Semiologie Flashcards

1
Q

Signes fonctionnels pollakiurie

A

Adénome de la prostate => modérée

Cancer ou infection urinaire => extrême

Étiologies :

  • Obstacle
  • Irritation vésicale (infection, calculs vésicaux, tumeur vésicale etc…)
  • Diminution capacité vésicale (bilharziose etc…)
  • Dysfonctionnement neuro végétatif
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2
Q

Troubles mictionnels

A

Pollakiurie

Dysurie

Rétention d’urine

Incontinence

Énurésie

Miction impérieuse

Miction interrompue

Miction en 2 temps

Sd d’hyperactivite vesicale : pollakiurie, urgenterie +/- brûlures mictionnels

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3
Q

Cystocele

A

Descente de la vessie

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4
Q

Insuffisance rénale obstructive : SF

A

Dysurie anurie

Hématurie

Globe urinaire

Douleurs lombaires

Hyperkaliemie
Augm creatininemie

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5
Q

Insuffisance rénale fonctionnelle : SF

A

1) hypovolemie vraie
- perte de poids
- pli cutané
- hypotension

2) pseudohypovolemie
- œdèmes
- OAP
- hypotension

3) oligurie

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6
Q

Insuffisance rénale organique : SF

A

Œdèmes

OAP

HTA

Oligurie

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7
Q

Comportement rénal des prot

A
  • albumine globuline
    Pas de franchissement de la barrière de FG
    Albuminurie physio <30mg/j
  • RBP, VDP, alpha2microgl, bêta 2 microgl, cystatine
    Franchissement BFG mais Reabs tubulaire proximale par endocytose
  • prot sécrétées : uromoduline, IgA, urokinase
    Sécrétion tubaire (anse de henle)

Protéinurie quot : 30-130mg/j <150

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8
Q

Insuf rénale chronique

A
Accumulation des toxines urémiques
– Pollakiurie nocturne
– Fatigue, AEG
– Perte d’appétit,
– Odeur urémique de l’haleine

– Péricardite

– Prurigo
– « Givre urémique »
– Atteinte des fonction supérieures,
– Myoclonies, Convulsions
• Perte de l’homéostasie du milieu intérieur
– Balance sodée:
• Oedèmes, HTA,
• OAP
– Balance potassique et acidobasique:
• Crampes
– Balance phosphocalcique:
• douleurs musculo-tendineuses
• Calciphylaxie
• Autres

Annales et complément :
Diminution de la calcémie
Augmentation creatinemie, urée sg, bêta 2 micro globuline, uricémie (acide urique du sang), kaliémie et phosphoremie / phosphatemie aussi
Donc augmentation de synthèse de PTH : Hyperparathyroidie de l’IRC
ANÉMIE –> fatigue AEG perte d’appétit
ACIDOSE MÉTABOLIQUE (elle met alcalose 💕)
Diminution élimination rénale de K+

Tombe : anémie normocytaire normochrone arregeneratif ou microcytaire si carence martiale +++
À cause p° diminue d’epo et dfcit en fer (carence martiale)
Hématocrite DIMINUE

Différence entre IRA fonctionnelle et organique –> regarder la natriurese
<20 : fonctionnelle 💕💕💕💕💕
> 20 : organique 💕💕💕💕💕💕

Créatinine urinaire :
💁‍♂️1200-2000
💁 900-1800
Si augmente –> IR

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9
Q

Sd néphrotique

A

Protéinurie > 3g/24h
Rappel N : <150mg / j

Et

Albuminemie plasm < 30g/L

Atteinte du podocyte et/ou de la membrane basale glomérulaire

Protéinurie > 3g/J
Hypoalbuminémie < 30g/L
Hypoprotidémie < 60g/L

Impur si hématurie hématurie, HTA ou IR

+ symptômes de protéinurie de débit élevé :
Urines mousseuses et œdèmes blancs mous indolore bilât et prenant le godet

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10
Q

Protéinurie de Bence Jones

A

Excès chaînes légères K ou lambda

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11
Q

Protéinurie de débit élevé composée d’albumine

A

Urines mousseuses
Œdème blanc mou (comme ma bite) indolore bilatéraux prenant le godet

Albuminurie entre 30 et 300 => sur risque vasculaire +++

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12
Q

Nephro sémiologie

A

Ratio protéinurie/créatinurie proche de la valeur quotidienne de la protéinurie

Logique lol car 1g de créatine éliminé par les urines environs hahaha

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13
Q

Néphropathie interstitielle ou tubulo aigue

A

HTA + ou - –> si IR
pas d’OMI
PARFOIS DOULEURS LOMB BILATÉRAL , fièvre, rash cutané (allergie)

  • *Biologie :
  • IRA
  • pas de Pu massive : généralement <1g/g
  • Perte des fonctions de concentration/réabsorption sélective : EF Na >2%, Urée U et creatinine U basses
  • Leucocyturie aseptique avec cylindres granuleux
    - > eosinophilurie (peu sensible et Spé)
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14
Q

