Tous les cours confondus Flashcards

1
Q

Quels sont les trois groupes qui divisent les troubles de personnalité selon l’approche catégorielle

A

Groupe A: Bizarre
Groupe B: Dramatique
Groupe C: Anxieux

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Q

Quels TP sont inclus dans le groupe C (anxieux)

A

TP Évitant, TP Obsessionnel-compulsif et TP dépendant

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Q

Quels TP sont inclus dans le groupe B (Dramatique)

A

TP Histrionique, TP Narcissique, TP Limite, TP antisocial

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4
Q

Quels TP sont inclus dans le groupe A (Bizzarre)

A

TP Schizoïde, TP Schizotypique et TP Paranoïde

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5
Q

Quels sont les neufs critères pour un diagnostique de TPL ?

A

Instabilité dans les relations, impulsivité, instabilité affective, colères inappropriées, suicide/parasuicide, perturbation de l’identité, sentiment de vide, angoisse d’abandon et idéations paranoïdes/épisodes dissociation.

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6
Q

Quels sont les critères de diagnostique pour un TPL selon le DSM-IV

A

5 critères et + des 9 critères établis, apparition tôt dans le temps, diagnostic généralement émis en fin d’adolescence/début 20aine.

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7
Q

Selon l’approche catégorielle, un trouble de personnalité c’est … ?

A

Un mode durable dans les conduites, dévie de la culture, envahissant, rigide et mésadapté. Apparaît généralement durant l’enfant/l’adolescence ou début de l’âge adulte. Stable dans le temps, souffrance/dégénration du fonctionnement. Égosyntone (dicté par son MOI, dichotomie, pensé internet).

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8
Q

Combien de traits sont possibles pour diagnostiquer un TP?

A

5 : Émotion négative, détachement, antagonisme, dés inhibition/compulsivité et psychoticisme

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9
Q

Qu’est-ce qu’un trait : émotion négative?

A

Angoisse, peur de séparation, suspicion, tendance dépressive

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10
Q

Qu’est-ce qu’un trait : Détachement ?

A

au niveau affectif. tendances dépressives, évitement d l’intimité, incapacité ou difficulté à ressentir du plaisir.

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11
Q

Qu’est-ce qu’un trait : Antagonisme ?

A

Manipulation, tromperie, grandiosité, hostilité, manque d’égard, recherche de l’attention.

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12
Q

Qu’est-ce qu’un trait : dés inhibition/compulsivité ?

A

Irresponsabilité, impulsivité, distractibilité, prise de risque, conformiste rigide ou à l’opposé, absence totale de conformiste.

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13
Q

Qu’est-ce qu’un trait : Psychoticisme ?

A

Expérience/croyance bizarre. Excentricité, dérégulation cognitive et perspective.

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14
Q

Concernant le tableau d’organisation de l’approche catégorielle, qu’est-ce qui est évaluer dans ce tableau?

A
  • l’expression des troubles ( introverti à extraverti)
  • La sévérité du trouble.
    Mais on n’aura pas nécessairement toutes les caractéristiques pour émettre un diagnostique.
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15
Q

Outils d’intervention recommandés avec les TPLs ?

A

Il y a 5 outils :

  • Attitudes à privilégier
  • Cadre claire
  • Conséquences claires
  • Validation
  • Psychothérapie.
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16
Q

Qu’est-ce qui est inclus dans le cadre à émettre auprès d’une intervention avec une personne TPL ?

A

Préciser les règles et les conséquences reliées si, non-respect. On veut encadrer le clivage et avoir une uniformité et cohésion dans les soins. Responsabilier le client ….

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17
Q

Le TPL fait parti de quel groupe de l’approche catégorielle ?

A

Groupe B, Dramatique.

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18
Q

Vrai ou Faux. Selon le modèle de Rothbart, une personne vivant avec un TPL aurait un déficit de l’autorégulation et de contrôle exigeant de l’effort

A

VRAI

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19
Q

Quelle définition, parmi les suivantes, correspond le mieux à celle de la mentalisation ?

A. Capacité à réfléchir aux conséquences de ses actes.
B. Capacité de prendre en compte ses propres états mentaux et ceux des autres, en discernant et anticipant les comportements associés.
C. Capacités reliées à l’intelligence.
D. Capacités reliées à l’auto-contrôle de ses comportements.

A

B

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20
Q

Que doit, entre autres, contenir le cadre d’intervention avec une personne qui vit avec un TPL ?

A. Préciser les règles, préciser les conséquences du non-respect des règles, permettre la continuité des soins et l’atteinte des objectifs, responsabiliser le client
B. Encadrer l’anxiété, aider à diminuer les comportements anorexiques, fixer les règles de travail professionnel
C. Permettre l’uniformité des comportements, permettre l’expression de l’agressivité, responsabiliser l’intervenant

A

A

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21
Q

Selon le modèle de Kernberg sur les troubles de personnalité, dans quel ordre apparaissent les types d’organisation de personnalité selon l’idée d’un continuum de sévérité, allant du moins sévère au plus sévère ?

A. Limite - Psychotique - Névrotique
B. Névrotique - Limite - Psychotique
C. Psychotique - Névrotique - Limite
D. Limite - Névrotique - Psychotique

A

B

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22
Q

Quel est un des mécanismes de défense le plus typique de la personne avec un trouble de personnalité limite ?

