jeu pathologique examen final Flashcards

1
Q

Quels sont les deux raisons qui font qu’un joueur pathologique est difficile à traiter ?

A

1- Les JP sont souvent atteints de plusieurs troubles psychologiques à la fois
2- Les JP ne sont pas toujours prêts à changer et à arrêter de jouer.

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2
Q

Combien de différents troubles avons nous besoins pour parler de comorbidité ?

A

2 problèmes ou plus

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3
Q

Quel est le pourcentage des JP qui vont présenter un autre trouble psychiatrique au cours de leur vie?

A

93%

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4
Q

Les JP vont généralement afficher d’autres problème que le jeu. Quels sont les autres troubles les plus fréquents? (Selon Bischof)

A
  • Trouble d’adaptation
  • Trouble anxieux
  • Trouble de l’humeur et idées suicidaires.
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5
Q

Comment le trouble d’adaptation peut se faire ressentir chez un JP?

A
  • 83% des JP auraient emprunté de l’argent pour éviter de sérieux problèmes
  • 1/5 effectura une demande de faillite
  • Taux arrestations plus élevés, incarcération, de dettes, difficultés relationnelles et divorces que les autres joueurs et non-joueurs.
  • Peut amener la personne au suicide.
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6
Q

Qu’est-ce qu’un trouble d’adaptation ?

A

La difficulté de la personne a faire face au difficulté de la vie et d’utiliser des moyens qui lui sont positifs.

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7
Q

Comment le trouble anxieux se faire ressentir chez un JP?

A
  • 37- 48% des JP vont être atteints de trouble anxieux.

- Celle-ci se manifesterait par: attaques de panique, inquiétudes excessives, anxiété sociale et phobies simples.

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8
Q

Est-ce vrai de dire que les JP vont faire leur sociale lorsqu’ils vont jouer ?

A

C’est faux. Parfois, c’est la défaite que ceux-ci utilisent, mais vue la concentration que ça demande, ce n’est pas réellement du social.

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9
Q

Est-ce vrai que le meilleur moment pour traiter un JP avec un dx de trouble bipolaire, c’est lorsque celui-ci est en manie?

A

Faux. On n’inclura pas le JP lors d’une manie. Par contre, il est possible d’être bipolaire et avoir un DX de trouble de jeu pathologique, mais jamais DX lors d’une manie.

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10
Q

Comment le trouble de l’humeur et les idées suicidaires peuvent se faire ressentir chez un JP?

A
  • 17-51% qui vont présenter un trouble de l’humeur.
  • 1/2 peuvent souffrir de dépression majeure
  • 1/4 aurait un trouble bipolaire.
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11
Q

Quels sont les taux :
1- Idéations suicidaires
2- tentatives de suicide

A

1- 25 à 92%

2- 4% à 40%

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12
Q

VRAI OU FAUX?

le trouble anxieux apparait en minorité AVANT l’apparition du JP?

A

FAUX, dans la majorité des cas (76%), le trouble anxieux serait présent AVANT l’apparition du JP

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13
Q

VRAI OU FAUX?

L’apparition d’un trouble affectif surviendrait APRÈS le déclenchement du JP?

A

Vrai (60% des cas)

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14
Q

Selon Premper & Schulz, outre le problème de jeu, les JP ont aussi des problématiques au niveau ?

A
  • Trouble d’abus / dépendance à l’alcool
  • Trouble d’abus / dépendance à la drogue
  • Trouble de dépendance à la nicotine
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15
Q

Le déclenchement et le maintient du jeu pathologique peuvent être prédits par certains diagnostiques (selon le DSM-IV), Quels sont-ils?

A
  • Trouble anxieux
  • trouble de l’humeur
  • Trouble du contrôle des impulsions
  • Trouble d’abus de substance
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16
Q

Le jeu pathologique peut prédire l’apparition de quel diagnostique ?

A
  • Trouble d’anxiété généralisé
  • Trouble de stress post-traumatique
  • Trouble de dépendance à une substance
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17
Q

Le joueur pathologique peut aussi avoir un trouble de personnalité. Quels sont les choses à retenir à ce niveau ?

A
  • 1/4 vont avoir un TP.
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18
Q

Quel est le trouble de personnalité le plus fréquent chez les JP?

A

TP antisociale (29%)

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19
Q

Lorsqu’on parle des troubles de personnalités et du risque d’abandon de traitement. Quel groupe de TP sont plus a risque d’abandonner un traitement ?

A

Groupe B.

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20
Q

Quels sont les impacts cliniques des troubles comorbides sur le traitement du jeu ?

A

1- Rends l’alliance thérapeutique plus difficile
2- Altère la façon d’aborder le traitement
3- réduit les chances d’amélioration rapide
4- Réduit bien souvent l’engagement dans le processus et augmentation la probabilité d’abandon du traitement.

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21
Q

Lorsqu’il est difficile de traiter un JP à cause de « l’altération de la manière d’aborder le traitement», à quoi faisons nous référence ?

A

EX: quelqu’un qui arrive en conso… on va traiter la conso avant le JP.

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22
Q

Il est important de faire une évaluation complète en début de traitement. Quelles sont les 4 raisons associées ?

A

1- Obtenir des cibles de traitement
2- déceler les obstacles
3- fournir des informations permettant d’ajuster nos interventions au patient
4- favoriser l’adhérence du patient à la thérapie.

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23
Q

Qu’est-ce que peut inclure une évaluation complète, en plus de l’évaluation du jeu ?

A
  • Outils de dépistage (DEBA-Alcool, DEBA-Drogue, plan suicidaire)
  • Questionnaires (MMP-II, BDI-II, BAI)
  • Entrevues semi-structurées ( DSM-IV, IGT-Toxicomanie)
  • Carnets d’auto-enregistrements, échelles de l’humeur
  • Mesures comportementales
  • Mesures remplies par l’entourage.
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24
Q

Lorsqu’on ne prends pas le temps de faire une bonne première évaluation, quels sont les risques?

A

1- Références inappropriées à d’autres services
2- abandons prématurés du traitement
3- stagnation du traitement
4- renforcement de la psychopathologie.

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25
Q

Comment est-ce possible de malheureusement faire des références inappropriées à d’autres services ?

A

Si l’intervenant coupe la parole rapidement et réfère en consommation, celui-ci n’a peut-être pas détecter le vrai problème.

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26
Q

Comment est-ce possible d’être en stagnation lors d’un traitement ?

A

Si on a fait l’évaluation trop rapidement, nous ne sommes pas au courant de tous ce qui se passe. Donc pas en mesure de bien accompagner par la suite.

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27
Q

Quels est l’impact de créer un renforcement de la psychopathologie ?

A

les personnes vont aller vers d’autres méthodes, car ils vont dire que ça ne fonctionne pas.

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28
Q

Quels sont les raisons pour expliquer l’escamotage de l’évaluation ?

A

1- Pression liée à celle-ci
2- Connaissance variables de l’intervenants au niveau de l’évaluation des différents troubles mentaux.
3- Croyance de devoir intervenir dans l’urgence.
4- Craindre l’abandon des patients si l’évaluation est trop étoffée.

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29
Q

La pression liée à l’évaluation qui peut créer un escamotage de l’évaluation fait référence à quoi exactement ?

A
  • liste d’attente,
  • limitation du nombre de rencontre pour l’évaluation,
  • contraintes économiques,
  • manque de ressources,
  • manque d’accessibilité au programmes spécialisée
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30
Q

Comment la croyance de devoir intervenir dans l’urgence durant l’évaluation qui peut créer un escamotage de l’évaluation fait référence à quoi exactement ?

A

Parce que les clients qui arrivent sont souvent en détresse intense et que les JP vont consulter quand
ils ont réellement tout perdu et veulent un résultat maintenant. Donc ça nous met souvent plus rapidement dans le traitement que ce qui aurait dû être fait au départ. Donc, important de nommer et d’expliquer le besoin de faire bien la première
évaluation.

