Tutorat 1 Flashcards
Définition de la douleur
Perception plus qu’une sensation et elle est modulée par plusieurs facteurs
Nomme les 3 rôles principaux de la douleur
- Rôle d’alarme
- Suivre évolution d’un traumatisme ou évaluer sa gravité
- Préserver notre intégrité physique (constamment présente dans notre AVQ)
Décris rôle d’alarme de la douleur
Principal moyen de savoir qu’un de nos organes est malade. Sinon, faudrait attendre apparition signes externes (pt serait trop tard).
Décris rôle de la douleur dans suivre évolution d’un traumatisme ou évaluer sa gravité
Douleur nous oblige à adopter des comportements de garde pour éviter d’aggraver une blessure (ex. sous-utiliser sa main blessée)
Rôle de la douleur de préserver notre intégrité physique
Nous pousse à ne ø demeurer coucher/assis dans même position plrs heures.
Constamment présente dans nos AVQ = nous permet d’éviter activités pouvant atteindre notre intégrité physique.
Nomme les 4 composantes de la douleur (modèle circulaire)
- Nociceptive (nociception)
- Sensori-discriminative (douleur, intensité)
- Motivo-affective (souffrance, aspect désagréable)
- Cognitivo-comportementale (comportements de douleur)
Composante nociceptive (modèle circulaire)
Activité nerveuse engendrée par stimulation potentiellement dangereuse pour l’organisme. Activation des fibres responsables de la conduction nerveuse (si seuil minimal d’activation atteint).
Purement physiologique ! Activité nerveuse AVANT qu’elle soit traitée par centres nerveux supérieurs (où elle pourra être perçue comme douloureuse ou non).
Composante sensori-discriminative de la douleur (modèle circulaire)
C’est l’intensité perçue de la douleur (différent pour chaque personne).
Composante motivo-affective de la douleur (modèle circulaire)
Réponse affective négative qui peut être générée par la douleur ou par d’autres expériences désagréables.
Composante cognitivo-comportementale de la douleur (modèle circulaire)
Tous les comportements qui peuvent être associés à la présence de douleur. S’exprime de multiples façons allant du réflexe d’évitement aux expressions faciales.
Comportements peuvent exister sans dlr et dlr ne provoque ø nécessairement ces comportements.
Définition douleur 1979
Expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle, potentielle ou décrite en ces termes par le patient.
Définition douleur 2020
Expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à, ou ressemblant à celle associée à. une lésion tissulaire réelle ou potentielle.
Fait référence à définition douleur 1979 ou 2020 : expériences qui évoquent de la douleur, mais qui ne sont pas désagréables ne doivent pas être qualifiées de douleur.
1979
Définition nociception
Activité chimio-électrique de récepteurs et de fibres nerveuses provoquée par une stimulation potentiellement dangereuse pour l’organisme.
Définition nociception
Activité chimio-électrique de récepteurs et de fibres nerveuses provoquée par une stimulation potentiellement dangereuse pour l’organisme.
Défiinition douleur nociceptive
Elle découle de dommages aux tissus corporels et est la douleur typique que l’on ressent à la suite d’une blessure ou causée par de l’inflammation. Elle est habituellement décrite comme une douleur aiguë, lancinante ou pulsatile. La douleur nociceptive peut être soit somatique, viscérale ou inflammatoire.
Définition douleur neuropathique
Elle découle de dommages directs au système nerveux lui-même. Elle est généralement décrite comme une douleur brûlante ou fulgurante, et peut se traduire par un engourdissement ou un fourmillement cutané ou une sensibilité extrême, même à un toucher léger.
Définition douleur nociplastique
Elle découle de changements inadaptés qui affectent le processus nociceptif et sa modulation sans évidence objective de dommages aux tissus ou aux nerfs (Ex. : en raison de la sensibilisation spinale).
Peut expliquer douleurs chroniques!
Définition nocicepteur
Est un récepteur nerveux préférentiellement sensible aux stimulations nociceptives ou à une stimulation devenant nociceptive si elle persiste. Sont des terminaisons nerveuses libres.
Définition allodynie
Douleur produite par une stimulation habituellement non douloureuse.
Définition analgésie
Absence de douleur à la suite d’une stimulation normalement douloureuse. Il y a :
- Analgésie provoquée médicalement (comme quand on va chez le dentiste)
- Analgésie pathologique (comme par une lésion du SNP ou du SNC qui peuvent provoquer des territoires analgésiques).