A. Le transfert
B. Le clivage
C. La symbolisation
D. Le dén

A

B

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23
Q

Quelle caractéristique ne fait pas partie des caractéristiques générales des organisations limites ?

A. Mécanismes de défense primitifs
B. Diffusion de l’identité
C. S’attribuer tous les torts d’une situation
D. Contact avec la réalité généralement bon

A

C

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24
Q

Valérie a 34 ans. Elle a souffert à l’adolescence d’anorexie. Son trouble alimentaire est maintenant contrôlée, mais elle demeure quelqu’un d’excessif dans ses comportements, elle voit généralement tout en “blanc” ou tout en noir”. Elle réussit difficilement à conserver un emploi. Elle a un problème de dépendance à l’alcool depuis 10 ans pour lequel elle a suivi plusieurs cures, mais qu’elle n’a jamais complété. Ses relations amoureuses sont tumultueuses et elle n’a eu aucun partenaire stable plus de 3 mois. Elle a tendance à l’automutilation. On vient de lui diagnostiquer un TPL. Elle vient de perdre son emploi, et son dernier chum vient de la laisser. Elle vous arrive en retard, sous l’effet de l’alcool, parle fort, vous dit qu’elle a appelé ses parents avant de venir pour leur demander de l’argent sinon elle se tue. Quelle(s) intervention(s) allez-vous privilégier?

  1. établir un cadre thérapeutique lui demandant entre autres de ne pas se présenter sous l’effet de l’alcool, d’arriver à l’heure et de garder un ton calme
  2. La réréer immédiatement à un centre d’emploi
  3. La référer au centre de dépendance Ubald-Villeneuve (CRUV)
  4. Travailler avec elle à s’autogérer et ne plus appeler ses parents lors de crise

A. toutes ces réponses sont bonnes
B. 1,3,4
C. 1
D. 1,3

A

B

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25
Q

Qu’elles sont les fonctions psychologiques des automutilations ?

A
  • l’atténuation de la dysphorie liée aux évènements stres- sants;
  • la fonction addictive sous-tendue par la libération san- guine d’endorphines et de dopamine
  • la fonction distractive se traduisant par le déplacement de l’attention des patients d’une douleur morale vers une douleur physique
  • la communication à autrui de la détresse psychologique dans le but de focaliser l’attention et les soins des théra- peutes
  • l’expression symbolique des émotions, les automuti- lations étant vécues comme une punition liée à un sentiment de culpabilité
  • la tentative de traitement des états dissociatifs: senti- ment « d’exister » chez certains patients au moment où ils ressentent la douleur ou voient leur sang
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26
Q

Quels sont, les 4 croyances de base concernant les auto mutilateurs, du point de vue cognitif ?

A

1-acceptable, nécessaire et même avantageuse ;
2- croient que leur corps et eux-mêmes sont repoussants et donc méritent d’être punis ;
3- veut qu’une action soit entreprise afin de réduire la tension affective ;
4- les patients sont convaincus qu’une action intempestive est nécessaire pour communiquer aux autres leurs affects.

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27
Q

Lorsqu’on parle d’avoir appris l’automutilation par imitation, nous sommes dans quel approche ?

A

Cognitivo-comportementale.

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28
Q

Quels sont les types de consommations et leur différence?

A

Consommation à risque: excédants le 10 conso pour une femme, 15 conso pour un homme. On dépasse donc les normes. On est à risque d’avoir des problèmes de santé et/ou sur le fonctionnement. J’ai de la misère à me lever, mais je fonctionne quand même.
Consommation problématique: On dépasse les normes et ça la un impact sur le fonctionnement quotidien.
Trouble de consommation: Diagnostique

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29
Q

Quels sont les critères pour un diagnostique de trouble de consommation ?

A

Utilisation inadapté de la consommation
Conséquences physiques, psychologique/ sur les habitudes de vie
Perdure depuis au moins 12 mois
Avoir une dépendance physique (donc on consomme + pour le même effet) et ou encore avoir des effets lors de sevrage.

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30
Q

La triade létale c’est quoi ?

A

c’est la combinaison de consommation de substance, un trouble (humeur, symptômes dépressifs, anxieux) et un trouble de personnalité.

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31
Q

Pourquoi la triade létale à un impact au niveau du suicide ?

A

On augmente grandement l’état de désespoir, solitude, d’idées noires, le risque de passage à l’acte.

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32
Q

SPA et suicide, trois explications possibles :

A

1- Utilisation de substance = déshinibition de l’agression
2- Substances = moyens uniques de faire face aux difficultés.
3- Substances = dépression.

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33
Q

Quel élément parmi les suivants ne fait pas partie de la triade létale augmentant le risque suicidaire ?

A. Trouble de personnalité
B. Trouble de santé mentale
C. Maladie physique
D. Toxicomanie

A

C

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34
Q

Quelle affirmation parmi les suivantes ne fait pas partie des explications reconnues comme augmentant le risque suicidaire chez une personne toxicomane qui consomme de façon excessive des substances psychoactives (SPA) ?

A. Consommation des SPA engendre des difficultés financières
B. Consommation des SPA enlève l’inhibition et le jugement favorisant un passage à l’acte
C. Consommation des SPA est la seule façon de faire face aux souffrances morales
D. Consommation des SPA augmente les symptômes dépressifs

A

A

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35
Q

Vrai ou Faux. Le traitement premier pour une personne toxicomane qui est en crise suicidaire est de la retirer de son réseau social.

