intra Flashcards
abondance absolue
nombre de poissons total dans une population
abondance pondérée
nombre de poissons capturés par unité de surface ou do volume
abondance relative
nombre de poissons capturés par unités d’effort de pêche (CPUE)
abondance absolue par marquage-recapture
Ni / Mi = ni / mi
si au moins 4 échantillonnage sont effectué
Mi = si *Ki/Ri + mi
taux de survie
= Mi+1 / Mi - mi + si
nombre de ralliement
= Ni+1 - si+1 * (Ni-ni + si)
désavantages de l’abondance par marquages-recapture
estimés instables dans des situation de migration circulaire
nécessitent plusieurs recaptures
souvent long et couteux car nécessitent 25% de la pop
obtention de l’abondance pondérée
division de l’abondance absolue par le volume ou la surface
l’abondance pondérée réelle est souvent sous-estimer à cause de la saturation des engins de pêche
méthode sans engins de pêche
observation visuelle
vidéocaméras x2
hydroacoustique
désavantages de l’hydroacoustique
ne permet pas d’identifier l’espèce
ne permet pas de détecter les poissons prêt d’obstacles
ne permet pas d’évaluer les poissons en banc
hyperstabilité
diminution de l’abondance réelle mais faible diminution de l’effort de pêche
très dangereux pour les communautés
proportionnalité
diminution de l’abondance réelle proportionnelle à celle de l’effort de pêche
hyperépuisment
faible diminution de l’abondance réelle mais grande diminution de l’effort de pêche
migration de nutrition 1
oeufs ou larves portés par le courant
migration passive sans nutrition
éperlan arc-en-ciel
meunier noir
laquaiche aux yeux d’or
éperlan arc-en-ciel
migration de nutrition 1
se nourrissant la nuit (photophobie), bénéficie de la concentration de zoo plancton et évite les piscivore
meunier noir
migration de nutrition 1
suceur
écaille sur la portion du flanc près du dos et près de la tête
laquaiche aux yeux d’or
migration de nutrition 1
migration de nutrition 2
heures ou jours après l’émergence
migration active, de masse et sans nutrition
saumon chum
saumon rose
saumon chum
migration de nutrition 2
saumon rose
migration de nutrition 2
migration de nutrition 3
semaines ou mois après l’émergence
migration graduelle
esturgeon
esturgeon
migration de nutrition 3
migration de nutrition 4
mois ou années après l’émergence
migration graduelle
truite arc-en-ciel
alose savoureuse
truite arc-en-ciel
migration de nutrition 4
alose savoureuse
migration de nutrition 4
migration de nutrition 5
2 migration de nutrition
saumon chinook
saumon chinook
migration de nutrition 5
migration de reproduction de masse
augmente la probabilité de rencontre
augmente la compétition intra-spécifique
inonde les prédateurs de proies et réduit la mortalité nette
migration potadrome
reste dans leur habitat
migration anadrome
mer vers eau douce
migration catadrome
eau douce vers mer
migration perchaude
potadrome
fraient au printemps vers la zone littorale
individus plus âgés en zone pélagique, migration nocturne verticales et horizontales
élévation de température et diminution du zôoplancton poussent les larves à migrer vers la zone pélagique
différentiation de la diète vers invertébrés benthiques
juvénile migrent vers la zone littorale
99% des oeufs n’atteignent pas 10 ans
migration saumon
anadrome
fraient en automne et meurent tous ensuite
cadavre = azote = foret = oeufs
larves entrainé par le courant vers un lac nourricier
migration vers la surface le soir
quittent le lac au printemps, adaptation physiologique au sel
migration d’hivernage et alternance nutrition
direction les côtes au printemps
retourne dans leur lac jusqu’à l’automne
migration anguille
catadrome
larves leptocéphales suivent le Gulf Stream passivement avec nutrition
transformation à la vie dulcicole
demeurent en eau douce durant 12 années
transformation eau salée
facteurs d’influence des migrations
odeurs/chémoréception
salinité
température
quantité et distribution des proies
photopériode
position du soleil et étoiles
champs magnétiques
courants et marrées
état physiologiques
vision
fréquence d’occurence
% de poissons ayant consommé cette proies
fréquence relative par nombre
% du nombre total de proie consommé
fréquence relative par masse
% de la masse totale de proies consommé
fréquence absolue par nombre ou par masse
