Questions Type Pascale Flashcards

1
Q

En environnement micro-gravitaire (ou en situation d’impesanteur), il y a une diminution de la masse corporelle et notamment de la masse
musculaire ainsi que de la densité minérale osseuse.

A

Vrai

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2
Q

En environnement micro-gravitaire, la pression sanguine artérielle augmente de la tête aux pieds.

A

Faux

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3
Q

En environnement micro-gravitaire, le déconditionnement
cardiovasculaire se traduit, entre autres, par une tachycardie de repos,
une hypotension orthostatique et une baisse de capacité à l’exercice.

A

Vrai

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4
Q

En environnement micro-gravitaire, il y a une redistribution de la masse sanguine dans le système vasculaire en l’absence de pression hydrostatique

A

Vrai

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5
Q

En environnement micro-gravitaire, des volorécepteurs situés dans la paroi des oreillettes réagissent à la «surchargesanguine», comme s’il s’agissait d’une réelle hypervolémie

A

Vrai

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6
Q

En environnement micro-gravitaire, il y a mise en jeu immédiate de réactions rénales et hormonales qui règlent les concentrations en eau et en sels et minéraux

A

Vrai

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7
Q

En environnement micro-gravitaire, ces modifications se résument en une baisse d’ADH et d’aldostérone, d’où une augmentation de la diurèse et une diminution du volume sanguin entraînant une perte de poids chez les astronautes

A

Vrai

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8
Q

En environnement micro-gravitaire, cette hypovolémie réactionnelle entraîne rapidement un effet inverse qui se caractérise en quelques jours par le retour à la normale des volumes
liquidiens et la stabilisation du poids de l’astronaute

A

Vrai

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9
Q

Un vol spatial habité se caractérise par … (5 éléments)

A
  1. une altération des cycles de lumière et d’obscurité
  2. une quasi-absence des radiations UV
  3. une élévation des niveaux de CO2
  4. un niveau élevé de stress (bruit, espace restreint)
  5. un manque d’exercice physique
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10
Q

Dans un environnement hyperbare, les couleurs les plus sombres (bleu, vert, violet) disparaissent
tardivement avec la profondeur.

A

Vrai

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11
Q

(Environnement hyperbare) : Sous l’eau, la pression partielle en N2 augmente d’environ 600 mm Hg
tous les 10 m.

A

Vrai

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12
Q

(Environnement hyperbare) : Pour un exercice physique (ex : nage vigoureuse) effectué à une même O2, la FC en immersion est toujours inférieure à celle en surface de l’eau.

A

Vrai

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13
Q

En application de la loi de Dalton sur les pressions partielles d’un gaz, à 10 m de profondeur, la pression atmosphérique est de 1520 mm Hg et la pression partielle en O2 est de 318 mm Hg

A

Vrai

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14
Q

En application de la loi de Dalton sur les pressions partielles d’un gaz, à 20 m de profondeur, la pression atmosphérique est de 3040 mm Hg et la pression partielle en O2 est de 636 mm Hg

A

Faux

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15
Q

En application de la loi de Dalton sur les pressions partielles d’un gaz, à 20 m de profondeur, la pression atmosphérique est de 2280 mm Hg et la pression partielle en O2 est de 477 mm H

A

Vrai

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16
Q

En application de la loi de Dalton sur les pressions partielles d’un gaz, sous l’eau, la pression atmosphérique et la pression partielle en O2 sont multipliées par 2 tous les 10 m

A

Faux

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17
Q

En application de la loi de Dalton sur les pressions partielles d’un gaz, sous l’eau, la pression atmosphérique augmente de 760 mm Hg et la pression partielle en O2 augmente de 159 mm Hg tous les 10 m

A

Vrai

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18
Q

À propos des adaptations des principales variables cardiovasculaires à un environnement hyperbare, entre 0 et 10 m de profondeur, la pression atmosphérique est multipliée par 2 et le volume d’air contenu dans les poumons est divisé par 2

A

Vrai

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19
Q

À propos des adaptations des principales variables cardiovasculaires à un environnement hyperbare, entre 10 et 20 m de profondeur, la pression atmosphérique est multipliée par 2 et le volume d’air contenu dans les poumons est divisé par 2

A

Faux

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20
Q

À propos des adaptations des principales variables cardiovasculaires à un environnement hyperbare, la simple immersion avec ou sans apnée entraîne une bradycardie de nature réflexe mais celle-ci est plus importante avec apnée

A

Vrai

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21
Q

À propos des adaptations des principales variables cardiovasculaires à un environnement hyperbare, la diminution de FC met en jeu des récepteurs thermosensibles au niveau du visage et plus particulièrement sur et autour des lèvres

A

Vrai

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22
Q

À propos des adaptations des principales variables cardiovasculaires à un environnement hyperbare, cette bradycardie s’observe chez tous les animaux à respiration aérienne qui plongent et notamment chez les cétacés

A

Vrai

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23
Q

( environnement hypobare ) : Sachant que la pression atmosphérique est de 250 mm Hg au sommet du mont Everest (8848 m) et connaissant la pression en O2 de l’air inspiré, la pression partielle en O2 à 8848 m est d’environ 52 mm Hg.

A

Vrai

24
Q

( environnement hypobare) : La baisse de la pression en O2 de l’air inspiré en fonction de l’altitude entraine une diminution de la pression alvéolaire en O2.

A

Vrai

25
Q

(Environnement hypobare) : Si la résistance à l’air diminue avec l’altitude, la vitesse de course
augmente.