A

Faux. Il faut traiter en premier la dépression s’il y a lieu et en même temps stabiliser ou diminuer la consommation de SPA.

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36
Q

Quels sont les trois types de crise possible?

A

1- Psychosociale
2- Psychopathologique
3- psychodramatique

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37
Q

Qu’est-ce qui peut varier, selon les types de crises ?

A

La nature de l’évènement
la vulnérabilité de la personne
l’interaction entre la personne et l’évènement

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38
Q

Définition d’une crise psychosociale

A

Détresse provoquer par une situation internet/externe, prévisible/imprévisible, la crise doit demeurer dans les frontières de la normalité, malgré les efforts, la personne ne revient pas en équilibre.
Donc: angoisse, difficultés au niveau cognitif, épuisement physique, impression que l’était est définitif, possibilité de passage à l’acte pour réduire la souffrance.

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39
Q

Intervention en crise psychosociale:

A

Modèle de résolution de problème: intervention peu structurée, écoute active, établir un relation, focuser sur le présent et l’avenir, donner de l’info pour aider la personne à trouver une solution.

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40
Q

La personne qui vit plusieurs événements stresseurs (ex. rupture amoureuse, difficultés de santé), qui pratique du sport pour se détendre et réussit à maintenir un bon sommeil et à faire ses activités quotidiennes est :

A.	En phase d’équilibre de la crise
B.	En phase de vulnérabilité de la crise
A

A

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41
Q

La personne qui vit une première crise suicidaire dans sa vie est susceptible d’être en :

A. Crise psychosociale
B. Crise psychopathologique
C. Crise psychotraumatique

A

A

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42
Q

La personne qui a des « flashbacks » suite à une agression est susceptible de vivre :

A. Crise psychosociale
B. Crise psychopathologique
C. Crise psychotraumatique

A

C

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43
Q

Une personne avec un trouble de personnalité limite qui vit plusieurs crises suicidaires en plusieurs mois est susceptible de vivre :

A. Crise psychosociale
B. Crise psychopathologique
C. Crise psychotraumatique

A

B

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44
Q

Vrai ou faux. Après une crise psychotraumatique, on vise un retour à l’état d’équilibre pré-traumatique.

A

Faux. Il est fort probable qu’après une crise psychotraumatique un nouvel état d’équilibre soit retrouvé.

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45
Q

Quel élément ne fait pas partie du processus suicidaire ?

A.	Détresse
B.	Flash
C.	Rumination
D.	Explosion
E.	Cristallisation
A

D

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46
Q

La perception d’être « un poids » pour les autres, que les autres ne sont jamais là pour elle, fait partie de quelle conception du comportement suicidaire ?

A.	La théorie interpersonnelle
B.	La théorie de Schneidman
    C.   La théorie du soi
A

A

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47
Q

La personne qui passe à l’acte suicidaire en ayant l’impression d’accomplir des gestes automatiques se situe dans quel état émotionnel pré-suicidaire ?

A. État émotif
B. État cognitif
C. État kinesthésique

A

C

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48
Q

Qu’est-ce que la théorie interpersonnelle du comportement ?

A

2 concepts :
1- Défaut d’appartenance (solitude perçue, personne ne prends soins de moi et je ne prends soins de personne)
2- Perception d’être un poids (haine de soi et décès moins lourd à porter pour les autres, que soi)

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49
Q

Qu’est-ce que la théorie de la fuite de soi

A

On veut échapper par le suicide à quelque chose, généralement suite à un évènement précis. La personne va se blâme et se faire des reproches et s’attribuer l’évènement négatif.

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50
Q

Qu’est-ce que la théorie du suicide selon SCHNEIDMAN?

A
  • Souffrance psychologique au centre du suicide • Besoins psychologiques non-répondus =
  • Souffrance mentale insupportable (« psyache ») • Pression psychologique négative
  • Pathologie mentale (sans nécessairement de dx) • Suicide comme seule solution
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51
Q

Quels sont les étapes du processus de la crise suicidaire ?

A
Flash 
Idéations suicidaires
Rumination 
Cristallisation 
Passage à l'acte
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52
Q

Lors du processus de la crise suicidaire, qu’est-ce que l’étape : Flash

A

Visions d’autodestruction qui durent quelques secondes.

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53
Q

Lors du processus de la crise suicidaire, qu’est-ce que l’étape : idéations suicidaires ?

A

Lorsque le répertoire de la personne de solution diminue, l’anxiété augmente, le suicide fait partie donc des solutions possibles pour résoudre le problème. La personne commence à y penser un peu plus souvent et un peu plus longtemps.

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54
Q

Lors du processus de la crise suicidaire, qu’est-ce que l’étape : Rumination

A

Les échecs s’accumulent, donc la personne commence à consolider son suicide comme une solution. Début de la planification du plan. À cette étape, il peut arriver un évènement qui précipite le passage à l’acte.

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55
Q

Lors du processus de la crise suicidaire, qu’est-ce que l’étape : Cristallisation

A

Suicide devient l’ultime solutionne. Tous les éléments de planification sont faits. La personne peut parfois sembler soulagée, calme. Moins d’ambivalence.

