Un Sac de Billes - characters, themes and quotes Flashcards

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1
Q

Points sur Maurice

A
  • le grand frère
  • un garçon courageaux
  • un garçon rusé
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Q

Maurice - le grand frère

A

Représente la fraternité
Prend son rôle de grand très sèrieux comme protecteur de son frère pendant leur périple
« je n’ai pas lâché la main de mon frère » (pendant l’interrogation)
- à cause du l’amitié entre Maurice et Jo, ils peuvent subir les difficultés de la guerre pendant leurs périples et leurs aventures
- la majorité du livre est sur le lien spécial de l’amour fraternel entre Jo et Maurice

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Q

Maurice - un garçon courageaux

A

Il travaille comme passeur pendant leur périple et aide les juifs à aller en zone libre, qui montre qu’il utilise les opportunités pour se survivre
- il a laissé un mot de la part de Maurice « je vais revenir »
- il a aidé 40 personnes à passer la ligne et il a gagné 20 000 francs

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4
Q

Maurice - un garçon rusé

A

Il pense aux stratagèmes qui va plus tard les sauver des allemandes
- pense à un stratagème qui pourrait des aider s’ils étaient un jour arrêtés
- inspirés par l’histoire de Ange Testi
- invente « une autre vie »
- « et où allez-vous à l’école, Bédié Garzon ? »
- il a pris l’accent allemande
- essaie de tester son frère en hurlant pour s’assurer que leur histoire semble vraie

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4
Q

Points sur le père

A
  • l’attitude envers la France
  • apporte la survie à travers ces histoires
  • optimiste/ courageaux
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5
Q

Le père - l’attitude envers la France

A

« non, pas ici, pas en France, jamais »
- le père pensait qu’il n’y aurait jamais de cas où la France serait sous une menace énorme
- les mots ont une triste ironie car la confiance du Père Joffo est déplacée - c’est lui qui est finalement victime de la collaboration de l’Etat avec les nazis. La France était le seul pays occupé où la police était complice des nazis.
- La France était un refuge où les juifs étaient protégés par l’état et ses valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité

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6
Q

Le père - apporte la survie à travers ces histoires

A

Il ne doute pas que toutes les aventures se passeront bien mais il est victime des Allemands
M. Joffo raconte régulièrement à ses fils des histoires sur leur grand-père Jacob au coucher
« vous êtes juifs mais ne l’avouez »
- il crie aux deux frères et il sont frappé quand ils ont avoué qu’ils sont juifs
- il s’inquiète pour la sécurité de ses fils
-lui force à se rappeler pour monter pendant l’interrogation

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7
Q

Le père - optimiste/ courageaux

A

Il ne doute pas que toutes les aventures se dérouleront bien mais il n’en est pas moins victime des Allemands.
« je dois vous dire que tous les gens qui sont ici sont des juifs »
- il est courageaux et fier
- il est fier de ses racines

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8
Q

Points sur Joseph

A
  • la perte de l’innocence
  • le changement de Joseph
  • un garçon travailleur/ débrouillard
  • un enfant naïf (au début)
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9
Q

Joseph - la perte de l’innocence

A

« Joseph Joffo, je suis juif »
- Jo réfléchit aux expériences qu’il a subies et qu’il a vieilli émotionnellement et physiquement
- il ne doit plus cacher son identité
- ils déplorent que ni les billes ni les osselets ne l’intéressent désormais et que la guerre soit une réalité
- au début, il pleure quand il perd aux billes alors que son point de vue change au fil du roman

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10
Q

Joseph - le changement de Joseph

A

« grandi, durci, changé »
« ils me volent mon enfance »
- une monologue
- il accuse les allemands - ils ont tué l’enfant qu’il était
- quand joseph pense à son nouveau départ il se rend compte qu’il a changé, malgré ses 12 ans, il n’est plus enfant
- il dit qu’il a bien sur changé physiquement mais c’est plutôt de l’impact des épreuves qu’il a subies

