Spinelli - Langage Flashcards

1
Q

Qd on accède au lexique, on active une représentat° lexicale, on prend connaissance de…. ?

A

la forme orthographique (orthographe), forme morphologique (morphèmes, préfixes, suffixes), forme syntaxique (genre des mots…), forme sémantique (significat°, ce que le mot veut dire).

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2
Q

Quelles sont les étapes de la reconnaissance d’un mot?

A

▬ Activat° automatique: des mots qui correspondent + ou - à ce qui est lu, 1 ensemble de candidats lexicaux. On considère qu’il y a compétition entre les mots pour être connus.
▬ Compétit°: mots les + activés inhibent les autres et on fini avec mot qui a ++ lvl d’activat°

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3
Q

Quelle est la position optimale du regard dans le mot ? (O’REGAN)

A

O’REGAN, effet posit° du regard ds le mot: sujets doivent regarder à 1 endroit donné ds le mot, 1 point de fixat° et soit la 1ere lettre/milieu/fin apparaît à l’endroit du point de fixat°.% réponse correcte (reconnaissance du mot) & tps. L’étude montrait aussi un effet de fréquence, mots fréquents reconnus + rapidement

➔ Posit° optimale du regard ds 1 mot est qd le regard est au milieu du mot. .

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4
Q

Quelles types d’informations peuvent conduire de l’analyse visuelle du mot à la récupération de sa représentation orthographique lexicale?

A
  • unités multi-lettres,
  • lettres abstraites,
  • forme globale.
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5
Q

Selon NEISSER, de quoi dépendant la reconnaissance d’une lettre?

A

NEISSER, la recherche visuelle: i. doit trouver lettre Z ds chaînes de caractères. Le point important est que le sujet va mettre 2 fois - de tps à trouver la lettre ds la colonne du milieu que ds les 2 autres, car les lettres de la colonne du milieu partagent bcp de traits avec la lettre cible ce qui n’est pas le cas des 2 autres colonnes.
➔ La reconnaissance d’1 lettre dépendrait du nb de traits visuels/nb de traits partagés avec d’autres lettres et de la présence de traits distinctifs.

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6
Q

Qu’est-ce que la technique d’amorçage?

A

▬ Technique d’Amorçage: (avec ou sans masquage) consiste à regarder l’influence de la présentat° d’un stimulus amorce sur un stimulus cible. L’amorce peut ê reliée à la cible (condit° reliée) ou elle peut ne pas y ê reliée (condit° contrôle).
Si tps de réact° + court après amorçage condit° reliée = effet de l’amorce sur la cible. Si on observe cet effet facilitateur → traitement de l’amorce a permis l’activat° d’info qui st réutilisées pdt traitement cible (l’amorce a été utilisée). On peut également avoir un effet d’inhibition. Paradigme très utilisé car permet d’isoler les diff lvl de traitement, à condit° de bien sélectionner les amorces de la condit° contrôle afin qu’il n’y ait pas de variables confondues.

▬ Après amorçage: Tache de décision lexicale: On présente un mot ou non-mot et i. doit dire si c 1 mot. Mesure tps de réponse (TR) &% d’erreurs (PE). En général on conserve que résultats des mots. Ensuite on compare les résultats ds les 2 condit°.
Identificat° perceptive: Tâche visuelle où on présente 1 stimulus très rapidement et masqué puis demander de taper ce qu’il a vu.% de bonne réponse. Ensuite on compare les 2 condit°

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7
Q

Qu’est-ce que la Speed Accurary trade off?

A

press° temporelle conduit ppl a faire 1 compromis entre rapidité & précis°. (contrainte)
I. privilégie la rapidité : Tps très courts, + d’erreurs
I. privilégie la précis° : - d’erreur, Tps très longs

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8
Q

Consonnes ou voyelles + importantes pour reconnaissance des mots écrits?

A

NEW & NAZZI: xp décision lexicale avec masquage.
Pré-masque, amorce puis mot ou un non-mot.
4 condit° expérimentales:
condition identité (amorce = même mot que la cible),
condition non-reliée (amorce ne partage aucune lettre en commun avec la cible),
condition voyelles partagées (voyelles de l’amorce sont les mêmes que celles de la cible),
condition consonnes partagées.
L’amorce est masqué pr éviter les stratégies conscientes.
Effet d’amorçage condit° reliée /partageant les voyelles n’est pas significatif = 651-649 = 3ms
Effet d’amorçage condit° reliée/ partageant les consonnes est significatif = 649-631 = 18ms

Résultats: effet d’amorçage ds la condit° consonnes partagées.
➔ Consonnes + importantes que les voyelles pr la reconnaissance des mots écrits.
Mais, du fait que les consonnes st + fréquentes que les voyelles, ce sont les éléments les + importants pr la discriminat° lexicale. Voyelles remplissent d’avantage un rôle lié à la phonologie.

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9
Q

Quels sont les deux types de codages?

A

Activat° unités-lettre. Stimulus active des traits → active lettres → active mots. Pr reconnaître «loin» ou «lion», il faut coder la position de la lettre.
▬ Codage absolu: codage le + simple, chaque posit° de lettre correspond à un numéro.
▬ Codage relatif: Codage relatif des lettres les 1 par rapport aux autres. O est avant N, I est avant O, L est avant I.

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10
Q

Qu’observe-t-on sur l’effet de la position des lettres dans le mot?

A

HUMPHREYS, EVETT, QUINLAN, tâche d’identificat° perceptive:
Condit° reliée codage absolu: lettres amorce ont même posit° absolue que cible. Ex: btvuk.
Condit° contrôle codage absolu: amorce aucune lettre en commun avec cible. Ex: otvuf.
Condit° reliée codage relatif: lettres de l’amorce ont même position relative que la cible. Ex: bvk, b est la 1ere lettre comme ds black, k la dernière lettre (mais contrairement à absolu ce n’est pas la 5e mais la 3e).
➔ pas + de facilitat° d’1 condit° à l’autre. 1 codage de la position relative semble suffisant.