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31
Q

Est-ce vrai de dire que les gens abandonnent souvent le traitement ?

A

C’est faux. En réalité, les gens n’abandonnent pas, mais c’est la croyance. En vrai, ils vont abonder le traitement souvent, car ils réalisent l’argent qu’ils vont perdre reviennent par la suite.

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32
Q

Vrai ou faux ?

Les patients qui consultent souhaitent connaître les problèmes qui les affligent?

A

vrai

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33
Q

Vrai ou faux ?

La moitié des joueurs abandonnent prématurément le traitement ?

A

V

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34
Q

Vrai ou faux ?

Le taux d’efficacité de la TCC est de 86%

A

F, en fait il est de 86%, mais lorsqu’on tient compte de l’intention de traitement dans les analyses, on chute à 36%

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35
Q

Vrai ou faux ?

Les rechutes et les chutes sont normales durant le traitement ?

A

V

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36
Q

Vrai ou faux ?

Le plus facile dans le traitement est de corriger les croyances ?

A

F, le faire jusqu’au bout c’est difficile.

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37
Q

Vrai ou faux ?

1/3 des joueurs vont faire la thérapie au complet et la réussir en 1 seule fois ?

A

V

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38
Q

Quels sont les 1ere réaction envers les JP qui résistent aux recommandations ?

A

1- ils oublient de faire les exercices proposés ou oublient d’assister aux rencontres prévues
2- ils ne comprennent pas
3- ils ne sont pas capables de les appliquer
4- ils décident de ne pas utiliser les outils thérapeutiques proposés.

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39
Q

2 types d’interventions suggérés pour les JP?

A

TCC

Approche motivationnelles

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40
Q

Quels sont les deux interventions réflexes que les intervenants peuvent avoir lorsqu’une personne résiste à appliquer les recommandations?

A
  • Stratégie meneuse de claque

- Mettre de la pression.

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41
Q

Qu’est-ce que la stratégie meneuse de claque ?

A

Ajouter des interventions visant à augmenter l’adhérence des joueurs au traitement

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42
Q

Est-ce que la stratégie de meneuse de claque fonctionne ?

A

Parfois oui. Mais ils demeurent un pourcentage de gens pour qui, ça ne fonctionnera pas

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43
Q

Quels sont les risques pour l’intervenant lorsque celui-ci utilise la stratégie de meneuse de claque ?

A

On peut le faire un temps, mais on s’épuise à la longue.

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44
Q

Comment est-ce possible d’utiliser la technique « de mettre de la pression »?

A
  • Former davantage les intervenants des différents milieux
  • Faire donner les informations par des spécialistes
  • Augmenter l’intensité et la longueur de la psychoéducation et de la période de pratique des habiletés
  • Exiger au joueur d’assister aux rencontres et de faire les exercices proposés
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45
Q

Est-ce que la technique «mettre de la pression » fonctionne ?

A

Certains vont répondre à ce type de technique mais d’autres non.

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46
Q

Mettre de la pression et faire la meneuse de claque sont-ils au final, des stratégies qui fonctionnent?

A

On a vue que oui et non. Mais au final pas vraiment. Ce sont des stratégies qui peuvent être correct mais elles ne sont pas optimal.

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47
Q

Quel moyen est le plus efficace pour favoriser l’adhérence au traitement chez les joueurs pathologiques?

A

L’approche motivaitonnelle

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48
Q

Quelles sont les trois composantes du changement ?

A

1- Analyse du changement et interventions motivationnelles
2- Éducation
3- Application des recommandations (acquisition d’habiletés)

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49
Q

V ou F ?
Lorsque la personne n’effectue pas les tâches suggérées par l’intervenant, dans l’approche motivationnelle, nous cessons le traitement ?

A

F. En fait on va aller vérifier ce qui créer de la résistance. Pour par la suite le défaire et poursuivre le traitement.

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50
Q

On dit que la résistance est normale, car le JP prend la décision d’arrêter de jouer. Ceci inclus dans cette décision en lien avec la résistance ?

A

-RECONNAÎTRE et ACCEPTER que l’argent misé est perdu à jamais
-S’avouer VAINCU(E) ou BATTU(E) par le jeu
- Vivre le DEUIL de toutes les pertes de temps et d’argent
associées au jeu
- CESSER de voir le jeu comme une solution à court terme
- PENSER À UNE RÉORGANISATION de sa vie, de son entourage et de ses finances
- TRAVAILLER FORT à l’application des nouvelles stratégies

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51
Q

Qu’est-ce que la résistance ?

A

La résistance est l’incompatibilité entre le stade où se situe la personne et le stade où l’intervenant aimerait que la personne soit

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52
Q

Quels sont les 6 stades de changement communs?

A
  • Précontemplation
  • Contemplation
  • Préparation
  • Action
  • Maintien
  • la sortie (la rémission). Celle-ci est parfois remplacé par la rechute
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53
Q

Qu’est-ce que la précontemplation ?

A
  • Non-reconnaissance d’un problème, déni
  • Pression exercée par les autres
  • Absence d’intention de changement
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54
Q

Qu’est-ce que la contemplation ?

A
  • Ambivalence
  • Client n’est pas convaincu à 100% d’avoir un problème
  • Absence d’action concrète
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55
Q

Lorsque le client utilise le: «oui, mais… » ou va argumenter et s’obstiner avec l’intervenant sur la problématique. Celui-ci est généralement à quel stade ?

A

Contemplation.

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56
Q

Qu’est-ce que le stade de la préparation ?

A
  • Intention de changement exprimé
  • Conviction que le problème existe
  • Mesures d’action non entreprises
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57
Q

Lorsque le client utilise le : faudrait… à quel stade sommes-nous ?

A

Préparation.

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58
Q

Qu’est-ce que le stade de l’action ?

A

Expérimentation concrète de moyens pour actualiser le changement
Application des recommandations et implication directe dans le plan établi.

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59
Q

Qu’est-ce que le maintien?

A

Identification des facteurs associés au risque de rechute

consolidation des apprentissages.

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60
Q

Qu’est-ce l’étape de la sortie (ou rémission)

A
  • Changement fait et consolidé (ici, on applique plus de solution, car le problème est réglé)
  • n’est plus dans de la psychothérapie et il y a absence de rechute depuis un certain temps.
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61
Q

Comment pouvoir nous déterminer le stade de changement d’une personne ?

A

Via des questions ouvertes tel que :

- Que pensez-vous de l’idée de…

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62
Q

Donnez des éléments possibles de voir, lorsqu’une personne est au stade de la précontemplation?

A

 Déni: Je n’ai pas de problème
 Minimisation: Ce n’est pas grave
 L’expression qu’il n’est pas là pour lui, mais pour d’autres  Attitude insouciante
 Explorer le non verbal

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63
Q

Donnez des éléments possibles de voir, lorsqu’une personne est au stade de la contemplation ?

A

 Les oui, mais…
 L’argumentation
 Les moments de réflexion «hem…»
 Les «je veux» suivis de «je ne veux pas», «je ne sais pas»
 Les peut-être
 Le conditionnel
 Le recul ou le balancier lorsqu’on s’approche d’une proposition de changement

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64
Q

Donnez des éléments possibles de voir, lorsqu’une personne est au stade de la préparation ?

A

 Expression de vouloir changer
 Il faut que je change…
 Poser des questions sur comment il peut changer
 Exprimer qu’il ne sait pas comment changer, mais qu’il
aimerait acquérir de l’information ou des habiletés
 S’informer des options de traitement

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65
Q

Donnez des éléments possibles de voir, lorsqu’une personne est au stade de l’action ?