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11
Q

Joseph - un garçon travailleur/ débrouillard

A

« gagner notre vie à notre âge était devenu un jeu suprême »
Le livre démontre une façon très réaliste de la vie quotidienne de la guerre
- montre la débrouillardise/ comme un entrepreneur
- montre qu’il doit subvenir à leurs besoins et se débrouiller seuls
- il doit réfléchir différemment pour rester en vie

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12
Q

Joseph - un enfant naïf (au début)

A

« Juif. Qu’est-ce que ça veut dire d’abord ? C’est quoi un juif ? »
- il ne comprend pas la définition d’un juif
- la vie du monde de Joe a changé - il pende que tout le monte à l’étiquette ‘juifs’ qui les définit
- Joffo utilise le point de vue de l’enfant pour montrer l’absurdité de l’antisémitisme
- emploi un langage assez familier utilisé dans la langue parlée

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13
Q

Points sur l’enfance

A
  • le changement de Joseph
  • le jeu
  • l’attitude envers la guerre
  • les écoliers
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14
Q

L’enfance - le changement de Joseph

A

à la fin :
« Joseph Joffo, je suis juif»
- Jo réfléchit aux expériences qu’il a subies et qu’il a vieilli émotionnellement et physiquement
- il ne doit plus cacher son identité
- ils déplorent que ni les billes ni les osselets ne l’intéressent désormais et que la guerre soit une réalité

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15
Q

L’enfance - le jeu

A

Maurice a proposé une course pour s’amuser et encourager Jo à continuer à marcher
- un thème récurrent dans ce roman
- une façon d’échapper de la réalité
- met en relief l’absurdité de leur situation et la cruauté

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16
Q

L’enfance - l’attitude envers la guerre

A

« Juif. Qu’est-ce que ça veut dire d’abord ? C’est quoi un juif ? »
- il ne comprend pas la définition d’un juif
- la vie du monde de Joe a changé - il pende que tout le monte à l’étiquette ‘juifs’ qui les définit
- Joffo utilise le point de vue de l’enfant pour montrer l’absurdité de l’antisémitisme
- emploi un langage assez familier utilisé dans la langue parlée

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17
Q

L’enfance - les écoliers

A

« t’es un Youpin, toi ? »
« nez terrible »
- un terme péjoratif et antisémite qui suggère qu’être juif est une mauvaise chose
- utilisent les stéréotypes pour moquer les juifs
- la propagande allemande qui inculpe les juifs
- la naïveté des enfants qui ne savent pas très bien ce qui pass - comme ils répètent des phrases qu’ils ont entendues d’ailleurs
- la naivité des enfances dénonce la barbarie des adultes et l’idiotie de leurs propos
- Joffo utilise en registre familier et une grammaire élidée pour renforcer le langue et l’ironie dans la voie des enfants

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18
Q

Points sur la perte de l’enface

A
  • débrouillardise
  • le mensonage
  • les billes/ les jeux
  • le changement de Joseph
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19
Q

La perte de l’enface - débrouillardise

A

Ils sont dans le monde adulte
Un sentiment optimiste que tout va bien se passer pendant leurs périples
« gagner notre vie à notre âge était devenu un jeu suprême »
Le livre démontre une façon très réaliste de la vie quotidienne de la guerre
- montre la débrouillardise/ comme un entrepreneur
- montre qu’il doit subvenir à leurs besoins et se débrouiller seuls
- il doit réfléchir différemment pour rester en vie

20
Q

La perte de l’enfance - le mensonge

A

« vous êtes juifs, mais pas nous »
- le docteur Roson vérifie s’ils sont circoncis et le docteur confirme que c’est en effect un acte chirurgical
- montre la ténacité quand le docteur lui dit qu’il est juif
- une technique de Joffo - nous ne savons pas pourquoi ils les sauvent et montre intrinsèque bon dans les personnes
- montre le courage