Définition anesthésie
Perte de sensation somesthésique (sensibilité générale). Même s’il est utilisé pour parler de perte de sensation tactile, le terme anesthésie fait particulièrement référence à la sensation douloureuse.
Définition hyperesthésie
Hyperesthésie : exagération des divers modes de la sensibilité (pas douloureux !!!).
→Pour le système somato-sensorielle, l’hyperesthésie somesthésique exige de spécifier le type de stimulation et l’endroit de la stimulation.
Définition hypoesthésie
Diminution de la sensibilité à une stimulation somesthésique non douloureuse (le type de stimulation et l’endroit de la stimulation doivent être spécifiés).
Définition hyperalgésie
Réponse exagérée à une stimulation normalement douloureuse. Fait référence à un seuil de douleur anormalement bas (en raison de la sensibilisation)
Définition hypoalgésie
Diminution de la douleur en réponse à une stimulation normalement douloureuse.
Définition seuil de douleur
La plus faible expérience de douleur d’un sujet peut connaître. Le seuil de douleur est l’expérience du patient ; l’intensité de la stimulation est un évènement externe.
Se définie comme étant le moment ou une sensation devient une sensation douloureuse.
Définition seuil de tolérance
La plus importante douleur qu’un sujet est prêt à toléré.
Moment où la douleur devient insupportable et qu’on voudrait qu’elle arrête.
Dépend du contexte !
Définition paresthésie
Sensation anormale (non douloureuse) spontanée ou provoquée. Ne pas confondre avec dysesthésie, où la sensation anormale est désagréable.
Définition dyesthésie
Expériences (sensations) désagréables anormales qui peuvent être qualifiées de douleur, mais qui ne le sont pas nécessairement sur le plan subjectif, car elles n’ont pas les qualités sensorielles habituelles de la douleur.
Définition douleur aiguë
Douleur généralement identifiée comme durant depuis moins de 30 jours.
Définition douleur aiguë récurrente
Douleur qui revient épisodiquement, mais dont les épisodes sont distincts. Nécessite tx pour douleur aiguë (lors des épisodes) et chronique (pour briser cycle de réapparition des épisodes douloureux)
Douleur subaiguë
Douleur qui se trouve entre la douleur aiguë et la douleur chronique
Définition douleur chronique
Douleur qui dure depuis plus de 6 mois.
Aussi définie comme étant une douleur qui persiste au-delà d’un mois de la période normale de guérison ou qui est associée à un processus pathologique qui cause une douleur continue ou une douleur récurrente durant des mois ou des années.
Nomme 2 différences entre douleur aiguë et chronique
- Douleur aiguë joue un rôle de protection et d’alarme VS chronique non.
- Chronique persiste une fois que l’événeent déclencheur est résolu.
Nomme les 4 étapes entre le stimulus nociceptif et la perception de douleur
- Transduction
- Transmission
- Modulation
- Perception
Décris étape de la transduction
Transformation du stimulus mécanique, thermique ou chimique en énergie chimio-électrique (influx nerveux) dans les terminaisons nerveuses sensorielles spécialisées
Décris étape transmission
S’accomplie en 3 séquences de la périphérie à la MÉ, de la MÉ au TC et au thalamus et enfin du thalamus au cortex
Décris étape modulation
Fait référence aux différents ajustements effectués par les neurones responsables de la transmission de l’influx nerveux, de la périphérie vers le cortex.
Décris étape de perception
Aboutissement d’un stimulus nociceptif parcourant l’ensemble du SN
Quel est le rôle des nocicepteurs
Transformer le stimulus en influx nerveux (transduction).
N.B. Stimulus exciterait nocicepteur directement ou par l’intermédiaire de ¢ réceptrices (qui activent à leur tour les nocicepteurs).
Nomme les 3 catégories de nocicepteurs
- Récepteurs cutanés
- Récepteurs musculaires et articulaires
- Récepteurs viscéraux
Que sont les récepteurs cutanés nociceptifs
Terminaisons nerveuses libres amyéliniques
Où sont situés les nocicepteurs
- tissus cutanés
- tissus musculaires
- articulations
- fascias
- viscères
Nomme 2 caractéristiques que doit posséder un récepteur pour être qualifié de nociceptif
- Une capacité de réponse proportionnelle à l’intensité du stimulus
- Un seuil de réponse plus élevé que les simples thermorécepteurs et mécanorécepteurs (réagissant à des stimuli légers).