A

 Exprimer qu’il veut changer et prendre des moyens
concrets pour le faire
 Énumérer des moyens qu’il a pris pour changer et parler
de ses expériences ou tests qu’il a tentés
 Avoir une attitude combative face aux problèmes
 Sentir un vrai désir de s’en sortir, vouloir changer pour
lui-même et non pour les autres

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66
Q

Vrai ou faux

Une entrevue motivationnelle est considérée comme une thérapie ?

A

Faux, l’entrevue motivationnelle ce n’est pas le traitement. C’est le contenant, c’est ce qui l’entoure. C’est un outils, une manière de faire.

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67
Q

Quels sont les éléments essentiels pour maintenir une entrevue motivationnelle?

A

1- attitude
2- Susciter, explorer et résoudre l’ambivalence
3- Renforcer tout discours de changement
4- Trouver un objectif partagé

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68
Q

Lorsqu’on parle de l’Attitude durant l’entrevue motivationnelle, qu’est-ce qu’il faut garder en tête et faire ?

A
  • Être centré sur le discours de la personne
  • Avoir une écoute empathique  L’empathie n’est jamais totale.
  • L’intervenant maintient un détachement objectif afin de ne pas être submergé par les problèmes du client.
  • Avoir une position non autoritaire
  • Ne pas jouer à l’expert
  • Avoir une position d’ouverture véritable (ne pas juger)
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69
Q
  • À LIRE plutôt que de répondre… *

Donne un exemple de discourt d’ouverture :

A

«On te recommande de cesser de jouer complètement, mais on respecte ton droit à faire tes propres choix. Tu peux jouer autant que tu le veux; le nombre d’heures passées à jouer dépend probablement des bénéfices et conséquences que tu en retires. On peut t’aider à clarifier ces conséquences et t’offrir de l’aide si tu en veux, mais on ne veut pas diriger ta vie.»

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70
Q

Lorsqu’on pose des questions tels que:
 Si vous décidiez de… qu’est-ce que vous pourriez retirer de ce changement?
 Quels seraient les points positifs pour vous, qu’est-ce que ça vous apporterait?
 Quels seraient les avantages de changer?
 Pourquoi est-ce que les gens de votre entourage
s’inquiètent à votre sujet?
 Habituellement, pour quelles raisons les gens décident- ils de changer dans une telle situation?
Que voulons-nous cibler ?

A

La conviction

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71
Q

Lorsqu’on pose des questions tels que :
- Que pensez-vous de l’idée de …
- Si on vous proposait de …. qu’elle serait votre opinion à ce sujet ?
On tente de faire quoi ?

A

Cibler le stade de changement.

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72
Q

Comment pouvons- nous déceler un discours de changement ? * OuVER *

A
  • poser des questions OUvertes
  • Valoriser la personne
  • avoir une Écoute réflective en utilisant les reflets
  • faire des Résumés fréquents
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73
Q

Avec quels questions pouvons-nous cibler la confiance ?

A

 Si vous décidiez vraiment de… à combien évaluez- vous vos chances de réussir et pourquoi?
 Qu’est-ce qui vous permet de croire que vous pourriez y arriver?
 Quels sont vos ressources internes, vos qualités ou même vos défauts qui vous font dire que vous allez arriver à faire ce changement?
 Qu’est-ce qui pourrait vous empêcher d’effectuer ce changement?

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74
Q

Quels sont les types de reflets que nous pouvons utiliser pour avoir une écoute réflective (5) ?

A

 Reflet simple (refléter avec les mêmes mots)
 Reflet sentiment (refléter l’émotion transmise)
 Reflet complexe (refléter avec d’autres mots que ceux de la personne)
 Reflet amplifié (refléter en exagérant)
 Reflet des deux côtés (refléter l’énoncé et son contraire dit préalablement)

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75
Q

Quels sont nos objectifs lorsque nous sommes face à une personne au stade de la précontemplation ? (3)

A
  • Bâtir la confiance.
  • Semer un doute.
  • Exprimer nos craintes et nos inquiétudes face à sa situation et garder la porte ouverte.
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76
Q

Quels sont nos objectifs lorsque nous sommes face à une personne au stade de la contemplation ? (3)

A
  • Normaliser l’ambivalence.
  • Avantages/inconvénients.
  • Mettre en évidence les intentions de changer.
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77
Q

Quels sont nos objectifs lorsque nous sommes face à une personne au stade de la préparation ? (4)

A
  • Clarifier les attentes et buts de la personne.
  • Donner de l’information sur les ressources ou les solutions et les traitements offerts.
  • Négocier un plan et établir un contrat.
  • Considérer et réduire les barrières au changement.
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78
Q

Quels sont nos objectifs lorsque nous sommes face à une personne au stade de l’action ? (5)

A
  • Aider la personne à comprendre et identifier les situations à risque.
  • Donner de la théorie afin de l’aider à développer des stratégies pour résoudre ses problèmes.
  • Aborder ensemble les problèmes.
  • Encourager les expériences, les tests, la pratique, l’exposition et la répétition.
  • Souligner les succès.
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79
Q

VRAI OU FAUX:

En approche motivationnelle, l’intervenant va généralement cibler trois comportement problématique à travailler ?

A

FAUX, Un seul comportement

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80
Q

VRAI OU FAUX ?

L’intervenant souhaite faire avance son client d’un stade de changement par rencontre ?

A

VRAI.

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81
Q

Qu’est-ce que l’évaluation qu’un intervenant peu faire?

A
  • Une mesure quantitative et qualitative des comportements, des cognitions, des émotions et des perceptions.
  • Elle comporte des éléments objectifs et subjectifs
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82
Q

Vrai ou faux ?

Lors d’une évaluation, on tient seulement compte des éléments objectifs ?

A

Faux

Objectif et subjectif

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83
Q

Qu’est-ce que du dépistage ?

A

Action visant à trouver dans une population donnée les

personnes qui ont besoin de soins, de réadaptation ou d’intégration sociale.

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84
Q

Qu’est-ce que l’évaluation (définition)

A

Mesure de la différence physique, psychique et sociale des

personnes dans le but de les intégrer à un processus de réadaptation, d’adaptation ou d’intégration sociale.

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85
Q

Nomme 3 outils de dépistage

A

SOGS
NODS
DEBA-jeu

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86
Q

Nomme 2 outils pour évaluer

A
DSM 5 (Est-il ou non malade)
EDJP-r (Qu'elle est l'étendu de son problème)
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87
Q

Que permet l’évaluation au clinicien ?

A

1- Formuler des hypothèses sur 2 choses :
a) ce qui maintient le problème de son client
b) ce qui permettrait de résoudre le problème de son client
2- Élaborer un plan de traitement basé sur ces hypothèses
3- Poursuivre avec ce plan, de le modifier ou de terminer l’intervention selon les résultats obtenus.

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88
Q

Vrai ou faux?

L’évaluation se continue pendant le traitement ?

A

Vrai

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89
Q

Quelles questions sont importantes lorsque la thérapie est commencée pour poursuivre notre évaluation ?

A

1) Le traitement est-il efficace? (est-ce que les problèmes du client diminuent?)
2) le traitement est-il exécuté de façon adéquate?
Et il faut recueillir des données pour répondre du mieux possible à ces questions.

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90
Q

Quels sont les trois types d’évaluation ?

A

1- Initiale
2- post-traitement
3- de suivi

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91
Q

Quels sont les objectifs d’une évaluation initiale ? (10)

A
  • Établir un climat de confiance
  • Déterminer la nature et la gravité du problème de jeu
  • Vérifier la présence et la gravité d’autres problèmes
  • Vérifier la gravité des conséquences
  • Comprendre les raisons pour lesquelles l’individu
    souhaite changer
  • Déterminer les objectifs du traitement
  • Déterminer à quel stade de motivation l’individu se situe
    -Déterminer les interventions à mettre en place
  • Monter un plan de traitement adapté aux besoins de l’individu (en fonction des priorités)
  • Établir la liste des ressources et des limites
92
Q

Quels sont les objectifs d’une évaluation post-traitement (5) ?

