Santé mentale 2 Flashcards
Définition de la dépression majeur
Aussi appelé trouble dépressif majeur, Trouble marqué par une humeur dépressive suffisamment sévère pour entraver les activités quotidiennes de la personne.
Nomme des facteurs de risques du trouble dépressif majeur.
- Impuissance apprise (acceptation démoralisée de conditions de vie insatisfaisantes (je suis nul en math, j’étudie pas beaucoup, je ne suis pas bon en cours, je coule les examens, donc je suis nul en math)
- Triade cognitive (Système de croyance qui caractérisent la vision du monde et qui incluent une estime de soi dépréciée, de même qu’un pessimisme concernant l’avenir et l’état du monde)
- Présence de taux élevés de cortisol (les personnes vivant des conditions de vie difficiles ou traumatiques vont être plus susceptible de produire plus de cortisol (hormone du stress), chez les personnes qui souffrent d’une dépression majeure soient moins aptes à l’évacuer)
- Mauvaise régulation de la dopamine (insuffisance de dopamine)
- Prédispositions génétiques aux troubles de l’humeur (transmission dans les gènes)
IL FAUT EN NOMMER DEUX (2) À L’EXAMEN ET LES EXPLIQUER DE MANIÈRE COMPLÈTE.
Traitements du trouble dépressif majeur. Vous ne pouvez pas nommer la médication.
- La thérapie interpersonnelle (TIP, thérapie pour traiter la dépression qui prend en compte le contexte social et interpersonnel dans lequel vit une personne)
- TCC, thérapie cognitive comportementale (le premier volet de la TCC est l’activation comportementale qui a pour but de reconnecter la personne à des expériences de plaisir, une personne peut se faire prescrire un spectacle d’humour, aller au musée, peu importe l’activité qui te donnait du plaisir avant)
- Psychopédagogie (Stratégie thérapeutique qui consiste à transmettre des connaissances pour permettre aux personnes atteintes de connaître et de prévenir leurs épisodes de perturbation de l’humeur)
VOUS DEVEZ EN APPRENDRE 2 ET BIEN LES EXPLIQUER.
Définition du trouble panique.
Attaques de panique imprévisibles et récurrentes provoquant une peur intense, une appréhension de subir d’autres attaques, des préoccupations quant aux conséquences des attaques panique ou des comportements d’évitement
Nomme des facteurs de risques (2) du trouble panique.
- Le contrôle psychologique que les parents exercent parfois sur leur enfant qui interfère avec son développement (la surprotection parentale, un parent va donner l’anxiété qu’il a à son enfant)
- Un enfant qui observe des comportements de crainte ou d’évitement par rapport aux sensations physiques liées à l’anxiété ou qui est renforcé à craindre ces sensations serait plus enclin à développement lui-même cette peur.
Nomme des traitements (2) du trouble panique. Les médicaments ne comptent pas.
- Désensibilisation systématique (technique psychologique qui consiste à affronter graduellement les situations anxiogènes en imaginant puis en réalité en les associant à des états de relaxation)
- ACT (selon la thérapie d’acceptation et d’engagement, le fait de vivre des émotions douloureuses est inévitable, et ce sont davantage les efforts pour les contrôler qui font souffrir. Elle vise à améliorer la flexibilité psychologique, apprendre à vivre avec la maladie plutôt que de la guérir)
Définition du TAG (trouble d’anxiété généralisé)
Trouble caractérisé par des inquiétudes et des appréhensions excessives, persistantes et incontrôlables liées à des événements ou à des activités de la vie courante
Nomme deux facteurs de risques du TAG.
- Intolérance à l’incertitude (tendance à mettre en action une série de comportements pour ne pas être amené à réagir négativement à un événement incertain, indépendamment de sa probabilité et des conséquences associées
- L’usage d’internet peut contribuer à l’apparition de troubles anxieux dont le TAG puisqu’il favorise une attention divisée (en consultant plusieurs pages, plate-formes et applications presque simultanément, on multiplie les tâches que le cerveau doit exécuter et cette surcharge d’information à traiter constitue une source de stress)
Nomme deux traitements du TAG. La médication ne compte pas.
- Désensibilisation systématique (technique psychologique qui consiste à affronter graduellement les situations anxiogènes en imaginant puis en réalité en les associant à des états de relaxation)
- ACT (selon la thérapie d’acceptation et d’engagement, le fait de vivre des émotions douloureuses est inévitable, et ce sont davantage les efforts pour les contrôler qui font souffrir. Elle vise à améliorer la flexibilité psychologique, apprendre à vivre avec la maladie plutôt que de la guérir)
OUI, IL S’AGIT DES MÊME TRAITEMENTS QUE LE TROUBLE PANIQUE PUISQU’ILS FONT LES DEUX PARTIS DES TROUBLES ANXIEUX
Définition du trouble obsessionnel-compulsif (TOC)
Trouble caractérise par la présence d’obsessions ou de compulsions récurrentes qui entravent le fonctionnement général de la personne
Nomme 2 facteurs de risque du TOC
- Des insuffisances dans le circuit de sérotonine sont connues depuis les années 1990 et pourraient manifester une déficience génétique (la sérotonine joue un rôle important dans la régulation émotionnelle et dans le contrôle des impulsions
- Les prédispositions génétiques jouent un grand rôle, le TOC s’observe chez plusieurs membres d’une même famille, différents facteurs de stress peuvent contribuer à activer les prédispositions génétiques au TOC
Nomme deux traitements du TOC. La médication ne compte pas.
- L’exposition avec prévention de réponse (EPR, consiste à s’exposer aux situations, aux images, aux objets qui déclenchent ou causent les obsessions et que les personnes ayant un diagnostic de TOC essaient d’éviter, de neutraliser ou de chasser et encourager la personne à ne pas exécuter les rituels auxquels elle a recours habituellement afin de calmer son anxiété. Elle sera encourager à faire le rituel très lentement et en interrompant son rituel (attendre 1 min, 2 min, 3 min, 15 min avant de faire le rituel))
- Thérapie basée sur les inférences (TBI, programme de 10 étapes qui amène la personne à distinguer le doute réel du doute obsessif, à reconnaître les arguments personnels qui justifient le doute et les compulsions, à construire une autre histoire s’appuyant sur la réalité et les sens, à comprendre que le doute est issu de son imagination couplée à un raisonnement obsessionnel)
Définition de la schizophrénie.
Trouble psychotique caractérisé par une distorsion de la pensée et de la perception, et la perte de contact avec la réalité
Nomme deux facteurs de risque de la schizophrénie.
- Des traumatismes physiques et sexuels ainsi que des carences graves du lien d’attachement en bas âge pourraient contribuer à fragiliser une personne prédisposée à la psychose
- Des anomalies du fonctionnement du cerveau (Le cerveau crée des conditions propices au développement de la maladie)
- Le stress, les épreuves de la vie et les tracas du quotidien peuvent augmenter la vulnérabilité de ces personnes et servir de catalyseur à l’apparition des symptômes de la psychose
Nomme deux traitements de la schizophrénie. La médication ne compte pas.
- L’électroconvulsivothérapie (ECT, Thérapie de dernier recours qui consiste à administer, sous anesthésie, un courant électrique au cerveau, causant une convulsion aux effets thérapeutiques sur certains symptômes de troubles psychologiques)
- Thérapie cognitive comportementale (TCC, nécessite d’avoir un lien de confiance avec le thérapeute, la TCC s’intéresse entre autres aux croyances irrationnelles qui jouent un rôle dans le maintien des symptômes de la schizophrénie)