Caractéristique permettant de qualifier fibre de nociceptive
Doit répondre de façon sélective à des stimulations intenses ** exception des fibres à large gamme dynamique
Quels types de fibres possèdent les récepteurs musculaires et articulaires
Fibres polymodales de type A-δ (III) et C (IV)
Rôle nociceptif des fibres A-δ (à quoi répondent-elles?)
- Substances chimiques algiques
- Contractions et étirements musculaires
- L’hypoxie suivant un exercice soutenu ou un trauma
Rôle nociceptif des fibres C?
- Agissent comme les nocicepteurs polymodaux cutanés (ils répondent à des stimuli mécaniques, thermiques et chimiques).
- Elles seraient liées à une douleur musculaire particulièrement forte lors de contractions dans des conditions d’ischémie.
Quel est le rôle des fibres nociceptives des viscères?
Tenter de se soustraire à la stimulation qui est potentiellement dangereuse pour l’organisme (réflexes de vomissement ou de repli).
Nomme 5 structures où les fibres A-δ et C agissent comme nocicepteur
- coeur
- plèvre
- cavité abdominale
- vésicule biliaire
- testicules
Par quoi est modifié le degré d’activation du nocicepteur
Substances chimiques présentes dans l’espace extra¢R à la suite d’un dommage tissulaire
Nomme les 3 sources d’où proviennent les substances chimiques modifiant degré d’activation du nocicepteur
- ¢ endommagées
- produits synthétisés sur place
- nocicepteurs
Nomme les 5 substances sécrétées par les ¢ endommagées
- potassium
- histamine
- sérotonine
- bradykinine
- adénosine triphosphate
substances sécrétées par les ¢ endommagées : rôle potassium
algésiogène vis-à-vis les polymodaux
substances sécrétées par les ¢ endommagées : rôle histamine
algésiogène vis-à-vis les polymodaux
substances sécrétées par les ¢ endommagées : rôle sérotonine
activation ou sensibilisation des nocicepteurs
substances sécrétées par les ¢ endommagées : rôle bradykinine
activation ou sensibilisation des nocicepteurs
substances sécrétées par les ¢ endommagées : rôle adénosine triphosphate
activation ou sensibilisation des nocicepteurs
Nomme les 2 substances produites sur place activant les nocicepteurs
- prostaglandine 2. leucotriène
Substances sécrétées sur place : rôle prostaglandine
Hyperalgésiee et sensibilisation des nocicepteurs
Substances sécrétées sur place : rôle leucotriène
Hyperalgésie
Nomme la substance sécrétée par le nocicepteur lui-même
Substance P
Actions de la substance P
- vasodilatation et production d’oedème 2. Libération d’histamine favorisée
Explique lien entre douleur et inflammation
Nocicepteur libère SP libère histamine laquelle, en activant nocicepteurs, déclenche vasodilatation + œdème
Décris fibres A-β
- Fibres à conduction rapide (large diamètre + myélinisées)
- Mécanorécepteurs avec seuil de réponse très bas (répondent à un effleurement)
Pourquoi les fibres A-β ne peuvent être considérer comme récepteurs nociceptifs
Car ne peuvent que transmettre renseignements sur stimuli de faible intensité
Rôles fibres A-β dans la douleur
* conditions normales : encodent infos non nociceptives *
- modulation douleur : conditions de sensibilisation SNC (suite à stimulations nociceptives persistantes) afférences des fibres A-β = interprétées comme douleur → ALLODYNIE
- Participent à inhibition localisée du message nociceptif lors d’une stimulation somesthésique légère (théorie du portillon)
- Rôle tonique de régulation de l’info nociceptive : blocage fibres gros calibre = augmentation dlr après stimulation nociceptive
Décris fibres A-δ
- myélinisés
- petit calibre et + lente que A-β, mais quand même rapide
- seuil de recrutement élevé
- A-δ = majorité des fibres myélinisées et grande proportion des A-δ ont les caractéristiques pour être nociceptives
- champ récepteur relativement petit
Quelles sont les 2 catégories de fibres A-δ
- nocicepteurs mécaniques
- nocicepteurs mécanothermiques
À quoi réagissent mécanonocicepteurs
- Piqûres
- Pincement
- Sensibilisation thermique (pas moins de 53°C en temps normal, sauf si stimulation répétée, où peut tomber à 45°C).