A
  • Faire le point sur ce qui a été acquis pendant le traitement
  • Déterminer si les objectifs du traitement ont été atteints
  • Déterminer de nouveaux objectifs
  • Mesurer les changements à différentes variables mesurées avant le début du traitement
  • Référer au besoin
93
Q

Quels sont les objectifs d’une évaluation de suivi (3) ?

A
  • Vérifier le maintien dans le temps de ce qui avait été acquis pendant le traitement
  • Déterminer si les objectifs du traitement se maintiennent
  • Refaire quelques rencontres additionnelles (booster sessions) ou référer au besoin.
94
Q

Qu’est-ce que des Booster sessions ?

A

Ajouter des rencontres additionnelles pour consolider les acquis

95
Q

Quels sont les éléments directement en lien avec les habitudes de jeux que nous devons considérer lors d’une évaluation ?

A
  • Critères diagnostiques du DSM pour le jeu ( ou également instrument de dépistage tel que le SOGS ou DEBA-jeu
  • Motifs de consultation
  • Renseignements sur l’Acquisition des habitudes de jeu
  • Renseignements sur le problème de jeu actuel
  • Gravité des conséquences dues au problème de jeu
  • Présence d’idées suicidaires
96
Q

Quels peuvent être les motifs de consultation d’une personne ?

A

Décision personnelle ou fortement «encouragée» par l’extérieur.

  • Menace de rupture ou pression du conjoint ?
  • Perte d’une relation (rupture) à cause du jeu ?
  • Ordre de la cour ?
  • Menace ou pression d’un employeur ?
  • Perte d’un emploi à cause du jeu ?
  • Perte de contrôle sur les activités de jeu ?
  • Perte de biens matériels importants ?
97
Q

Quels renseignements sur l’acquisition des habitudes de jeu cherche-t-on ? (3)

A

Durée du problème de jeu
Type(s) de jeu(x)
Événements précédents le début du problème de jeu

98
Q

Avec quelle information pouvons nous définir le problème de jeu actuel de notre patient ?

A

fréquence des séances de jeu
Durée des séances de jeu
Montant dépensé au jeu
Situations à risque de jouer excessivement.

99
Q

Lorsqu’on parle de la gravité des conséquences dues au problème de jeu, quels sont les conséquences possibles ? (10)

A
Vie sociale
Vie conjugale
Vie familiale
Travail/études
Humeur
Sommeil
Santé psychologique
Santé physique
Situation financière
Qualité de vie.
100
Q

Lorsque nous évaluation la présences d’idées suicidaires, quels sont les trois aspects que nous regardons ?

A
  • Pensées suicidaires
  • Intentions de passer à l’acte
  • Tentative de suicide
101
Q

Vrai ou faux :

Les tentatives de suicide chez la population des JP est augmenté ?

A

V:
12-16% des JP on demandé de l’aide en lien avec des tentative de suicide et leur besoin d’aide dans leur habitudes de jeu.

102
Q

Est-ce que les JP ayant des pensées suicidaires vont demandés de l’aide lorsqu’ils ont des pensées suicidaires ?

A

36-50% des JP vont le faire dans ce contexte.

103
Q

Vrai ou faux, les pensées suicidaires et les tentatives de suicides sont plus élevés chez les JP que la population générale ?

A

Vrai.

104
Q

Quels sont les éléments à considérer lors d’une évaluation, qui sont INDIRECTEMENT liés aux habitudes de jeu ? (4)

A

Présence de d’autres dépendances
Présence de trouble de l’humeur
présence de trouble de la personnalité
Tout autre facteur pertinent (maladie physique, prise de médication, limites, ressources, etc.)

105
Q

Quels sont les deux conditions pour que le client soit prêt à changer (en lien avec sa motivation)

A
  • perçoit l’importance de changer son comportement

- confiance en sa capacité de changer.

106
Q

VRAI OU FAUX :

Les joueurs excessifs sont une population homogène

A

FAUX

contrairement à ce que l’on a cru longtemps, ils ne sont pas une population homogène.

107
Q

Selon les typologies de Blaszczynski, quels sont les 3 catégories d’éléments qui joue un rôle sur les types de joueurs ?

A

1- facteurs environnementaux (disponibilité et accessibilité des jeux)
2- le conditionnement et la réponse provoquée chez le joueur
3- le développement de schémas cognitifs inappropriés

108
Q

Selon les typologies de Blaszczynski, quels sont les 3 types de joueurs excessifs ?

A
  • joueurs conditionnés
  • joueurs émotionnellement vulnérables
  • joueurs ayant des problèmes d’impulsivité dont l’origine est d’ordre biologique.
109
Q

Selon les typologies de Blaszczynski, qu’est-ce qui appartient aux joueurs conditionnés ?

A

pas de pathologie sous-jacente
traitement: exceptionnel;;est pronostics
Candidats possibles au jeu contrôlé

110
Q

Les joueurs conditionnés, comment se développe la dépendance ?

A

1- Facteur écologique ( disponibilité et accessibilité accrue du jeu)
ENSUITE
2- Conditionnement opérant et classique (excitation aux jeu physiquement et psychologiquement et l’apparition de schémas cognitif * pensée irrationnelle et l’illusion de contrôle)
ENSUITE
3- Habitude qui commence (pattern de jeu établi)
ENSUITE
4- Désir/besoin ( gagner plus, perdre moins que prévue)
ET
5- problème et pathologie du jeu

111
Q

Selon les typologies de Blaszczynski, qu’est-ce qui englobe les particularités des joueurs émotionnellement vulnérables ?

A
  • Facteurs de vulnérabilité déjà présents
  • Désir de soulager leurs problèmes
  • Ont vécu des expériences difficiles, traumatismes ou présentent des traits de personnalité névrotique
  • Traitement : traitement cognitif et autres interventions plus poussées
112
Q

Comment se développe la dépendance chez les joueurs émotionnellements vulnérables ?

A

1- Facteurs écologique ( accessibilité et disponibilité accrue)
ENSUITE
2- Vulnérabilité émotionnelle (durant l’enfance: personnalisée perturbatrice: prendre des risque, dépression, anxiété, stresser de vie, utilisation de substance, personne vivant beaucoup d’ennuie), Facteurs de vulnérabilité au niveau biologique (biochimie *séro, nora, dopa) et Cortical EEG différents
ENSUITE
3- Conditionnement opérant et classique (excitation aux jeu physiquement et psychologiquement et l’apparition de schémas cognitif * pensée irrationnelle, pensée erronée, mauvaise évaluation du jeu, erreur de jeu et l’illusion de contrôle)
ENSUITE
3- Habitude qui commence (pattern de jeu établi)
ENSUITE
4- Désir/besoin ( gagner plus, perdre moins que prévue)
ET
5- problème et pathologie du jeu

113
Q

Selon les typologies de Blaszczynski, les joueurs ayant des problèmes d’impulsivité dont l’origine est biologique démontre quels particularités ?

A

Déséquilibre neurochimique
Recherche d’activité permettant des renforcements immédiats
Plusieurs problèmes de comportements
Traitement: travail à long terme, médication.

114
Q

Comment se développe la dépendance chez les joueurs ayant des problèmes d’impulsivité dont l’origine est biologique ?