Néphropathie interstitielle ou tubulo chronique

A
  • IRC modérée et lentement progressive
  • HTA souvent tardive
  • faible proteinurie
  • leucocyturie aseptique
  • tr. Des fonctions de sécrétion/Reabs
    - -> perte de Na/Cl
    - -> hypokaliémie
    - -> diabète insipide nephro génique

HISTO :

  • fibrose interstitielle
  • destruction des structures tubulaires
  • infiltrât glomerulaire
  • GLOMÉRULES ET VX NORMAUX +++
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15
Q

Syndrome hémolytique

A

Syndrome hémolytique et urémique

▪Insuffisance rénale

▪Anémie hémolytique:
– diminution Hb, augmentation schyzocytes,
diminution Haptoglobine, augmentation LDH

▪Thrombopénie

▪HTA

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16
Q

Fuite néphrose

A
  • PROTÉINURIE
    HypoproteinEMIE
    Hypoalbuminemie
    OMI +++

Microalbuminurie 30-300
Macro >300

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17
Q

néphrite = inflammation

A
  • Sédiment urinaire actif :
    - Hématurie +++
Cylindre hématique, GR dysmorphique
➢ Leucocyturie+
➢ Insuffisance rénale
➢ Rétention sodée, HTA
➢ Protéinurie +
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18
Q

Syndrome Néphritique

A
  • Protéinurie > 1g/J et < 3g/J
  • Hématurie (> 10 000/mL) : urines bouillon sale
  • HTA , OMI
  • Insuffisance rénale modérée

Sd Néphritique :

Formation locale / dépots
Complexes Ac – Ag glomérulaires
                     -->
Activation cytokines,
Activation locale complément
                   -->
Afflux cellules inflammatoires
Proliférations cellules mésangiales
               --> 
Histologie =
GN endocapillaire
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19
Q

Glomérulonéphrite rapidement progressive

A
  • Protéinurie significative
  • Hématurie (micro parfois macro)
  • Insuffisance rénale rapidement progressive
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20
Q

Hématurie

A

Détection :
- A l’œil nu : hématurie macroscopique (H>500 000/mL)

  • Bandelette urinaire : dépistage systématique (médecine du travail ++)
    o Faux positif : hémoglobinurie, myoglobinurie, betterave, Rifampicine
  • Analyse du sédiment urinaire : pathologique si >5 000/mL
  • Compte d’Addis (HLM : Hématie/leucocyte/min) pathologique si >5 000/min

Origine rénale suspectée si :
- Totale : épreuve des 3verres où on demande au patient de pisser dans les 3 verres et on regarde si l’hématurie est présente dans les trois ; si oui : néphropathie ; si non : origine terminale (prostatique) ou initiale (urétrale).

  • Hématies déformées : origine glomérulaire ++
  • Présence de cylindres : protéine de Tamm-Horsfall (uromoduline) dans lesquelles sont engainées des hématies

Annales : origine glomerulaire
Jamais de douleurs lombaires
Imagerie normale
Protéinurie (l)

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21
Q

Leucocyturie

A

Détection :

  • BU : seuil détection 10/mm3 (10 000/mL)
  • Sédiment urinaire : ECBU >10 000/mL
  • Compte d’Addis >10 000/min

Leucocyturie septique / aseptique

  • Présence de nitrates à la BU
  • Septique si germes + à la culture

Oesinophilurie :

  • A rechercher sur urines fraîches
  • Evocateur de néphropathie immunoallergique
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22
Q

QCM histologie rénale

A

présence de dépôts à l’extérieur de la MB est dénommée atteinte extramembraneuse et non capillaire attention

Présence de prolif à l’intérieur de la MB –> endocapillaire. Logique (cf cours)

Glomerulonephrite extracapillaire associe a prolifération des c capsule de Bowman. (L)

Les cellules mesangiales sont situés à L’INTÉRIEUR DE LA MB glomerulaire

Les podocytes constituent la barrière de filtration glomerulaire avec les cellules endotheliales et la membrane basale glomerulaire

Hyalinose : dépôt de matériel acellulaire composé de glycoprotéines et quelques lipides (annale osef)

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23
Q

Insuffisance rénale

A

Pas de signes cliniques à BIOLOGIE avec évolution créatinine plasmatique

Insuffisance rénale : analyse filtration glomérulaire (FG)
- Atteinte de la FG
- Aigue (48h) / chronique (>3mois)
- Méthode d’analyse de la FG
o Méthode des clairances : uniquement à l’équilibre à pas en situation aigue ++
▪ Clairance plasmatique
▪ Clairance rénale (UxV) / P
▪ Gold standard : traceur exogène à inuline, Iohexol, Iothalamate, Cr EDTA plasmatique
▪traceur endogène : creatinine plasmatique

Annale :
Peut être mesurée par décr plasmatique du iohexol
(Vrai)
Peut être ESTIMÉE par Cl rénale de la creatinine (piège avec mesure)

