jeu pathologique examen final Flashcards
Quels sont les deux raisons qui font qu’un joueur pathologique est difficile à traiter ?
1- Les JP sont souvent atteints de plusieurs troubles psychologiques à la fois
2- Les JP ne sont pas toujours prêts à changer et à arrêter de jouer.
Combien de différents troubles avons nous besoins pour parler de comorbidité ?
2 problèmes ou plus
Quel est le pourcentage des JP qui vont présenter un autre trouble psychiatrique au cours de leur vie?
93%
Les JP vont généralement afficher d’autres problème que le jeu. Quels sont les autres troubles les plus fréquents? (Selon Bischof)
- Trouble d’adaptation
- Trouble anxieux
- Trouble de l’humeur et idées suicidaires.
Comment le trouble d’adaptation peut se faire ressentir chez un JP?
- 83% des JP auraient emprunté de l’argent pour éviter de sérieux problèmes
- 1/5 effectura une demande de faillite
- Taux arrestations plus élevés, incarcération, de dettes, difficultés relationnelles et divorces que les autres joueurs et non-joueurs.
- Peut amener la personne au suicide.
Qu’est-ce qu’un trouble d’adaptation ?
La difficulté de la personne a faire face au difficulté de la vie et d’utiliser des moyens qui lui sont positifs.
Comment le trouble anxieux se faire ressentir chez un JP?
- 37- 48% des JP vont être atteints de trouble anxieux.
- Celle-ci se manifesterait par: attaques de panique, inquiétudes excessives, anxiété sociale et phobies simples.
Est-ce vrai de dire que les JP vont faire leur sociale lorsqu’ils vont jouer ?
C’est faux. Parfois, c’est la défaite que ceux-ci utilisent, mais vue la concentration que ça demande, ce n’est pas réellement du social.
Est-ce vrai que le meilleur moment pour traiter un JP avec un dx de trouble bipolaire, c’est lorsque celui-ci est en manie?
Faux. On n’inclura pas le JP lors d’une manie. Par contre, il est possible d’être bipolaire et avoir un DX de trouble de jeu pathologique, mais jamais DX lors d’une manie.
Comment le trouble de l’humeur et les idées suicidaires peuvent se faire ressentir chez un JP?
- 17-51% qui vont présenter un trouble de l’humeur.
- 1/2 peuvent souffrir de dépression majeure
- 1/4 aurait un trouble bipolaire.
Quels sont les taux :
1- Idéations suicidaires
2- tentatives de suicide
1- 25 à 92%
2- 4% à 40%
VRAI OU FAUX?
le trouble anxieux apparait en minorité AVANT l’apparition du JP?
FAUX, dans la majorité des cas (76%), le trouble anxieux serait présent AVANT l’apparition du JP
VRAI OU FAUX?
L’apparition d’un trouble affectif surviendrait APRÈS le déclenchement du JP?
Vrai (60% des cas)
Selon Premper & Schulz, outre le problème de jeu, les JP ont aussi des problématiques au niveau ?
- Trouble d’abus / dépendance à l’alcool
- Trouble d’abus / dépendance à la drogue
- Trouble de dépendance à la nicotine
Le déclenchement et le maintient du jeu pathologique peuvent être prédits par certains diagnostiques (selon le DSM-IV), Quels sont-ils?
- Trouble anxieux
- trouble de l’humeur
- Trouble du contrôle des impulsions
- Trouble d’abus de substance
Le jeu pathologique peut prédire l’apparition de quel diagnostique ?
- Trouble d’anxiété généralisé
- Trouble de stress post-traumatique
- Trouble de dépendance à une substance
Le joueur pathologique peut aussi avoir un trouble de personnalité. Quels sont les choses à retenir à ce niveau ?
- 1/4 vont avoir un TP.
Quel est le trouble de personnalité le plus fréquent chez les JP?
TP antisociale (29%)
Lorsqu’on parle des troubles de personnalités et du risque d’abandon de traitement. Quel groupe de TP sont plus a risque d’abandonner un traitement ?
Groupe B.
Quels sont les impacts cliniques des troubles comorbides sur le traitement du jeu ?