nombre au masse d’un type de proies consommé durant un intervalle
ciscos des lacs
nauplii juvénile
copépodes adulte
perchaude
nauplii larvaire
copépode juvénile
cladocère juvénile avancé
invertébrés benthiques
poissons
indice d’électivité d’Ivlev
1 = préférence
consommé - disponible / consommé + disponible
approche expérimentale du taux d’ingestion
nourrit en aquarium, voir se qui reste
estimation individuelle possible
cycle journalier
capture de poissons à intervalles régulier
vitesse de digestion par méthode empirique
pente négative maximale du cycle journalier
conditions naturelle mais difficile de dire que la consommation est vraiment nulle
vitesse de digestion par confinement sur le terrain
50 poissons dans leur pic de nutrition puis dissection de 10 à intervalles régulier
certitude que les poissons ne consomme pas mais stress
vitesse de digestion par confinement en laboratoire
pic d’alimentation crée artificiellement
les poissons ne consomme pas et pas de stress, mais est-ce comme en nature? (stress et nourriture)
taux d’évacuation
modèle exponentielle négatif
modèle de Eggers
nourriture consommé en 24 h
De = F * R * 24
modèle d’Elliot et Persson
ration journalière
Dep = somme de nourriture consommée par intervalles
Eggers VS Elliot et Persson
EP plus détaillé dans la journée
E plus précis
E plus robuste au programme d’échantillonnage
approche bioénergétique au taux d’ingestion
toute nourriture consommée sera utilisé
quantité de nourriture consommé
croissance
reproduction
perte fécale
perte urinaire
énergie de digestion
métabolisme standard
activité
alose à gésier
filtrer
tilapia dulcicole
brouteur
crapet-soleil
brouteur omnivores
écaille derrière la nageoire pectorales
grand brochet
chasseur à l’Affut
truite grise
chasseur à courre
structure piscivore
dents maxillaire filiforme
canine
dent buccales ou pharyngienne
molariforme ou cardiformes
estomac bien défini
oesophage élastique
intestin court
pas de branchicténie
structure suceur
intestin très long
estomac réduit ou absent
dents pharyngienne
structure planctivore
estomac et intestin bien défini
très nombreuse branchicténies
structure benthivore
dent canine
cardiforme ou molariforme
buccale
maxillaire
estomac en sac
intestin bien défini
ceacum gastrique
branchicténies
structure macro-herbivore
dent maxillaire
pharyngienne
pas d’Estomac
intestin très long
structure parasite
intestin
glandes anticoagulante
approche empirique de l’estimation de l’âge
marquage-recapture avec peser
approche statistique de l’estimation de l’âge
Prémisse: les pics du graphique de distribution de fréquence de taille représentent différentes classes d’âge
Problème: toutes les classes doivent être échantillonné
l’analyse informatique est basé sur des données normale alors que ce n’est pas la réalité
approche anatomique de l’estimation de l’âge
écaille, otolithes, épine, vertèbre et opercules
attention au marque de reproduction migration et aux écaille de régénération
écaille
si capturé avant la frai ont compte 1 annuli de moins
analyse longitudinale de la croissance
nécessite la capture d’individus d’une même cohorte à intervalles choisis
approche précise et individuelle ou en groupe
analyse transversale de la croissance
1 seul échantillonnage de toutes les cohorte d’une population
seule la croissance générale annuelle peut être estimer
analyse par rétrocalcul de la croissance
estime la croissance d’un poisson capturé 1 seule fois
étape1. établissement d’une relation longueur / taille de structure osseuse
étape2. utiliser la relation pour un ensemble de poisson d’nue seule population pour estimer la longueur d’un individu
étape3. estimer la trajectoire de la longueur de l’individu
phénomène de Lee
mortalité différentielle de poissons de différentes taille qui cause un changement du résultat du rétrocalcul au cours des années
relation masse-longueur
b<3 filiforme
b>3 robuste
b=3 isométrique
m = a*L^b
facteur de conditions de Fulton
Cf = M/L^3
Cf élevé = bonne condition physique
suppose une croissance isométrique
facteur de condition de lecren
Cl = M/a*L^b
que devrait être M d’un poisson de L selon la moyenne du groupe de référence
comparaison interspécifique possible
attachement des myomère épiaxiaux
deux vertèbre
au derme