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24
Q

Creatinine plasm et FG

A
  • Produite par les cellules musculaires (regarder le patient pour voir si créatinine adaptée à la masse musculaire)
  • Comportement rénal :
    o 80% filtré par le glomérule
    o20% secrété par le tubule proximal par transport actif

Cl creatinine
💁 : 60-110 micromol/L
💁‍♂️ : 80-115 micromol/L
NON UTILISABLE EN IR

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25
Q

Estimation de la FG

Et non mesure attention

A

Formules utilisant la créatinine plasmatique

  • Cockcroft :
    o Comparaison à la clairance de la créatinine –> estimation de la clairance de la créatinine
    o Exprimé en mL/min
  • MDRD :
    o Comparaison au DFG mesuré par Iothalamate –> estimation de débit de filtration glomérulaire
    o Exprimée en mL/min/1,73m2
  • CKD EPI : HAS EN 2011 (annale)
    o Amélioration de la formule MDRD

Cockcroft non valable : reflète clairance de la creatinine et non DFG

MARQUEURS EXOGÈNES +++ et CKD-EPI

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26
Q

IRA : 48h

ET IRC (>3mois)

A

IRA DÉF KGIGO 2012
Diminution rapide des fonctions du rein :
Stade1 :
- ­ AUGM Créatinine pl > 26,5 micro Mol en 48h
- ­ AUGM Créatinine pl > 50% en 7 jours
- Oligurie < 0,5mL/kg/h sur plus de 6h

Stade 2

  • ­ AUGM Créatinine pl > 100%
  • Oligurie < 0,5mL/kg/h sur plus de 12h
Stade 3 : 
- ­ AUGM Créatinine pl > 200% 
- Oligurie < 0,3mL/kg/h sur plus de 24h
Ou anurie >12h
! Les formules d’estimation du DFG ne sont pas applicables car situation aigue !
Aigue à créatinine ++

IRC :
il existe 5 stades de la maladie rénale chronique (DFG estimé par la formule MDRD) :

• Stade 1 : Maladie rénale chronique sans IR

DFG ≥ 90 ml/mn

• Stade 2 : IRC débutante

DFG entre 89 et 60 ml/mn

• Stade 3 : Insuffisance rénale chronique modérée

DFG entre 59 et 30 ml/mn

• Stade 4 : IRC sévère

DFG entre 29 et 15 ml/mn

• Stade 5 : IRC terminale

DFG < 15 ml/mn

Formule d’estimation +++

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27
Q

Méthodes dosage creatinine

A

Specto masse : Gold standard

Colorimetrie : MDRD (méthode cinétique) ET Cockroft (a l’équilibre)

Enzymatique : CKD EPI

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28
Q

Hypokaliémie SF

A

Crampes paresthésies

Annale :
Fait courir un risque de troubles de l’excitabilite cardiaque

Aggravée par les episodes de diarrhées et lorsque la diarrhée entraîne l’hypoK+ une acidose métabolique liée à la perte dé HCO3- est également mise en évidence

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29
Q

Hyperkaliemie

A

Paralysie

Iléus

30
Q

Atteinte des fonctions tubulaires

A

L’analyse du tubulo-interstitium : analyse de la fonction de réabsorption/sécrétion +++

Plasma filtrât glomerulaire : 
1) Na : ++++++++++
2) HCO3- : +++
K+ : +
Urée : +
Urines finales : 
Na : + 
HCO3- : rien 
K+ : ++
Urée : ++++++++++

(((((Fonctions tubulaires :

  • H20 : environ 2L, densité urinaire > 1015
  • Natriurèse = apports oraux : environ 9g/j 150 mmol/j
  • Kaliurèse = apports oraux : environ 50 mmol/j
  • Glycosurie = 0
  • Aminoacidurie = 0
  • Bicarbonaturie = 0
  • Calciurie = environ 0,1mmol/kg poids/j
  • Phosphaturie : TmPi/DFG>0,8mmol/L))))

ALLER VOIR LA PHOTO DANS IMAGES ABSOLUMENT +++++

31
Q

Embols de cholestérol

A

▪Livedo, orteil pourpre

▪Altération de l’état général, myalgies

▪Insuffisance rénale aigue ou rapidement progressive

32
Q

Nephroangiosclerose

A

– HTA ± hypokaliémie

– Insuffisance rénale

– Reins de petite taille et de contours harmonieux

– OAP flash

33
Q

Thrombose des gros vx

A

– Douleur lombaire mimant une colique néphrétique

– HTA : +++ si thrombose artérielle

– +/- Hématurie macroscopique, augmentation LDH (infarctus rénal)

– Si unilatérale : pas d’insuffisance rénale

34
Q

Hyper natrémie : symptômes

A

Tremblements

Convulsions

Coma

Irritabilité

Léthargie (= sommeil profond)

35
Q

Hypo natrémie : symptômes

A

“Asymptomatique”
Troubles de la marche

Nausées
Malaise

Céphalée 
Léthargie 
Obnubilation 
Convulsion coma 
Arrêt cardiorespiratoire
36
Q

Natrémie

A

Reflète stock d’eau et non de sel !!!!