A

1- Facteurs écologique ( accessibilité et disponibilité accrue)
ENSUITE
2- Vulnérabilité émotionnelle (durant l’enfance: personnalisée perturbatrice: prendre des risque, dépression, anxiété, stresser de vie, utilisation de substance, personne vivant beaucoup d’ennuie), Facteurs de vulnérabilité au niveau biologique (biochimie *séro, nora, dopa) et Cortical EEG différents ET
Traits d’impulsivité (neuropsychologie : ADHD, Impulsivité, abus de substance et anti-social parfois)
ENSUITE
3- Conditionnement opérant et classique (excitation aux jeu physiquement et psychologiquement et l’apparition de schémas cognitif * pensée irrationnelle, pensée erronée, mauvaise évaluation du jeu, erreur de jeu et l’illusion de contrôle)
ENSUITE
3- Habitude qui commence (pattern de jeu établi)
ENSUITE
4- Désir/besoin ( gagner plus, perdre moins que prévue)
ET

115
Q

Qu’est-ce que ça apporte de reconnaître le profil d’un joueur ?

A

Nous aide à déterminer quel :
type + degré d’aide
qui lui convient le mieux.

116
Q

Qu’est-ce que nous savons à ce jour, sur le traitement des joueurs ?

A
  • Absence d’accord sur une façon unique de traiter le jeu pathologique.
  • Plusieurs approches utilisées
  • Peu d’études valables (essais cliniques avec groupe de contrôle)
  • Plusieurs limites méthodologiques à ces études.
117
Q

Qu’est-ce que les Glamblers Anonyme ?

A
  • Une approche populaire
  • Programme de 12 étapes
  • Efficacité limitée
  • Thérapie par une professionnel combiné avec les GA.
118
Q

À l’intérieur des 12 étapes, qu’est-ce que le joueurs fera?

A
  • Admettre son impuissance face au jeu
  • Remettre sa destinée dans les mains d’une puissance supérieure
  • Admettre ses erreurs.
119
Q

Que savons-nous en ce qui concerne le traitement psychodynamique ?

A
  • Approche qui est moins fréquente
  • Travaux faits principalement à partir d’études qui ne contiennent pas d’évaluation rigoureuse en post-traitement et aucune évaluation de suivi n’est faite
  • Aucune étude contrôlée n’a été faite en lien avec l’efficacité de ce type de thérapie.
120
Q

Que savons-nous en ce qui concerne le traitement pharmacologique?

A
  • Aucun médicament ciblé est reconnu officiellement
  • Données cliniques montrent que le jeu pathologique. pourrait répondre à un éventail d’agent pharmacologique, donc les antidépresseurs
    • Grande efficacité à réduire le jeu pathologique. que l’absence de TX ou de placebo.
121
Q

Dans les nouvelles approches, l’intervention brève en fait partie. Qu’est-ce que l’on sait à ce sujet ?

A
  • Comportement un entrevue motivationnelle et le manuel d’auto-traitement. Donc, un nbr important de joueurs ne souhaitent pas consulté. Les manuels d’auto-traitement et les interventions brève ont un aspect attrayant et peuvent représenter une alternative efficace et non menaçante.
122
Q

Quels approches peut perte attrayante et efficace lorsqu’on a des clients qui souhaitent plus ou moins avoir de consultation ?

A

Manuel d’auto-traitement et les interventions brèves.

123
Q

Quels sont les résultats (conclusion) de la méta-analyse de Pallesen en ce qui concerne l’efficacité des approches thérapeutiques (GA, entrevue motivationnelle et thérapie éclectique)?

A

Une intervention psychologique amène de meilleurs résultats thérapeutiques chez le JP comparativement à aucun traitement.
Suivi: gains thérapeutiques importants suites au traitement et maintien de ces gains à + long terme que aucun traitement.

124
Q

Qu’et-ce que la littérature relève sur le traitement du jeu pathologique ?

A

Que les traitements combinant des interventions comportementales + cognitives qui ont le + de support empirique.

125
Q

Thérapie comportementale et sa croyance envers le jeu est que :

A

Le jeu est un apprentissage. Il peut y avoir extinction du comportement de jeu par manipulation de l’environnement

126
Q

Thérapie cognitive et sa croyance envers le jeu est que :

A

Ce sont les pensées irrationnelle (pensées erronées, distorsions cognitives, erreurs de pensée) qui encourage le jeu excessif.

127
Q

Selon quel thérapie, le jeu est considéré comme un apprentissage et qui peu être manipulé par l’environnement ?

A

Thérapie comportementale.

128
Q

Selon quel thérapie, le jeu est considéré comme un problème au niveau des pensées ?

A

Thérapie cognitive.

129
Q

L’objectif de l’intervention lorsque nous sommes en thérapie comportementale (2)?

A
  • Eviter les stimuli (déclencheurs ou situation à risque lorsque possible
    ET/OU
  • Si on ne peut éviter le stimulus, on va remplacer le comportement de jeu par une autre activité.
130
Q

Quel est le postulat de base de l’Approche cognitive (thérapie cognitive) ?

A

Si une personne a une perception adéquate de la situation, elle sera plus fonctionnelle et adaptée à son environnement. Si à l’opposée, cette personne à des pensées erronées et inadéquates, elle risque de développer un problème.

131
Q

Quel est l’objectif d’une intervention en thérapie cognitive?

A
  • Que le joueur soit en mesure de reconnaître ses pensées erronée et à la remplacer par des pensées qui sont en accord avec la réalité des jeu de hasard et d’argent.
132
Q

Quel est l’objectif de la thérapie comportementale-cognitive ?

A
  • Rendre l’individu conscient que ses pensées et le comportements problème sont devenus automatiques
  • Modifier les pensées automatiques qui influenceront le comportement de jeu
  • Travailler parallèlement sur des cibles comportementales.
133
Q

Comment pouvons nous encourager la motivation au changement chez une personne (dans la TCC)

A

Un exercice de motivation, la balance décisionnelle : avantages/désavantages.
Aspects positifs du jeu VS Conséquences négatives du jeu et aspects négatifs de cesser de jouer VS avantages à cesser de jouer.

134
Q

Préciser l’objectif à atteindre pour le joueur face à ses habitudes de jeu (3)

A

a) arrêter de jouer (abstinence totale)
b) diminuer ou contrôler ses habitudes de jeu
(réduction)
c) l’abstinence au jeu posant problème

135
Q

Comment pouvons nous autonomes ses habitudes de jeu ?

A
  1. Jusqu’à quel point ai-je l’impression que mon problème de jeu est résolu ou maîtrisé ?
  2. À quel point ai-je envie de jouer aujourd’ hui ?
  3. Jusqu ’à quel point ai-je l’impression de pouvoir résister au jeu ou pouvoir m’abstenir de jouer ?
    0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
  4. Ai-je joué aujourd’hui?
  5. Combien de temps ai-je joué pendant la journée ? (heures et minutes)
  6. Combien d ’argent ai-je dépensé au jeu ?
  7. Spécifier mes états d ’âme ou les événements particuliers de la journée
136
Q

Lorsque nous sommes en traitement avec un joueur, quels sont les interventions comportementales possibles ?

A

Reconnaître les situations à risque et déterminer des stratégies concrètes à mettre en place.

137
Q

Reconnaître les situations à risque quand le joueur… ?

A
  • Consomme de l’alcool ou drogue
  • Manque d’occupation
  • Lorsqu’il a de l’argent ou qu’il manque d’argent
  • Lorsqu’il ressent des émotions positifs ou négatifs
  • Lorsqu’il vit des problèmes relationnels (travail/maison)
  • Souhaite tester sa maîtrise de soi
  • est incité à jouer par les autres.
138
Q

Lorsque nous sommes dans les interventions cognitives, en traitement qu’est-ce que nous souhaitons aborder (les incontournables) ?

