soin face aux violences Flashcards
Dans un ouvrage qui s’appelle le Moment du soin, qui? propose une analyse du concept de violation qui va nous permettre de montrer les enjeux éthiques et anthropologiques qui sont derrière ces situations extrêmes de vulnérabilités liées aux violences.
F. Worms
On retrouve cette double dimension de la vulnérabilité à la fois individuelle et collective derrière ce concept de
violation qui sont?
Une atteinte irréversible et massive à la dignité et l’intégrité d’une personne
Une atteinte à l’ordre symbolique, éthique et institutionnel
Dans des situations de vulnérabilité liées à des violences, il y a cette idée de quoi? et une idée de quoi? au niveau de la responsabilité des actes commis les
uns envers les autres.
idée de vulnérabilité multifactorielle
et une idée d’interdépendance entre êtres humains
Lorsque F.worms parle de « teneur morale de la relation », il ne parle pas de moralisme ou de jugement de valeur, mais de quoi? , de respect de la personne et de l’identité de l’autre qui est implicite dans nos
relations.
dignité intrinsèque
La torture vise une destruction de l’individu, la mise à mort de sa subjectivité. Elle est orchestrée dans le cadre d’un processus étatique ou militaire et repose sur une organisation et une logique visant à la fois quoi? et quoi? de l’individu
la dépersonnalisation et la déculturation de l’individu.
lorsqu’il y a violation, il y a atteinte à l’individu mais aussi à la quoi? , et à la possibilité même d’être ensemble dans un quoi?
mais aussi à la représentation du monde de l’individu, et à la possibilité même d’être ensemble dans un monde commun.
Françoise Sironi dit que dans le cadre de la torture, le but est précisément de venir attaquer la quoi?, la confiance dans le monde de la personne
attaquer la capacité de relation
L’éthique dans ces situations extrêmes est cmt?
Plurielle
Pluridisciplinaire
Contextualisée
Les principes de l’éthique médicale et les modalités d’une éthique de la discussion centrée sur le patient et ses besoins vont être ajustés au contexte spécifique de la médecine humanitaire, en prenant en compte la dimension à la fois cmt? de cette spécialité
individuelle, collective, sociale et
politique
Lorsque des médecins interviennent dans un pays, il y a d’abord l’autorisation et l’agrément des autorités du pays avant de pouvoir réaliser toute intervention. Il y a, comme décrit dans l’article de Paul Bouvier, la nécessité de se conformer aux coutumes et à la culture du pays. C’est tout un ensemble de choses à prendre en compte qui font partie de l’éthique dans sa quoi?
sa dimension contextualisée.
La dimension interculturelle est extrêmement importante pour éviter que l’on ait affaire à une forme de quoi? ou à une quoi? entre les médecins et les patients dans ces pays en grandes difficultés, en situation de guerre ou en voie de développement.
paternalisme ou à une asymétrie
La clinique des situations extrêmes et de l’humanitaire ne s’appuie donc pas uniquement sur l’éthique des principes. Elle met cette approche de l’éthique en relation
avec qls éthiques?
l’éthique de la discussion et l’éthique du « care ».
ql principe? suppose que les populations qui reçoivent de l’aide soient informées pour recueillir leur consentement libre et éclairé.
Le principe d’autonomie
qui? insiste sur cette idée d’un concept à plusieurs tiroirs, il y a donc :
L’autonomie dans la relation de soin.
L’autonomie collaborative entre les différents partenaires
Jean François Mattei
qui? insiste sur ce qu’il appelle une approche globale de la personne.
Paul Bouvier