56
Q

Lors du processus de la crise suicidaire, qu’est-ce que l’étape : Passage à l’acte:

A

Idée suicidaire cristallisée, personne met en place son plan.

57
Q

Quels sont les trois phases de l’état de la crise?

A

la phase de désorganisation,
la phase aiguë
la phase de récupération.

58
Q

Lorsqu’une personne est en état de crise, que signifie la phase de désorganisation ?

A

la personne n’a plus la capacité de faire appel à ses schèmes habituels.
grande confusion, jugement altéré, difficulté à comprendre ce qui lui arrive. Anxiété, impuissante, désespérée ou très en colère.

59
Q

Lorsqu’une personne est en état de crise, que signifie la phase aiguë?

A

Un éventail de réactions comportementales variant en intensité sont possibles durant la phase aiguë : fugue, crise d’agressivité, etc. Le passage à l’acte suicidaire est également une réaction possible.

60
Q

Lorsqu’une personne est en état de crise, que signifie la phase de récupération ?

A

Retrouve progressivement ses sens
refait le plein d’énergie
Cette phase offre plusieurs issues:
-la crise peut être une occasion de croissance qui amènera la personne à faire de nouveaux apprentissages et à développer des ressources personnelles pour s’adapter aux situations qu’elle vit.
-la crise peut être suivie d’un retour à l’équilibre sans qu’il y ait nécessairement de changement ou de croissance.
-la crise peut entraîner une détérioration de la situation qui conduira à un autre passage à l’acte, à court ou moyen terme.

61
Q

Lors du COQ, le quand fait référence à quoi ?

A

l’urgence.

62
Q

Quels sont les trois types «urgence»?

A

Faible, modéré et élevé

63
Q

Qu’est-ce qu’un type d’urgence faible, lors du risque suicidaire ?

A
  • La personne a surtout besoin de ventiler;
  • Cherche des solutions;
  • Pense au suicide mais n’a pas de plan élaboré
  • Possède encore des moyens et des stratégies pour faire face à la crise
  • N’est pas anormalement troublée ou désorganisée, mais plutôt souffrante;
  • Elle est mobilisable.
64
Q

Qu’est-ce qu’un type d’urgence modéré?

A
  • La personne laisse paraitre un équilibre émotif fragile et craint sa propre réaction face à une éventuelle modulation de l’intensité de la détresse.
  • Envisage clairement le suicide comme solution à ses problèmes.
  • Une ambivalence persiste
  • Certains éléments du COQ peuvent être fixés.
  • Quand: > 48 heures < 72 heures.
65
Q

Qu’est-ce qu’un type d’urgence modéré?

A

• La personne est décidée
• A arrêté les modalités du suicide (COQ) et a l’intention de se suicider dans un délai de < 48 heures.
• Le moyen est disponible, les préparatifs sont exécutés;
• La personne est coupée de ses émotions, rationalise ou, au contraire, est
très émotive, agitée ou troublée;
• Est persuadée d’avoir tout essayé, il y a peu ou pas du tout d’ambivalence.
• Des éléments d’impulsivité peuvent augmenter le niveau d’urgence.

66
Q

Le RUD évalue ?

A

Risque
urgence
danger

67
Q

Lorsqu’on évalue à l’aide du RUD, le risque est évalué en tenant compte :

A

• Risque: Accumulation de facteurs de risque liés au suicide
Les facteurs de risque (le nombre, la sévérité et l’intensité)
parce qu’ils peuvent faire augmenter niveau de dangerosité
Facteurs prédisposants, contribuants et aussi protection
ient compte des facteurs de risque de la crise actuelle (rupture, abus, dépendances aux substances).

68
Q

Lorsqu’on évalue à l’aide du RUD, l’urgence est évalué en tenant compte :

A

• Urgence: Le passage à l’acte est imminent; le Quand est fixé dans moins de 48-72h. Présence d’impulsivité
Quand (Impulsivité associée au passage à l’acte) (les niveaux d’urgence) vise à repousser le passage à l’acte et à trouver des solutions de rechange.

69
Q

Lorsqu’on évalue à l’aide du RUD, la dangerosité est évaluée en tenant compte :

A

• Danger: Le Comment et le Où sont fixés et sont accessibles; présence d’idées homicidaires; type de moyens; accessibilité
Accessibilité et létalité du moyen Planification du scénario (Comment-Où),Idées homicidaires
Peut faire augmenter niveau de dangerosité.
vise à retirer, restreindre ou à rendre impossible l’accès au moyen.

70
Q

Dans les mécanismes de défense, qu’est-ce que : la projection ?

A

attribuer à une autre personne ses sentiments, ses

impulsions, ses pensées. Vont pas les retournés vers l’autres.

71
Q

Dans les mécanismes de défense, qu’est-ce que : la rationalisation ?

A

On tente de dissimuler nous émotions/nos motivations
réelles de nos comportements et de nos pensées avec des explications qui sont plus rassurantes ou complaisantes mais erronnées.

72
Q

Dans les mécanismes de défense, qu’est-ce que : le déni

A

ne pas reconnaître les émotions. Refuser de reconnaître quelque chose comme réels sur certains aspects ou expériences douloureuses.

73
Q

Dans les mécanismes de défense, qu’est-ce que : le refoulement ?

A

Le refoulement contrairement au déni c’est comme est

capable de le nommer mais on ne le vit pas. On fait comme si de rien n’était.