37
Q

Annales nephro varies

A
  • l’insuffisance rénale avancée peut être associée à une hypo natrémie du fait de l’accumulation de l’urée
  • l’hyperglycémie sévère peut être associée à une hyponatremie
38
Q

Tubulopathie proximale = syndrome de Fanconi

A
  • Diminution bicarbonatémie
  • Glycosurie à glycémie normale
  • Protéinurie tubulaire
  • Hypophosphatémie avec acidose métabolique
  • Augmentation excrétion fractionnelle d’acide urique

Annale :
Conduit à une aminoacidurie (l) cf bicarbonates

Peut être associé à une bêta 2 microglobulinemie

Observe en cas de néphropathie interstitielle CHRONIQUE
Rappel : DESTRUCTIONS STRUCTURES TUBULAIRES

39
Q

PSA

A

● Prostate specific Antigen.

● Spécifique de la prostate (+++).

● C’est un marqueur mais pas une substance toxique (≠ cholestérol).

● Variation intra-individuelle : 10% environ

● Variation inter-laboratoire : 17% environ

● Augmenté dans : ❤️
➢ L’hyperplasie bénigne de prostate 💕
PSA < 20ng/ml
➢ Cancer de prostate (+++) 💕
mais PAS spécifique du cancer de la prostate (c’est spécifique de la prostate mais pas du cancer).
➢ Prostatite (PSA < 100 ng/ml mais non recommandé).💕
➢ Après une rétention aigue d’urine ou une cystoscopie (un peu).💕

● Intérêt diagnostic mais non spécifique, en faveur du cancer si (+++) : ❤️
➢ Valeur élevée (seuil > 4 ng/ml, VPP : 30% et VPN : 90%).
➢ Rapport PSA libre/ PSA total bas (< 15% signe de cancer (on veut un rapport haut)) à plus il est bas, plus il y a un risque de cancer de la prostate. Mais ce rapport n’est pas mesuré en première intention
➢ Augmentation rapide (2ng/ml en 1 an).
➢ Si valeur très élevée > 100 ng/mL, très spécifique de cancer métastatique.

● Une confirmation histologique est impérative si un cancer est suspecté (biopsies de prostate) –> on ne pourra pas affirmer un cancer de la prostate uniquement avec le PSA. ❤️

● Valeur pronostique dans le cancer de prostate (car bon reflet de la masse tumorale). ❤️

● Intérêt dans le suivi des cancers de prostate ❤️

récidive après prostatectomie si PSA > 0,2 ng/Ml, récidive après radiothérapie si PSA + 2 ng/mL
o ex : si un patient a 8 de PSA au départ, puis après radiothérapie son taux descend a 1 et après quelques années si reprise de 2 points alors suspicion d’une récidive.

● Mais pas recommandé pour le diagnostic de la prostatite, on fait un ECBU.❤️

● Faire un toucher rectal pour détecter une induration de la prostate.❤️

40
Q

Marqueurs K du testicule

A

● 3 marqueurs :
o LDH,

o alpha foeto protéine (non augmentée dans les tumeurs germinales séminomateuses = jamais augmentée dans les séminomes purs),

o hCG.

● Intérêt : diagnostic, pronostic, suivi/surveillance . 💕

Cocher faux :
Diagnostic de recidive ou encore volume tumoral

41
Q

Échographie testiculaire

A

● Examen de référence pour le CONTENU SCROTAL (1).

● PARENCHYME TESTICULAIRE : tumeur (+++) (2), orchi-épididymite (si hétérogène)

● HYDROCELE : liquide entre testicule et vaginale testiculaire (3).

● VARICOCELE : dilatation des veines du cordon (mais le diagnostic est clinique, lorsqu’elles sont palpables).

● KYSTE du cordon.

● Peu performant dans le diagnostic d’une hernie inguino-scrotale.

Pièges :
Dg :
- Infertilité
- dysfonctionnement érectile

42
Q

Testosteronemie

A

● Androgène sécrété par les testicules sous stimulation hypophysaire.

● Les 3 formes de la TESTOSTERONE (normale > 2-3 ng/ml variation selon laboratoire) :

➢ Fraction LIEE A LA SHBG (Sex Hormon Binding Globulin) : forme inactive qui augmente avec l’âge.

➢ Fraction LIBRE : active (2% de la testostérone totale, dosage rarement réalisé) –> barbe, libido…

➢ Fraction LIEE A L’ALBUMINE (liaison pouvant se rompre facilement avec l‘albumine, et devenir alors libre).

● Fraction libre + liée à l’albumine = TESTOSTERONE BIODISPONIBLE (dosage plus précis que la testostérone totale mais en 2 ème intention).

● RYTHME NYCTHEMERAL avec pic matinal donc faire le dosage le matin. 💕

● D’autres androgènes sont sécrétés par les surrénales.

● Agissent sur des récepteurs aux androgènes.

● Elle est responsable des caractères sexuels secondaires et dans la libido.

