Vrai
Un script est une forme de schéma exprimant la structure générale d’une classe d’actions ou d’événements.
Un des premier à avoir exploré la notion de schéma pour désigner la structure canonique du récit est Kintsch (1976)
FAUX
Un des premiers à voir exploré la notion de schéma pour désigner la structure canonique du récit est Bartlett (1932)
Il existe 3 objectifs dans la lecture de texte : (1) à seule fin de prendre connaissance de son contenu comme dans la lecture de roman, (2) pour accroître nos connaissances comme dans le cas de la lecture d’un cours ou (3) dans le but de savoir comment agir dans une situation particulière, avec la lecture de notice par exemple.
Vrai
Le déroulement chronologique, les relations spatiales et les relations causales sont 3 dimensions intervenant dans les modèles de situation.
Vrai
Un lecteur est capable de faire toutes les inférences possibles dans une narration.
FAUX
Un lecteur ne peut pas faire toutes les inférences possibles, sinon la lecture deviendrait bien trop coûteuse d’un point de vue cognitif. Il se limite aux seules inférences nécessaires pour assurer la cohérence locale de la représentation du texte ou celles qui reposent sur des connaissances facilement accessibles
La disponibilité de l’information en mémoire à court terme n’influence absolument pas
le déclenchement des inférences.
FAUX
La disponibilité de l’information en mémoire à court terme est un des principaux facteurs de déclenchement des inférences.
Lors de la construction de la représentation globale d’un texte, la construction d’une nouvelle proposition est un des mécanismes de réduction de l’information qui permet de
maintenir la quantité d’information à traiter dans des limites raisonnables.
Vrai
Tout à fait, il s’agit de construire une nouvelle proposition exprimant le résultat de toutes les actions contenues dans un ensemble de propositions. Il s’agit bien d’un processus de réduction d’information.
Parmi les inférences, certaines sont automatiques. Leur déclenchement ne dépend pas des buts du lecteur et elles ont essentiellement le rôle d’assurer le lien entre deux phrases. On les nomme les inférences de liaison.
Vrai
Au moment de la lecture, lorsque le lecteur rétablit des informations omises dans une narration, il réalise ce qu’on appelle des inférences.
Vrai
Les scripts ont 2 fonctions : (1) interpréter les éléments du texte en leur affectant une place dans le script et (2) résumer le texte.
FAUX
Les scripts ont trois fonctions : (1) interpréter les éléments du texte en leur affectant une place dans le script, (2) faire des inférences sur les informations manquantes, (3) et résumer le texte en intégrant les informations dans une signification plus générale.
Une caractéristique importante des modèles situationnels est qu’ils consistent en une représentation statique de la situation où aucune mise à jour des informations n’est possible.
FAUX
Les modèles situationnels sont dynamiques car il est possible faire des inférences à partir de la situation et de mettre à jour les informations contenues dans la représentation en fonction des informations nouvelles.
Dans une tâche de rappel après la lecture d’un texte, la forme littérale de ce dernier est presque toujours rappelée.
FAUX
La forme littérale n’est jamais rappelée, seul un schema du texte représentant la structure canonique.