SOC : noms et expés Flashcards
Gergen et Gergen [ch1]
psycho sociale = étude systématique des interactions humaines et leurs fondements psychologiques
Brehm et Kassin [ch1]
psycho sociale = étude scientifique de la façon dont les gens pensent et se comportent dans une situation sociale
Myers [ch1]
psycho sociale = étude scientifique de la façon par laquelle le comportement, les sentiments, les pensées d’un individus sont influencées ou déterminées par le comportement ou les caractéristiques des autres
Smith et Mackie [ch1]
psycho sociale = étudier l’effet des processus sociaux et cognitifs sur la manière dont les individus perçoivent, influencent et interagissent avec autrui
Hamon [ch1]
- “psychologie du militaire pro”
- explication de l’aliénation de l’homme par certaines institutions
- influence des normes
Tarde [ch1]
“les lois de l’imitation”
Le Bon [ch1]
“psychologie des foules”
Latané, Williams et Harkins [ch1]
effet Ringelmann (influence du grp sur perf individuelles). Exp où il faut crier le plus fort possible. Plus le gp augmente, plus l’intensité diminue (paresse sociale)
Triplett [ch1]
facilitation sociale : la présence d’autrui augmente les perf individuelles dans des tâches simples ou routinières (cf cycliste : seul vs meneur vs en compétition)
Heinrich et al [ch1]
en lien avec la facilitation sociale : biathlon, différence de perf entre ho et fe en fonction de la présence ou de l’absence de public (course vs tirs)
Chicago [ch1]
effet Hawthorne : impact de différents facteurs organisationnels sur les performances (cf exp entreprise)
Lewin [ch1]
- dynamique de groupe (cf exp avec les abats et les méthodes conférences vs réunion-discussion)
- types de leadership (cf exp enfants et différents styles directifs)
Tajfel [ch1]
créateur de la théorie de l’identité sociale (TIS)
Heider [ch2]
- l’explication “ordinaire” : fondateur des théories de l’attribution
- grâce à l’attribution causale, l’individu appréhende la réalité et peut la prédire et la maîtriser
- le cpt engloutit le champ : on prête + d’attention au cpt observé que tt ce qui concerne le contexte en vient à disparaître à nos yeux (on établit un lien de causalité entre ce qu’un personne fait et ce qu’elle est)
Weiner et Graham [ch2]
une attribution est une inférence qui a pour but d’expliquer pq un évènement a eu lieu
Vallerand [ch2]
une attribution est une inférence qui a pour but d’expliquer le comportement d’autrui, aussi bien que notre propre comportement
Heider et Simmel [ch2]
observation de mvmts de figures abstraites : on a besoin de tout expliquer de manière innée
Tversky et Kahneman [ch2]
jets d’une pièce = pile ou face : notre cerveau a besoin de percevoir de la cohérence/logique, mais tous les jets ont autant de chance de se réaliser
Wirtz et al [ch2]
blâme de responsabilité envers des personnes en surpoids : + de discrimination à l’égard de personnes stigmatisées lorsqu’on pense qu’elles sont responsables de leur situation
Abrams et al [ch2]
blâme de la victime d’une agression sexuelle avec sexisme hostile vs sexisme bienveillant : plus les personnes adhèrent au sexisme bienveillant, plus ils blâment la victime d’agression sexuelle en condition “ami”
Jones et Davis [ch2]
modèle des inférences correspondantes : on attribue des traits de caractères expliquant un comportement (2 facteurs : désirabilité sociale & choix)
Kelley [ch2]
modèle de covariation : notre amie qui déteste une série TV. 3 types d’informations : forte consistance vs fort consensus vs forte distinctivité (puis attribution interne ou externe)
Schachter [ch2]
théorie de la labilité émotionnelle : expliquer son propre comportement/ses émotions
Schachter et Singer [ch2]
théorie de la labilité émotionnelle : explication d’une activation physiologique inattendue. 3 conditions : informés, aucune info, mal informés. Puis 2 contextes : personne euphorique vs personne en colère. Les participants en condition aucun info expliquent leur ressenti physiologique avec le type d’émotion du compère (ceux qui avaient de l’info ne sont pas influencés par l’émotion du compère)
Weiner [ch2]
théorie de l’attribution de performances : impact des attributions sur émotions et sur motivation. 3 dimensions : lieu de causalité, stabilité, contrôlabilité
Weiner, Perry et Magnusson [ch2]
impact des attributions sur le jugement social : victime SIDA (+ suite à injection ou transfusion - si promiscuité sexuelle ou injonction IV)
Rotter [ch2]
déterminants individuels : LOC (interne vs externe)
- Echelle mesurant degré de contrôle perçu : + fort degré de contrôle perçu, + gens répondent qu’ont l’impression d’avoir un fort contrôle, + ont des conduites morales ou d’hygiène
- LOC au travail : plus contrôle perçu ay travail élevé, plus déclare un bien-être, plus sont motivés, plus se sentent efficaces, plus orientent leurs comportements
- Echelle : se présenter de manière positive / se présenter de manière négative / juger les présentations d’autrui → qd positive, score LOC deviennent interne, quand négative, score LOC deviennent externe, qd juges, les questionnaires internes sont mieux jugés que les externes