● 2 indications :

➢ DIAGNOSTIC d’un DEFICIT ANDROGENIQUE (utilisation dans le déficit androgénique lié à l’âge (baisse libido + asthénie)).

➢CONFIRMATION D’UN BLOCAGE ANDROGENIQUE dans le ttt du cancer de la prostate. (<0,5 ng/ml)

Castration chimique : antagoniste ou agoniste de la LH RH.

43
Q

Spermogramme

A

● Recueil de sperme après 3-5j d’abstinence.

● Analyse de :
→ VOLUME de l’éjaculat : normal > 1,5 mL (anomalie = hypospermie).

  → NUMERATION PAR EJACULAT > 40 millions.

  → NOMBRE de spermatozoïdes :
   ✓ Normale > 15 millions/mL.
   ✓ Diminué : oligospermie.
   ✓ Absence : azoospermie.

 → MOBILITE des spermatozoïdes :
  ✓ Normale > 40% de formes mobiles.
  ✓ Hypomobile : asthénospermie.

 → VITALITE : normale > 60%.

 → FORME des spermatozoïdes :
   ✓ Normalement > 15/30% de formes normales.
   ✓ Trop de formes anormales : tératospermie.

 → Eventuelle spermoculture.
44
Q

Cytopathologie urinaire

A

● Recherche de CELLULES TUMORALES dans les urines.

● Intérêt dans le diagnostic et le suivi des tumeurs de vessie.

● Pratiqué dans un laboratoire d’anatomo-pathologie.

● Manque de spécificité et sensibilité.

● On ne tient compte que des cellules évocatrices de tumeurs de haut grade

45
Q

ECBU

A

Examen cyto-bactériologique des urines

● Permet recherche de GR, de GB et de bactéries. 💕

● HEMATURIE si > 5 000 ou 10 000 GR/mL ou 10 par mm 3 .

● Examen direct quasi-immédiat : identifie une bactériurie si > 10^5 /ml

● Seuil de LEUCOCYTURIE significative : 10 puissance 4 éléments ou 10/mm3

● Seuil de BACTERIURIE significative en culture (ufc = unité formant colonie) :
➢≥ 10^3 UFC/mL pour les cystites E.coli ou enterobacteries ou staphylocoque saprophyticus.

➢ ≥ 10^5 UFC/mL pour les cystites à autres germes dont entérocoque.

➢ ≥ 10 4 UFC/mL pour les PYELONEPHRITES et PROSTATITES.

➢ ≥ 10^3 UFC/mL pour les INFECTIONS URINAIRES liées aux soins.

Ces seuils sont à interpréter en fonction de la clinique.

● En cas de BACTERIURIE, un antibiogramme est réalisé. (2 ou 3 jours) 💕

● CRISTAUX : non pathologiques mais plus fréquents chez les individus ayant une maladie lithiasique.

46
Q

Débitmètre

A
  • Bilan d’une DYSURIE.
  • Réalisé en consultation.
  • Permet d’analyser :
    → VOLUME URINE (la débitmétrie n’est interprétable que si le volume uriné est > 125mL). 💕→ FORME de la COURBE : 💕
    ✓ Cloche normalement.
    ✓ Aplatie en cas d’obstruction sous vésicale ou d’hypoactivité vésicale –> obstacle prostatique 💕
    ✓ Plateau si sténose, rétrécissement uretral = obstacle infranchissable
    ✓ Polyphasique si contractions abdominales (le patient pousse pour vaincre l’obstacle)
47
Q

Échographie app urinaire : rénale + vésicale

A

ÉCHO RÉNALE
- Examen de 1ère intention

- Visualise bien : 💕
       → TUMEURS
       → KYSTES
       → CALCULS
       → DILATATION des cavités = hydronéphrose. 

Mais :
→ Opérateur dépendant.

→ Pas de relecture possible.

→ Uretère mal vu sauf dans ses portions initiale et terminale.

→ Difficile chez l’obèse.

→ N’évalue pas la densité des calculs

ECHO VÉSICALE
* VESSIE PLEINE :

➢ Paroi vésicale :
- Tumeur ? les petites tumeurs ne sont pas vues en écho et en plus vessie mobile donc petit polype non visible (souvent si suspicion d’une tumeur on vérifie par cystoscopie)

 - Diverticule ? replis de muqueuse dans de la musculeuse
  - Épaississement du détrusor en amont d’un obstacle chronique ? avant d’être diverticulaire la vessie s’épaissie

➢ Contenu vésical (caillots, calculs).
- Mesure du RESIDU POST-MICTIONNEL après vidange vésicale.

Annales :
- calculs du rein : image hyperechogene AVEC cône d’ombre

48
Q

TDM sans injection abdomino pelvien

A
  • Examen de référence pour visualiser un calcul rénal ou urétéral (radio-opaque ou non) –> le scanner voit TOUS les types de calculs même les radio-transparents.
  • Donc si normal ECARTE LE DIAGNOSTIC DE CALCUL URINAIRE (sauf les calculs médicamenteux)
  • Permet d’évaluer la densité du calcul : 400 UH en faveur d’acide urique (on peut le dissoudre avec les eaux alcalines, contrairement aux calculs calciques), > 800 UH en faveur de calculs calciques.
  • Peut visualiser une hydronéphrose.

