Victimologie Flashcards

1
Q

TSPT, trouble stress post traumatique.
Déclencheurs traumatiques.

A
  • Événement de vie adverse qui crée une réaction physique et psycho extrême et que la personne ait de la difficulté à la surpasser. (trauma égale pas TPST.)
  • État de Stress Post-Traumatique (ESPT) : Trouble psychique après exposition à événement traumatique. a) Intrustion, reviviscence, b) évitement, c) réaction ou activation physiologique, d) altération négative de l’humeur.
    🎃Déclencheurs traumatiques : Élément interne ou extener qui provoque réponse émotionnelle, physique ou cognitive.
  • Déclencheur rappelle évènements trauma qui remet enfant en mode survie et l’amène à utiliser ses stratégies.
  • ex déclencheurs : auditif, visuels, odeurs, toucher, sensation.
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1
Q

Cours 1 - Les trois E des traumas.

A
  1. Événement. Menace, réelle ou extrême, préjudice ou négligence.
  2. Expérience de l’événement. Crée des états internets douloureux (honte, confusion etc)
  3. Effet. Incapacité donner sens à expérience, faire face à la vie, trouble cognitifs, difficultés gérer émotions, sensations physiques etc.
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2
Q

Constats recherche ESPT

A
  • Plusieurs événements perturbateurs pour enfant concorde pas avec définition DSM pour événement traumatique.
  • Prend pas en compte impact trauma multiples.
  • Considère pas effets trauma selon diff stades développement enfant et ado (ex. si casse pied a 2 ans, effet peuvent toujours rester vs à 15 ans pied se répare)
  • Développement jeune dépend qualité des relations interpersonnelles avec donneur de soin, sentiment de sécurité émotionnelle, cognitive et physique.
  • Jeunes ont ressources limités face au danger
  • Trauma a un impact sur le développement.
  • Pas un avant-après trauma. Pas de repere normale. Ce qui est normal, c’est le danger. Si enfant abusé toute sa vie, il n’y a pas de retour à la normal.
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3
Q

Trauma complexe. Terminologie.

A

🎃trauma complexe : ensemble séquelles développement liées a expérience qui : 1. Interpersonnelles (trahison), 2. Répétés ou prolongées, 3. Arrive à période vulnérables développement.
🎃Terminologie : Trauma complexe (OMS europe) VS Canada et USA. Trauma complexe (diag OMS, se battre pour avoir le diag) VS trouble du trauma développemental. (similaire, mais répond au besoin de rendre diag + facile.). Trouble stress post-traumatique (existe au deux).

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4
Q

% expérience traumatisante interpersonnelle avant 18 ans. Quelles évenements post-traumatique le + vécus?. Taux auteur de délit,

A

🎃Étude. 10 expériences évalutés (abus, négligence, disfonction p.16)
- Résultat : 64% au moins une. Si en rapporte un, risque d’avoir eu une deuxième sont de 87% et +.
- 4 ACES et + sont lié quand adulte : 1. 2x + fumeur, 2. 7x + alcoolique, 3. 1200% + tentative suicide, 4. 400% + bronchites, 5. + cancer et maladie chronique.
- 6 ACES = réduction espérance de vie de 20 ans.
🎃Événement post-traumatique + vécu : (jeunes de 14-17 ans et CR).
- 62% abus physique, - 68% abus psychologique, - 38% abus sexuel, -55% Négligence physique, - 59% Négligence psychologique.
- 83% déclaré au moins une forme, - 76% 2 ou +, - 64% 3 ou +, - 40% 4 ou +, - 19% les 5 types.
- Pourtant, les raisons de prise en charge des jeunes étaients très peu relié au trauma vécus. 83% pour trouble comportement, 26% négligence, 5% abus sex. 5% abandon etc. DONc plusieurs jeunes victime violence sans que dévoilés aux autorité.`
2,4% TSPT Canda. (9,2% à vie)
🎃 Baglivio & Epps évalué coocurence événements vie adverse chez jeunes judiciarisés. - 3% gars et 2% filles aucunes type abus ou négligence. - Pour jeune vécu au moins 1 adversité, 67,5% ont rapporté avoir été exposé à + de 4 autres expérience de vie adverse.

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5
Q

Pour approche sensible au trauma en crimino ? Diagnostics erronés et étiquetage. Prévenir réactivation traumas.

A

🎃Diags pouvant pas être discerné des adaptations post-traumatiques inclus : TDAH, trouble conduite chez enfant, trouble explosif intermittents, trouble oppositionel provocant, - TPL et antisociale. (Si fait traitement pour le problème mais que c’est pas ça, ca marchera pas)
🎃Prévenir réactivation : 1. éviter mesures particulières, 2. fier aux interventions efficaces, 3. intervenir sur facteurs propices dév et bien-être des jeunes, 4. protéger professionnels, 5. pas individualiser le blame du trauma.

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6
Q

Les différentes séquelles du trauma complexe : Attachements et biologies.