A

1- Analyse de la séance de jeu
2- définition du hasard et situation à risque
3- erreurs de pensée (exercices à moi de jouer)

139
Q

Quel est notre objectif lorsqu’on demande à un joueurs d’analyser sa séance de jeu ? (4)

A

Identifier les pensées erronées du joueurs par rapport au jeu
Déterminer ce qui déclenche l’envie de jouer avec les pensées et les émotions qui l’accompagnent
Préciser le style de jeu spécifique du joueur
Comprendre comment il joue et pourquoi il ne peut arrêter.

140
Q

Nomme une méthode utilisé pour « l’analyse de la séance de jeu»

A

Méthode de la pensée à haute voix

141
Q

Qu’est-ce qui est inclus, lorsque nous utilisons la méthode de la pensée à haute voix ?

A
  • On part de la séance de jeu la plus récente
  • Détermine la situation à risque: le déclencheur du goût de jouer
  • Recherche les pensées à la base de chaque comportement
  • Découvrir comment se manifestent la conviction de gagner et la tendance à prédire.
142
Q

Quels sont les objectifs (5) lorsqu’on veut définir la notion du hasard et des situations à risque auprès du joueur ?

A
  • Clarifier avec le joueur la définition du hasard,
  • Faire la distinction entre les jeux d’adresse et les jeux de hasard
  • Sensibiliser le joueur aux situations à risque et à son discours intérieur afin qu’il puisse les reconnaître
  • Démontrer au joueur l’influence de ce discours intérieur sur la décision de jouer
  • Prendre connaissance de la chaîne de comportements liés au jeu excessif.
143
Q

Quels sont les objectifs (2) lorsqu’on abordent les erreurs de pensée ?

A
  • Informer le joueur des différents pièges des jeux de hasard et d’argent afin qu’il puisse reconnaître ses erreurs de pensée
  • Semer un doute chez le joueur en ce qui concerne ses croyances par rapport au jeu.
144
Q

Qu’est-ce que le modèle A-B-C- appliqué au jeu excessif ?

A

Il vise à apprendre à l’individu à reconnaître les pensées qui se cachent derrière ses émotions et ses comportements.

145
Q
Qu'est-ce qui est relié aux les 
A
B
C
du modèle A-B-C-
A

A: Situation à risque (je reçois mon chèque de paie…)
B: Pensée automatique (je me dis que …)
C: Conséquences (je vais jouer, je mets plus d’$ que prévue…. je perds tout).

146
Q

Qu’est-ce que les objectifs des exercices: « À moi de jouer» (2)

A
  • Aider le joueur à remettre en question ses pensées erronées concernant le jeu
  • Faire prendre conscience au joueur qu’il a le pouvoir de décider de jouer ou non
147
Q

Qu’est-ce que les exercices « À moi de jouer», permettent ?

A

D’ordonner ses pensées et agir sur celle-ci.

148
Q

Lorsqu’on aborde la prévention de la rechute, quels sont nos objectifs (3) ?

A

Préparer le joueur à l’éventualité d’une rechute
Discuter de la rechute
Discuter des mesures d’urgence en cas de rechute

149
Q

Depuis 2000, quels sont les mesures disponibles en lien avec le jeu ?

A
  • Programme expérimentale du jeu au MSSS pour prévenir, réduire et traiter le jeu patho
  • Formation des intervenants des centres de réadaptation
  • Ressources spécialisée disponibles gratuitement dans toutes les régions.
150
Q

Qui sont considérés comme les proches du joueur ?

A

Toute personne qui a un lien naturel avec le JP (père, mère, fratrie, etc.)
Toute personne qui a une relation directe avec le JP (conjoint, amis, collègue, employeur etc.)

151
Q

Combien de proche, le joueur va affecter en moyenne ?

A

10

152
Q

Quels sont les répercussions possibles du jeu sur les conjoint(e)s ? (4)

A

Santé psychologique
Santé physique
Problème financier
Problèmes conjugaux et familiaux.

153
Q

Qui sont les personnes le plus touchés par les JP et pourquoi ?

A

Conjoint(e)s parce que :
Facteurs de stresse (paiement des compote, retard, absences, mensonges, isolement) et
partagent des conséquences négatives (selon le nombre et l’intensité des conséquences. )

154
Q

Lorsqu’on parle des symptômes physique et de leur impacts sur les conjoints, qu’est-ce qui est possible de voir ?

A
  • Maux de tête graves/chroniques
  • Problèmes gastro-intestinaux
  • Faiblesse, étourdissement, mains moites, frisson, transpiration excessive
  • Fatigue chronique, insomnie, palpitations cardiaques, perte d’appétit.
155
Q

Lorsqu’on parle des symptôme physique chez les conjoints du JP, à quelle limite sommes nous confrontés ?

A

Les symptômes rapportés rétrospectivement par des femmes dont le conjoint est en processus de changement. Donc, est-ce de la sous-estimation ?

156
Q

Lorsqu’on parle des symptômes psychologique et de leur impacts sur les conjoints, qu’est-ce qui est possible de voir ?

A

Émotions négatives :

  • Colère, ressentiments
  • Dépression
  • Isolée, solitude
  • Culpabilité pour avoir causé/contribué au problème de jeu
  • Confusion
  • Pensée suicidaire.
  • Autres symptômes ( comportements de conso, épuisement, anxiété, perte d’estime, pensées suicidaires. )
157
Q

Lorsqu’on parle des impacts sur les conjoints, qu’est-ce qui est possible de voir comme impacts en tant que parents ?

A
  • Augmentation des responsabilité, difficulté à prendre soins de soi, négligence et culpabilité, confusions des rôles (protection des enfants et du conjoint) et diminution du temps de qualité en famille.
158
Q

Lorsqu’on parle de l’impact des problèmes financier sur les conjoints d’une personne ayant un problème de jeu, quels sont-ils ?

A

Gestion et modification du budget
Difficultés au travail
Dettes, emprunts, réhypothèque
Menaces des créditeurs, demandes des prêteurs
Prêts d’argent au joueur
Excuser le joueur auprès des prêteurs d’$
Contrôle des finances du joueur

159
Q

Lorsqu’on parle des impacts sur le couple (problèmes conjugaux et familiaux) à quoi fait-on référence ?

A

Divorce ou séparation
Augmentation des conflits
Reproche, colère et perte de confiance mutuelle.

160
Q

VRAI OU FAUX :
L’augmentation de la détresse et la diminution de la satisfaction conjugale et sexuelle du jeu va être un impacts sur les conjoints également ?

A

V

161
Q

VRAI OU FAUX :

PLus on a un problème de jeu sévère, pour les conséquences négatives sont nombreuse ?

A

V

162
Q

VRAI OU FAUX:
Malgré les difficultés rencontré, les JP auront une bonne capacité de résoudre les problèmes et d’utiliser des stratégie d’adaptation adéquate envers leur famille ?

A

F

163
Q

Quels sont les conséquences sur les enfants, qu’un parent ait un problème de jeu ? (5)

A

• Affectés par (les conflits conjugaux et L’inconséquence des parents)
• Sentiment de perte du parent joueur (Moins de temps de qualité passé ensemble et Perte concrète des activités/loisirs)
• Désengagement des parents
(Soins de base de moins bonne qualité (p.ex. mauvaise nutrition) • Plus à risque de problèmes d’adaptation (Problèmes d’ajustement à l’école/fugues/délinquance)
• Quatre fois plus à risque de jouer(Ou autres comportements de dépendance)

164
Q

À quel cercle vicieux va se voir confronté le parent mou ?

A

Peur- culpabilité- colère

165
Q

V ou F:

Le parents dur va avoir tendance à prendre le rôle de sauveur ?

A

F: C’est le parent mou

166
Q

Lorsqu’un parent «mou» va vivre de la culpabilité, celle-ci va être relié à quoi ?

A

À assumer des responsabilité appartenant au JP

167
Q

Quels sont les craintes/peurs ressentis par un parent mou ?