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11
Q

Qu’est-ce que le modèle des bigrammes ouverts?

A

GRAINGER & VAN HEUVEN, modèle des bigrammes ouverts: permet de formaliser le codage relatif.

On code de façon absolue 1ère & dernière lettre, mais à l’intérieur du mot, le codage serait relatif grâce à l’activat° de bigrammes. Des bigrammes non contigus st aussi codés, on parle de bigrammes ouverts jusqu’à 2 lettres espacées. C’est à partir des unités multi-lettres qu’on va pouvoir activer les représentat° lexicales.
Bigrammes st des unités de 2 lettres regroupées ds le sens de lecture. Il permet le codage relatif des lettres. Ils peuvent également ê activés qd ils ne st pas conjoints et st appelés bigrammes ouverts, la règle qu’il est essentiel de retenir est que nous pouvons activer un bigramme à 2 espaces ouverts entre les lettres activées

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12
Q

Qu’observe-t-on avec l’effet de supériorité du mot ?

A

Effet du supériorité du mot consiste à montrer qu’on identifie mieux 1 lettre au sein d’un mot plutôt que non-mot ou seule.

REICHER: 3 condit° :
• condit° mot: on flash de façon très brève/masquée 1 mot & i. identifie 1 lettre de ce mot
• condit° lettre: flash de façon très brève/masqué 1 lettre et ‘’ ‘’ ‘’ ‘’
• condit° non-mot: où on fait la même chose mais en flashant un non-mot.
➔ On est meilleurs pr reconnaître 1 lettre qd elle est présentée ds 1 mot.
Ceci est 1 peu contradictoire au modèle théorique de l’époque (sériel/séquentiel) qui postulait qu’on identifie les lettres composant le mot avant de traiter le mot.

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13
Q

Quels sont les types de modèles du traitement de l’information?

A

▬ Modèle sériel ou séquentiel : 1 forme particulière d’info est traitée de manière exhaustive par 1 sous-composante du système langagier avant d’ê transférée à la suivante = Fonctionnement modulaire du système langagier. Chaque sous-composante est associée au traitement d’1 info spécifique (phoné, phono, syntaxique). Processus de reconnaissance des mots complètement ascendant, du signal au concept. On ne passe au module 2 que qd on a fini de traiter le module 1. Chaque module est autonome, étanche et il n’y a pas d’interconnex°. Mais ce modèle n’explique pas l’effet de supériorité du mot. Ds ce type de modèle, on considère qu’on fait pour la production le chemin inverse de la perception on part du concept pour aller au signal (processus top down).

▬ Modèle en « cascade»: (Autonome + traitement en parallèle) Pas forcément besoin d’avoir fini l’étape 1 pr passer à la 2. L’info est délivrée en « paquets »→ la sous-composante ou module N peut poursuivre le traitement d’1 info spécifique tout en transférant en même tps au module N+1 1 info fragmentaire que ce dernier peut utiliser pr effectuer son propre traitement. Même si le système n’a pas tt à fait traité tt les lettres d’un mot on commence à envoyer au niveau d’après. Un peu plus de lien, mais on va toujours du signal vers le concept.

▬ Modèle interactif: Sert à expliquer l’effet de supériorité du mot. Le fonctionnement d’1 sous composante particulière N1 ne dépend pas uniquement de l‘info provenant du lvl immédiatement inférieur (N) mais également de l’info issue d’autres sous-composantes du système. Dès que l’on a de l’info, on l’envoie et il y a des retours du lvl supérieur au lvl inférieur. On a 1 un feedback d’activat° des lvl supérieurs vers les lvl inférieurs. Les lvl st perméables. Qd prise de décis° sur 1 lettre, on active 1 lettre mais aussi les mots. Le lvl d’activat° de la lettre T dépend du processus bottom up mais aussi du fait j’ai activé le mot chat, dc que je réactive les lettres c, h, a, t. Le t de chat est ainsi mieux perçu, car la lettre t est «boostée». On parle de processus top-down – feed-back. Le mécanisme de feedback permet alors de trouver le bon candidat en inhibant d’autre lettres et d’autres mots.

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14
Q

Qu’observe-t-on avec l’effet de supériorité des lettres?

A

SCHENDEL & SHAW, Effet de supériorité des lettres:
Même principe que l’effet de supériorité des mots
➔ les traits st mieux reconnus qd ils st présentés ds 1 lettre plutôt que seul ou non-lettre, car le trait intégré à 1 lettre reçoit de l’activat° provenant à la fois du lvl trait et du lvl lettre: double activat°.

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15
Q

Qu’observe-t-on avec l’effet de supériorité de la taille des lettres?

A

NEW, effet de supériorité de la taille des lettres : tâche de comparaison de taille
➔ lettres paraissent + grandes que les pseudo-lettres et les lettres miroirs. Cet effet se généralise aux mots : Mots perçus plus grands que pseudo mots / Mots perçus plus grands que mots miroir.

Le modèle à activation interactive nous permet de comprendre pourquoi ces effets existent.

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16
Q

1) Quel est le rôle de la syllabe selon Prinzmetal & all?
2) Quel est le problème de cette xp ?
3) Quelles xp ont essayé de pallier à ce pb?