A

🎃Attachement (baser selon le donneur de soin) : 1. Sécure, 2. Évitant, 3. Ambivalent (veut etre avec toi, se regule selon tes émotions, dépendant affectif. Réaction a donneur de soin pas sécure.), 4. Désorganisé (entre les deux, peur et réconfort).
- Type d’attachement shape comment on voit le monde.
- Cercle sécurité (p.30). Base sécurité et zone de confort, doit être dispo mais aussi proteger et réconforter. Permet d’encourager l’exploration. Donne de l’aide etc, donc quand besoin de protection va voir le donneur de soin.
- Ado : Point tournant dans relation attachement. Distanciation. Autonomisation et puberté. Place au réseau de pairs.
- Trauma et attachement : Victime maltraitance et négligence + risque attachement insécure. - Parent jeune maltraité double role, peur et réconfort. - Jeunes internalisent modèle négatif si figure d’attachement est source d’abus.
- Signaux : Voit monde comme dangereux. Se sent insécure et vulnérable, dépendant des autres. Évite contact, alterne mode relationnel, agit confuse et désorganisée. Problème discerner états émotifs.
🎃Biologie : - cerveau enfant négligé cortex frontal presque pas fait.
- Face à danger, cerveau et corps agissent ensemble pour nous garder en vie. Quand alarme déclenche, cerveau scanne environnement pour voir si danger réel ou non.
- Si oui : “cerveau aggisant” prend dessus, donne corps carburant pour battre. “Cerveau pensant” s’arrête. Réponse au danger (combattre, fuir, s’immobiliser)
🎈- Exposition chronique au danger : système d’alarme suractif. “Cerveau pensant” évalue pu si danger réel, “cerveau agissant” prend le dessus. L’énergie qui vient avec réponse au danger est utile si vrai danger, mais cause dérégulation émotions et comportements si fausse alerte.
- Cerveau mode apprentissage VS mode survie (p.39). Survie en dernier, cognition et apprentissage en premier et gros. Inverse pour survie. Donc si enfant est agité, il apprend rien.
- Signaux (p.40) : hyperviligance, fuir, problème coordination etc.

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7
Q

Les différentes séquelles du trauma complexe : Gestion du comportements, cognition,

A

🎃- Schémas de réactions automatiques et inconscients face à déclencheurs traumatiques. (pipi au lit quand peur), - Tente de contrôler ou contrôle environnement et rester en sécurité. - Tentative évité expérience intolérables, - Tentative proximité pour ressentir connexion relationnelle. - Tentative diminuer détresse interne.
- Signaux : impulsivité, comportements autodestructeur, trouble sommeil, peu controle, etc.
🎃Cognition : mémoire du travail, attention sélective, flexibilité cognitive, capacité d’inhibition. Fonctions permettent de résoudre problèmes du quotidien. Se développe de l’enfance à l’âge adulte.
- Problèmes cognitifs et d’apprentissage : capacité moindre au niveau l’attention, mémoire et planification. (impact apprentissage scolaire). Habileté moindre de résolution de problèmes.
- Signaux : difficile moduler attention, inhiber comportements, gérer info, planifier etc.

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8
Q

Les différentes séquelles du trauma complexe : Dissociation, émotion et régulation

A

🎃Dissociation : processus ou les pensés, émotions, mémoire, comportement et sensation se déconnecte. Stratégie est un moyen de protection, défense (quand peut pas fuir).
- p.47 diag. après freeze, flight or fight qui sont de l’hypervigilance, frayeur, engourdissement et évanouissement. Sont tous de la dissociation.
- tout le monde dissocie un minimum, ça c’est quand c’est problématique.
- p.48 signaux : altération état conscience, amnésie, 2 états conscience distincts etc.
🎃Émotion et régulation : figure de soin va : libeller émotion et valider, coréguler, montrer réactions adéquates, enseigner stratégies.
- Enfant négligé + difficulté discriminé expressions émotionnelles, enfant maltraités physiquement perçoit + de visage en colère, enfants de controle (“normal”) ont + vu les différences. (p.50)
- Quoi faire ? a) Défi complexe : 1. Identification (sensation vs déclencheur), 2. Modulation (fausses alarmes et peu stratégies). b) Moyens externe de retrouver sécurité interne : consommation alcool et drogue, trouble alimentaire, conduite sexuelle à risque, jeux vidéos etc.
- Signaux : difficile nommer émotions, pas trouver mots pour nommer émotions, difficle décrire états interne, déconnecté expérience émotives etc. p.53

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9
Q

Les différentes séquelles du trauma complexe : Concepts de soi.

A

🎃Concept de soi : 1. Soi unique, 2. positif, 3. futur, 4. cohérent (meme personne avec la meme compréhension, qu’importe le contexte.)
- Impact trauma sur l’identité : 1. Limite exploration au profit sécurité personnelle. pas d’exploration = pas possible découvrir qui ils sont, ce qu’ils aiments ou veulent. 2. Avoir été rejeté, blessé, ignoré amène l’enfant à intérioriser perception de soi négative. 3. Éléments du passé font intrustion sous forme de flashback. État survie par système réponse au stress limite capacité de projection dans avenir moyen à long terme. 4. Identité pas toujours cohérente. 1 identité pour chaque contexte, et communiquent pas entre elles.
- Signaux : absence soi stable, soi comparimenté, honte, etc.

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10
Q

Acceptation et autochtones.

A

🎃Doit accepter qu’interventions peuvent être traumatisante. Nos institutions reproduise les traumas si on les guérie pas. Trauma d’une personne peut être une arme contre elle.
- Graph + femme autochtones prison max. mais pas vraiement + violente femme autochtones, beaucoup s’autoraporte sans l’être pour avoir une “moins grosse peine”.
🎃Critique autochtones : humanisme colons peut être génocidaire, pareil pour prendre les enfants. Programmes basé sur nos techniques peuvent blessé autochtones.
🎃- Trauma décontextualisé chez une personne au fil du temps peut ressembler à une personnalité. (tpl, antisociale.)
- Trauma décontext. dans une famille peut ressembler à traits familliaux.
- Trauma dexontext. chez un peuple peut ressembler à une culture.