Annales :
- tumeurs = échographie rénale ou TDM injecté
- rein muet = avec injection
Pas de CI si IR

49
Q

TDM injecté abdomino pelvien

A
  • DOUBLE TOXICITE : rayons X et produit de contraste.
  • 4 temps :
    → Sans injection.
    → Néphrogramme : temps parenchymateux précoce. (1)
    → Temps excrétoire : visualise les cavités. (2,3)
    → Temps tardif (visualise l’uretère, prend 20min).
  • Examen de référence pour le diagnostic des TUMEURS du rein et kystes atypiques… Les tumeurs prennent le contraste de manière modérée par rapport au parenchyme adjacent et de manière hétérogène.
  • Permet de visualiser foyer de néphrite (hypodensite triangulaire à base périphérique).
  • Permet d’apprécier l’épaisseur du parenchyme rénal et de rechercher un obstacle.
  • Bilan des traumatismes rénaux.

Tumeur du rein G :

Remarque : Angiomyolipome est la seule tumeur bénigne diagnosticable au scanner

50
Q

Seul à modifier la couleur des urines

A

Rifampicine

51
Q

Un seul ne caractérise pas un tr mictionnel

A

Polyurie

52
Q

Pollakiurie

A

● Étiologies :
→ OBSTACLE entraînant une miction incomplète (pathologie prostatique : si la vessie, de contenance normale de 300 cc environ, ne se vide que de 100 cc, elle va se remplir plus rapidement d’où un besoin plus fréquent d’uriner).

→ IRRITATION VESICALE (infection urinaire, calculs vésicaux, tumeur vésicale).

→ DIMINUTION de la CAPACITE VESICALE (bilharziose, fibrose de vessie, « petite » vessie).

→ DYSFONCTIONNEMENT NEURO-VEGETATIF (hyperactivité vésicale : contraction lors du remplissage par exemple –> objectivation par un bilan uro-dynamique pour étudier le comportement des sphincters et de la vessie au cours de la miction).

→ Pollakiurie MODEREE adénome de prostate

→ Pollakiurie EXTREME cancer ou infection urinaire

IR = vrai cf IRC COURS DE ESSIG

Piège : calcul vésical et non rénale attention ⚠️⚠️⚠️/ boissons abondantes / hématurie

53
Q

Anomalie haut de l’app urinaire

A
  • REGARDER le malade debout puis couché (selon comment il se tient, on peut déceler
    une douleur d’un côté).
  • INSPECTION.
  • PALPER BIMANUEL :
    →Douleur provoquée (calculs ? tumeurs ?).
    →Défense pariétale
    → Contact lombaire : mobiliser avec la main antérieure vers la main postérieure (masse rénale –> on sent le contact avec la main postérieure, pathologique car un rein normal ne se palpe pas (probablement tumeur)).→ Ballotement rénale (adhérences) : mobiliser avec la main postérieure vers la main antérieure. Si cancer qui infiltre les tissus, aucun ballotement. Si masse rénale très mobilisable, tumeur probablement localisée au niveau du rein sans envahissement.

Remarque : pour les uretères, on recherche une douleur le long du bord externe du muscle grand droit correspondant.

54
Q

Anomalie bas app urinaire

A
  • VESSIE : palper hypogastrique –> rechercher un Globe vésical (vessie normale ni palpable, ni percutable).
    → Palpation : masse sous-ombilicale médiane, arrondie, régulière, rénitente.→ Percussion : matité à concavité inférieure

PROSTATE : toucher rectal.

→ Prostate normale : antérieure, bilobée, sillon médian, limites nettes, poids 152-0g.

→ Adénome : augmentation régulière, élastique, disparition du sillon médian, dont on peut évaluer le volume.

→ Cancer : augmentation irrégulière, indurée (dureté pierreuse).

→ Prostatite : glande œdématiée et douloureuse.

Remarque : augmentation physiologique de la taille de la prostate en fonction du taux de testostérone (glande hormonosensible). Si augmentation de la taille prostatique vers les bords latéraux, peu de symptomatologie urinaire. Si augmentation de taille vers l’intérieur, compression de l’urètre, symptomatologie (+++).

55
Q

Retention d’urine (2 types)

A

● RETENTION COMPLETE : RETENTION AIGUË D’URINE :
→ Miction impossible douleurs (+++) mais violente envie d’uriner avec globe vésical,

→ Si pas de douleur : diagnostic différentiel d’anurie –> le patient n’urine pas non plus mais n’a pas envie d’uriner car a une vessie vide, les reins ne fonctionnent pas.