A

1) PRINZMETAL & TREIMAN & RHO: xp mots coupés en 2 couleurs et ppl doit donner la couleur d’1 des lettres de ce mot. 2 mots de 5 lettres avec un D en 3e posit°: « vodka » et « today ». Ds vodka → D ds 1ere syllabe / ds today → D ds 2e syllabe. Le découpage en couleur respecte ou ne respecte pas la structure syllabique des mots
Hypothèse: on découpe automatiquement mots en syllabe → + de tps & + d’erreurs qd découpage en couleur ne respecte pas la structure syllabique.
➔ on fait 1 traitement d’un mot syllabe par syllabe.

2) Mais SEINDENBERG montre PB: on peut noter l’existence d’1 facteur confondu: la fréquence des bigrammes. Qd on change de syllabe on change la fréquence des bigrammes: le bigramme DK est - fréquents que les bigrammes OD et KA. On ne sait dc pas si on fait un calcul de la fréquence ou réellement un découpage en syllabes.

3) RAPP: xp pr éliminer facteur confondu. Il a utilisé mots pr lesquels il n’y pas de chute de la fréquence des bigrammes.
➔ effet de la syllabe aussi
3) FERRAND & SEGUI & GRAINGER. Tâche de naming, de lecture à voix haute. On mesure latence de dénominat° = tps mis par i. pr initier la lecture, le tps entre la présentat° du stimulus & moment où il commence à parler. Ceci est censé traduire le tps de reconnaissance. On a diff condit° xpmentales:
• situat° congruente avec la syllabe avec « bal (amorce) – balcon (cible) » et « ba – balance »
• situat° incongruente avec «ba – balcon» et «bal – balance».
L’amorce possède dc + ou - de lettres (2 ou 3).
➔ info syllabique importante, car qd on est ds les situat° congruentes la latence de dénominat° est + courte = découpage syllabique.
3) Même xp avec dénominat° d’image. Cible était 1 image à dénommer (carotte/cartable) et amorce: « car » ou « ca » → + rapide pr dénommer en situat° congruente (ca – carotte) qu’en non-congruente (ca – cartable)
➔ importance de l’information syllabique.

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17
Q

1) Quel est le rôle de la syllabe selon Prinzmetal & all?
2) Quel est le problème de cette xp ?
3) Quelles xp ont essayé de pallier à ce pb?

A

1) RASTLE & COLTHEART: tâche de dénominat° de non-mots avec même nb de lettres mais pas même nb de graphèmes : Loofh (5 lettres, 3 graphèmes) / Frolp (5 lettres, 5 graphèmes).
Tps de latence (VD) augmentent à mesure que le nb de graphèmes diminue, ils st + courts qd il y a 1 équivalence entre nb de lettre & de graphèmes.
➔ + de tps qd on a des graphèmes complexes & + rapides pr traiter des graphèmes simples qui correspondent à des lettres.

2) REY & JACOBS: critiqu XP ↑ (auteurs surestiment influence de la phonologie). En effet, ds xp ↑ → tâche de dénominat° sur des non-mots= exacerbent importance de la phonologie (dc graphèmes). Alors, autre xp utilisant des mots, 1 tâche d’identificat° perceptive des mots. Ainsi, pas recours à la phonologie.
➔ tps augmentent à mesure que le nb de graphèmes diminue = utilité des graphèmes pr reconnaissance des mots.

3) REY & ZIEGLER & JACOBS: xp tâche détect° de lettre ds 1 mot. La lettre à détecter se trouvait soit ds 1 graphème simple, soit complexe.
➔ Tps de détect° + courts qd lettre ds graphème simple que complexe.
Explication²: pr détecter A, need découper l’unité AU = + de tps. Critique: pas le même son ds 1 graphème simple que complexe, ds «place» on entend directle A = + facile à détecter.
REY, JACOBS, ZIEGLER: XP utilisant des mots de sorte que ce pb n’existe pas:
➔ tps encore + longs qd la lettre se trouvait ds un graphème complexe.

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18
Q

Qu’est-ce qu’un graphème?

A

représentat° écrite d’un phonème = son
Ex: «tuba» a 4 graphèmes car 4 phonèmes, tt les lettres se prononcent et les graphèmes correspondent aux lettres. Ds «char» 4 lettres mais 3 sons, dc 3 graphèmes.

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19
Q

Qu’est-ce qu’un graphème simple/graphème complexe ?

A

Graphème complexe : composé de plusieurs lettres

Graphème simple : composé d’1 seule lettre.

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20
Q

Qu’est-ce que l’effet de la complexité graphémique en écriture?

A

Démontrer qu’à 1 moment donné, on fait 1 regroupement en graphèmes, ce qui va prendre du tps. On cherche à savoir si l’on écrit lettre par lettre ou graphème par graphème.

XP : On s’intéresse au A ds diff graphèmes: ds graphème simple (clavier), complexe (prairie), encore ++ complexe (plainte). Qd on écrit, on a déjà programmé nos unités avant de commencer, au moment où on écrit le L on planifie déjà le A. VD: tps d’écriture de lettre précédent le graphème, calculé à partir de la «stroke duration».
➔ Qd on écrit 1 lettre, on planifie déjà celle qui vient après. Tps de product° de la lettre précédent le graphème est + élevé qd lettre (A) est ds graphème très complexe que complexe/simple.
➔➔ traitement unités par unités.

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21
Q

Qu’est-ce que le statut des lettres muettes?

A

ROYER, SPINELLI, FERAND: pr savoir si graphèmes contenant 1 lettre muette étaient considérés comme graphèmes simples ou complexes.

XP : Ppl doivent détecter lettre cible, A ds diff mots. Soit ds :
CHAT (avec lettre muette T),
CHAR (graphème simple),
QUAI (graphème complexe).
Tps de réaction.
Le A ds CHAT est détecté aussi rapidement qe ds CHAR (graphème simple). En revanche, détect° bcp + rapide que ds le graphème complexe QUAI.
➔ Les lettres muettes seraient dc des graphèmes simples.
Critique: grande similarité phonologique entre char et chat mais on entend pas le son A ds QUAI = facteur confondu. On peut se demander pk AT n’est pas traité comme graphème complexe mais T graphème simple muet. pas encore d’explicat° à ce jour, on peut peut-ê imaginer que c’est dû à la morphologie. Le T ds CHAT a 1 statut, à partir de cette lettre on peut dériver mots de la même famille (chaton, chatte…).