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11
Q

Cours 2 - Qu’est ce que victimo ?

A

🎃 Selon Cario : discipline ayant pour objet l’analyse globale des victimisations, sous leur dimensions individuelle et sociales, dans leur émergence, conséquences etc pour favoriser la prévention et la réparation.
🎃 Victimologie est un grand champ. Englobe : 1. Réactions sociales, médias, préventions et sensibilisation, 2. Système justice pénale, 3. Services santé et commun, 4. recherche théorie, 5. Activisme pro-victime.
🎃Qu’est ce qu’on étudie en victimo ? :
- Étude des blessures physique, émotionnelle et financières dont victimes souffre à cause d’activité criminelle.
- Sort de la victime (impact des blessures)
- Réactions des milieux publics, politiques, économique à victimisation
- Comment victimes sont pris en charge et traité dans justice pénale
— Développement différentes interventions et évaluer efficacité ! (beaucoup de programme, mais d’évaluation pour s’assurer qu’ils marchent)

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12
Q

Perceptions victimes, qu’est ce qu’une victime ? Définition de l’ONU de 1985. Victime selon loi sur aide victimes actes criminel QC et charte canadienne.

A

🎃 Perception victime différente si jeune fille vs immigrante se fait violée.
- La victime idéale est 1. Vulnérable, 2. Mène activité respectable quand victimisation, 3. Victime d’un inconnu.
- Mauvaise victime suscite - d’empathie.
🎃Qu’est ce qu’une victime ? 1495 : victimia, offrande à dieu. 1536 : Jésus. 1660 : personne mise à mort, torturé et grièvement blessé. 1782 : Personne subit haine, tourments, injustices de quelqu’un.
- Aujourd’hui, + grand. Divers types de victimes : 1. Victimes indirecte, 2. Victimes secondaires, 3. Victimes des violations des droits de la personne.
🎃Définition ONU : Victime = personne qui individuellement ou collectivement ont subi un préjudice (atteinte intégrité physique, mentale) ou souffrance, ou perte matériel ou atteinte à droit fondamentaux en raison d’acte brisant lois, comprant abus de pouvoir.
- 🎈Considéré victime que l’auteur soit arrêté, trouvé ou NON !! Personne à charge qui ont eu préjudice en intervenant pour aider victimes sont inclus et sont des victimes.
- S’applique à tous, no matter race or gender.
🎃Victime selon loi sur l’aide aux victimes d’actes criminels : Acte commis au QC. subit atteinte à intégrité physique ou psycho ou perte matérielle, auteur identifié ou non. Famille immédiate et proches considérés aussi victimes.
🎃Charte Canadienne droit des victimes : Subi dommages matériels, corporels ou moraux, économiques suite à infraction. (Définition + étroite, inclus pas victimes secondaires)

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13
Q

Avantages et inconvénients définition victime + large ? Pk statut victime est indépendant du processus judiciare ?

A

🎃Définition + large comme celle de l’ONU, possible que gens s’identifie pas comme victimes, même si exposé à acte criminel. On veut pas étiquetter personne comme victime, il y a quelques chose de subjectif avec le mot victime. (on aime pas penser à soi comme étant une victime!)
- Selon Fattah : État victime PAS permanent, mais doit reconnaitre état victime pour se rétablir et devenir un survivant (prof pas d’accord). Mot survivant + optimiste, mais débat qui dit qu’on doit reconnaitre aspect de victime pour bénéficier de services et avancer.
🎃Selon définitions vu, pas obliger de subir procès pour que statut victimes soit reconnu. Mais ces conditions arrivent presque jamais, donc très peu sont reconnu comme victime.
🎃Crime : construit social qui évolue avec le temps. Dépend du pays et de son code criminel (ex. mariage forcé, crime en belgique depuis 1999, au canada depuis 2015.)

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14
Q

Évolution rôle victime dans système pénal. Antiquité

A

🎃Antiquité : Égypte 4000 - JC.
- Demandeurs et défendeurs = même statut.
- Pharaon créait loi et juge appliquait.
- Demandeurs (victimes) et défendeurs (criminel) se présente eux-même et serment de vérité. Victime doit aller devant juge pour avoir justices.
🎃Antiquité : Hébreu 1200 - JC
- 10 commandents, deux parties montre PDV devant juges. (Ex. tu tuera point, commet pas adultère, volera pas, pas faux témoignage, pas convoité femme ou maison des autres)
🎃Antiquité : Jugement roi Salomon
- 2 femmes bébé, un mort né. Se battent pour savoir le bébé est a qui. roi dit qu’il va couper le bébé en 2 égale. Une des femmes renonce à l’enfant plutot que le tuer. Salomon reconnu la vraie mère en elle et lui donna le kid. Salomon reconnu comme une sagesse divine pour rendre la justice.
🎃Droit pénale et civil ne faisaient qu’un !
🎃Vendetta : Vengeance privé. Famille ou clan contrôle relations sociales. Mal et bien. Famille victime peut se venger. Famille criminel est responsable de ses geste. Place à la victime (notion réparation)

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15
Q

Moyen âge : de vendetta a droit étatique. Époque moderne. Époque contemporaine.

