Reproduction Flashcards
Type de reproduction habituelle des poissons
Bisexuelle dioique
Exemple de reproduction bisexuelle monoique
Kili des mangroves
autofertilisation
Protogynie
femelle se transforme en male lorsqu’un dominant disparait
protoandrie
male qui atteignent une certaine taille deviennent des femelle
exemple de dépendance de l’environnement dans la plasticité du sexe
larve de capucette
male en eau chaude et femelle en eau froide
parthénogénèse (ou gymnogénèse)
reproduction sans fertilisation (clone)
itéroparité
espèces qui se reproduisent plusieurs fois
semelparité
reproduction unique et mort après la frai
dépense énergétique gigantesque
ovipare
oeufs expulsé avant la fertilisation
se développent avec les réserves vitellines
requiert souvent la protection des oeufs
ovovivipare
requins, raie, coelacanthe et certains cypriniforme et perciforme
fécondation interne
oeufs dans la femelle mais sans lien physiologique
parfois ils absorbe des substances nutritive dissoute dans le liquide utérin
vivipare
4 genre de requin
fécondation interne
lien physiologique
utérus tapissé de villosités
cas de cannibalisme utérin
atteinte de la maturité sexuelle
plus la taille ou l’âge maximale est grand, plus l’Atteinte est tard
trois variantes du système reproducteur male
- pas de conduit reliant les testicules à l’extérieur
- via le canal mésonéphrique
- via des vases déférents
pas de conduit reliant les testicules à l’extérieur
lamproies, myxines et salmonidae
système dit “ouvert”
sperme expulsé dans la cavité coelomique
via le canal mésonéphrique
chondrichtyens et actinopterygii (sauf Neo)
sperme par le même canal que l’urine
via les vases déférents
Neopterygii sauf salmonidae
conduit indépendant du mésonéphrique
caractère sexuelle secondaire male
tubercules de reproduction
organes d’intromission par modification de rayons
comportement de migration, défense et nidification
caractère sexuelle secondaire femelle
cyprinidae procès à partir de la caudale pour déposer les oeufs dans une moule
dimorphisme sexuelle
apparence différente
souvent rapport au nom d’espèces
hormone de reproduciton
récepteur nerveux perçoivent les conditions environnementale et stimulent l’hypothalamus
il stimule les cellules gonadotrope de l’hypophyse qui sécrètent les hormones gonadotropes
les hormones stimulent les testicules et les ovaires
stimuli de reproduction en captivité
contrôle de température ou de photopériode
injection d’extrait de glande pituitaire ou de gonadotropine
frai au printemps
températures intermédiaire
perchaude
frai en été
eau chaude
crapet soleil
frai en automne ou hiver
températures froides
salmoniformes
stades de maturation femelles (6)
1.stade immature
2.début de maturation
3.ovaires opaques, ovule visible
4.ovaires emplissent presque toute la cavité abdominale (bcp liens sanguin)
5.ovaires emplissent toute la cavité abdominale(peu de liens sanguins)
6.oeufs libres dans l’ovaire et aucun lien sanguin
stade de maturation male (4)
- sexe difficile à déterminer, gonades petites transparentes
- testicules petits, mous et moins transparentes
- testicules anguleux et blanchantres
- testicules gros (toute la cavité) anguleux, très blanc et opaques
oeufs anisolécithes
Vitellius distribué de façon quasi homogène dans le cytoplasme, mais préférablement vers un pôle
mode de division holoblastique
oeufs télolécithes
Vitellius fortement polarisée, cytoplasme réduit à un disque germinal
division méroblastique
6 parties importantes des oeufs télolécithes
- espace périvitellin
- membrane vitelline
- zone radaite ou gangue
- Vitellus
- micropyle
- disque germinal
oeufs des éperlans
pied adhésifs
oeufs des perchaudes
chapelet adhésif
oeufs de myxines, raies et certains requins
vrilles adhésives ou crochet
oeufs démersaux
plus dense que l’eau
tendance à sédimenter
adhésifs
oeufs pélagiques
même densité ou moins que l’eau
continennent souvent huiles et graisses
se dispersent rapidement (diminue la compétition intra ou inter
fécondation chez les ovipares
la gangue est molle et se gonfle rapidement après la ponte (empêche l’entrée de liquide ou de spermatozoide excédentaire)
fécondation chez les chondrichtyens ovovivipares
gangue dure, translucides et piquante ou avec vrille
incubation
entre la ponte et l’éclosion
diminue avec l’augmentation de la température de l’eau
période embryonnaire
dépendant du Vitellius ou de la femelle
1. division par l’oeuf (plaque neurale)
2. stade embryon (organes et éclosion)
3. embryon libre (nutrition exogène)
4. stade larvaire (disparition nageoires médianes, mortalité importante et développement du squelette axial)
période critique
nombre max de jours qu’une larve peut survivre sans manger
période juvéniles
formation du squelette complet
début de formation de gonades matures
croissance rapide
rayons de nageoires
tailles des nageoires paires
migration des yeux chez les plies
pigmentation
disparition des branchies externe
passage de filtereur à parasite chez lamproies
compte des caractére méristique augmente
taux de développement diminue
période adulte
reproduction
période de sénescence
gonades plus ou moins fonctionnelle
indice gonado-somatique
masse gonade / masse poissons - gonades
fécondité
effort reproducteur par nombre d’oeufs portés sur base absolue ou relative
f = a*L^b
indicateurs imparfait de l’effort reproductuer
ne tient pas comte de
migration de reproduction
caractères sexuelles secondaire
défense du territoire
nidification
protection des oeufs
frai multiple
vivi ou ovoviparité
nombre d’oeufs peut rapidement sous-estimé si les oeufs sont gros
ou sur-estimé si la femelle ne se reproduit pas
poissons de sélection r
beaucoup de petit oeufs
adaptation rapide à un environnement changeant
très grande résilience
poisson de sélection K
moins d’oeufs plus gros
jeunes adapté à l’environnement actuel
résilience faible
fécondité est fonction inverse edu comportement parental