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22
Q

Qu’est-ce que la fréquence des mots?

A

nb de fois où 1 mot a été rencontré par 1 lecteur. Mesure objective, via une base de données.

23
Q

Qu’est-ce que l’effet de fréquence?

A

XP Effet de fréquence:
On présente à i. 1 mot fréquent (chat) & mot rare (fiole), et on lui demande de les détecter.
➔ + vite pr reconnaître un mot fréquent qu’un mot rare.

24
Q

Quels sont les principaux modèles qui expliquent l’effet de fréquence ?

A

modèle des logogènes, modèle à activat° interactive, modèle de recherche sérielle, modèle à activation-vérification.

25
Q

Qu’est-ce que le modèle des logogènes ? (effet de fréquence)

A

MORTON, modèle des logogènes: On suppose qu’il existe 1 seuil d’activat° pr la reconnaissance des mots écrits, l’info s’accumule ds le logogène et qd lvl d’activat° atteint 1 certain seuil, l’identificat° du mot est déclenchée. Hypothèse: lvl d’activat°, ce seuil, est + bas pr mots fréquents. (à chaque fois qu’1 mot est reconnu, son seuil d’activat° diminuerait un peu)
➔ mots les + fréquents ont 1 seuil d’activat° + bas et seraient reconnus + rapidement.

26
Q

Qu’est-ce qu’un logogène?

A

«logogène» pr décrire représentat° mots, c le détecteur responsable de l’identificat° des mots. Chaque mot à 1 logogène

27
Q

Qu’est-ce que le Modèle à activat° interactive ? (effet de fréquence)

A

Seuil d’activat° serait le même pr ts les mots. La différence interviendrait sur lvl de repos. Mots rares auraient 1 lvl de repos (lvl de base) + bas que mots fréquents. Cela fonctionne comme si les mots fréquents étaient tjr un peu + activés que les mots rares. C’est la position actuellement largement partagée.

28
Q

Qu’est-ce que le Modèle de recherche sérielle ? (effet de fréquence)

A

FORSTER, Modèle de recherche sérielle: ne se base pas sur concepts comme le lvl d’activat°. Il suppose que mots st listés par ordre de fréquence de leur apparit°. Mots fréquents sont + disponibles que mots rares.

Ex: Je vois le mot chat, je le compare au mot le + fréquent et je continue les comparaisons jusqu’à trouver la bonne.

Les mots les + fréquents st reconnus le + rapidement. Mdèle critiquable, peu cohérent que l’on compare le mot avec ts les mots de notre lexique mental, même ceux qui n’ont rien à voir avec lui.

29
Q

Qu’est-ce que le Modèle à activation-vérification ? (effet de fréquence)

A

PAAP & all, Modèle à activation-vérification: modèle non interactif, postule l’existence de 2 étapes ds reconnaissance des mots.
1er tps: on active 1 sous-ensemble de candidats lexicaux (semblables à la cible), indépendamment de leur fréquence. On va pré-activer 1 ensemble de candidats potentiels sur la base de l’info ascendante (bottom-um). L’effet de fréquence n’intervient pas à ce lvl-là.
2e tps: vérificat°, recherche sérielle suivant le modèle de Forster: par ordre de fréquence. On compare stimulus avec l’ensemble des représentat° lexicales qu’on vient d’activer ds 1ere étape. On vérifie tous ces candidats qui vont ê listés par ordre de fréquence. La fréquence n’intervient pas de façon précoce contrairement aux autres modèles.

30
Q

Qu’est-ce que l’effet de familiarité?

Quelles expériences ont été menées pour prouver son existence?

A

Ex: Télécommande.
Familiarité serait 1 fréquence subjective.
Pr mesurer, i. doit indiquer son degré de familiarité par rapport à un mot sur 1 échelle de 1 à 7. On observe 1 bonne corrélat° entre fréquence & familiarité pr mots de haute fréquence. (=mots fréquents st très familiers.).
En revanche, pas du tt de corrélation entre fréquence & familiarité pr mots de basse fréquence.
Certains mots de basse fréquence st très familiers, d’autres ne le st pas.

1) CONNINE: xp, tâche de décis° lexicale. Mesure tps de réact° &% d’erreur. Les mots étaient de 5 types:
Basse fréquence – Très basse familiarité
Basse fréquence – Basse familiarité
Basse fréquence – Haute familiarité
Basse fréquence – Très haute familiarité
Haute fréquence – Très haute familiarité
➔ Performances meilleures qd on a à la fois mots de haute fréquence + très familiers. On peut aussi obtenir 1 effet de la familiarité indépendamment de la fréquence (ppl + rapides pr mots de très haute familiarité et de haute familiarité).

2) CONNINE: tâche de naming. Naming immédiat/différé. On compare tjr 5 gp de mots en Naming immédiat, en différé de 600 ms ou 1200 ms. Tps de réponse s’ordonnent en fonct° de la familiarité & fréquence. Avec délai (naming différé)
➔ effet de fréquence va disparaitre mais effet de familiarité demeure. Les 2 effets st dc de diff nature, l’effet de fréquence est pré-lexical, lié à reconnaissance des mots. Familiarité existe mais pas pr reconnaissance mots.

31
Q

Quelle critique a été faite à l’encontre de l’effet de fréquence?