A

🎃Vendetta = Menace stabilité communauté après sédentarisation.
- + de controle, donc duel physique remplacé par duel verbal.
- Code d’Hammourabi : Loi du talion. Réciprocité du crime et de la peine.
- Lois des 12 tables : premier corpus de loi romains écrites.
- Âge d’or victime.
*Avantages : au coeur du procès. 1. Role actif, 2. Statuts égaux, 3. Vise indemnisation, 4. Droits aux demandes.
*Responsable de la poursuite : 1. Fardeau de la preuve, 2. Absence de la police et du procurerur, 3. Possible impuissance
- Schafer : Indeminsation des victimes reflete degré d’évolution d’une société. (Exemple actuell : autochtones et indemnisation. Mais en réalité très complexe, doit vivre de la revictimisation ou se rappelle pas de leur victimisation)
🎃Époque moderne : État devient acteur dans système justice, prend la place de la victime.
- Transition objectifs visé par justice pénale. Passe de réparation des gestes posés = répression comportements de l’accusé et réhabilitation.
- Ajd, encore procureur de la courrone. Victime laissé pour compte, pas dans priorité.
- Abus de pouvoir (tyrannie). État maltraite accusé. Doit protéger individu contre tyrannie de l’état.
- Droit accusé : 1. UK 1215 Magna Carte pour protéger droits accusés. 2. UK 1689 2er charte, Bill of Rights. 3. Ailleurs Europe Beccaria 1764. Punition doit être proportionnelle au crime.
🎃Représentant état tribunal : Procureur de la couronne (procureur poursuites criminelles et pénales)
- responsable de prouver hors tout doute raisonnable que accusé commis acte.
- PAS l’avocat de la victime. Victime = témoin crime contre état. (si meurtre, pas meurtre contre la personne, mais contre la courrone)

16
Q

Droits et responsabilités accusés et victimes, Conclusion sur droits victimes.

A

🎃Droits de l’accusé : 1. Présomption innocence, 2. Droit à procès public et équitable, 3. Protection contre détention arbitraire. 4. Contre châtiments cruelles.
🎃Droits de la victime : 1. Droit de porter plainte (responsabilité), 2. Droit témoigner devant tribunal (responsabilité), 3. Droit protéger sa personne, anonymat, 4. Droit protéger ses biens, 5. Droit demande dédommagement (peu utilisé)
🎃Responsabilité accusé : 1. Doit coopérer avec autorité sinon sanction. 2. Obligé présenter devant cour. 3. Droit de garder silence, MAIS peut volontairement décider de témoigner pour sa défense.
🎃Responsabilité victime : 1. Responsable dénonciation, 2. Doit coopérer avec autorité sinon sanction, 3. Obligé présenter devant cour, 4. Doit répondre au questions
🎃 Conclusion droit victime : Omis de la charte droit et liberté. Aucune droit victime cité ont de force exécutoire. Pas garantie juridique. Pas de directive sur comment faire respecter ses droits.
🎃Droits et besoins des victimes ne sont PAS priorisé!

17
Q

Cours 3 - Naissance victimo. Hentig, Ellenberger, Fattah

A

🎃Vicitmo, dans crimino ou apart ? Fondateurs victimi sont les positivistes.
🎃Commence en 1948, Wertham, Hentig, Mendelsohn.
🐈‍⬛Première victimo : victimologie étiologique (idée que victimo est une maladie avec des facterus et on doit trouver ses facteurs pour comprendre la cause). Premier travaux dans domaine droit et médical.
🐈‍⬛Vise à comprendre relation criminel / victime et participation victime.
🐈‍⬛Victim blaming. Hentig : victime peut contribuer au crime. 13 catégories.
🐈‍⬛Auteur : Mendelsohn, Ellemberger, Fattah, Baril.
🎃Hentig : criminel et victime. Typologies : A. Type généraux victimes, B. Types psychologiques victimes. (Distinction entre personnes née victimes et devenues victimes)
🐈‍⬛Typologie : Certaines caractéristiques peut contribuer à victimisation, elle est un déterminants du crime. (Jeunes, femmes, immigrants, minorité, limité, avare, bourreaux, déprimés etc)
🐈‍⬛Victimisation, par nature (catastrophes, prédateurs, risque naturel), action humaine (autre ou soi-meme, action humaine et science, crime, victimisation)
🎃Ellenberger (1954) : Relations névrotiques et psychobiologiqes caractérisant l’attraction de deux types de personnes (typo Hentig extrême) 1. Criminel-victimes (peut etre victimes et criminel selon circonstances) , 2. Victime latente (Disposition à jouer le role de la victime car sado. Prédispotions générales : victimes nés. Prédispositions spéciales : age, métier, psychopathologiques, situation sociale)
🎃Def victimo selon Fattah (nouveau stade!) Victimologie pénale : Branche de la criminologie s’occupant de la victime directe du crime et désigne l’ensemble des connaissances bio, psychologiques, sociologique, criminologiques sur la victime.
🐈‍⬛Victimo s’intéresse à tout ce qui se rattache a victime, personnalité, traits bio, psycho, moraux. caractéristque socioculturelles, relations avec criminel, role et contribution à la genèse du crime (cette vielle idée reste).
🐈‍⬛Victimo pénale fait partie de crimino, pas séparé.
🐈‍⬛Problème avec axé juste sur pénal, exclut gens incarceré par erreur. C’est donc dépassé.

18
Q

Mendelsohn, schafer.