1- Rends l’alliance thérapeutique plus difficile
2- Altère la façon d’aborder le traitement
3- réduit les chances d’amélioration rapide
4- Réduit bien souvent l’engagement dans le processus et augmentation la probabilité d’abandon du traitement.
Lorsqu’il est difficile de traiter un JP à cause de « l’altération de la manière d’aborder le traitement», à quoi faisons nous référence ?
EX: quelqu’un qui arrive en conso… on va traiter la conso avant le JP.
Il est important de faire une évaluation complète en début de traitement. Quelles sont les 4 raisons associées ?
1- Obtenir des cibles de traitement
2- déceler les obstacles
3- fournir des informations permettant d’ajuster nos interventions au patient
4- favoriser l’adhérence du patient à la thérapie.
Qu’est-ce que peut inclure une évaluation complète, en plus de l’évaluation du jeu ?
- Outils de dépistage (DEBA-Alcool, DEBA-Drogue, plan suicidaire)
- Questionnaires (MMP-II, BDI-II, BAI)
- Entrevues semi-structurées ( DSM-IV, IGT-Toxicomanie)
- Carnets d’auto-enregistrements, échelles de l’humeur
- Mesures comportementales
- Mesures remplies par l’entourage.
Lorsqu’on ne prends pas le temps de faire une bonne première évaluation, quels sont les risques?
1- Références inappropriées à d’autres services
2- abandons prématurés du traitement
3- stagnation du traitement
4- renforcement de la psychopathologie.
Comment est-ce possible de malheureusement faire des références inappropriées à d’autres services ?
Si l’intervenant coupe la parole rapidement et réfère en consommation, celui-ci n’a peut-être pas détecter le vrai problème.
Comment est-ce possible d’être en stagnation lors d’un traitement ?
Si on a fait l’évaluation trop rapidement, nous ne sommes pas au courant de tous ce qui se passe. Donc pas en mesure de bien accompagner par la suite.
Quels est l’impact de créer un renforcement de la psychopathologie ?
les personnes vont aller vers d’autres méthodes, car ils vont dire que ça ne fonctionne pas.
Quels sont les raisons pour expliquer l’escamotage de l’évaluation ?
1- Pression liée à celle-ci
2- Connaissance variables de l’intervenants au niveau de l’évaluation des différents troubles mentaux.
3- Croyance de devoir intervenir dans l’urgence.
4- Craindre l’abandon des patients si l’évaluation est trop étoffée.
La pression liée à l’évaluation qui peut créer un escamotage de l’évaluation fait référence à quoi exactement ?
- liste d’attente,
- limitation du nombre de rencontre pour l’évaluation,
- contraintes économiques,
- manque de ressources,
- manque d’accessibilité au programmes spécialisée
Comment la croyance de devoir intervenir dans l’urgence durant l’évaluation qui peut créer un escamotage de l’évaluation fait référence à quoi exactement ?
Parce que les clients qui arrivent sont souvent en détresse intense et que les JP vont consulter quand
ils ont réellement tout perdu et veulent un résultat maintenant. Donc ça nous met souvent plus rapidement dans le traitement que ce qui aurait dû être fait au départ. Donc, important de nommer et d’expliquer le besoin de faire bien la première
évaluation.
Est-ce vrai de dire que les gens abandonnent souvent le traitement ?
C’est faux. En réalité, les gens n’abandonnent pas, mais c’est la croyance. En vrai, ils vont abonder le traitement souvent, car ils réalisent l’argent qu’ils vont perdre reviennent par la suite.
Vrai ou faux ?
Les patients qui consultent souhaitent connaître les problèmes qui les affligent?
vrai
Vrai ou faux ?
La moitié des joueurs abandonnent prématurément le traitement ?
V
Vrai ou faux ?
Le taux d’efficacité de la TCC est de 86%
F, en fait il est de 86%, mais lorsqu’on tient compte de l’intention de traitement dans les analyses, on chute à 36%
Vrai ou faux ?
Les rechutes et les chutes sont normales durant le traitement ?
V
Vrai ou faux ?
Le plus facile dans le traitement est de corriger les croyances ?
F, le faire jusqu’au bout c’est difficile.
Vrai ou faux ?
1/3 des joueurs vont faire la thérapie au complet et la réussir en 1 seule fois ?