A

Car on la considère svt comme étant le seul indicateur de la fréquence lexicale des mots. Or, on ne s’intéresse qu’à l’écrit, mais il y a bcp de mots qu’on ne lit pas svt mais qui st pourtant très familiers

32
Q

Qu’est-ce que l’effet de fréquence de co-occurence?

Comment l’explique-t-on?

A

Repose sur idée que certains mots st + svt employés avec d’autres.
Ex : Sapin de…. ? Noël.

XP: Certains mots st + svt employés au singulier qu’au pluriel : la cathédrale/les cacahuètes. Tâche de dénominat° lexicale visuelle où i. doit lire le + rapidement possible le stimulus qui lui est présenté. Diff amorces st présentées entre point de fixa° & présentat° du stimulus, qui st composées d’articles qui pourront correspondre ou non aux articles qui accompagne habituellement les mots.
➔ influence fréquence associat° entre déterminant et nom. = influence co-occurence article-nom, fréquence des séquences
➔➔ Le contexte lexical environnant joue un rôle effectif dans le reconnaissance des mots.

3 Explications possibles:
▬ connex° existantes entre représentat° lexicales pourraient ê facilitatrices plutôt qu’inhibitrices.
▬ notre cerveau anticipe par l’intermédiaire de calculs le mot qui va pouvoir apparaître derrière celui que ns traitons.
▬ ces séquences fréquentes st stockées comme un tout dans notre lexique mental

33
Q

Qu’est-ce que l’effet du voisinage orthographique?

Quelles sont les expériences qui l’expliquent?

A

On s’intéresse à l’influence de cette densité du N ds reconnaissance des mots.

1) ANDREWS: tâche décis° lexicale
➔ mots N>8 st reconnus bcp + rapidement que les N<4.

2) GRAINGER: résultats inverses. Diff catégories de mots: mots ermites, sans voisin.
Ex: drap / mots ayant 3 voisins qui ne st pas + fréquents que la cible.
Ex: Jupe & dupe/jute/juge, Mots ayant 3 voisins dont 1 plus fréquent.
Ex: Nerf & neuf/cerf/serf. Mots avec + d’un voisin + fréquent.
Ex: Foin & coin/loin/fois en + fréquent et foie/soin en voisins.
Tâche de décision lexicale. Pas de diff entre «drap» et «jupe». Dc pas d’effet de voisinage à ce lvl. La seule diff qu’il observe est entre jupe et nerf: Qd un mot n’a pas de voisins + fréquents que lui, il est reconnu + facilement que qd il a des voisins + fréquents que lui.
➔ Pour lui, ce qui joue un rôle n’est pas N (nb de voisins orthographiques) mais plutôt le fait d’avoir des voisins + fréquents.
➔➔Effet de la fréquence du voisinage et non pas de la taille du voisinage.

3) MCCLELLAND & RUMELHART: Explicat° résultats de GRAINGER → effet inhibiteur d’avoir au - un voisin + fréquent. On a de l’activat° d’un lvl sur l’autre (activat° inter lvl). Mais à l’intérieur d’un lvl, unités st également reliées entre elles par des connex° inhibitrices, elles envoient des inhibit° à leurs compétiteurs. Le mot à reconnaître reçoit de l’inhibi° par ces voisins parce qu’ils st + fréquents. Mais à la fin, le mot est qd même reconnu car il va renvoyer aussi de l’inhibit°, mais ça prend + de temps. Donc on met + de temps à le reconnaitre.

4) GRAINGER & SEGUI, Identificat° perceptive: xp utilise 1 variante tâche d’identificat° perceptive, le démasquage progressif → présenter 1 stimulus très rapidement, puis le masquer. Ensuite on le représente un peu + lgtps et on le masque un peu - lgtps et ainsi de suite. Le stimulus est progressivement démasqué. I. doit appuyer sur 1 bouton dès qu’il a reconnu le mot. On peut ainsi avoir 1 idée du tps qu’il faut pr que le sujet reconnaisse le mot. On présente des mots qui n’ont pas de voisins orthographiques ou des mots qui en avaient un ou +. Résultats:
➔ pas de voisin + fréquent = réponses + rapides/moins d’erreurs
➔ au moins 1 voisin + fréquent = réponses + lentes / + d’erreurs.

5) SEGUI & GRAINGER: but xp est de mettre en évidence connex° inhibitrices intra-lvl. Ils ont présenté 1 mot en amorce pdt 350 ms (pas masqué). Ensuite, présentent mot cible. 4 condit° xp, 2 reliées/2 non-reliées. + varat° la fréquence de l’amorce et de la cible: effet d’inhibit° qd amorce - fréquente que cible (CHAR- CHAT et AVEU - CHAT) et pas d’effet d’inhibit° si amorce est + fréquente que cible (CHAT - CHAR et AVEC - CHAR).
On explique l’effet d’inhibit° des voisins par les connex° inhibitrices intra-lvl : Qd mot CHAR doit ê reconnu il reçoit de l’inhibit° de CHAT, mais il est qd même reconnu, dc il envoie de l’inhibit° à CHAT. Tt de suite après, on présente le mot CHAT alors que ce mot venait juste d’être inhiber. Il est donc logique d’observer 1 inhibit°.

34
Q

Qu’est-ce qu’un voisin orthographique?

A

Voisins orthographiques: ensemble des mots qui partagent tt les lettres sauf 1 à la même posit° avec une cible.
Ex : voisins de page: sage, mage, nage, etc.
On désigne le voisinage orthographique par N.
Si N>8 ça veut dire que la cible avait + de 8 voisins.
Mots ont + ou - de voisins.
Si mot n’a pas de voisin on dit que c’est un mot ermite.

35
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’accès direct?