● RETENTION INCOMPLETE :
→ Miction possible mais fréquente post-mictionnel. (+ pollakiurie) et difficile (+ dysurie) avec résidu post mictionnel

→ Au maximum, MICTION PAR REGORGEMENT : obstacle (jamais complet) très important, et forte pression de la vessie sur le sphincter –> goutte à goutte qui s’échappent de façon involontaire (c’est une fausse incontinence, on a en fait une vessie qui ne se vide pas du tout).

56
Q

Étiologie de l’hématurie

A

● Étiologies urétro-cervico-prostatique (plus ou moins associées à des troubles mictionnels).
→ Adénome :
✓ La plus fréquente.
✓ Hématurie peu abondante et initiale 💕 ou très abondante et totale 💕.
✓ Diagnostic au TR.
✓ Rechercher une cause associée.

 → Cancer : hématurie initiale 💕, capricieuse (dates irrégulières), peu abondante.

 → Prostatite, lithiase urétrale, papillome du col vésical.

● Étiologies vésicales (souvent associées à des troubles mictionnels 💕: pollakiurie, brûlures mictionnelles, …). Les plus fréquentes : 50% des hématuries. Hématurie terminale 💕 d’abondance variable.
→ Cystite aiguë.

 → Lithiase vésicale.

 → Tumeur de vessie (+++) (dépistage tôt car mauvais pronostic) : ✓ Hématurie souvent abondante et alors totale 💕. ✓ Papillome ou cancer.

 → Bilharziose, angiome (tumeur vasculaire qu’on peut retrouver dans la vessie), endométriose (greffe de tissu utérin ectopique à hématuries qui se produisent pendant les règles).

● Étiologies rénales : 30%.
→ Cancers du rein ou de la voie excrétrice :
✓ Hématurie totale 💕, indolore💕, spontanée💕, capricieuse.💕
✓ Diagnostic radiologique.

 → Tumeurs bénignes : angiomes, …

 → Lithiases : ✓ Hématuries fréquentes. ✓ Hématurie provoquée, douloureuse, peu abondante.

 → Traumatismes : uroscanner.
     → Causes rares :
✓ Tuberculose.
✓ Pyélonéphrites.
✓ Glomérulonéphrites (hématurie microscopique).
✓ Nécrose papillaire.
✓ Polykystose.
✓ Infarctus rénaux.

● Hématuries essentielles : 10%.
→ Bilan radio-clinique négatif.

 → Intérêt de la cystoscopie en période hématurique (+++) (côté qui saigne).

 → Bilan néphrologique : ✓ Protéinurie des 24 heures. ✓ Morphologie des hématies (déformation par le passage dans les tubules rénaux) : si GR normaux à en dessous des tubules, si GR déformés à origine rénale.

 → Explorations plus invasives à discuter : endoscopie du haut appareil, biopsie rénale.

 → En l’absence de diagnostic : ✓ Surveillance régulière. ✓ Répétition du bilan.

Remarque : hématurie = cancer jusqu’à preuve formelle du contraire !!

57
Q

Anurie

A

Œdème
Nausées

À voir pour: pâleur et asthénie

58
Q

Coliques nepretiques aiguës impliquant drainage vésical sont : 3❤️

A

Anurique

Fébrile - Obstructive

CNA hyperalgique

Vérifier ABSCENCE de fièvre
Faire bu –> sang
Imagerie dans les 48h

59
Q

Maladie de berger

A

glomérulonéphrite à dépôts mésangiaux d’IgA donc syndrome d’hematurie récidivante

Prolif des cellules mesangiales et expansion de la matrice

60
Q

Proteinurie

A

*Cf albumine :
<30mg :N
30-300 mg : sur risque vasculaire
300-1g : patho

> 1g : glomerulopathie

  • la protéinurie physio est essentiellement constituée d’uromodiline et de fragments de prot dégradées par les cellules tubulaires (VRAI)
    Uromodiline : environ 70mg par jour

Protéinurie orthostatique
Elle est présente surtout chez la personne jeune, la protéinurie ne survenant alors que lors d’une position debout prolongée. Le diagnostic est suspecté lorsque la protéinurie du matin (urines de la nuit) est très sensiblement inférieure à celle mesurée sur un échantillon prélevé le soir. Elle n’a aucune conséquence ou complication.

61
Q

Réduction nephronique (ANNALE)

Entraîne l’insuffisance rénale 💕

A
  • L’augmentation de pression dans le capillaire est délétère pour les nephrons restants
  • S’accompagne d’une hypertrophie compensatrice des néphrons sains (hyperfiltration glomerulaire dans les néphrons sains) SECONDAIRE À VASODILATATION artérioles AFFÉRENTES et VASOCONSTRICTION artérioles EFFÉRENTES

En effet stimulation SRAA

–> AUGMENTATION PRESSION HYDROSTATIQUE DANS LES CAP GLOMERULAIRES

Bloqueurs du système renine angiotensine => nephoprotection ++++

Entraîne hyalinose

Reste : FAUX
pas de vasodilatation dès art aff et eff

62
Q

Normes pour répondre aux qcm de essig

A

Natriurese : 100 - 300 mmmol/L

Kaliurese : 40 - 100 mmol/L

63
Q

Œdèmes : étiologies

A

Voir photo

64
Q

Ttt des désordres volumiques

A

• Hypovolémie (déshydratation extracellulaire)
o Il manque du NaCl –> il faut apporter du NaCl et arrêter d’en retirer