- Stimuli susceptibles d’endommager les tissus cutanés.
- Stimuli non dommageables, mais tout en étant intense.
À quels stimuli répondent les nocicepteurs mécanothermiques
- mécaniques
- thermiques (parfois même au froid)
- parfois chimiques
Quels sont les 2 types de nocicepteurs mécanothermiques et qu’est-ce qui les différencient
- type I et type II
- type I a un temps de latence = 1 sec VS type II a temps de latence = 0,2 sec (seraient responsables 1ère douleur)
Décris fibres C
- Petites et non myélinisées = LENTES
- Conduisent infos lentement et de façon diffuse
Rôle fibres C
- responsables 2ème dlr : dlr + tardive et diffuse (comme brûlure)
- rôle dans détermination intensité douleur ressentie
À quels stimuli répondent les fibres C
- mécaniques
- chimiques
- thermiques (30% froid, reste chaleur)
- particulièrement excitées par des stimuli intenses exercés au moyen d’objets pointus
Explique phénomène d’adaptation des fibres C
Lorsqu’ils sont stimulés, ces récepteurs émettent une première décharge importante et la maintiennent ensuite à un degré plus faible (phénomène d’adaptation) qui peut parfois persister jusqu’à la fin de la stimulation.
→ Lors de stimulations répétées, le seuil s’abaisse et les réponses s’amplifient.
Seuil de réponse fibres C sur le plan thermique
42º
Fibres C sécrètent :
Substance P
Qu’est-ce qui explique que l’on perçoit une 1ère et 2ème douleur
Différence dans la vitesse de conduction des fibres A-δ et C
Décris 1ère douleur
- associée fibres A-δ → transmettent influx rapidement
- sensation brève, localisée et aiguë (genre piqûre)
- à la base du réflexe de retrait
Décris 2ème douleur
- associée aux fibres C → transportent influx + lentement
- sensation + tardive, + diffuse, identique à brûlure
Sommation temporelle
Sommation spatiale
Recrutement d’un plus grand nombre de nocicepteurs suite à la stimulation d’une grande surface cutanée entraine une multiplication des afférences nociceptives vers le SNC
Nomme les NT excitateurs impliqués dans la transmission de l’information nociceptive
- glutamate
- substance P
- CGRP
Glutamate : rôle
Excitateur - Module la transmission excitatrice entre les afférences primaires et neurones de 2e ordre
Glutamate : site d’action
Corne dorsale (a/n de la synapse)
Glutamate : son récepteur
- AMPA
- NMDA (facilite phénomène de wind-up)
Glutamate : que se passe-t-il quand il se lie à son récepteur
- AMPA : transmet signal nociceptif
- NMDA : implique phénomène de wind-up → induit hyperalgésie secondaire (suite à une stimulation prolongée)
Glutamate : que se passe-t-il si on bloque son récepteur
- AMPA : ø clair mais rôle dans prévention hyperalgésie, notamment dans neuropathies périphériques et brûlures
- NMDA : prévient hyperalgésie/wind-up
Substance P : rôle
excitateur
Substance P : site d’action
* se trouve dans le SNC et SNP
- corne dorsale superficielle (lame I et II)
- autour des nocicepteurs (1er ordre)
Substance P : son récepteur
NK1
Substance P : que se passe-t-il quand elle se lie à son récepteur
- Transmet le signal nociceptif
- Augmente l’activité et la réactivité des neurones de 2e ordre (peut mener au wind-up !!)
- Potentialise les récepteurs NMDA du glutamate (plus grande affinité du récepteur) !!!!