A

On accède au lexique (aux mots) uniquement par biais des lettres.
Pas de forme sonore des mots, phonologie pas utile.
D’après eux, on a accès à la forme sonore des mots (pr parler) après reconnaissance de ces mots.
Mais pas cohérent avec le fait que les enfants apprennent à parler avant d’écrire et que les sourds ont parfois du mal à écrire les mots car ils ne les entendent pas. De même, selon ce modèle, ns serions incapables de lire les non-mots, ce qui n’est pas le cas.
➔ Donc, représentat° phonologique avant rpz lexicale.

36
Q

Qu’est ce que la médiation phonologique?

A

Postule qu’il existe 1 rpz phonologique avant rpz lexicale afin de reconnaître mots écrits. A partir de l’entrée visuelle, on aboutirait à 1 rpz orthographique → recodage (convers° graphèmes en phonèmes)→ rpz phonologique qui permet, par ce qu’on appelle l’accès indirect, d’accéder à la rpz lexicale.

Mais ne tient pas la route non plus, il ne permet pas de comprendre le fait que ns arrivons à lire les mots irréguliers (mots qui se prononcent différemment de la manière dont ils s’écrivent).

37
Q

Qu’est-ce que le modèle des deux routes?

A

D’après ce modèle, possible d’accéder direct au mot à partir de la rpz graphique ou bien d’y accéder de façon indirecte. 2 routes st activées c celle qui va le + vite qui gagne. C svt l’accès direct le + rapide. Qd traitement prend + de tps (mots de basse fréquence, non mot…), on passera alors par la voie indirecte.

38
Q

Distinguez la phonologie adressée de la phonologie assemblée.

A

• phonologie adressée = phono lexicale. On récupère 1 adresse ds lexique mental, on reconnaît 1 mot, on récupère l’adresse du mot ce qui ns permet alors de récupérer sa phono
Ex: Permet de prononcer mots irréguliers. Pr prononcer «femme», on passe par la phono adressée, il faut d’abord reconnaître le mot pour pouvoir activer sa bonne prononciation.

• phonologie assemblée = pré-lexicale. On prend les lettres 1 à 1 et on les transforme en mots.
Ex: Permet de prononcer non-mot, tel que Cralou, alors même qu’il n’existe pas dans le lexique mental.

39
Q

Qu’est-ce que l’effet d’amorçage?

Mais PK plus d’effet d’orthographe à 64ms?

A

FERRAND & GRAINGER:
But: trouver rôle phonologie ds reconnaissance des mots écrits. 1 pseudohomophone est 1 non-mot qui se prononce comme un mot.
Ex: nert est un pseudohomophone de nerf.
3 condit° expérimentales:
• condit° pseudohomophone (l’amorce se prononce comme la cible, [O+ P+].)
• condit° contrôle orthographique, (l’amorce et la cible sont reliées sur le plan de l’orthographe, elles partagent toutes les lettres sauf une, [O+ P-].)
• condit° contrôle non-reliée, (amorce & cible ne st reliées ni sur le plan orthographique, ni sur le plan phonologique, [O- P-].)
Note: O = orthographe, P = phonologie.

Tâche de décision lexicale.
Si on veut étudier l’effet de l’orthographe on compare la condit° contrôle orthographique & contrôle non-reliée.
Si on veut étudier l’effet de la phono, on compare la condit° pseudohomophone & contrôle orthographique.

1ere xp où l’amorce est présentée pdt 32 ms, assez précocement.
2e où présentée 64ms, ce qui correspond à un tps légèrement + long.
Résultats: XP1 effet orthographique et pas d’effet phonologique. // XP2 effet phonologique mais pas d’effet orthographique.
➔ les 2 codes (ortho/phono) st activés automatiquement pdt la reconnaissance des mots écrits, ce qui va ds le sens du modèle 2 routes. Toutefois l’orthographe est activée en 1er.

Mais PK plus d’effet d’orthographe à 64ms?
Qd amorce pdt 32 ms, on a tps d’activer les rpz orthographiques et on a seulement pré-activé le reste. On a un effet de l’orthographe mais pas d’effet de la phonologie car elle n’a pas eu le tps d’ê activée. Qd on a présenté l’amorce pdt 64 ms, on a eu le tps d’activer rpz phono → effet de la phonologie.
Disparit° de l’orthographe à 64 mscar inhibit° lexicale sur les rpz ortho. Le stimulus active un ensemble de mots, les diffcandidats vont alors s’inhiber entre-eux. On n’a dc plus d’effet de l’orthographe au lvl lexical, on se base dc sur la phonologie pr reconnaître les mots écrits.

40
Q

Qu’est-ce que l’effet d’homophonie/pseudohomophonie?

Illustrez avec les 4 xps associées

A

1) XP COLTHEART: Tâche de décis° lexicale, décider si le mot présenté était 1 mot/1 non-mot. 2 types non-mots: communs et pseudohomophones.
On mesure tps de réact° et% d’erreur
➔ ppl + lents et commettent + d’erreurs qd ils st face aux pseudohomophones.
➔ difficile de rejeter un pseudohomophone qu’un non-mot commun.
Car les info phono/ortho st contradictoires pr répondre à la tâche avec les pseudohomophones. En effet, sur la base des info phono, seulement les pseudohomophones st des mots mais sur des bases ortho ce n’est pas le cas = conflit entre les 2 types d’info → sujet + lent / + d’erreurs.
➔ L’effet de pseudohomophonie met dc en évidence le rôle de l’info phono ds la reconnaissance des mots écrits.