V
Quels sont les 1ere réaction envers les JP qui résistent aux recommandations ?
1- ils oublient de faire les exercices proposés ou oublient d’assister aux rencontres prévues
2- ils ne comprennent pas
3- ils ne sont pas capables de les appliquer
4- ils décident de ne pas utiliser les outils thérapeutiques proposés.
2 types d’interventions suggérés pour les JP?
TCC
Approche motivationnelles
Quels sont les deux interventions réflexes que les intervenants peuvent avoir lorsqu’une personne résiste à appliquer les recommandations?
- Stratégie meneuse de claque
- Mettre de la pression.
Qu’est-ce que la stratégie meneuse de claque ?
Ajouter des interventions visant à augmenter l’adhérence des joueurs au traitement
Est-ce que la stratégie de meneuse de claque fonctionne ?
Parfois oui. Mais ils demeurent un pourcentage de gens pour qui, ça ne fonctionnera pas
Quels sont les risques pour l’intervenant lorsque celui-ci utilise la stratégie de meneuse de claque ?
On peut le faire un temps, mais on s’épuise à la longue.
Comment est-ce possible d’utiliser la technique « de mettre de la pression »?
- Former davantage les intervenants des différents milieux
- Faire donner les informations par des spécialistes
- Augmenter l’intensité et la longueur de la psychoéducation et de la période de pratique des habiletés
- Exiger au joueur d’assister aux rencontres et de faire les exercices proposés
Est-ce que la technique «mettre de la pression » fonctionne ?
Certains vont répondre à ce type de technique mais d’autres non.
Mettre de la pression et faire la meneuse de claque sont-ils au final, des stratégies qui fonctionnent?
On a vue que oui et non. Mais au final pas vraiment. Ce sont des stratégies qui peuvent être correct mais elles ne sont pas optimal.
Quel moyen est le plus efficace pour favoriser l’adhérence au traitement chez les joueurs pathologiques?
L’approche motivaitonnelle
Quelles sont les trois composantes du changement ?
1- Analyse du changement et interventions motivationnelles
2- Éducation
3- Application des recommandations (acquisition d’habiletés)
V ou F ?
Lorsque la personne n’effectue pas les tâches suggérées par l’intervenant, dans l’approche motivationnelle, nous cessons le traitement ?
F. En fait on va aller vérifier ce qui créer de la résistance. Pour par la suite le défaire et poursuivre le traitement.
On dit que la résistance est normale, car le JP prend la décision d’arrêter de jouer. Ceci inclus dans cette décision en lien avec la résistance ?
-RECONNAÎTRE et ACCEPTER que l’argent misé est perdu à jamais
-S’avouer VAINCU(E) ou BATTU(E) par le jeu
- Vivre le DEUIL de toutes les pertes de temps et d’argent
associées au jeu
- CESSER de voir le jeu comme une solution à court terme
- PENSER À UNE RÉORGANISATION de sa vie, de son entourage et de ses finances
- TRAVAILLER FORT à l’application des nouvelles stratégies
Qu’est-ce que la résistance ?
La résistance est l’incompatibilité entre le stade où se situe la personne et le stade où l’intervenant aimerait que la personne soit
Quels sont les 6 stades de changement communs?
- Précontemplation
- Contemplation
- Préparation
- Action
- Maintien
- la sortie (la rémission). Celle-ci est parfois remplacé par la rechute
Qu’est-ce que la précontemplation ?
- Non-reconnaissance d’un problème, déni
- Pression exercée par les autres
- Absence d’intention de changement
Qu’est-ce que la contemplation ?
- Ambivalence
- Client n’est pas convaincu à 100% d’avoir un problème
- Absence d’action concrète
Lorsque le client utilise le: «oui, mais… » ou va argumenter et s’obstiner avec l’intervenant sur la problématique. Celui-ci est généralement à quel stade ?
Contemplation.
Qu’est-ce que le stade de la préparation ?
- Intention de changement exprimé
- Conviction que le problème existe
- Mesures d’action non entreprises
Lorsque le client utilise le : faudrait… à quel stade sommes-nous ?
Préparation.
Qu’est-ce que le stade de l’action ?
Expérimentation concrète de moyens pour actualiser le changement
Application des recommandations et implication directe dans le plan établi.