74
Q

Qu’est-ce que le transfert ?

A

une tendance à ce que des aspects représentant des relations importantes dans notre vie soit expérimentés de manière consciente ou inconsciente dans d’autres relations.

75
Q

Qu’est-ce que le contre-transfert ?

A

Ensemble des réactions émotionnelles, comportementales et attitudinales du thérapeute qui ne sont pas neutres à l’égard de la dynamique relationnelle du patient

76
Q

Qu’est-ce que l’alliance thérapeutique ?

A

sentiments du client envers la thérapeute. On parle de l’attachement, sentiment de confiance etc. le thérapeute doit en avoir un aussi. Croire qu’il peut aider son client.
C’est bidirectionnel.

77
Q

La personne suicidaire qui dit qui passera à l’acte dans 1 jour et demi est en :
A. Urgence faible
B. Urgence modérée
C. Urgence élevée

A

C

78
Q

Vrai ou Faux. Dans l’évaluation suicidaire avec le « RUD », le quand et l’impulsivité font partie de l’urgence suicidaire.

A

V

79
Q

La personne qui justifie qu’elle pleure tout le temps car elle est fatiguée utilise quel mécanisme de défense ?

A.	Le déni
B.	La rationnalisation
C.	Le transfert
D.	La projection
E.	Le refoulement
A

B

80
Q

Vrai ou Faux. Le transfert teste l’ensemble des réactions émotionnelles, comportementales et attitudinales du thérapeute qui ne sont pas neutres à l’égard de la dynamique relationnelle du patient

A

Faux. Il s’agit de la définition du contre-transfert.

81
Q

Quel élément parmi les suivants ne fait pas partie du « COQ » ?

A. Où la personne passera à l’acte
B. Quand la personne passera à l’acte
C. Comment la personne passera à l’acte
D. Qui la personne amènera aussi avec elle dans la mort
E. Comment la personne avertira ses proches de ses intentions

A

E

82
Q

La personne qui dit avoir de la peine, mais qui est incapable de pleurer utilise quel mécanisme de défense ?

A.	Le déni
B.	La rationnalisation
C.	Le transfert
D.	La projection
E.	Le refoulement
A

E

83
Q

Quel élément ne fait pas partie des éléments importants d’une bonne première rencontre suicidaire selon Séguin (2001) ?

A. Évaluer la sévérité des symptômes et la dangerosité
B. Comprendre la situation de crise
C. Favoriser l’expression des émotions
D. Briser l’isolement / fixer un but
E. Appeler un proche pour l’informer des idées suicidaires
F. Formuler la crise et le plan d’action

A

E

84
Q

Vrai ou Faux. L’alliance de travail correspond à la motivation du client à travailler en thérapie

A

V

85
Q

Quels sont les étapes lors d’une première rencontre avec une personne suicidaire ?

A

– Accueil: Créer un lien de confiance et susciter l’engagement –
Évaluer la sévérité des symptômes et la dangerosité
– Comprendre la situation de crise
– Favoriser l’expression des émotions
– Briser l’isolement / fixer un but
– Formuler la crise et le plan d’action – Effectuer le suivi après la crise

86
Q

L’alliance thérapeutique comporte des aspects qui sont …

A

affectifs et cognitifs.

87
Q

Dans l’étape de « formuler la crise et le plan d’action», qu’est-ce qu’il faut faire ? –

A

• Formuler à la personne notre compréhension
• Faire des hypothèses sur les liens entre : – La nature des événements ayant mené à la crise – L’intensité de la symptomatologie
– Les issues possibles pour gérer la crise
– Expliquer, nommer et normaliser le processus de la crise– Rechercher la collaboration de la personne
– Explorer les ressources de la personne et de son réseau de soutien
– Proposer des alternatives au suicide
– Mettre en place un filet de sécurité
– Mobiliser le réseau de soutien de la personne
– Contrat de non-suicide
– Donner un prochain rendez-vous

88
Q

Qu’est-ce que comporte un contrat de non-suicide verbal et écrit?

A

Verbal
– « Si d’ici à ce qu’on se revoit, tu souffres trop et que tu penses à t’enlever la vie, est-ce que tu sens en mesure de me promettre qu’avant de faire quoi que ce soit, tu vas m’appeler ou tu vas appeler le Centre de prévention du suicide au 1-866-APPELLE ? »
– Écrit
– Si je souffre trop et que je pense à m’enlever la vie, je promets qu’avant de faire quoi que ce soit, je vais appeler _______ au (tel)______ ou je vais appeler le Centre de prévention du au 1-866-APPELLE. Signé à Québec le (date) _______ par ________________

89
Q

Dans l’étape de «briser l’isolement» lors d’une première rencontre, l’intervenante souhaite :

A

• Il faut déterminer les ressources disponibles pour les mettre à contribution
• Informations à recueillir
– Quelles sont les répercussions de la crise sur l’entourage?
– Qui peut offrir du soutien?
– Quel est le niveau de satisfaction de la personne quant à l’aide que son entourage lui apporte?
• Soutenir et outiller les proches
• Réseau de soutien secondaire au besoin

90
Q

Qu’est-ce qu’on doit garder en tête lors d’une première rencontre avec une personne suicidaire ?

