Séance 10 - Économie de l'internaute et des données personnelles Flashcards

1
Q
À quoi cette définition fait référence?
Observation que les individus ont, face à un choix déterminé, tendance à en survaloriser les avantages à court terme et à en sous-valoriser les inconvénients à long terme.
A) Valorisation des données personnelles
B) Marchandisation des individus
C) Gratification immédiate
A

C) Gratification immédiate

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2
Q

Vrai ou Faux.
La présence des utilisateurs possède des effets sur la taille des réseaux. Ils ne contribuent aucunement à un écosystème.

A

Faux.
La présence des utilisateurs ne possède pas que des effets sur la taille des réseaux sociaux. Leur présence peut aussi contribuer à une chaîne de valeur ou un écosystème.

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3
Q

Vrai ou faux.
Une partie de l’activité de production, d’édition ou de distribution peut ainsi être transférée vers les internautes utilisateurs de services.

A

Vrai.

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4
Q

Marie-Anne Dujarier vise trois logique au travers du concept de mise au travail. Quels sont-ils?
A) L’autoproduction dirigée, tâches productives et coproduction collaborative.
B) Travail d’organisation, tâches productives et gratification immédiate.
C) L’autoproduction dirigée, la coproduction collaborative et le travail d’organisation.

A

C) L’autoproduction dirigée, la coproduction collaborative et le travail d’organisation.

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5
Q

Vrai ou faux.
La mise au travail des utilisateurs, c’est du travail dans une logique d’exploitation (chercheurs critiques); il s’agit d’envisager les activités numériques des consommateurs comme un «travail» à exploiter ; (et non seulement comme un consommateur du service en lui-même ).

A

Vrai.

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6
Q

Est-il juste de dire que l’autoproduction dirigé (logique du concept de mise au travail) se caractérise par le libre service chez le consommateur?

A

Oui.
Dans le cas de l’autoproduction dirigé, le consommateur doit produire son propre service et sa consommation. On demande alors de réaliser le service qu’il désire avoir. Cela n’exige aucune intervention des employés.

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7
Q

Donnez un exemple d’autoproduction dirigé (logique du concept de mise au travail).

A

IKEA.

La construction de meuble après la vente.

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8
Q

L’énoncé suivant décrit quel logique du concept de mise au travail?
« Il suffit de gérer potentiellement le service après l’achat ou un libre service. »
A) La coproduction collaborative
B) Le travail d’organisation
C) L’autoproduction dirigée

A

C) L’autoproduction dirigée.

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9
Q

Est-il juste de dire que la coproduction collaborative (logique du concept de mise au travail) est une participation volontaire des utilisateurs envers un service ou un produit?

A

Oui.
La participation des utilisateurs permet la co-production du bien ou du service à partir de tâches prédéterminées par les organisations. Il n’y a pas d’obligation, cela se fait volontairement.

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10
Q

Donnez un exemple de coproduction collaborative (logique du concept de mise au travail).

A

Wikipédia (Contribution des internautes)

Nouvelles radio/télé (Appel au témoignage par les chaînes de nouvelles)

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11
Q

L’énoncé suivant décrit quel logique du concept de mise au travail?
« Des tâches sont prédéterminées par les organisations afin que les utilisateurs puissent collaborer de façon volontaire. »
A) La coproduction collaborative
B) Le travail d’organisation
C) L’autoproduction dirigée

A

A) La coproduction collaborative.

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12
Q

Est-il juste de dire que le travail d’organisation (logique du concept de mise au travail) est une sorte de pression venant du consommateur auprès d’une organisation afin de bénéficier de certains privilège?

A

Non.
Le travail d’organisation est une sorte de pression venant du consommateur auprès d’une organisation afin d’améliorer le service et le fonctionnement de celle-ci.

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13
Q

Donnez un exemple de travail d’organisation (logique du concept de mise au travail).

A

Lorsqu’un consommateur se plaint d’un mauvais service, d’une attente trop longue au service aux caisses par exemple.

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14
Q

L’énoncé suivant décrit quel logique du concept de mise au travail?
« Le consommateur est roi. Ses interventions participe à l’amélioration des relations marchandes. »
A) La coproduction collaborative
B) Le travail d’organisation
C) L’autoproduction dirigée

A

B) Le travail d’organisation.

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15
Q

À quoi cet énoncé fait référence?
« s’engage dans des tâches productives prescrites, socialement organisées, dans le but de créer de la valeur économique. »
A) Le travail d’organisation
B) Appel au témoignage des utilisateurs
C) Autoproduction dirigée
D) Les trois logiques du concept de mise au travail

A

D) Les trois logiques du concept de mise au travail.

Autoproduction dirigée
Coproduction collaborative
Travail d’organisation

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16
Q

Vrai ou faux.
Les activités productives se confond souvent avec les activités de loisirs, culturels, voir plaisantes et ainsi éloignant la perception du travail. Cela s’inscrit dans la logique générale du Crowdsourcing.

A

Vrai.

17
Q

Vrai ou Faux.

Le crowdsourcing, provenant des utilisateurs, est soutenue par les entreprises.