▪Arrêt des diurétiques +++

▪Sachet de NaCl, Vichy, Badoit

▪Perfusion : NaCl 0,9%

Estimation du déficit extracellulaire (L) = 20 % x poids actuel x ([Hte actuelle/0,45] – 1)

NB : Répartition de 1L de NaCl 0,9%: Secteur plasmatique 300 mL / secteur interstitiel: 700 mL

• Hypervolémie (hyperhydratation extracellulaire)
o Il y a trop de NaCl –> Il faut « retirer » du NaCl

     ▪Régime désodé
               • Désodé strict : 2g/J
               • Désodé large : 6g/J

     ▪Diurétiques
               • Diurétique de l’anse : Furosémide
               • Diurétique tube distal : hydrochlorothiazide
               • Diurétique canal collecteur : Amiloride, Antialdostérone

–> +Traitement étiologique de la cause de l’anomalie de la régulation du stock sodé

65
Q

Hypovolemie (desh EC)

A

Perte de poids

Hypo TA

PLI CUTANÉ

Comme ça :
Volemie par le stock de NaCl (EC)
Hydratation par le stock d’eau (IC)

66
Q

Hyper volemie. = hyper hydr EC

A

Prise de poids

HTA

OMI

OAP

67
Q

Ralentir la progression de l’IR

A
  • contrôler l’hypertension (ex : Inh SRAA) et la protéinurie (<0,5g/j)
  • surveillance sg et urinaire
  • diurétiques
  • régime pauvre en sel
  • régime pas trop riche en prot (aggravé la f° rénale)
  • FR CV : à prendre en charge (tabagisme, cholestérol : statines, sédentarité etc…)
  • +/- vit D / calcimimetique pour éviter les effets secondaires sur l’os de la PTH
  • +/- suppl en fer
68
Q

Élimination rénale des médicaments (annale)

A

• Les concentrations plasmatiques (cp) sont directement proportionnelles au débit (dose/h) et inversement proportionnelles à la clairance : cp = débit/Cl

Elimination des médicaments
• Foie/rein, dépend de la fraction libre (fu)
o Plus fu augmente, plus part rénale importante
o Plus fu diminue, plus part hépatique importante

↘ de Cl rénale –> ↗ de la demi vie

*MRC :
MRC tends à ↘ l’absorption de certain médicaments du fait d’une alcalinisation du pH gastrique par hyper-sécrétion d’urée (qui est un composé alcalin) dans la salive (médicaments acides –> ionisé –> ↘ absorption médicaments acides)

Possibilité de modification du 1 er passage hépatique (↘ ou ↗ effet de 1 er passage par ↘ de liaison aux protéines plasmatiques)
Modification de la liaison aux protéines (changements conformationnels + compétitions toxines urémiques) par diminution de la synthèse hépatique –> modification de la fraction libre pouvant être éliminée

“La dose de metformine doit être diminuée pour éviter une acidose lactique”

Modification du métabolisme hépatique par compétition avec les toxines urémiques –> diminution Clint –> augmentation de F : influence de la MRC, même sur médicaments à élimination rénale minoritaire

Exemple d’accumulation et conséquences

• Antidiabétiques : –> augmentation T1/2 –> diminuer la posologie
o Metformine : risque d’acidose lactique

  o Sulfamides hypoglycémiants : hypoglycémie

• ATB aminosides : accumulation de l’AB –> espace intervalle entre 2 prises : IR et ototoxicité (car efficace dose-dépendant donc on ne peut pas diminuer la dose) ⚠️⚠️

obtenir une concentration plasmatique efficace et non toxique :
o Diminution de la dose et +/- augmentation de l’intervalle entre 2 prises pour les AB temps-dépendants / éviter perfusion continue (sauf dialyse en continue) : ex vancomycine

    o Espacement et augmentation des doses pour les AB concentration dépendants : ex aminosides (gentamycine, amikacine…)

Annale :
Aminosides : tox tubulaire

Cyclosporine : tox vasculaire

Aciclovir : peut précipiter les tubules rénaux

Produits de contraste I : toxicité rénale tubulaire

69
Q

Incontinence par regorgement

A

Vessie goutte à goutte

70
Q

Maladie lithiasiques (attention cocher les réponses fausses)

A

Alcalinisation des urines en cas de calculs d’acide urique

Restriction hydrique +++ pour le ttt mais é prévention des lithiques il faut boire beaucoup

Alimentation limitée en sel, et prot animales et oxalates

Diurèse abondante +++

71
Q

Colique néphrétique aiguë compliquée (annale)

A

Hyperalgique

Anurique

Avec distension des cavités pyelocalicielles
: anomalie anatomique

💁 enceinte

Rein unique

Bilatérale

IRA

fébrile ??? Ça dépend des cours j’ai l’impression