Qu’est-ce que le maintien?
Identification des facteurs associés au risque de rechute
consolidation des apprentissages.
Qu’est-ce l’étape de la sortie (ou rémission)
- Changement fait et consolidé (ici, on applique plus de solution, car le problème est réglé)
- n’est plus dans de la psychothérapie et il y a absence de rechute depuis un certain temps.
Comment pouvoir nous déterminer le stade de changement d’une personne ?
Via des questions ouvertes tel que :
- Que pensez-vous de l’idée de…
Donnez des éléments possibles de voir, lorsqu’une personne est au stade de la précontemplation?
Déni: Je n’ai pas de problème
Minimisation: Ce n’est pas grave
L’expression qu’il n’est pas là pour lui, mais pour d’autres Attitude insouciante
Explorer le non verbal
Donnez des éléments possibles de voir, lorsqu’une personne est au stade de la contemplation ?
Les oui, mais…
L’argumentation
Les moments de réflexion «hem…»
Les «je veux» suivis de «je ne veux pas», «je ne sais pas»
Les peut-être
Le conditionnel
Le recul ou le balancier lorsqu’on s’approche d’une proposition de changement
Donnez des éléments possibles de voir, lorsqu’une personne est au stade de la préparation ?
Expression de vouloir changer
Il faut que je change…
Poser des questions sur comment il peut changer
Exprimer qu’il ne sait pas comment changer, mais qu’il
aimerait acquérir de l’information ou des habiletés
S’informer des options de traitement
Donnez des éléments possibles de voir, lorsqu’une personne est au stade de l’action ?
Exprimer qu’il veut changer et prendre des moyens
concrets pour le faire
Énumérer des moyens qu’il a pris pour changer et parler
de ses expériences ou tests qu’il a tentés
Avoir une attitude combative face aux problèmes
Sentir un vrai désir de s’en sortir, vouloir changer pour
lui-même et non pour les autres
Vrai ou faux
Une entrevue motivationnelle est considérée comme une thérapie ?
Faux, l’entrevue motivationnelle ce n’est pas le traitement. C’est le contenant, c’est ce qui l’entoure. C’est un outils, une manière de faire.
Quels sont les éléments essentiels pour maintenir une entrevue motivationnelle?
1- attitude
2- Susciter, explorer et résoudre l’ambivalence
3- Renforcer tout discours de changement
4- Trouver un objectif partagé
Lorsqu’on parle de l’Attitude durant l’entrevue motivationnelle, qu’est-ce qu’il faut garder en tête et faire ?
- Être centré sur le discours de la personne
- Avoir une écoute empathique L’empathie n’est jamais totale.
- L’intervenant maintient un détachement objectif afin de ne pas être submergé par les problèmes du client.
- Avoir une position non autoritaire
- Ne pas jouer à l’expert
- Avoir une position d’ouverture véritable (ne pas juger)
- À LIRE plutôt que de répondre… *
Donne un exemple de discourt d’ouverture :
«On te recommande de cesser de jouer complètement, mais on respecte ton droit à faire tes propres choix. Tu peux jouer autant que tu le veux; le nombre d’heures passées à jouer dépend probablement des bénéfices et conséquences que tu en retires. On peut t’aider à clarifier ces conséquences et t’offrir de l’aide si tu en veux, mais on ne veut pas diriger ta vie.»
Lorsqu’on pose des questions tels que:
Si vous décidiez de… qu’est-ce que vous pourriez retirer de ce changement?
Quels seraient les points positifs pour vous, qu’est-ce que ça vous apporterait?
Quels seraient les avantages de changer?
Pourquoi est-ce que les gens de votre entourage
s’inquiètent à votre sujet?
Habituellement, pour quelles raisons les gens décident- ils de changer dans une telle situation?
Que voulons-nous cibler ?
La conviction
Lorsqu’on pose des questions tels que :
- Que pensez-vous de l’idée de …
- Si on vous proposait de …. qu’elle serait votre opinion à ce sujet ?
On tente de faire quoi ?
Cibler le stade de changement.
Comment pouvons- nous déceler un discours de changement ? * OuVER *
- poser des questions OUvertes
- Valoriser la personne
- avoir une Écoute réflective en utilisant les reflets
- faire des Résumés fréquents
Avec quels questions pouvons-nous cibler la confiance ?