A
  • Type de crise
  • Stade du processus suicidaire
  • Facteurs prédisposants, précipitants et contribuants • Facteurs de protection
  • Connaissance des différentes résistances – Mécanismes de défense dont : le transfert et contre-transfert + Alliance thérapeutique
91
Q

L’objectif d’une première rencontre avec une personne suicidaire ?

A

– Repousser l’échéance du passage à l’acte
– Soutenir la personne suicidaire pendant la phase aiguë de sa crise
– Créer un « filet de sécurité »
–Transmettre à cette personne le sentiment qu’avec de l’aide elle pourra s’en sortir – « Modifier la trajectoire suicidaire »

92
Q

Lorsqu’on évalue la dangerosité du passage à l’acte, quels sont les facteurs prédisposants, contribuants, personnels les plus importants à avoir en tête ?

A

Clientèles cibles les plus à risque (Hommes 35-54 ans) – Planification du suicide (COQQ)
– Tentatives antérieures
– Capacité à espérer un changement
– Usage de substances psychoactives
– Capacité de l’individu à se contrôler (p. ex., niveau d’impulsivité) –
Présence de proches
– Capacité à prendre soin de soi

93
Q

Comment peut-on estimer la dangerosité du passage à l’acte ?

A

Évaluer la planification du suicide
– Aborder directement la question du suicide
–S’informer de la planification (à l’aide du COQ)
–S’informer de l’accès au moyen et des préparatifs
RUD

94
Q

Quels sont les 8 éléments à estimer dans la dangerosité du passage à l’acte ?

A

planification
(vert = flash , jaune = on peut y penser, mais on a pas le quand ou on a beaucoup de délais, orange = 24 - 72h, rouge = tentative en cours ou 24h et moins. )
tentative antérieur
capacité à espérer un changement, la consommation, le contrôle de soi, le réseau social, capacité à prendre soins de soi et l’Estimation finale (la cote )

95
Q

Vrai ou Faux. Dans la nouvelle grille d’évaluation de risque suicidaire, coter un élément dans le vert ou jaune est considéré comme un facteur de protection?

A

V

96
Q
Une personne qui vous dit avoir augmenté sa consommation de pot depuis quelques temps et que cela augmente ses symptômes dépressifs mais qu’elle garde le contact avec la réalité, se situe à quel niveau de la grille d’évaluation de la dangerosité?
A.	Vert
B.	Jaune
C.	Orange
D.	Rouge
A

C

97
Q

Quelle sera une des interventions à privilégier, si une personne a une majorité de « jaune » et quelques « orange » dans la grille d’évaluation de la dangerosité suicidaire?
A. Appeler l’ambulance et l’envoyer à l’urgence
B. Appliquer la loi P-38
C. Avec l’accord du client, informer la famille des idées suicidaires, mettre un filet de sécurité autour du client

A

C

98
Q

Le fait qu’une personne qui vous dit être très impulsive et avoir de la capacité à se contrôler sera considéré comme
A. Un facteur de protection coté « vert » ou « jaune »
B. Un facteur de risque coté « orange » ou « rouge »

A

B

99
Q

Lorsqu’on parle de : Létalité du moyen, dans le RUD on fait référence au risque, danger ou à l’urgence ?

A

Danger

100
Q

Lorsqu’on parle des facteurs de risques, dans le RUD on fait référence au risque, danger ou à l’urgence ?

A

RISQUE

101
Q

Lorsqu’on parle du quand et de l’accessibilité au moyen, dans le RUD on fait référence au risque, danger ou à l’urgence ?

A

Urgence

102
Q

Quelles sont les 10 prémisses de l’approches orientée vers les solutions ?

A

1- Toute personne dispose de ressources et de forces lui permettant de se libérer d’une préoccupation.
2-L’intervenant a comme mandat de trouver l’élément à changer et d’ampli er le changement.
3-Un petit changement peut être porteur d’autres changements.
4-Il n’est généralement pas nécessaire que l’intervenant en sache beaucoup sur la préoccupation elle-même pour aider la personne qui le consulte à s’en défaire.
5-Il n’est pas indispensable que l’intervenant connaisse la cause d’une préoccupation pour aider la personne qui le consulte à s’en défaire.
6-La personne suicidaire fixe elle-même ses objectifs.
7- Il est possible d’obtenir rapidement des changements et de se libérer rapidement d’une préoccupation.
8- Il n’existe pas de perception unique et correcte des choses, seulement une pluralité de points de vue tout aussi justes les uns que les autres.
9- L’intervention doit être axée sur ce qui est réalisable et peut être changé.

103
Q

Quel est le processus suggérer pour intervenir auprès des personnes suicidaires en CSSS

A

Accueillir et créer une alliance thérapeutique
Effectuer une première et brève exploration de la situation
Estimer la dangerosité du passage à l’acte
Fixer un but à atteindre
Trouver des solutions
Définir et
suivre un plan d’action
Conclure en sécurité l’entretien

104
Q

Comment pouvons-nous amener une personne suicidaire à se fixer un objectif ?