Substance P : que se passe-t-il si on bloque son récepteur
- réduction hyperalgésie
- réduction sensibilisation des neurones de la corne dorsale
CGRP : rôle
excitateur
CGRP : site d’action
corne dorsale
CGRP : son récepteur
CGRP-R
CGRP : que se passe-t-il quand il se lie à son récepteur
- transmet signal nociceptif
- augmente activité et réactivité neurones 2e ordre
- ralenti dégradation substance P dans la MÉ → potentialise effet substance P
CGRP : que se passe-t-il si on bloque son récepteur
réduction sensibilisation des neurones de la corne dorsale
Sur quel autre récepteur CGRP peut se lier
NK1
Nomme NT inhibiteurs impliqués dans la transmission de l’information nociceptive
- GABA
- sérotonine (5-HT)
- noradrénaline
- enképhaline, endorphine, dynorphine
GABA : rôle
inhibiteur
GABA : site d’action
Corne dorsale (neurone 2e ordre)… via un interneurone inhibiteur qui va venir se relier sur un neurone de 2e ordre (inhibe les impulsions excitatrices dans la corne dorsale)
GABA : son récepteur
récepteurs GABAa et GABAb
GABA : que se passe-t-il quand il se lie à son récepteur
- analgésie (anti-nociception)
- réduction hyperalgésie (si on bloque récepteur = hyperalgésie)
Sérotonine : rôle
inhibiteur
Sérotonine : site d’action
- Corne dorsale (2e ordre)… via un interneurone inhibiteur qui va venir se relier sur un neurone de 2e ordre
- La sérotonine est impliquée dans la voie descendante qui part de la SGPA et qui se rend à la corne dorsale et agit pour interrompre l’impulsion nociceptive de la voie ascendante.
Sérotonine : son récepteur
Récepteurs 5-HT (en existent plrs)
Sérotonine : que se passe-t-il quand il se lie à son récepteur
- Analgésie (anti-nociception) provenant des voies inhibitrices descendantes via action sur neurone de 2e ordre
- Réduction hyperalgésie
Sérotonine : que se passe-t-il si on bloque son récepteur
prévient analgésie
Noradrénaline : rôle
inhibiteur
Noradrénaline : site d’action
corne dorsale (neurone 2e ordre) via IN inhibiteur qui va se lier à neurone 2e ordre
Noradrénaline : son récepteur
- Récepteurs Alpha-2 (Béta 1-2)
Noradrénaline : que se passe-t-il quand il se lie à son récepteur
- Analgésie (anti-nociception) provenant des voies inhibitrices descendants via action sur neurone de 2e ordre
- Réduction hyperalgésie
Enképhaline, endorphine, dynorphine : rôle
inhibiteur
Enképhaline, endorphine, dynorphine : site d’action
Corne dorsale (neurone 2e ordre) via leur action sur un interneurone inhibiteur
Enképhaline, endorphine, dynorphine : Que se passe t’il quand il se lie à son récepteur?
- Analgésie (anti-nociceptive) provenant des voies inhibitrices descendants via action sur neurone de 2e ordre
- Réduction hyperalgésie
Explique cette image
description
Décris organisation synaptique a/n de la MÉ
!!!
Décris organisation des lames de la MÉ
SG de MÉ est divisée en 10 couches/lame cytoarchitectoniques.
Dans quelles lames terminent les fibres C et A-δ
I et II
Dans quelles lames terminent les afférences des tissus profonds et des viscères
I et V
Dans quelles lames terminent les fibres A-β
III ou les + profondes
Qu’est-ce qui pourrait expliquer le fait qu’une douleur musculaire pourrait être exacerbée par une nouvelle douleur viscérale et vice-versa?
Dans MÉ, toutes les fibres établissent des connexions entre elles. Axone qui se termine dans une lame X peut entre en contact avec neurones lames voisines. Aussi, connexions entre IN des lames voisines.
Voies impliquées dans composante sensori-discriminative de la douleur
Afférences rapide (A-δ) des fibres de la voie spinothalamique (champs récepteurs précis) → projetées au thalamus (VPM et VPL) → cortex somatosensoriel primaire et secondaire.
Voie spino permet donc localisation et perception aspect sensori-discriminatif de la dlr.
Voie impliquée dans composante motivo-affective de la douleur
Voie spinoréticulaire (suit voir spinothalamique jusqu’au pont) projette fibres dont afférences (surtout type C → + lentes) ont champs récepteurs + larges vers noyau intralaminaire du thalamus + certaines régions du TC et du cortex jouant rôle dans mémoire et émotion → noyaux intralaminaires reçoivent afférences puis projettent vers structures du système limbique + cortex frontal
Rôle voie des cordons postérieurs dans la douleur
Cette voie recueille principalement des stimulations mécaniques légères et les mouvements articulaires. Mais elle permet aussi le transport des afférences viscérales, dont les afférences nociceptives des viscères.