A

🎃Défi victimo selon Mendlsohn, Victimologie générale : Victimo pas envers crime, couvre sociale, bio, psycho et la souffrance subie est le dénominateur ! Un fléau grave. Victimo science autonome, pas une branche de la crimino.
🐈‍⬛Souffrance subie, dépasse auteur-victime. Si on souffre = victime.
🎃Mendlsohn : père victimo. 1956, publie système de classification qui fait état du degré de responsabilité de la victime.
🐈‍⬛Certains font exprès pour devenir victime. Classer selon degré responsabilité.
🐈‍⬛Notion couple pénal, criminel et victime. L’infracteur initiative déclenchement conflit et victime le subit plus ou moins passivement.
🐈‍⬛5 types : -0% victime idéal (bébé), - 45% victime moindre coupable (par ignorance, femme qui provoque fausse couche), - 90% autant coupable que infractuer (ex. suicide assisté et dame qui l’a légaliser), - 135% + coupable que l’infracteur (provocateur, laisse son sac ouvert), - 180% victime juste coupable (légitime défense).
🐈‍⬛Apporte vision humaniste pour l’époque. Voit que victimo peut jouer role dans prévention du crime et doit étudier victime dans but préventif.
🐈‍⬛Mendlsohn modifie éventuellement son PDV, majorité victimes jouent PAS rôle actif dans leur victimisation.
🐈‍⬛Condition victime = causes bio, psycho, et surtout sociales.
🐈‍⬛+ grand cause est défaut d’intégrations des événements au moment crucial : défaut attention, mauvaise appréhension situation, hasard etc
🐈‍⬛Pu sur victime maintenant, explotation faiblesse est facteur aggravant.
🎃Schafer : Reprend Hentig, rajoute victimes politiques. 7 typologies : 1. aucune lien aggresseur (pas responsabilité), 2. victime provocant (partage), 3. précipite les choses (certain degré), 4. Biologie faible (0 respo), 5. Socialement faible (0 respo), 6. S’autovictimise (plein respo), 7. Victimes politiques (0 respo)

19
Q

Wolgang 1958, Amir, Fattah, mouvement faveur victimes, Elias. Critique

A

🎃Wolgang : 26% homicide, victimes précipité les choses, Victime pas toujours faible.
🎃Amir : Reprend Wolgang et met en lien avec viol. 19% victime précipite les choses. Comportements : accepte et se rétracte, language corporel etc. Alcool, langage, vêtement etc. Conclut que victime vertueuse pas toujours juste.
🎃Fattah 1981 : Victimes innoncente et coupable
🐈‍⬛1) Victimes consciente = Tu fais exprès. a) Victime désireuse (fille 17 qui “incite” majeur a baiser). b) Victime consentante librement (pas résisté).
🐈‍⬛2) Victimes non consentante = provoque mais pas consentante. Histoire madame invite homme a boire café après aide. Il l’a tue, stimuli externe l’a posé.
🐈‍⬛3) Victimes inconscientes : pas fait exprès (enfant)
🐈‍⬛Fattah demande partager peine entre criminel et victimes.
🐈‍⬛Pourquoi faire cette théorie ? 70, lutte contre peine de mort. On veut share la responsabilité. Donc on condamne les victimes. Selon lui, tribunaux doit prendre en considération rôle de victime. (victimes qui collabore a victimisation)
🎃Mouvements faveur victimes (1970) quels sont les catalyseurs du mouvement?
🐈‍⬛ Réflexions valeur société et système pénal, - Abolitionnisme, - Mouvement féministres, - + taux criminalité, - Activisme provictimes (victimologie).
🎃Programmes d’indemnisation (qc, saskatchwan). Victimo s’implante dans uni.
🎃 Bard et Sangrey : Victimes se sentent deja coupable. On a pas étudié problemes. Parle pas du rôle du hasard.
🎃Mouvement femmes :nouvelles explication. Centre d’aide aux victimes. Centre et changement légal.
🎃Définition victimo selon Elias, Victimologie axé sur les droits de la personne : Toute violation des droits de la personnes relève domain victimo. Exclut désatres naturel. Étude scientifique des victimisations causé par violantions droit de la personne.
🎃UN, droit de l’homme évolue. Au QC Loi sur aide au victimes. Cavac ouvre, centre d’aide etc.
🎃Critique : Notion événements précipité par victime. Donnés biasé car rapport police. Montre que femme influencé par psycho et homme par stimuli. (faux). Trauma provoque réaction inattendues.
🎃Étude des victimes étudies le crime et la réaction au crime et a la victimiastion.

20
Q

Comment affaire arrive dans systeme pénale ?