Si vous décidiez vraiment de… à combien évaluez- vous vos chances de réussir et pourquoi?
Qu’est-ce qui vous permet de croire que vous pourriez y arriver?
Quels sont vos ressources internes, vos qualités ou même vos défauts qui vous font dire que vous allez arriver à faire ce changement?
Qu’est-ce qui pourrait vous empêcher d’effectuer ce changement?
Quels sont les types de reflets que nous pouvons utiliser pour avoir une écoute réflective (5) ?
Reflet simple (refléter avec les mêmes mots)
Reflet sentiment (refléter l’émotion transmise)
Reflet complexe (refléter avec d’autres mots que ceux de la personne)
Reflet amplifié (refléter en exagérant)
Reflet des deux côtés (refléter l’énoncé et son contraire dit préalablement)
Quels sont nos objectifs lorsque nous sommes face à une personne au stade de la précontemplation ? (3)
- Bâtir la confiance.
- Semer un doute.
- Exprimer nos craintes et nos inquiétudes face à sa situation et garder la porte ouverte.
Quels sont nos objectifs lorsque nous sommes face à une personne au stade de la contemplation ? (3)
- Normaliser l’ambivalence.
- Avantages/inconvénients.
- Mettre en évidence les intentions de changer.
Quels sont nos objectifs lorsque nous sommes face à une personne au stade de la préparation ? (4)
- Clarifier les attentes et buts de la personne.
- Donner de l’information sur les ressources ou les solutions et les traitements offerts.
- Négocier un plan et établir un contrat.
- Considérer et réduire les barrières au changement.
Quels sont nos objectifs lorsque nous sommes face à une personne au stade de l’action ? (5)
- Aider la personne à comprendre et identifier les situations à risque.
- Donner de la théorie afin de l’aider à développer des stratégies pour résoudre ses problèmes.
- Aborder ensemble les problèmes.
- Encourager les expériences, les tests, la pratique, l’exposition et la répétition.
- Souligner les succès.
VRAI OU FAUX:
En approche motivationnelle, l’intervenant va généralement cibler trois comportement problématique à travailler ?
FAUX, Un seul comportement
VRAI OU FAUX ?
L’intervenant souhaite faire avance son client d’un stade de changement par rencontre ?
VRAI.
Qu’est-ce que l’évaluation qu’un intervenant peu faire?
- Une mesure quantitative et qualitative des comportements, des cognitions, des émotions et des perceptions.
- Elle comporte des éléments objectifs et subjectifs
Vrai ou faux ?
Lors d’une évaluation, on tient seulement compte des éléments objectifs ?
Faux
Objectif et subjectif
Qu’est-ce que du dépistage ?
Action visant à trouver dans une population donnée les
personnes qui ont besoin de soins, de réadaptation ou d’intégration sociale.
Qu’est-ce que l’évaluation (définition)
Mesure de la différence physique, psychique et sociale des
personnes dans le but de les intégrer à un processus de réadaptation, d’adaptation ou d’intégration sociale.
Nomme 3 outils de dépistage
SOGS
NODS
DEBA-jeu
Nomme 2 outils pour évaluer
DSM 5 (Est-il ou non malade) EDJP-r (Qu'elle est l'étendu de son problème)
Que permet l’évaluation au clinicien ?
1- Formuler des hypothèses sur 2 choses :
a) ce qui maintient le problème de son client
b) ce qui permettrait de résoudre le problème de son client
2- Élaborer un plan de traitement basé sur ces hypothèses
3- Poursuivre avec ce plan, de le modifier ou de terminer l’intervention selon les résultats obtenus.
Vrai ou faux?
L’évaluation se continue pendant le traitement ?
Vrai
Quelles questions sont importantes lorsque la thérapie est commencée pour poursuivre notre évaluation ?
1) Le traitement est-il efficace? (est-ce que les problèmes du client diminuent?)
2) le traitement est-il exécuté de façon adéquate?
Et il faut recueillir des données pour répondre du mieux possible à ces questions.
Quels sont les trois types d’évaluation ?
1- Initiale
2- post-traitement
3- de suivi