Bradley [ch2]
biais d’autocomplaisance : individus expliquent réussites de façon interne et échecs de façon externe pr protéger et conserver image de soi et confiance en soi positive
Jones et Nisbett [ch2]
déterminants situationnels : l’effet acteur-observateur. L’acteur recourt à des explications externes de son cpt, l’observateur à des explications internes du cpt de l’acteur
Jones et Harris [ch2]
déterminants situationnels : même quand observateur sait que l’acteur a été contraint de faire ce qu’il a fait, il lui attribue le biais (comme quoi s’il l’a fait, c’est qu’il le pense)
Genschow et al [ch2]
déterminants situationnels : mesure de croyance en un libre arbitre et lecture d’un texte écrit par un étudiant sur la prière au sein des écoles publiques (pro vs contre). VD = perception à propos de l’auteur du texte → plus les participants adhèrent au libre arbitre (“gens ont tjr la possibilité de faire autrement”), et plus leur biais de jugement est important (pensent que l’auteur du texte est d’accord avec ce qu’il a écrit)
Ross, Amabile et Steinmetz [ch2]
déterminants situationnels : mise en place d’un jeu q/r. VI (rôle du sujet) : questionneur vs questionné vs observateur. VI (rôle de la personne à évaluer) : questionneur vs questionné. VD = évaluation de la culture générale → questionneurs perçus comme + intelligents par autrui et par eux-mêmes (car ont tout le temps la réponse), et inverse pour questionnés (car n’arrivent pas à répondre) → lien avec effet Julien Leperse
Deaux et Emswiller [ch2]
déterminants personnels : évaluer la perf d’un ho et d’une fe (tâche masculine ou féminine) → ds tâche masculine, attribution à sa compétence pr un homme et à la chance pr une femme ; ds une tâche féminine, pas de différence d’attribution
Heilman et Stopeck [ch2]
déterminants personnels : CV cadre d’entreprise avec belle carrière pro (ho vs fe). Les participants devaient donner les raisons de la réussite pro de ce cadre : pour un homme la compétence était évoquée une fois sur 2 contre 1 fois sur 4 pour une femme
Morris et Peng & Lee et al [ch2]
déterminants culturels : chinois vs américains devant expliquer des meurtres ou des évènements sportifs → américains soulignent traits de personnalité, chinois soulignent les facteurs contextuels
Beauvois [ch2]
déterminants culturels : la norme d’internalité = valorisation systématique des explications dispositionnelles des évènements mm si ces attributions internes ne sont pas plus pertinentes/objectives que les explications externes (exagération du rôle de l’individu ds ce qui lui arrive). 3 arguments : socialement valorisée (cf Delente et Endelin : plus classe sociale favorisée, plus répondent de manière interne), socialement désirable (cf Beauvois et LePoultier : étudiants, si autovalorisation interne, si autodévalorisation externe) et socialement acquise
Guimond [ch2]
déterminants culturels : effet de la socialisation universitaire → étudiants (SHS vs S éco) en 1ère vs 3e/4e année. VD = fournir explication de la pauvreté et du chômage en général → aucune diff en 1ère année, puis éco int vs SHS ext
Dambrun et al [ch2]
déterminants culturels : psy vs bio sur la croyance en un déterminisme génétique pr expliquer les comportements sociaux. Au début par trop de diff, plus j’avance en psycho moins jsuis d’acc avec rapport de dominance, et chute en la croyance d’un déterminisme génétique en psy (bouge pas en bio)
Hehman et al [ch3]
nos impressions reposent sur 3 critères : caractéristiques de la cible, caractéristiques du perceveur, et interaction cible-perceveur
Todorov et al [ch3]
+ une personne a des traits néoténiques, + est digne de confiance
Livingston et Pearse [ch3]
jugement de chefs d’entreprises (CEO) et doivent dire s’ils sont sympas/compétents. Les CEO noirs sont associés à plus de traits juvéniles et sont aussi perçus comme étant moins compétents et plus chaleureux
Brambilla et Leach [ch3]
personne dangereuse ou digne de confiance :
- détection rapide spontanée et automatique (amygdale)
- plus la cible est perçue comme indigne de confiance, plus on estime qu’elle constitue une menace pour la stabilité et l’intégrité de l’ensemble communauté
- plus cible perçue comme fiable, plus perçue comme bénéfique pr la survie et la cohésion de groupe
Lopez et al [ch3]
- importance du contexte lié à la cible : traits consciencieux chez étudiants (chambre rangée vs chambre mal rangée) → impression guidée par le contexte associé à la cible
- caractéristiques cible x perceveur : rajout VI où l’observateur est dans une salle rangée ou non + VI = mesure de la tendance individuelle à être multi-tâche avec le numérique → pas d’influence du contexte du perceveur sauf chez les participants “multitâche numérique” (qui ont pris en compte le contexte ds lequel ils étaient pr se faire un avis sur l’étudiant à évaluer)
Russel et Fiske [ch3]
faire face à une menace ou à de la compétition influence les impressions à propos de la cible : la concurrence perçue avec une cible modifie les impressions sur la chaleur et la compétence de la cible