2) XP VAN ORDEN: tâche catégorisat° sémantique, on présente 1 nom de catégorie puis un mot et i. doit dire si le mot fait partie de la catégorie. On mesure le TR et le PE. 3 condit° expérimentales:
1. Catégorie: flower puis présentat° mot tulip. Ici tulip fait partie de la catégorie.
2. Catégorie: flower puis présentat° mot rows. Ici, rows fait pas partie catégorie mais c le pseudohomophone de rose qui lui en fait partie.
3. Catégorie: flower puis présentat° mot robs. Ici robs ne fait pas partie de la catégorie mais il s’agit d’un contrôle orthographique de la condition pseudohomophone. Cela signifie qu’au lvl orthographique, il partage le même nb de lettres avec rose que rows n’en partage avec rose.
➔ + d’erreurs condition 2 que condition 3. On a dc eu 1 activat° de la rpz du mot sur la base des info phono. La séquence de lettre (ici rows) a été codé phonologiquement et a activé le mot de base dont il est dérivé (rose) et ses propriétés sémantiques.
➔➔ importance de la phonologie pour la reconnaissance des mots écrits.

3) GRAINGER, SPINELLI, FERRAND, Effet de fréquence sur non-mots: tâche de naming avec d’1 part des pseudohomophones et d’autre part mots contrôle orthographique (différaient eux-aussi que d’1 seule lettre). On faisait également varier la fréquence mots d’origine à partir desquels on avait dérivé les non-mots.
➔ pseudohomophones dérivés de mots de haute fréquence st lus + vite que ceux dérivés de basses fréquences
➔ pseudohomophones héritent des propriétés de leur mot de base car les mots de bases ont été activés en même tps que les pseudohomophones.
➔ Les pseudohomophones activent la rpz des mots de base sur la base des info phono en activant par la même les mêmes propriétés que les mots de base.

4) ZIEGLER, VAN ORDER, JACOBS, détect° de lettre avec masquage: présente 1 lettre (ici I) ds diff mots (ici des non-mots). 4 conditionsexpérimentales :
1. Condit° tain. I est présent. Contrôle orthographique de la condition 2.
2. Condit° sain. I est présent, c 1 pseudohomophone du mot sane qui contient pas de I.
3. Condit° lale. I est absent. Contrôle orthographique de la condition 4.
4. Condit° «nale». I est absent c 1 pseudohomophone du mot nail qui contient un I.
Ds conditions 1/2 il y a un I, i. devrait dc répondre «oui» à la tâche de détect°.
➔ + d’omiss° ds condition 1 car le pseudohomophone est dérivé d’un mot qui ne contient pas de I. Dans 3/4, pas de I, i. répond «non» à la tâche. + de fausses alertes ds la condition 4 car le pseudohomophone est dérivé d’un mot qui contient un I.

41
Q

Qu’est-ce qu’un pseudohomophone?

A

Pseudohomophone = non-mot qui se prononce de la même manière qu’un autre mot

42
Q

Quels sont les 2 types de consistance?

A

▬ Consistance grpho-phonologique: 1 seule / pls façon de prononcer la rime ortho.
Ex: Le son «ars» est inconsistant car il se prononce différemment dans mars, jars et gars.
▬ Consistance phono-graphémique: On part de la rime phono et on regarde si y’a pls façons de l’écrire.
Ex: le son o est inconsistant car il peut s’écrire «o»,«eau»… On a aussi un effet de consistance phono-graphémique.
➔ Temps + courts et - d’erreurs pr lire des mots pr lesquels il y a 1 consistance phono-graphémique.

43
Q

Quelle expérience a mis en avant le rôle de la phonologie prélexicale?

A

ZIEGLER: 4 conditions:
Consistant grapho-phonologiquement et phono-graphémiquement. Ex: Cube
Inconsistant grapho-phonologiquement mais constant phono-graphémiquement. Ex: Bille
Consistant grapho-phonologiquement mais inconsistant phono-graphémiquement Ex: Taux
Inconsistant grapho-phonologiquement et phono-graphémiquement. Ex: Croc
Tâche de décis° lexicale avec ces 4 types de mots. Tps + courts pr mots consistants ds les 2 sens. + longs pr mots inconsistants ds les 2 sens. Enfin, tps intermédiaires pr mots partiellement consistants.
Cette xp a mis en avant rôle de la phonologie pré-lexicale (assemblée). L’orthographe active la phono et si on a 1 ambigüité (inconsistance) de qq sorte la reconnaissance prendra + lgtps.

44
Q

Quelle est l’Influence de l’apprentissage de la lecture / écriture sur les rpz phono des enfants :

A

Tâche de détection de mots.
1er tps: s’assurer que enfants connaissent éléments présents sur les diff images qu’on leur présente puis ils doivent écouter 1 phrase qui accompagne chaque image.
Ppl doivent appuyer sur bouton qd ils entendent ds la phrase le mot de l’image. (43 enfants: 21 pré-lecteurs & 22 lecteurs.) Les items Catch trials forcent enfants à traiter le mot en entier. Ils pourraient par exemple voir l’image de château et appuyer sur le bouton dès qu’ils entendent CHAT.

Résultats : enfants pré-lecteurs détectent + vite forme la + fréquente du mot. Ils st sensibles à la fréquence de ce qu’ils entendent car ne possèdent que ça pr décider. Ils mettent - de tps à détecter les mots CHEVAL et CASS’ROLE. diff observée ds condition obligatoire Casserole des Pré-lecteurs disparaît chez les lecteurs.

➔➔Enfants lecteurs ont accepté 1 variante qu’ils n’entendent jamais, la forme la - fréquente mais qui est compatible avec l’orthographe alors que les enfants qui ne savaient pas que le mot Cass’role pouvait s’écrit Casserole avec un « e » ne l’acceptaient pas. → Cela démontre une interaction entre l’orthographe et la phonologie.

45
Q

Qu’est-ce que l’élision du SCHWA ?