21
Q

La perte de l’enfance - les billes/ les jeux

A

au début :
« ça planète miniature »
- montre que Joseph est encore très jeune puisqu’il a tendance à pleurer quand il perd jouant aux billes
- grâce aux pouvoir de l’immigration il se sent comme il a le monde entier dans sa poche
- il ne rende pas compte de la situation de la guerre
à la fin :
« ni les billes ni les osselets l’intéressent »
- jo réfléchit sur les expériences qu’il a subi et qu’il a âgé émotionnellement et physiquement

22
Q

La perte de l’enfance - le changement de Joseph

A

« grandi, durci, changé »
« ils me volent mon enfance »
- une monologue
- il accuse les allemands - ils ont tué l’enfant qu’il était
- quand joseph pense à son nouveau départ il se rend compte qu’il a changé, malgré ses 12 ans, il n’est plus enfant
- il dit qu’il a bien sur changé physiquement mais c’est plutôt de l’impact des épreuves qu’il a subies

23
Q

Points sur la survie

A
  • le père
  • la chance
  • leur débrouillardise
  • les justes
24
Q

La survie - le père

A

Monsieur Joffo raconte régulièrement à ses fils des histoires au coucher sur leur grand-père Jacob
- comme enfant de 7 ans il a dû échapper de Russie pour échapper le service militaire du Tsar
- il se remarque qu’il n’a aimais parler du lui à ses fils - raconte son histoire de Russie
- les histoires apportent l’importance de sa famille et la tolérance
« vous êtes juifs mais ne l’avouez j’aimais »
- il crie aux deux frères et ils sont frappé quand ils ont avoué qu’ils sont juifs
- il s’inquiète pour sécurité de ses fils
- lui force à se rappeler pour monter pendant l’interrogation

25
Q

La survie - la chance

A

Le docteur Roson
« pourquoi nous a-t-il sauvés ? »
- Joseph demande si le docteur les a sauvés sciemment et pourquoi plutôt que tant d’autres enfants
- montre la chance d’être dans le bon endroit à la bonne heure
- une technique de Joffo - nous ne savons pas pourquoi ils les sauvent et montre intrinsèque bon dans les personnes

26
Q

La survie - leur débrouillardise

A

Un sentiment optimiste que tout va bien se passer pendant leurs périples
« gagner notre vie à notre âge était devenu un jeu suprême »
Le livre démontre une façon très réaliste de la vie quotidienne de la guerre
- montre la débrouillardise/ comme un entrepreneur
- montre qu’il doit subvenir à leurs besoins et se débrouiller seuls
- il doit réfléchir différemment pour rester en vie

27
Q

La survie - les justes

A

Ils ont risqué leur vie pour sauver les juifs malgré la cruaté des nazis
Subinagui
« on n’est pas les seuls dans notre cas ici »
- le directeur du camp soi-disant pro-vichy qui abrite en réalité des enfants juifs
- il impression beaucoup Joseph
- un juste
- il est attentif de leur situation - suspecté par Maurice
- quand les deux frères sont libérés de l’hôtel Excelsior, Subinagui les permettre à rentre dans le camp
- il a informé les frères que leurs pères était arrêté et qu’il devrait fuir

28
Q

Points sur la famille

A
  • Joseph et Maurice
  • les occasions joyeuses et les chagrins
  • les histoires du père Joffo
  • la tristesse
29
Q

La famille - Joseph et Maurice

A

« je n’ai pas lâché la main de mon frère »
Pendant l’interrogation
- à cause du l’amitié entre Maurice et Joseph, ils peuvent subir les difficultés de la guerre pendant leurs périples et leurs aventures
- la majorité du livre est sur le lien spécial de l’amour fraternel entre Joseph et Maurice

30
Q

La famille - les occasions joyeuses et les chagrins

A

À Nice, la famille célèbre l’anniversaire de Madame Joffo, qui coïncide avec la bonne nouvelle du débarquement allié en Afrique du Nord
- malgré les circonstances, un fort sentiment de joie émane de la famille
- l’histoire asscoie des occasions familiales heureuses à des événements positifs dans le monde
- Joffo examine la relation entre les membres de la famille et la façon dont ces changements car ils sont séparés par la guerre