A

🎃1. Présence d’une loi, 2. Action doit être posé, 3. Action visible (role victime, témoin, police.) Signaler effet considérable sur nombre de crime. Police aussi role proactif. Utilise technologie informatique et méthode analyse pour identifier cible criminelle + prioritaire.
🐈‍⬛Role de victime dans visibilité : pour que geste soit défini comme délit, doit être dénoncé. Décision de dénoncer dépend de : valeur, émotion, comment victime voit événement, relation victime agresseur, confiance envers police.
🐈‍⬛Victime doit considéré que réponse pénale sera utile. Raisons pouvant empêcher : sert a rien, victime grise (prostitué etc), pas cru, pas conscience du crime etc.
🎃Stats criminelles : Stats sur délinquants ou nombre infractions donne pas donné systématique. Sauf pour homicide. Enquête victime arrive !
🎃 Criminalité réelle = Criminalité apparente (qu’on peut voir, criminalité légale police et tribunaux) + Criminalité caché (pas découvert).
🎃Création Enquête sociales générales (ESG) : Sondage de victimisation pour mesurer criminalité. Car donné police et délinquance auto-révélé sont limité. 1972 = premier sondage victimiation US. 88 première CAN.
🐈‍⬛ESG 2 buts : 1. But criminologique, recherche criminalité caché. 2. But victimologique : savoir qui est victime de quoi, dans quelles conditions et quelles conséquences. Comprendre pourquoi certains crimes pas dénoncé, et pk certaines victimes portent pas plainte.
🐈‍⬛ESG vise 8 types crimes. Victimisation avec violence : (1. agression sexuelle, 2. vol qualifié, 3. voies de faits.) 4. Vol de bien. Victimisation des ménages (+ commun) : (5. introduction par effraction, 6. vol véhicules moteurs, 7. vol biens du ménager, 8. vandalisme.)
🐈‍⬛Évolution ESG depuis 1988, nouveau thème. ex. nature relation victime et contrvenant, consommation, cyberintimidation, fraude etc. p.17.
🐈‍⬛Québec, victimisation relativement basse et violence et ménages.

21
Q

Chiffres victimisation.

A

🎃19% can victime. Vol de biens est le + rapporté. 1 crime violent sur 6 = stress post-traumatique. Fraude déclaré augmentation.
🐈‍⬛Datin violence égalité : 13%f et 11%h forme violence physique. 31%f et 32% h forme violence psychologique.
🐈‍⬛Age : Plus jeune, + de risque. 15 à 19 ans les + à risque. Consommation weed 4x le risque.
🐈‍⬛Genre : femme double taux homme. Femme 5x aggression sexuelle. Femme + victime incident violent (vol qualifié et voies de fait presque identique homme et femme, c’est l’aggression sexuelle qui penche la bascule.) MAIS stats policière dit que c’Est presque egale homme et femmes les crimes violents.
🐈‍⬛Âge et genre, femme jeune + a risque.
🐈‍⬛ groupe taux victimisation + élévé sont : Jeunes, femmes, bisexeulles, première nations, femme avec une incapacité.
- Effet colonisation. Identité autochtones en soi augmente pas chance d’être victimes. C’est lié a d’autre facteurs comme mauvais traitment enfance, sévice, pauvreté etc.
🐈‍⬛Taux aggression sexuelle + haut chez femmes avec une incapacité 4X +.
🐈‍⬛Facteurs risque chez enfant qui augmetent probabilité victimisation quand adulte : mauvais traitement à l’enfance, témoin violence, pratique parent severe, négligence.🐈‍⬛Genre, localisation et perpétration mauvais traitement envers enfant. 66% homme et 51% femmes violence physique par un homme. Souvent dans leur maison. 96% femme et 84% homme victime enfant violence sexuelle par homme. Dans une maison privé + souvent.
🐈‍⬛Itinérance augemente chance victimisation. 9% canadiens itinérants dans sa vie. 3x plus de chance victimisation si itinérant dans ta vie. Si activement en itinérance, 5x.
🐈‍⬛Revenu : Victimisation avec violence 2x famille gagnant - de 40000$. Victimisation contre les biens : + revenue + élévé.
🐈‍⬛Perpections = problèemes. Problèmes sociaux = victimisation criminelles
🐈‍⬛Discrimination : 44% queer vs 19% hétéro. 33% femmes autochtones, 32% hommes autoch, 29% autres minorité visible, 28% incapacité. 23% femme et 17% hommes. Souvent travail, magasin, école. Parfois dans rapport police etc.

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Q

Suite risque victimisation, obstacles signalement agression, violence non-conjugale etc.

A

🎃Mobilité résidentielle : nombre de déménagement facteur de victimisation. 0-1 déménagement last 5 years - victimisation. Rurale - victimisation.
🎃Taux de déclaration 29% victimiastion sur leur ménage a été déclaré. Moitié des véhicules. 6% agression sexuelles.
- raison pas appeler car : délit anodin, pas assez important, pas blessure, pas capable de récuperer ce qui a été volé.
- Si arme + chance de rapporter a la police.
🎃Obstacles signalement agression sexuelle : crainte aggresseur pas tenu reponsable, honte, pas être crue, honte, pas être embeter par justice (p.47)
🎃40% plaintes pas retenues. Car - Police remet en doute discours, - Victimes préfere aucune accusation, - Pas capable identifier aggresseur, - Souhaite pas aller plus loin.
- Sur accusation, 48% finit avec verdict culpabilité. 65% mises en accusation pour Agression sexuelles mène a des condamnations. p.49 raisons pas police.
🎃Violence non-conjugale : 83% un auteur. 89% hommes incident violent seul. pas de diff si homme femme ou si déclaré ou si agression sexuelle ou voies de fait.
- 48% étranger. souvent amis, sinon famille ou autre.
- Ami ou voisin + susceptible victimisation envers femme (49%) qu’homme (30%)
- deux tier homme victime crime par étranger vs 39% femmes.
- Crime par étranger + grande proportion incident dit a la police.
🎃14% crimes violent appel au service d’aide au victimes. Femme 18% et homme 7%
🎃Apport ESG (p.52) ex. nouvelle tendance, vision des faits par les personnes, connaitre + sur victime et facteurs de risque, informe des crimes pas raporté.