A

L’élis° est l’effacement ou la non réalisat° d’1 phonème. Mécanismes d’élision du SCHWA: le E-muet. Il consiste à effacer un «e» muet ds la structure phonétique d’1 mot. Ex: «la p’louse» ou «la pelouse». Permet de pouvoir différencier les rpz des mots que possèdent les enfants AVANT et APRES l’apprentissage de la forme orthographique des mots.

46
Q

Quels sont les deux types d’élision du SCHWA ?

A

Il existe deux types d’élision du SCHWA :
▬ facultative: «cheval» = forme la + fréquente & compatible avec l’orthographe // «ch’val» = forme la – fréquente.
▬ obligatoire: «cass’role» = forme la + fréquente // «casserole» = - fréquent & compatible avec l’orthographe

47
Q

Qu’est-ce que la morphologie dérivationnelle?

A

La morphologie dérivationnelle permet de créer new mots qui possèdent un sens diff, à distinguer de la morphologie flexionnelle qui conserve le même sens, le même mot.

48
Q

Prenons-nous en compte la morphologie dans la reconnaissance des mots écrits ?

A

Deux positions :
▬ Le Listage Exhaustif : NON. Considère qu’il y aurait 1 listage exhaustif de ts les mots ds lexique mental, les diff mots partageant parfois les mêmes racines seraient stockés individuellement dans le lexique mental.

▬ Décomposition Morphologique pré lexicale : OUI.
Mots de la même famille st stockés ds lexique mental sous la forme de la racine.
Ex «REFAIRE» : système procède à 1 découpage du mot de manière morphologique en séparant la racine du mot de ses affixes. On va isoler le préfixe RE et accéder seulement ensuite au lvl du lexique mental ou st stockées les racines des mots afin de vérifier si 1 racine FAIRE existe.

49
Q

A) Qu’est-ce que l’effet de pseudo-préfixation?

B) Qu’implique l’existence de cet effet sur l’importance de la morphologie dans la reconnaissance des mots écrits?

A

A) C’est l’augmentation du tps de reconnaissance des mots pseudo-préfixés.

«RELIGION» est 1 mot pseudo-préfixé: ce mot devrait ê découpé automatiquement en RE + LIGION avant d’accéder au lexique mental et de s’apercevoir que la racine LIGION est inexistante et de finir par reconnaître le mot RELIGION comme 1 mot faussement préfixé. Ce processus prendra du tps.

Le tps de reconnaissance de ses mots devrait dc ê + important.

Pr le mot REPERE, la racine PERE existe ds notre lexique mais ne possède pas le même sens: on la rejettera. Durée du processus fera augmenter le tps de reconnaissance de ce mot. -> Reconnaissance mots pseudoprefixés après échec de la décomposit° morpho pré-lexicale.

B) L’existence de cet effet semble aller ds le sens de la 2e théorie, celle de la décomposition morphologique qui considère que l’on utilise bien la morphologie ds le reconnaissance des mots. MAIS pas d’effet avec les suffixes.

50
Q

Appuyez-vous sur une xp pour valider/invalider la décomposition morphologique.

A

XP : Chercheurs vont d’abord s’appuyer sur le genre grammatical pr savoir si 1 découpage morpho à bien lieu. Pr savoir de quel genre est un mot il faut l’avoir reconnu.
Certains mots st congruents : genre de la racine et du mot entier st les mêmes. Ex: Maisonnette.
D’autres st incongruents : le genre de la racine et du mot entier st diff.
Tâche de décision du genre : ppl doivent dire si le mot qu’on leur présente est féminin/masculin.
Hypothèse: si 1 découpage morpho a réellement lieu, ppl devraient ê gênés et mettre un tps + conséquent à décider de quel genre st les mots INCONGRUENTS.
➔ effet de la congruence des mots ds l’ensemble des conditions de l’xp où la morphologie est impliquée.
➔➔ Il existe donc bien un processus de décomposition morphologique durant lequel nous avons accès au genre grammaticale des mots.

51
Q

Quels sont les deux types de fréquence ?

A

▬ Fréquence surface : correspond à la fréquence du mot en tant que tel.
▬ Fréquence cumulée : correspond à la somme de la fréquence de l’ensemble des mots de la même famille.

52
Q

Qu’est-ce que l’effet de fréquence cumulée?

A

Si on prend on compte la morphologie, on devrait pouvoir mettre en évidence un effet de la fréquence cumulée pr mots d’1 même famille morpho.

Si l’on utilise pas la morpho, les mots ne devraient pas ê regroupés avec ceux de leur famille et l’on ne devrait pas pouvoir observer d’effet de la fréquence cumulée.

Face à mot suffixé nous allons donc traiter la racine en premier et pouvoir exploiter toutes les propriétés de cette racine. Nous allons donc bénéficier de l’effet de la fréquence cumulée de tous les mots issus de cette racine. Ce ne sera pas le cas face aux mots préfixés pour lesquels on traitera en premier le préfixe d’où l’absence d’effet de fréquence cumulée.
➔ Cela démontre bien que nous prenons en compte la composition morphologique dans la reconnaissance des mots.

53
Q

Quelle est la différence entre la dyslexie développementale et la dyslexie acquise?

A

dyslexie développementale : diagnostic tr. apprentissage lecture en dépit d’une intelligence normale, de l’absence de tr. sensoriels/neurologiques, d’une instruction scolaire adéquate et d’opportunités socioculturelles suffisantes.

dyslexie acquise: suite à une lésion cérébrale et altère compétences de la lecture. Peut ê :
• de surface : lecture lente, - conversion graphème/phonème, peut pas lire mots irréguliers, déficit de la voir lexicale
• phonologique : peut plus lire non mots, peut lire que ce qu’il connaît, déficit graphème-phonème.
• profonde : tout est touché, ne peut plus lire non-mots/abstraits/fonctionnels. implication de HD