A

Inviter la personne suicidaire à penser selon la perspective de buts à atteindre
Aider la personne suicidaire à trouver une raison de vivre.
Poser la question miracle à la personne suicidaire l’aide à se projeter dans un avenir meilleur et à entre- voir des possibilités inexplorées. Il importe de l’amener à en parler de façon aussi concrète que détaillée et de l’encourager à décrire le « miracle » comme étant ce qu’elle désire vivre plutôt que comme ce dont elle ne veut pas
Poser la question retour à la personne suicidaire pour savoir comment son entourage pourrait percevoir les changements positifs qui s’opéreront dans sa vie constitue un moyen de lui fournir des indicateurs supplémentaires et concrets liés à son changement
Utiliser régulièrement la même question graduée
«Sur une échelle de 1 à 10, où vous situez-vous – 10 étant l’atteinte de votre but et 1, le pire scénario, celui qui vous éloignerait de ce but?»

105
Q

Comment définir et amener une personne à établir un plan d’action ?

A

Suggérer à la personne suicidaire une tâche qui l’amène à axer son attention sur les aspects positifs de sa vie, ce qui induit un changement dans la perception qu’elle a de sa situation ou d’elle-même
Inciter la personne suicidaire à être plus consciente de ses habiletés
Revenir sur les observations faites+ les réussites
Utiliser des questions qui laissent supposer que le changement s’est déjà amorcé a n que la personne suicidaire puisse voir la situation sous un angle nouveau
proposer une tâche qui invite la personne suicidaire à imaginer que le but qu’elle vise, soit celui qu’elle s’est axé antérieurement en répondant à la question miracle, est atteint
Dans certains cas, il peut s’avérer pertinent de faire une place aux proches

106
Q

Quels sont les pratiques à promouvoir pour les hommes ?

A

Répondre rapidement à la demande d’aide venant d’un homme
Utiliser l’intervention de groupe
Utiliser l’approche orientée vers les solutions, qui semble bien correspondre aux besoins des hommes. Faire une place aux proches de l’homme dans le suivi lorsqu’il y consent
Accorder de l’importance aux demandes d’aide faites par des proches d’un homme et traiter ces demandes. Il ne faut pas perdre de vue que les hommes semblent se sentir mal à l’aise de demander l’aide. En effet, près de la moitié des demandes d’aide pour un homme viennent de son entourage

107
Q

Pour intervenir auprès des personnes dépression, quelle approche est privilégier (2)?

A

cognitivo-behaviorale et la psychothérapie behaviorale

diminuer le désespoir et l’incidence de la tentative de suicide en fait des éléments prometteurs

108
Q

Pour intervenir auprès des personnes ayant un trouble de personnalité limite, l’approche à privilégier (2)?

A

Psychodynamique et dialectile comportementale.

109
Q

Pour intervenir auprès d’une personne ayant une rouble de schizophrénie, l’approche à privilégier (1) ?

A

cognitivo-comportementale

110
Q

Qui peut recevoir un suivi ?

A
  • Personne vulnérable :
  • Qui ne recevra plus de services suite à la crise suicidaire en quittant le service et qui n’a pas un réseau adéquat pour pallier
  • Qui présente toujours un risque élevé
  • Qui présente des facteurs de risque connus
  • Idéalement, toute personne qui retourne chez elle après une tentative (ex. programme SILAR).
  • Toute personne qui veut mieux comprendre les raisons qui l’ont amené en crise
  • Toute personne qui veut développer de nouvelles stratégies d’adaptation ou moduler celles existantes
111
Q

Qu’est-ce que l’approche orienté vers les solutions (les 3 principes)?

A

– Ne réparez pas ce qui n’est pas cassé;
– Une fois que vous savez ce qui fonctionne, faites plus de cette chose; –
Si la solution essayée ne fonctionne pas, essayez autre chose

112
Q

Dans les distorsions cognitives possibles, qu’est-ce que la pensée dichotomique ?

A

Voir les choses sans nuances, en noir ou blanc, selon le principe du tout ou rien.

113
Q

Qu’est-ce qui caractérise le modèle cognitif?

A

1-Désespoir
2- Faible capacité de résolution de problèmes
Particularités cognitives réduisant cette capacité :
Attitudes dysfonctionnelles
Pensée dichotomique et rigide
Incapacité à générer ou à appliquer des solutions alternatives Vision du suicide comme une solution souhaitable

114
Q

Qu’est-ce que le modèle cognitif ?

A

• La façon dont une personne perçoit et interprète son environnement détermine en grande partie ses émotions et comportements.

115
Q

qu’est-ce que la MBCT?

A
  • Combinaison de méditation et de TCC;

* Interactions corps et esprit

116
Q

Quel est l’objectif de la MBTC (3)?

A
  • Devenir plus conscients des sensations corporelles, des émotions et des pensées moments après moments
  • Développer des façons différentes d’être en relations avec ses pensées et sensations
  • Diminuer le « mode-faire » (p. ex., ruminations à répétition) pour le «mode-être »
117
Q

La TCC à connu 3 vagues. Quelles sont-elles ?

A

Vague 1: Comportements
Vague 2: Cognitions
Vague 3: Émotions

118
Q

Quel postulat parmi les suivants ne fait pas partie de l’approche orientée vers les solutions ?

A. Ne réparez pas ce qui n’est pas cassé
B. Une fois que vous savez ce qui fonctionne, faites plus de cette chose
C. Essayez de bien comprendre les relations familiales de votre enfance, pour mieux avancer
D. Si la solution essayée ne fonctionne pas, essayez autre chose

A

C

119
Q

Quel est le thème central de votre intervention dans l’approche orientée vers les solutions ?