23
Q

Limites ESG

A

🎃1. Exclus plusieurs types victimisation : homicide, prise otage, victimisation au travail, crminalité économique, victime institution, terrorisme.
🎃2. Subjectivité de la personne victimes : victimes déclarent ressenti comme forme de victimisation ne correspondant pas toujours aux faits. (Ex. rapporte crime haineux, police dit que c’est random) Répondant pas spécialiste du droit. Contexte peut influencer. Enquete mesure les expérience vécus, pas la criminalité.
🎃3. Excluent plusieurs victimes ex. hopitaux, prisonier, CHSLD etc. Des populations particulièrement à risque. enfant et agé - porter plainte
🎃4. Échantillonnage critiquable, enquete souvent au téléphone.
🎃5. Personnalité de l’enquêteur et facon dont questions sont formulé.
🎃6. Gens veulent pas répondre ou suive pas consigne.
🎃7. Collecte au 5 ans alors que donné police est annuelle.
🎃Loin du portait réel !

24
Q

Cours 4 - impact de la victimisaiton. Impact à court terme. Processus de la victimisation. Conséquence de la victimisation.

A

🎃Impact à court terme : seulement physique et émotionnel lors de la victimisation, le côté cognitifs prend le bord. Parcours de la victime difficle, doit se réorganiser et lutter pour être accompagné et reconnu.
🎃Processus de la victimisation : 1. Prévictimisation, 2. Victimisation, 3. Transition, 4. Réorganisation. (On est jamais les mêmes après victimisation. Bouleversement, nouvelle perceptions de la réalité, ca cest la réorganisation)
🎃Conséquences de la victimisation : 1. Conséquences (attribuales aux gestes de l’auteur) ➡️ 2. Répercussions (découle des conséquences, victime et proche) ➡️ Effets globaux (conséquences de symbolique du geste. Comment réalité est comprise ?)

25
Q

Stress traumatique associé effets néfastes. Conséquences psychologiques victimisation. Répercussions sur bien-être et sphère sociales

A

🎃Stress traumatiques effets néfastes : - Santé physique (Conséquence comme trouble musculaire etc), - État émotionel (colère, honte, dépression etc), - État fonctionnel (insomnie, cauchemars, pleurs, idéation intrusive (instrusive thoughts) etc), - Comportements (agressif (rappel événement met le corps dans le même état), substance), - Capacité interpersonneles (inclut relation d’aide, difficile travailler avec des gens qui ont des traumas.)
🎃Conséquences psychologiques victimisation :
- Détresse psychologique : sx stress post-traumatique, dissociation, anxiété etc
- Difficulté d’adaptation : trouble personnalité, diff. sociale, diff. emploi etc
- Comportements à risque : sexualité précoce ou à risque, drogue etc. (p.6!)
🎃Répercutions bien-être et sphère sociales : Problèmes santé long terme (médication), + consomation, - motivation, isolement, retrait loisir, diff. pratiques parentales, impacts accomplissement personnel. (p.10)

26
Q

Qu’est ce qu’un trauma ? Cout victimisation, matérielle et financière directe et indirecte. LES DIFFÉRENTS TYPES DE VICTIMES ! IMPORTANT!

A

🎃Qu’est ce qu’un trauma : Évenement de vie adverse qui provoque réaction physique et psycho extreme, dont plusieurs personnes ont de la difficulté à surpasser. (aucune expérience est pire qu’une autre. Il y a l’évenement et l’effet de l’evenement. L’Evenement peut etre le meme, mais pas l’effet.)
🎃- Directe : (12) Biens endommagé, frais déménagement, perte domicile, réadaption, indemnité etc. - Besoin sécurité accrue, frais lié conséquence psycho, arrêt travail etc.
🎃Effet globaux type I et II.
- Type I : Effet sur victime et entourage : - Victimisation secondaire (tertiaire), - Perception biasé quartier, - sentiement insécurité, généralisation situation. (ex. venir endroit mauvaise réputation. DIfficile de répondre au questions etc. victimisation secondaire. Peut biasé perpections, insécurité etc.
- Type II : Effets sur citoyens, société : - Stress traumatique secondaire, - Bouleversement sociétaux, - Onde de choc, préoccupation opinion publique, - Réflexion réparation sociale victimes. (peut avoit tstp car chose horrible à un proche)
🎃DIFFÉRENTS TYPES DE VICTIMES ! :
🐈‍⬛Victimes directe (l’objet de la victimisation, sur elle qu’arrive acte illégal)
🐈‍⬛Victimes indirecte (relation avec victime directe devient souffrance)
🐈‍⬛Victimes secondaires (préjudice en portant assistance, peut causer TSTP)
🐈‍⬛Victimes tertiaires (membre collectivité affecté par event)
🐈‍⬛Collatérale (proche, famille)
- Neurones miroir : neurone s’active en regardant une personne faire un action. On est toucher par les autres d’une facon émotionnelle.
- Conséquences victimisation proches (famille, amis, amoureux etc) Individu on des effet les uns sur les autres

27
Q

Qu’est ce qu’est le trouble de stress post-traumatique ? Histoire. Facteurs de protection et vulnérabilité.