A

Peur lié à la perte potentielle de l’emploi, de la maison, de la famille ou de la liberté

168
Q

Une caratéristique régulièrement vue chez un parents monoparentale qui a un fils JP ?

A

Se blamer pour deux.

169
Q

On dit que les parents d’un JP vont vivre des impacts aussi négatifs en lien avec la problématique. Donne 2 raisons pour le justifier

A
  • Divergence d’opinion sur comment composer avec le problème et aider son enfant
  • Vont se blâmer entre eux.
170
Q

Les phases traversées, dans la dynamique des proches comportent 3 phases, quelles sont-elles ?

A
  • Doute/Déni
  • Stress
  • Épuisement
171
Q

V OU F

Les phases véçues par les proches dans leur dynamiques est un processus séquentiel ?

A

F

172
Q

Qu’est-ce que la phase du doute/déni:

A
  • Le proche observe des changements dans le comportement du joueur
  • Oscille entre le déni et le doute, la tolérance et l’espoir
173
Q

Quels sont les indices/signes que le proche peut voir, dans la phase du doute, mais qu’il va nier ?

A
  • Le joueur cherche toute occasion pour jouer (Vacances, Internet, paris entre amis, sorties, etc.)
  • Le joueur emprunte à son entourage
  • Le joueur délaisse ses autres activités pour le jeu
  • Le joueur contemple l’idée d’être p.ex. joueur de poker professionnel
  • Le joueur est moins responsable (Manque des rendez-vous, des spectacles d’enfant, arrive en retard)
  • Le joueur ment et se justifie évasivement (Retard, manque d’argent, paie dépensée en un rien de temps)
  • Le joueur change de comportement (Isolement, irritabilité, impatience, colère) •Le joueur néglige son apparence
174
Q

À quel moment, on va dire que nous sommes en «fin de la phase de doute »?

A

Lorsque ce n’est plus possible de nier.
Apparition des lourdes conséquences
Choc important quand survenue des signes tangibles
(avertissements des prêteurs, avis sur les retards de paiement (hypothèque, carte de crédit)

175
Q

Dans quel phase sommes-nous, si, le joueur peut encore s’autofinancer, sans alarmer le conjoint?

A

Phase du doute

176
Q

Quels sont les facteurs qui peuvent maintenir le problème de jeu, lorsque l’entourage est dans la phase du doute ?

A
Les bons sentiments
dédramatisation
Comportements
Culpabilité
Absence de signe extérieur
financement facile
177
Q

Dans la phase de stress, les stratégies de contrôle son utilisée concernant les habitudes de jeu. Quels sont les 7, les plus nommés/utilisés par les proches ?

A

Discussion (35%)
Stratégie perçue comme modérément aidante par les joueurs
Suggestion directe ou indirecte de ressources d’aide (26,5%)
Divertissement du JP pour l’éloigner des endroits de jeu (18%)
Avertissements, reproches, menaces (9%)
Surveillance étroite (6%)
Séparation temporaire (3%)
Suggestion de se bannir des endroits de jeu (3%)

178
Q

Qu’Est-ce que les stratégie de contrôle dans la phase de stress?

A

Toute action concrète mise en place par la conjointe visant à réduire les comportements de jeu du JP ou à se protéger de leurs répercussions

179
Q

Que comporte la phase de stress chez le proche ?

A

Période de crise sur un fond d’insécurité

  • Partagé entre plusieurs attitudes et émotions
  • Tentative de contrôle ( partagé entre l’aide et le contrôle)
180
Q

Dans la phase de stress, quels sont les stratégies de contrôle des dépenses du jeu rapporté par les femmes ?

A

 Instauration et prise en charge du budget (28%)
 Gestion des cartes bancaires (crédit, débit – 21%)
 Discussion, suggestions et conseils sur les finances (14%)
 Aucune mise en commun des avoirs $ et annulation des comptes conjoints
(10%)
 Gestion de la paye du JP (10%)
 Ententes avec la banque (interdire les retraits d’$ - 3,4%)
 Ne rien laisser au nom du JP (3,4%)
 Cacher l’$ et les cartes bancaires (3,4%)
 Garder plus d’$ pour soi-même (3,4%)
 Remettre des sommes d’$ fixes au JP (3,4%)

181
Q

Quels sont les 3 réflexes de survie, dans la phase de stress ?

A
  • Paralysie (peur, panique)
  • Combattre (colère, contrôle, blâme, paie les dettes, arrangements avec la banque)
  • Fuite (nourriture, alcool, drogue, alimentation, achat, jeu)
182
Q

Plusieurs émotions négatives sont présentes dans la phase d’épuisement. Quels sont-ils (4) ?

A

Impuissance
Dépression
Rage
Désespoir

183
Q

Lorsqu’on parle du désespoir dans la phase d’épuisement, à quoi fait-on référence ?

A

Impuissance + rage
État de confusion
On devient + vulnérable à prendre de bonnes décisions.

184
Q

La perception du contrôle chez le proche, dans la phase d’épuisement est à quel niveau à ce stade ci ?

A

 Perte de contrôle totale de la situation – sentiment d’échec
 Sentiment d’efficacité personnelle presque nul
 Incapacité à s’apaiser
 Mauvaise résolution des problèmes où les décisions impliquent des conséquences pires
 Période perçue comme permanente - perceptions négatives de soi, des autres, de l’avenir (triade cognitive de Beck)

185
Q

Quels sont les motivations des proches en Nouvelle-Zélande à demander de l’aide professionnelle ?

A

Les problèmes financiers
Les facteurs émotionnels
À titre préventif: pour éviter que les difficultés liées au jeu ne dégénèrent en problèmes plus graves
Isolement (amis, familles) Problèmes conjugaux

186
Q

Quels sont les motivations des proches en Australie à faire une demande d’aide professionnelle ?

A

Inquiétude p/r à l’aggravation du problème de jeu
Émotions négatives
Problème à maintenir les activités quotidiennes
Inquiétudes quant au bien-être du joueur (santé psychologique et physique)
Préoccupation quant à la santé physique

187
Q

Quels sont les intervention possible avec l’entourage en lien avec l’alcoolisme ?

A

Al-Anon
Intervention Johnson
Thérapie familiale unilatérale
Craft

188
Q

Quel est le but principale du groupe de souvient : Al-Anon ?

A

Offrir de l’aide aux proches (briser l’isolement, réaliser l’ampleur du problème, reconnaître son impuissance à changer l’autre)

189
Q

Comment un proche peut-il reconnaître son impuissance à changer l’autre (3) ?

A
  • Lachez prise et se détacher de l’autre
  • Développer sa propre confiance en soi
  • Se centrer sur sa propre guérison.
190
Q

Quels sont les 3 constats possibles de faire en lien avec l’alcool/toxico chez le proche d’un JP ?

A
  • Le proche vit un détresse
  • Le proche est un levier de changement
  • Il peu adhérer à la thérapie.
191
Q

Quels sont les 2 objectifs principaux en alcoolisme/toxico ?

A
  • Augmenter le bien-être du proche

- Augmenter la motivation du buveur à entrer en traitement (l’aider à diminuer ou arrêter)

192
Q

Qu’est-ce que l’intervention Johnson ?

A

Préparer les proches à confronter le buveur. ( rencontre surprise, présence d’un professionnel, 3-4 rencontres préparatoires de 2h et 1 rencontre post-intervention)

193
Q

Qu’est-ce que l’objectifs de la thérapie familiale unilatérale ?

A
  • Préparer le conjoint à jouer son rôle dans la réhabilitation du buveur (renforcements, cesser d’être un facilitation en renforçant les comportements addictifs)
  • Vise l’apprentissage d’habiletés relationnelles et de communication.
194
Q

Vrai ou Faux:

La thérapie familiale unilatéral vise à augmenter le bien-être du conjoint ?

