Rousset - Mémoire Flashcards
Qu’est-ce que le modèle d’Atkinson et Shiffrin?
émoire = ordinateur
3 processus fondamentaux : Encodage, Stockage et Récupération.
Analogies d’ATKINSON et SHIFFRIN :
▬ Disque dur, choses de manière permanente jusqu’à ce qu’on les supprime. = MLT
▬ La RAM : mémoire qui disparaît qd j’éteins la machine. + petite que l’autre mais qd l’info y
est disponible je peux travailler dessus. = MCT
▬ Le processeur gère l’ensemble, appelé contrôle exécutif.
Il manque 1 lvl de mémoire → il existe 1 mémoire au lvl des systèmes périphériques. Elle sert à
maintenir les stimulat° sur les capteurs périphériques. Il s’agit de la mémoire sensorielle.
Quelle est la différence entre la MCT et la mémoire sensorielle ?
Dans la MCT on suppose qu’on a transformé les choses
sous formes de codes qui représentent le monde extérieur, l’info a été encodée.
La mémoire sensorielle est simplement 1 stimulat° sensorielle, les choses n’y st pas encodées. L’encodage
se fait entre le périphérique et la RAM. (Atkinson & Shiffrin)
Quelles sont les caractéristiques des registres sensoriels?
▬ ils doivent ê 1 reflet fidèle de l’environnement sans aucune limite en termes d’info = capacité illimitée.
▬ Ce système doit ê indépendant des processus de haut lvl.
▬ maintien de la stimulat° doit avoir 1 durée brève et ê sensible à l’écrasement.
Quelle est la capacité des registres sensoriels ? Quelles sont les expériences qui ont permi d’en arriver à cette conclusion?
1) Paradigme de SPERLING:
Pdt 50ms, on présente 1 tableau de lettres au sujet et on demande de reporter le + de lettres possibles + VI : tps de présentat° du tableau (50/100/200ms). Tâche de report global sur 15 lettres au total → pr un tps de présentat° de 50ms/100ms, report global identique d’en môy 4.5 lettres. Report global est stable car à son maximal.
2) Autre XP où la tâche change : report partiel.
Avant l’xp, on apprend 1 code à ppl : s’il entend un son aigu, il devra reporter la 1ere ligne du tableau, s’il entend un son médium, la ligne du milieu & s’il entend un son grave, la ligne du bas. Le son apparaît après que le tableau ait été présenté. Ds cette condition le sujet
aura l’impress° que le son est arrivé pdt que le tableau était encore présenté car il verra tjr l’image.
⇉ 4.5 mots en moyennes. Même score brut, en report partiel qu’en report global, ça veut dire qu’on a bien l’indice expérimental qu’on est sur des processus de maintien de l’info (= des processus sensoriels) et non pas d’encodage.
Mais en report partiel, comme le sujet ne savait pas à
l’avance quelle ligne il allait devoir rappeler cela signifie que sur les autres lignes les stimulat°
devaient elles aussi être suffisamment bonnes pr qu’on puisse les rappeler, elles étaient elles
aussi encodables. Le report partiel est dc supérieur au report global. → RP = 4.5*3=13.5/15 > RG= 4.5/15.
3) Autre XP : tableau + lettres, qui disparaît et sur l’écran on souligne l’emplacement précédemment occupé par 1 des lettres. On demande au sujet la lettre soulignée. → 1 seule lettre à encoder, dc no pb de capacités limitées d’encodage. → très bonne capacité de registre sensoriel.
PB : 26 lettres ds l’alphabet, on peut pas tester à l’infini.
⇉⇉ Résultats qui vont ds le sens de capacités illimitées du registre sensoriel mais on n’a donc pas pu entièrement le vérifier.
Qu’est-ce qu’une tâche de report global ?
On demande au sujet de restituer le + de
lettres possibles
REGISTRES SENSORIELS : Quelle est la différence entre report global & partiel dans les processus d’encodage et sensoriels?
En report global on peut pas distinguer les processus d’encodage des processus sensoriels.
En revanche, si on indique la ligne à reporter après que le tableau ait disparu (=report partiel) cela traduira bien les processus sensoriels (= registres sensoriels), le maintien de l’info après disparit° du tableau (= de la stimulat°).