A

Faux.
Les activités des utilisateurs (crowdsourcing) sont revendiqués par les entreprises. Dans le sens que le droit des utilisateurs est protégés, mais que la publication, sur Facebook par exemple, peut être réutilisé par l’organisation.

18
Q

Parmi ces exemples, lequel définit bien le crowdsourcing?
A) Le publication d’une photo d’un utilisateurs qui est réutilisé par Facebook à des fins de partage.
B) Radio-Canada qui fait appel au public pour la conception d’une publicité : « Et si vous étiez dans notre pub? »
C) Lorsqu’on partage la publication d’un ami sur Facebook.
D) A et B
E) A et C
F) Toutes ces réponses

A

D) A et B

Le droit reviens à l’utilisateurs, mais l’organisation peut garder un droit de publication et de partage.

19
Q

Vrai ou Faux.
Les contributions ainsi produites par les utilisateurs (crowdsourcing) sont néanmoins revendiquées comme utilisables par les entreprises

A

Vrai.

20
Q

Vrai ou Faux.
En suivant ces logiques, une partie de l’activité productive est sous-traitée (outsourced to the crowd) auprès des utilisateurs, diminuant les coûts de production.

A

Vrai.

21
Q

Sur les supports numériques, et notamment autour des plateformes de commerce, les internautes peuvent mettre en valeur les offres au travers des mécanismes de recommandation. Quel est le meilleur exemple en liens avec l’énoncé ci-haut?
A) Ils développent une valeur supplémentaire autour de biens, notamment expérientiel.
B) Ils mettent en relation leur expériences et les coûts associés au service.
C) Ils permettent d’influencer les marchés.
D) L’organisation des avis et recommandations devient un marché à part entière, en parallèle d’autres industries.
E) A, B, D
F) C et B
G) A et D
H) Toutes ces réponses

A

G) A et D
Sur les supports numériques, et notamment autour des plateformes de commerce, les internautes peuvent mettre en valeur les offres au travers des mécanismes de recommandation :
- Ils développent une valeur supplémentaire autour de biens, notamment expérientiel.
- L’organisation des avis et recommandations devient un marché à part entière, en parallèle d’autres industries.

22
Q

Vrai ou Faux.

L’organisation des avis et recommandations ne peut devenir un marché à part entière à causes des autres industrie.

A

Faux.

L’organisation des avis et recommandations DEVIENT un marché à part entière, EN RELATION avec d’autres industries.

23
Q

Les données personnelles des internautes peuvent connaitre une logique d’« extraction » de leur valeurs.
Vrai ou faux.
Elles peuvent être constituées de données « objectives » (identité civile, informations physiques, financières, etc.) ou « subjectives » (préférences personnelles, goûts, intérêts, réseaux sociaux, etc.

A

Vrai.

24
Q

Les données personnelles des internautes peuvent connaitre une logique d’« extraction » de leur valeurs.
Vrai ou faux.
Elles sont collectées au travers de nombreux dispositifs, fondés sur une divulgation uniquement volontaire (formulaires, blogs et réseaux sociaux, etc.)

A

Vrai et faux.
Elles sont collectées au travers de dispositifs, fondés sur une divulgation volontaire (formulaires, blogs et réseaux sociaux etc.) OU BIEN involontaire (traces et cookies, géolocalisation, espionnage, commentaires de tiers, etc.)

25
Q

Les données personnelles des internautes peuvent connaitre une logique d’« extraction » de leur valeurs.
Vrai ou faux.
Elles sont exploitées par de nombreux acteurs (internaute concerné, réseaux sociaux, entreprises, administrations, etc.)

A

Vrai.

26
Q

Est-ce que l’énoncé suivant fait partie des possibilités permettent d’exploiter économiquement les données personnelles:
Recherche d’informations sur des individus.

A

Oui.

27
Q

Est-ce que l’énoncé suivant fait partie des possibilités permettent d’exploiter économiquement les données personnelles:
Revente de données pour constituer des bases d’information

A

Oui.

28
Q

Est-ce que l’énoncé suivant fait partie des possibilités permettent d’exploiter économiquement les données personnelles:
Personnalisation et contextualisation des offres commerciales

A

Oui.

29
Q

Est-ce que l’énoncé suivant fait partie des possibilités permettent d’exploiter économiquement les données personnelles:
Discrimination par les prix.

A

Oui.

30
Q

Est-ce que l’énoncé suivant fait partie des possibilités permettent d’exploiter économiquement les données personnelles:
Exploitation dans la communication marketing et publicitaire

A

Oui.

31
Q

Est-ce que l’énoncé suivant fait partie des possibilités permettent d’exploiter économiquement les données personnelles:
Le vole d’identité.

A

Non.

32
Q

Vrai ou Faux.
À une échelle plus individuelle, les informations produites et collectées à son sujet ne peut influencer les revenus qu’il peut apporter aux entreprises numériques.

A

Faux.
A une échelle plus individuelle, les informations produites et collectées à son sujet PERMETTENT POTENTIELLEMENT d’augmenter les revenus qu’il peut apporter aux entreprises numériques.