A

Faux: elle vise à améliorer les stratégies d’adaptation

195
Q

La confrontation fait partie des méthodes utiliser dans la thérapie familiale unilatérale, comment peut-elle être fait?

A

Rencontre de couple avec le professionnel

lettre du coeur

196
Q

Combien de temps la durée d’une thérapie familiale unilatérale ?

A

4-6 mois

197
Q

V ou F

La thérapie familiale unilatérale est une approche centrée sur la personne ?

A

F. Approche cognitive-comportementale.

198
Q

Qui suis-je ?
J’utilise les renforcements issus de l’environnement du consommateurs pour favoriser les changements de consommation de substances

A

Le CRAFT

199
Q

Les 3 objectifs principaux du CRAFT ?

A

aUGMENTER L’INDÉPENDANCE ET LA QUALITÉ DE VIE DU PROCHE
diMINUER LA CONSOMMATION DE LA PERSONNE ALCOOLIQUE
eNGAGER LE BUVEUR EN TRAITEMENT.

200
Q

Quel approche est utilisée dans l’intervention : Le Craft ?

A

Congnitive-comportementale et approche motivationnelle.

201
Q

Quel est le prémisse de l’intervention CRAFT :

A

Les renforcements environnementaux jouent un rôle crucial dans le développement et le maintien des habitudes de consommation de substances, de même que dans sa réduction ou son arrêt

202
Q

Quels sont les interventions possible auprès d’un proche du jeu pathologique %

A
Les Gam-Anon
Intervention Johnson
Thérapie familiale unilatérale
CRAFT
Interventions cognitives comportementales pour le proche
203
Q

Qu’est-ce qui est percue par les proches dans les groupes de soutien pour les proches du JP, Gam-Anon ?

A
  • Utilie pour les familles touchés
  • Diminution des conflits conjugaux
  • Diminution de la détresse de la conjointe
204
Q

V ou F:

L’efficacité du programme Gam-Anon est prouvé pour ce qui est de la diminution ou l’arrêt du jeu ?

A

F: Manque d’études.

205
Q

Dans les interventions adaptés à l’alcoolisme pour les proches JP, quels sont les éléments ajoutés pour le jeu ?

A

Informations sur le jeu (psychoéducation)
Gestion de la colère
Gestion des finances.

206
Q

CRAST-Intervention minimal a un manuel d’autotraitement. Quels sont ses objectifs ? (6)

A
  • Augmenter la motivation à aider
  • Aider le proche à prendre le contrôle des finances
  • Aider à réduire sa détresse
  • Aider à gérer ses émotions
  • Comprendre le jeu pathologique
  • Aider le JP (cesser d’être facilitateur)
207
Q

Quels sont les trois groupes possibles dans l’approche CRAFT ?

A

Intervention minimal CRAFT
Intervention minimal CRAFT + 2 soutient téléphoniques
Groupe de contrôle: information sur les ressources.

208
Q

Quels sont les mesures utilisées par CRAFT?

A

Pré-traitement et poste traitement à 3 et 6 mois.

209
Q

Après 3 mois, quelques sont les amélioration perçues dans les trois groupes CRAFT?

A

Diminutions des dépenses et des conséquences
Augmentation du fonctionnement individuel et relationnel
Engagement du joueur à consulter

210
Q

Que contient la TCC dans son contenu ?

A

Composante psychoéducative (théories sur les problèmes de jeu, liens entre les pensés, les émotions et les comportements (Modèle ABC), modèle de stress et d’adaptation)
Résolution de problèmes
Habiletés à la communication

211
Q

L’approche TCC chez un proche en individuelle vise à travailler sur quoi ?

A

Les stratégies d’adaptation

212
Q

Quels sont les résultats concernant l’approche TCC chez les proches ?

A
  • Réduction des symptômes d’anxiété et de dépression
  • Amélioration sur l’application des habiletés d’adaptation apprises
  • Pas d’impact sur les comportements du jeu du joueurs.
213
Q

V ou F ?

En approche TCC avec les proches, une limite de cette intervention est le fait qu’il n’y ai pas de suivi à long terme ?

A

V

214
Q

V OU F

Un joueur célibataire voit ses chances de succès diminuer

A

V

215
Q

Vrai ou faux ?

Un joueur dont le conjoint s’implique dans le traitement voit ses chances de succès augmenter

A

V

216
Q

Qu’est-ce qui sera inclus dans le plan d’Action du proche (3) ?

A
  • Assurer sa sécurité financière
    • Assurer sa sécurité psychologique
  • Fixer ses limites
217
Q

Lorsqu’on établit un plan d’action du proche et que l’on souhaite assurer sa sécurité financière, comment est-ce possible de le faire ?

A
  • S’informer de l’état de ses finances& paiements dès l’apparition des doutes
  • Délimiter sa responsabilité sur les paiements obligatoires et se distancer financièrement du joueur
  • Ne tolérer aucun retard de paiement: + vite il agit, + facile de mettre en place des mesures correctrices
218
Q

Comment est-ce possible, dans le plan d’action / assurer sa sécurité financière, délimiter sa responsabilité sur les paiements obligatoires et se distancer financièrement du joueur?

A
  • Ne plus faire d’achat avec le joueur
  • Ne plus prêter ou donner de l’$ au joueur
  • Possible de diminuer les limites de crédit sans l’accord du conjoint joueur
  • Être informé de tous les détails sur les contrats et engagements en commun avec le joueur en communiquant avec les institutions
  • Rapatrier son $, se libérer des comptes communs
219
Q

De quel manière, le proche peut-il s’informer de l’état de ses finances et de paiements dès l’apparition de doutes ?

A
  • Faire le bilan de ses avoirs (Passifs et actifs)

- Faire un budget, le respecter et le mettre à jour)

220
Q

Afin d’assurer la sécurité psychologique dans le plan d’action du proche, qu’est-ce qui sera identifié ? (4)

A
  • Briser l’isolement
  • Prendre du temps pour soi
  • Identifier ses pensées nuisibles et aidantes + comprendre ses émotions
  • Agir sur sa vie en identifiant et en travaillant sur ses pensées nuisibles pour les remplacer par des pensées aidantes.
221
Q

Lorsqu’on parle de fixer ses limites, chez le proche, le plan d’action fait référence à quoi à ce niveau ? (2)

A

Prendre une saine distance p/r au joueur et penser à soi + apprendre à communiquer de manière affirmative.

222
Q

Qu’est-ce qui est possible de faire, pour le proche, lorsqu’il fixe ses limites dans la section : apprendre à communiquer de manière affirmative ?

A

 L’expression de la colère et du mépris provoque chez l’autre la réaction inverse à celle souhaitée
 Saisir l’ouverture chez l’autre et profiter des moments propices pour exprimer clairement ses attentes
 Éviter les pièges à la communication. Il est nuisible de:
Lui faire des critiques, le dénigrer, tenir un discours hostile
Le menacer, lui faire du chantage ou la morale,
L’affronter rudement, le punir, se plaindre

223
Q

Comment est-il possible de prendre une saine distance p/r au joueur et penser à soi pour un proche ?

A

 N’assumer que SA PROPRE part des responsabilités
 Faire des choses pour son plaisir personnel
 Parfois dire NON au joueur de diverses façons

224
Q

nomme 4 ressources d’aide pour les proches :

A
  • Jeu aide et référence
  • Centre le Passage
  • Gam-Anon
  • ACEF
225
Q

Qu’est-ce que la CASA ?

A

 Organisme à but non lucratif
 Offrir des services de prévention et traitement aux femmes et aux hommes âgés de plus de 18 ans aux prises avec une dépendance à l’alcool, aux drogues, aux médicaments, au jeu excessif ou à tout autre type de dépendance.
 Premier centre certifié par le MSSS au Québec.
 Premier Centre agréé par le Conseil québécois d’agrément