REGISTRES SENSORIELS : Pourquoi, s’il y a + de 5 lettres sur une ligne, le report stagne?
Ça stagne à un moment, ce n’est pas dû à la limite de capacité des registres sensoriels, mais à la longueur de la ligne trop importante.
⇉ Les capacités d’encodages sont limitées. (pas le registre sensoriel).
REGISTRES SENSORIELS : comment pourrait-on tester la capacité illimitée des registres sensoriels?
Il faudrait augmenter le nb de lettre ds tableau, mais pas nb lettres/lignes. On a essayé avec + de lignes, mais limite car ppl pas bons pr discriminer + de 3 sons. (report partiel)
Quelle est la durée de maintien de l’info des registres sensoriels ? Quelles sont les expériences qui ont permi d’en arriver à cette conclusion?
1) SPERLING : Ajoute une VI à la tâche de report global : l’ISI. Soit le signal (son) apparaît direct après la présentat° du tableau, soit il apparaît après 1
délai.
+ l’ISI est grand, + le stimulus a de chances d’ê dégradé
Qd l’ISI = 250ms, ø diff ds les chiffres entre le nb de lettre potentiellement recodables en
report partiel/recodés en global. ⇉ ø supériorité du report partiel sur le report global à 250ms.
⇉ registres sensoriels durent dc 250ms. ATTENTION, ce n’est qu’1 résultat expérimental.
2) paradigme de fusion = on découpe le stimulus en 2 parties, inidentifiables séparément mais qu’on peut lire qd on les superpose.
Si le registre sensoriel agit encore et maintient la 1ere image = superposit° → on peut lire.
Qd délai entre la présentation des 2 images = 0ms = très bon taux de lecture. Très rapidement (100ms) on tombe au taux de hasard.
⇉ Ds ce paradigme le registre sensoriel dure dc 100ms. + sensibles à l’écrasement.
Qu’est-ce que l’ISI ?
l’ISI (inter-stimuli interval) = tps entre la fin de présentat°
du 1er stimulus & fin de présentat° du 2e.
Qu’est-ce que l’SOA ?
SOA (stimulus onset asyncrhony) = tps entre début de présentat° du 1er stimulus et le début de la présentat° du 2e.
Est-ce que les registres sensoriels sont sensibles à l’écrasement ? Quelles sont les expériences qui ont permi d’en arriver à cette conclusion?
1) paradigme de fusion = on découpe le stimulus en 2 parties, inidentifiables séparément mais qu’on peut lire qd on les superpose.
Si le registre sensoriel agit encore et maintient la 1ere image = superposit° → on peut lire.
Qd délai entre la présentation des 2 images = 0ms = très bon taux de lecture. Très rapidement (100ms) on tombe au taux de hasard.
⇉ Ds ce paradigme le registre sensoriel dure dc 100ms. + sensibles à l’écrasement.
Quels sont les 2 modes de dégradation du registre sensoriel ?
▬ Estompage.
Ex : on laisse lgtps une photo à la lumière les couleurs vont disparaître
▬ Par perte de la structure spatiale.
REGISTRES SENSORIELS : Qu’est-ce qu’un effet de masquage ?
Dus à l’écrasement des registres sensoriels par de new stimulat°. + ou - d’écrasement. → masque est + ou - fort.
On dit qu’il y a un effet de masquage si on observe 1
dégradat° de la performance mais on peut pas dire que le masque a supprimé la stimulat°.
Quels sont les 3 types de masques?
▬ Masquage de luminosité : Stimulat° uniformes qui viennent estomper le registre sensoriel.
Masquage des registres sensoriels mais pas de la MCT. (pas encodable)
▬ Masquage de bruit: Écran avec points placés au hasard. (ex : « neige » sur les anciennes TV.) Masquage + fort que celui de type luminosité.
Rien d’encodable ici non plus dc masquage seulement des registres sensoriels.
▬ Masquage de forme : Ex : # # # → masque la MCT. (car encodable) + Masque des registres sensoriels, car variat° de luminosité.
Avec ce masque, on ne peut pas savoir si c’est le RS, la MCT ou les deux qui ont été masqué.