parfois tissu épithélial de la cavité coelomique
attachement des myomère hypoaxiaux
aux côtes
au derme
à l’épithélium de la cavité cœlomique
les muscles carinaux relient
la région occipitale et le premier et dernier ptérygiophore de la dorsale
la ceinture pelvienne au premier ptérygiophore de l’anale
le dernier ptérygiophore de l’anale avec le support de la caudale
adducteur mandibulaire
muscle branchiomérique le plus important et le plus fort
ferme la machoire
lévateur du palatocarré
permet la mobilité de la machoire supérieur
muscle intermandibulaire
diminue le volume pharyngien antérieur
coracomandibulaire
ouverture de la machoire inférieur
constricteurs ventraux
expulse l’eau des fentes branchiales
disparu chez les poissons à opercule
3 chambre de l’oreiller interne
utriculus
sacculus
lagena
neuromaste électrorecepteur
non recouvert de gélatine
enfouis dans des cryptes concentrées sur la tête et rempli de substance électrolytique
explosion démographique des poissons
dévonien
poisson est une groupe
paraphylétique
reins de tous les poisson
système de conservation des sels
supporte la théorie du premier ostracoderme en eau douce
ostracoderme
1-15 paires de pores branchiaux
1 ou 2 narine communiquant ou non avec la cavité org-pharyngienne
pas de machoire
pas de vraies dents
nageoire hypocerque ou hétérocerque
pas de nageoire paires ou médianes
endosquelette limité
myxinomorphi
1 narine et un seul sac olfactif qui communique avec la cavité oro-pharyngienne
pas de vertèbres
1 ordre vivant
tous marin
petromyzontomorphi
1 narine et un seul sac olfactif qui ne communique pas avec la cavité oro-pharyngienne
vertèbres présente
1 ordre vivant
eau douce et marine
Acanthodii
premier poissons dotés de mâchoires
apparition en eau douce
plaques osseuse dermique
écaille cosmoïdes
endosquelette bien défini
deux rangées de nageoires ventrales épineuses
nageoires médianes
nageoires caudales hétérocerques
pas de vraies dents
suspension amphystylique
5 paires de fentes branchiales
1 paire de pores branchiaux
1 paire d’opercule osseux
placodermi
apparition en eau douce
2 plaques osseuse dermiques principales
endosquelette bien défi
nageoire anale absente
nageoire caudale diphycerque ou hétérocerque
suspension autostylique
5 paires de fentes branchiales
chondrichthyens
perte de l’armure dermique osseuse
écailles placoïdes
dents dérivé d’écaille placoïdes
2 narines qui ne communiquent pas avec la cavité oro-pharyngienne
7 paires de fentes branchiales
1 paires d’évents
pas d’opercule
suspension amphistylique ou hyostylique
typhosole
sarcopterygii dipno
apparition dans des milietux ou l’eau peut se faire rare
plaque osseuse cosmoïdes
endosquelette calcifié
nageoire charnue
dents fusionné
suspension amphistylique
2 narines qui ne communiquent pas avec la cavité oro-pharyngienne
5 fentes branchiales
1 paire d’opercule osseuse
sarcopterygii osteolepiformes
2 narines qui communiquent avec la cavité oro-pharyngienne
dents qui garde leur individualité machoire autostylique
nageoires charnue
sarcopterygii coelacanthiformes
narines qui ne communiquent pas avec la cavité oro-pharyngienne
suspension amphystylique
actinopterygii: cladista et chondrostei
écaille ganoïdes
endosquelette osseux
nageoires à rayons
nageoires paires à base larges
nageoire caudale hétérocerque
dent individuelle
2 narines qui ne communiquent pas avec la cavité oro-pharyngienne
5 paires de fentes branchiales
1 paire d’évents
opercule osseux
1 paire de rayons branchiostèges
vessie natatoire physostome (VS physocliste)
typhosole
actinopterygii: neopterygii
endosquelette osseux et crane cartilagineux
nageoires paires à basses étroites
nageoire caudale hétérocerque abrégée ou homocerque
suspension autostylique
pas d’évents
3 à 13 paires de rayons branchiostèges
teleostei
écailles minces et flexibles, cycloïde ou cténoïdes
os dermiques minces sur la tête
endosquelette et opercule osseux
nageoires paires à bases étroites
rayons de nageoire épineux ou mous
nageoire homocerque
machoire parfois protractile
dents individuelle
2 narines qui ne communiquent pas avec la cavité oro-pharyngienne
5 paires de fentes branchiales
pas d’Évent
opercule osseux
rayons branchiostèges
vessie natatoire physostom ou physocliste
sans typhosole