A

🎃Traumatisme à travers l’histoire (p.17) : Début 19e, L’hystérie. Quelques choses des femmes. Théorie farfelue pour le régler.
- Freud : Travaille hopital psychiatrique. Comprend que presque chaque femme avait vécu des abus sexuelles. Il se fait menacer, se fait dire que c’est pas ça. Tous arrête de dire ça, pour protéger les riches etc.
- FIn 19e, début 20e, Névrose de guerre. Gens revienne de guerre, homme avec problèmes. Refuse de dire hystérie ou émotionel. Dit que c’est physique.
- 1954-1975, Vietnam et 2e vague féministe : besoin de service pour soldat. En mm temps, féminisme commence pour liberté. Deux mouvement prend place qui regarde la victimiasation.
- 1980 : État de stress post-traumatique (ESPT) inclusion DSM.
🎃Facteurs de protection et de vulnérabilité :
🐈‍⬛Protection : - Capacité profiter aide (ouverture a aide, famille support, bon réseau accessible, connaissance droits), - Expérience supportable, - Réactions psycho et émotionnelles : absence dissociation et trahison.
🐈‍⬛Vulnérabilité : 1. Gravité des traumatismes (petit chien vs gros), 2. Manque de soutien social, 3. Stress suplémentaire dans vie. (immigrant sans papier vs blanc)

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Q

TSPT extrême, les différents sx du TSPT. voir p.22, 23, 24.

A

🎃TSPT extreme. Impact négatif sont attendu. Professionnel peut manifester plusieurs sx sans être diag parce que pas tout les symptomes. (presque tout le monde va avoir sx. Mais diminunent avec le temps, sauf pour certains)
🎃Spécification : - Réaction traumatique souvent présente chez victime suite a évenement, - TSPT si 1 mois et +, - Si moins d’un mois, état de stress aigu (ESA), - 30-40% victimes développe TSPT.
🎃A. Exposition au trauma. Exposé a mort, blessure grave etc. dans 1 ou + situations suivantes : 1. Le vivre, 2. Témoin direct, 3. Apprendre qu’un proche à vécu ça, 4. Exposition repété de détails aversits ou traumatisant.
🎃B. Ré-expérimentation : présence 1 ou + : 1. Souvenirs pénible involontaire, 2. Rêves répétitifs relié trauma, 3. Réactions dissociaives se sent comme si événement avait lieu, 4. Détresse interne en présence d’indice évoquant événements. 5. Réactivité physiologiques en présence indice trauma.
🎃C. Évitement : debut apres événements : 1. Éviter pensé ou sentiment relié a l’événements, 2. Éviter rappel ou stimuli externe (lieu, personne) relié au trauma.
🎃D. Altération négative cognitions et humeur : changement négatif dans pensé et humeur associé a l’événement traumatique : 1. Incapacité rappeler aspect important de l’événement. 2. Pensé ou attente négatives persistantes de soit (voit le monde autour comme dangereux toujours.), 3. Distortions dans les pensés sur les conséquences de l’évenement qui amène à se blamer, 4. État émotionel irritable, colérique, agressive etc. 5. Diminution intérêt pour activités significatives. 6. Sentiment détachement des autres, 7. Incapacité persistance ressentir plaisir.
🎃E. Altération marqué de l’éveil et réactivité : Changement marqué seuil de réactivité associé a événement traumatique : 1. Comportement irritable ou crise colère, exprimer par agressions verbales et physiques. 2. Comportement imprudent et destructeurs, 3. Hypervigilance, 4. Réactions exagéré, 5. Difficulté concentrations, 6. Problèmes de sommeil. (p.25)

29
Q

Contexte temporel TSPT, réponse intergénérationnelles, dissociation, trouble dépressif. Alliance adulte avec abuseur. Victimisation secondaire, multiple. QUestions role victime.

A

🎃Réponses intergénérationnelles : Descendants générations ayant vécu violence peuvent encore répondre de ces évenements traumatique. (Ex. holocauste)
- Effets expérience traumatisante se transmette. Diverses voies : - Adaptations épigénétiques, - Comportements, pensé et régulation physique. (théorie que qlq chose dans les genes qui turn on, des gênes turn on chez enfant de parent victime pour les protéger et permettre de survivre)
🎃Dissociations : Sidération psychique fonction peuvent pas gérer situation ni émotion provoquer. Peut pas répondre au émotions, pose danger vitale a cause d’hormone stress. Fait peter le systeme. Peu pu sécréter hormone, mais ne peu plus rien sentir non plus.
🎃Trouble dépressif : - trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle : irritabilité chronique (!2mois +), crise colère fréquente. - Trouble dépressof caractéristé (sx tout les jours, - Trouble dépressif persistent, - Trouble dysphoriques prémenstruel, labilité émotionnelle, irritabilité, dysphorie, anxieux arrive souvent, répèté, handicapante.
🎃Si client violenté par adulte, peut rester en alliance avec. SI vécu longtemps avec abus, trouve des trucs pour vivre avec. Peut ressembler à quelqu’un très préoccupé pour la personne. C’est très complexe.
🎃Victimisation secondaire : Intervenants protection jeunesse 34% TSPT. Intervenant Children’s aid society a toronto : accueil 52%, aide famille 64%, aide enfant 75%.
🎃Victimisation multiple : le fait d’avoir été victime plusieurs fois. Domaine nouveau.
- Victime crime + chance d’être victimisé de nouveau. - Victimisation multiple pas limité au même type de délit, - Victimisation indice de vulnérabilité et surexposition au crime. Impact : multiplication des symptômes déjà présents.
🎃Question role victime dans victimisaiton, deux typologie. Victime est en partie responsable VS victime aucunement responsable.
🎃Role victime et intervention : - VIctime s’attribue elle-mm responsabilité, - Procesus nuit a rétablissement, - Souligner innocence victime : avantage ou inconvénients ?
- Nouvelle approche : DIfficle de prédire revictimisation, mais certaines connasainces pour aider victimes à réduire leur risque de revictimisation.