31
Q

La famille - les histoires du père Joffo

A

Monsieur Joffo raconte régulièrement à ses fils des histoires au coucher sur leur grand-père Jacob
- comme enfant de 7 ans il a dû échapper de Russie pour échapper le service militaire du Tsar
- il se remarque qu’il n’a aimais parler du lui à ses fils - raconte son histoire de Russie
- les histoires apportent l’importance de sa famille et la tolérance
« vous êtes juifs mais ne l’avouez j’aimais »
- il crie aux deux frères et ils sont frappé quand ils ont avoué qu’ils sont juifs
- il s’inquiète pour sécurité de ses fils
- lui force à se rappeler pour monter pendant l’interrogation

32
Q

La famille - la tristesse

A

« finalement, Hitler aura été plus cruel que le tsar »
- le père n’avait pas survécu
- au fil du temps, on ressent le désarroi face à la situation politique et à la haine raciale qui monte crescendo pour chacun des membres de la famille

33
Q

Points sur l’amitié

A
  • Marcello et les soldats italiens
  • l’amitié fraternelle
  • Zérati
  • l’indépendance de Joseph
34
Q

L’amitié - Marcello et les soldats italiens

A

Joseph et Maurice sympathisent avec des soldats italiens avec qu’ils font du marché noir
Les deux garçons établissent une amitié avec Marcello et des autres soldats italiens avec qu’ils les aident faire de l’argent sur le marché noir et les préconisent avec l’information que l’armée allemand les remplacent
- il est un contraste des soldats allemands
- ils travaillent ensemble pour gagner de l’argent avec les soldats italiens sur le marché noir

35
Q

L’amitié - l’amitié fraternelle

A

« je n’ai pas lâché la main de mon frère »
Pendant l’interrogation
- à cause du l’amitié entre Maurice et Joseph, ils peuvent subir les difficultés de la guerre pendant leurs périples et leurs aventures
- la majorité du livre est sur le lien spécial de l’amour fraternel entre Joseph et Maurice
« j’ai l’impression que vous n’aimez pas trop vous séparer » - Subinagui
- leur relation proche est observée par d’autres personnages
- montre la proximité des deux frères

36
Q

L’amitié - Zérati

A

« c’est la faute de Jo s’il y a la guerre ? »
Il défend Joseph quand il est harcelé par les écoliers
- Zérati a réussi à transformer l’image de l’étoile en quelque chose de positif. L’image significant la trahison et le mort mais pour Zérati c’était quelque chose dont il avait envie
« Maurice a aussi parlé de Zérati »
- pendant l’interrogation ils les ont aidés

37
Q

L’amitié - l’indépendance de Joseph

A
  • pendant le dernier chapitre du roman, il y a dans la relation
  • lorsque les deux garçons ont un travail et ne se voient pas aussi souvent. Joseph est devenu plus confiant et indépendant
  • montre que leur proximité à mené leur indépendance pendant tous ils sont subis ensemble
  • il n’a plus besoin de son frère
38
Q

Points sur l’éspoir/ la courage

A
  • les histoires du père/ l’optimise du père
  • un regard naïf
  • la plan de Maurice
  • la résistance des justes
39
Q

L’éspoir/ la courage - les histoires du père/ l’optimise du père

A
  • comme enfant de 7 ans il a dû échapper de Russie pour échapper le service militaire du Tsar
  • il se remarque qu’il n’aimais parler de lui à ses fils - raconte son histoire de Russie
    « vous êtes juifs mais ne l’avouez j’aimais »
  • il crie aux deux frères et ils sont frappé quand ils ont avoué qu’ils sont juifs
  • il s’inquiète pour sécurité de ses fils
  • lui force à se rappeler pour monter pendant l’interrogation
    « à bientôt les enfants »
  • il est optimiste qu’il retrouvera ses enfants
40
Q

