RELATIONS INTERNATIONALES - GESTION DE CRISE Flashcards

1
Q

approche comportementaliste

A

Elle s’inscrit également dans le cadre du développement d’une réflexion originale sur les crises internationales qui se sont multipliées dans le contexte de la bipolarité nucléaire. Elle est en rupture avec le paradigme réaliste dominant dans la discipline qui définit la politique étrangère comme la poursuite de l’intérêt national en termes de puissance, menée par un homme d’État rationnel dont la décision est principalement influencée par des facteurs externes, l’anarchie caractéristique du milieu international, plutôt que par des facteurs internes 

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2
Q

misperceptions

A

Un écart entre la représentation subjective des décideurs et la réalité objective produit des erreurs de jugements ou misperceptions, c’est-à-dire des perceptions erronées, biaisées, déformées de la réalité, qui ont des conséquences désastreuses sur la décision [9]
[9]
Robert Jervis, « Hypotheses on Misperception », World Politics,…. Ces « mauvaises » perceptions dans la gestion des crises renvoient à des processus de dissonance et de consonance cognitive. En situation de stress, les décideurs ont tendance à privilégier les informations consonantes qui maintiennent la stabilité de leur système de croyances et de conviction (les fausses analogies par exemple) [

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3
Q

misperceptions

A

Un écart entre la représentation subjective des décideurs et la réalité objective produit des erreurs de jugements ou misperceptions, c’est-à-dire des perceptions erronées, biaisées, déformées de la réalité, qui ont des conséquences désastreuses sur la décision [9]
[9]
Robert Jervis, « Hypotheses on Misperception », World Politics,…. Ces « mauvaises » perceptions dans la gestion des crises renvoient à des processus de dissonance et de consonance cognitive. En situation de stress, les décideurs ont tendance à privilégier les informations consonantes qui maintiennent la stabilité de leur système de croyances et de conviction (les fausses analogies par exemple) [

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4
Q

crise

A

La crise est ainsi un intervalle temporel ouvert où se joue le passage d’un état normal à un état conflictuel, où les décideurs perçoivent que les interactions, jusqu’alors ordinaires, deviennent graduellement coercitives, violentes, puis belligènes et enfin conflictuelles [15]
[15]
Oran R. Young, The Politics of Force : Bargaining During…. La crise renvoie à la perception de cet état de tension qui implique une remise en question progressive ou soudaine de l’équilibre, et dont l’effet de surprise, et la menace qui pèse sur les buts essentiels des décideurs, réduit le laps de temps disponible à la prise de décision [16]

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5
Q

références

A

dans une situation de dissuasion mutuelle, la probabilité d’une guerre nucléaire est réduite non pas par l’équilibre des forces en présence, mais bien plutôt par la stabilité dudit équilibre. Un équilibre est « stable » lorsqu’aucun des deux camps, s’il frappe le premier, n’est en mesure de prendre l’avantage sur le camp adverse en anéantissant sa capacité de représailles
Schelling Thomas C. - Strategy of Conflict

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6
Q

théorie marxiste

A

Wallenstein

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6
Q

théorie marxiste

A

Wallenstein

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6
Q

théorie marxiste

A

Wallenstein

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7
Q

théorie de la rationnalité limitée

A

Herbert Simon

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8
Q

analyse sociologique du processus de décision diplomatique

A

(1971) Essence of decision: Explaining the cuban missile crisis - Graham Allison

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