A. L’ambivalence
B. L’instant présent
C. Le passé
D. La dépression

A

A

120
Q

Quelle différence importante retrouve-t-on entre la thérapie cognitive comportementale (TCC) traditionnelle de deuxième vague et la thérapie cognitive comportementale de troisième vague de type pleine conscience (« mindfulness ») ?

A.	La TCC de deuxième vague cherche à laisser passer les pensées, ne pas les confronter, alors que la TCC de troisième vague cherche à travailler sur les distorsions cognitives
B.	La TCC de deuxième vague cherche à travailler sur les distorsions cognitives alors que la TCC de troisième vague cherche à laisser passer les pensées, ne pas les confronter.
A

B

121
Q

Dans quel type de thérapie apprend-t-on à travailler sur accepter ses pensées et travailler ses comportements en fonction de ce qui nous rapproche le plus possible de nos valeurs ?

A. La thérapie interpersonnelle
B. La thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT)
C. La thérapie dialectique comportementale
D. La thérapie psychodynamique

A

B

122
Q

Quel type de thérapie est particulièrement indiquée pour travailler sur les comportements autodestructeurs ?

A. La thérapie interpersonnelle
B. La thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT)
C. La thérapie dialectique comportementale
D. La thérapie psychodynamique

A

C

123
Q

Quel type de distorsions cognitives utilise votre client si suite à une rupture amoureuse il vous dit : « Jamais je ne serai à nouveau en couple. Toutes les femmes sont pareils ! » ?

A. Personnalisation
B. Généralisation excessive
C. Attention sélective
D. Pensée dichotomique

A

B

124
Q

Quel type de distorsions cognitives utilise votre client si suite à son échec d’être accepté au doctorat en psychologie il vous dit : « Si je ne peux pas devenir psychologue, ma vie est finie. Mieux vaut cesser toutes études» ?

A. Personnalisation
B. Généralisation excessive
C. Attention sélective
D. Pensée dichotomique

A

D

125
Q

Quel élément parmi les suivants ne fait pas partie des fonctions du deuil ?

A. Fonction d’expression sociale par les réactions de chagrin à la suite d’une perte
B. Fonction de réorganisation des habitudes de vie
C. Fonction d’adaptation pour gérer le stress induit par la mort
D. Fonction de transformation des rôles sociaux devenue nécessaire pour l’adaptation des endeuillés à la nouvelle réalité dans laquelle ils auront à évoluer après le décès.

A

B

126
Q

Quel élément parmi les suivants ne fait pas partie des éléments reconnus comme spécifiques d’un deuil suite à un suicide d’un proche ?

A. Recherche de sens importante chez les endeuillés par suicide
B. Symptômes du deuil durent plus longtemps
C. Plus d’isolement et de solitude chez les endeuillés par suicide
D. Plus grande culpabilité chez les endeuillés par suicide
E. Plus de négociations dans le processus de deuil chez les endeuillés par suicide

A

E

127
Q

Quel but important fait partie des rencontres familiales suite à un suicide d’un proche ?

A. Faire ventiler les proches sur leur vécu personnel
B. Prévenir un déni du décès
C. Prévenir des comportements suicidaires chez d’autres membres de la famille.
D. Prévenir une dépression majeure chez les proches

A

C

128
Q

Vrai ou Faux. Après 3 mois, un deuil est considéré comme chronique.

A

Faux. Il n’y a pas de temps défini pour passer à travers un deuil. Un deuil sera considéré comme chronique et inadaptée si la personne présente des stratégies inadéquates d’adaptation (ex. alcoolisme pour endormir les émotions) ou si elle ne peut pas reprendre l’ensemble de ses habitudes de vie (ex. ne peut reprendre le travail, ses études) comme avant le deuil.

129
Q

Le modèle inspiré de Bowlby introduit 3 concepts:

A

– Protestation (choc initial + déni)
– Désorganisation (douleur, +++ émotions)
– Réorganisation (acceptation)

130
Q

Quels sont les principales conceptualisations théoriques du deuil de Kübler-Ross?

A
Choc
colère
négotiation 
dépression
acceptation
131
Q

Qu’est-ce que la Quête de sens chez les endeuillés par suicide?

A

• Les endeuillés cherchent souvent à comprendre les causes et raisons du suicide.
• La compréhension peut contribuer à ↓ le sentiment de culpabilité de l’endeuillé.
Si on ne trouve pas de sens à la perte:
– Sentiment d’impuissance devant la mort et peur de s’engager dans d’autres relations; – Sentiment d’être traître si s’engage dans relation nouvelle sans avoir trouvé de sens.

132
Q

Le modèle de Proraska, sont les stades de changements.

Qui sont-ils ?

A
Non contemplation 
Anti contemplation 
Pré-comptemplation 
comptemplation 
préparation 
action 
maintient 
intégration 
rechute
133
Q

Qu’est-ce que la non-contemplation ?

A

Aucune conscience ou idée de changer

La personne n’a aucune conscience de ce qu’elle fait ou pense qui devrait être changé

134
Q

Qu’est-ce que l’anti-contemplation ?

A

Très opposant, voire violent face à toute situation de changement
Survient parfois dans un contexte de prescription de la cour ou de recommandations médicales

135
Q

Qu’est-ce que la pré-contemplation

A

Nie les difficultés
Les avantages du problème surpassent les inconvénients
N’envisage pas le changement