Points sur l’éspoir/ la courage - un regard naïf

A

Un sentiment optimiste que tout va bien se passer pendant leurs périples
« gagner notre vie à notre âge était devenu un jeu suprême »
Le livre démontre une façon très réaliste de la vie quotidienne de la guerre
- montre la débrouillardise/ comme un entrepreneur
- montre qu’il doit subvenir à leurs besoins et se débrouiller seuls
- il doit réfléchir différemment pour rester en vie

41
Q

Points sur l’éspoir/ la courage - la plan de Maurice

A

On voit la complicité des frères et que Maurice est protecteur
- pense à un stratagème qui pourrait des aider s’ils étaient un jour arrêtés
- inspirés par l’histoire de Ange Testi
- invente « une autre vie »
- « et où allez-vous à l’école, Bédié Garzon ? »
- il a pris l’accent allemande
- essaie de tester son frère en hurlant pour s’assurer que leur histoire semble vraie
« vous êtes juifs, mais pas nous »
- montre la ténacité quand le docteur lui dit qu’il est juif

42
Q

Points sur l’éspoir/ la courage - la résistance des justes

A

Ils ont risqué leur vie pour sauver les juifs malgré la cruaté des nazis
Subinagui
« on n’est pas les seuls dans notre cas ici »
- le directeur du camp soi-disant pro-vichy qui abrite en réalité des enfants juifs
- il impression beaucoup Joseph
- un juste
- il est attentif de leur situation - suspecté par Maurice
- quand les deux frères sont libérés de l’hôtel Excelsior, Subinagui les permettre à rentre dans le camp
- il a informé les frères que leurs pères était arrêté et qu’il devrait fuir

43
Q

Points sur la guerre

A
  • la vie en temps de guerre/ la vie quotidienne
  • l’antisémitisme/ la propogande
  • la persécution
  • les justes
44
Q

La guerre - la vie en temps de guerre/ la vie quotidienne

A

« gagner notre vie à notre âge était devenu un jeu suprême »
Le livre démontre une façon très réaliste de la vie quotidienne de la guerre
- montre la débrouillardise/ comme un entrepreneur
- montre qu’il doit subvenir à leurs besoins et se débrouiller seuls
- il doit réfléchir différemment pour rester en vie

45
Q

La guerre - l’antisémitisme/ la propogande

A

« t’es un Youpin, toi ? »
« nez terrible »
- un terme péjoratif et antisémite qui suggère qu’être juif est une mauvaise chose
- utilisent les stéréotypes pour moquer les juifs
- la propagande allemande qui inculpe les juifs
- la naïveté des enfants qui ne savent pas très bien ce qui pass - comme ils répètent des phrases qu’ils ont entendues d’ailleurs
- la naivité des enfances dénonce la barbarie des adultes et l’idiotie de leurs propos
- Joffo utilise en registre familier et une grammaire élidée pour renforcer le langue et l’ironie dans la voie des enfants

46
Q

La guerre - la persécution

A

« le mur se jette sur moi »
Ils ont tombé dans un piège et sont arrêtés par la Gestapo - emmenés à l’hôtel Excelsior
- pour Joseph l’expérience d’être attaqué par les allemandes est imprévu que si le mur se tombe sur lui
- souligne la violence et l’effet de surprise
- Joseph pense que le soldat va le touer
- l’auteur utilise l’ironie pour démontrer l’absurdité des nazis

47
Q

La guerre - les justes

A

« je vais te faire les certificats de communion »
Pour confirmer qu’ils ne sont pas juifs, ils doivent fournir des certificats de communion quand il voit le prêtre d’une église mais les soldats doutent de l’authenticité
- la Gestapo accepte de recevoir le curé parce que l’Allemagne nazi ne voulait pas se fâcher avec l’église et désirait sauvegarder sa politique neutralité
- il risquerait d’être déporté si les garçons se faisaient prendre