A

Vrai

26
Q

(Environnement hypobare) : La diminution de la pression alvéolaire en O2 en fonction de l’altitude
n’affecte pas la saturation artérielle en O2 de l’hémoglobine.

A

Faux

27
Q

(Environnement hypobare) : La diminution de la pression artérielle en O2 consécutive à l’altitude a
plus d’impact sur le gradient de diffusion tissulaire que la diminution de la saturation artérielle en O2 de l’hémoglobine.

A

Vrai

28
Q

Concernant les adaptations à l’altitude de certaines variables cardiorespiratoires au repos, le seul fait d’être en altitude augmente la fréquence cardiaque et donc le débit cardiaque.

A

Vrai

29
Q

Concernant les adaptations à l’altitude de certaines variables cardiorespiratoires au repos, la ventilation pulmonaire augmente en raison de la seule diminution de la pression en O2 de l’air inspiré.

A

Vrai

30
Q

Concernant les adaptations à l’altitude de certaines variables cardiorespiratoires au repos, l’augmentation de l’hématocrite est due à la diminution du volume plasmatique (et donc du volume sanguin).

A

Vrai

31
Q

Concernant les adaptations à l’altitude de certaines variables cardiorespiratoires au repos, la diminution du volume plasmatique est due à la diminution de l’humidité de l’air.

A

Vrai

32
Q

Concernant les adaptations à l’altitude de certaines variables cardiorespiratoires au repos, la pression alvéolaire en O2 et la saturation artérielle en O2 de l’hémoglobine diminuent avec l’altitude.

A

Vrai

33
Q

Concernant les adaptations à l’altitude des variables sanguines au repos et en réponse à un exercice, l’augmentation de la concentration en hémoglobine s’avère proportionnelle à l’altitude et donc à l’hypoxie.

A

Vrai

34
Q

Concernant les adaptations à l’altitude des variables sanguines au repos et en réponse à un exercice, le phénomène de polyglobulie est généralement observé chez les ethnies vivant en permanence en haute altitude.

A

Vrai

35
Q

Concernant les adaptations à l’altitude des variables sanguines au repos et en réponse à un exercice, lors d’un exercice en exposition aigüe en altitude, l’hémoconcentration d’effort se traduit par une augmentation de la concentration en érythrocytes.

A

Vrai

36
Q

Concernant les adaptations à l’altitude des variables sanguines au repos et en réponse à un exercice, lors d’un exercice en exposition chronique en altitude, la diminution de la volémie est tout d’abord responsable de l’augmentation de la concentration en érythrocytes.

A

Vrai

37
Q

Concernant les adaptations à l’altitude des variables sanguines au repos et en réponse à un exercice, lors d’un exercice en exposition chronique en altitude, l’augmentation de la sécrétion d’érythropoïétine (EPO) est responsable de la polyglobulie transitoire observée.

A

Vrai

38
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition aigüe à l’altitude, la baisse de la fréquence cardiaque (FC) max est surtout visible dès 4000 m d’altitude et régulière (droite)

A

Vrai

39
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition aigüe à l’altitude, la baisse de la FC max pourrait être imputable à la diminution de la fréquence des impulsions électriques délivrées par le nœud sinusal en réponse à l’hypoxie

A

Vrai

40
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition aigüe à l’altitude, la baisse de la FC max pourrait également être due à l’augmentation du tonus parasympathique et à la diminution du tonus sympathique.

A

Vrai

41
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition aigüe à l’altitude, la baisse du débit cardiaque (DC) max est due à la diminution de la FC max

A

Faux

42
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition aigüe à l’altitude, la baisse du DC max est attribuable à la fois à la diminution de la FC max et du VES max

A

Vrai

43
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition aigüe à l’altitude, la VO2max diminue régulièrement de 8 à 11 % par 1000 m, à partir d’une altitude d’environ 1500-1600 m

A

Vrai

44
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition chronique à l’altitude, la FC max est inchangée.

A

Vrai

45
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition chronique à l’altitude, la baisse du VES max est responsable de celle du DC max.

A

Vrai

46
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition chronique à l’altitude, la baisse du VES max est due à la diminution du volume télédiastolique, elle-même consécutive à celle de la volémie.

A

Vrai

47
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition chronique à l’altitude, la VO2 max n’est pas modifiée

A

Vrai

48
Q

À propos d’un exercice maximal en exposition chronique à l’altitude, l’augmentation de la VE max peut expliquer en partie l’absence de changements de la VO2 max.

A

Vrai

49
Q

(Tableau ; environnement hypobare) : l’EPO est sécrétée en réponse à un stimulus humoral qui est la diminution de la teneur en O2 dans le sang

A

Vrai

50
Q

(Tableau ; environnement hypobare) : l’EPO est sécrétée en réponse à un stimulus hormonal qui est la diminution de la teneur en O2 dans le sang

A

Faux

51
Q

(Tableau ; environnement hypobare) : la diminution de la teneur en O2 dans le sang résulte de la baisse de la pression partielle en O2 observée en altitude

A

Vrai

52
Q

(Tableau ; environnement hypobare) : l’augmentation de l’hématocrite rapportée à Cerro de Pasco est due à
l’augmentation des teneurs sanguines en EPO et Hb

A

Vrai

53
Q

Quels sont les symptômes de la catégorie «sévérité légère» du MAM et le tx. à suivre ?
(1 point - score 1 à 3)

A
  • maux de tête
  • nausée / anorexie
  • insomnie
  • vertiges
    Tx. Aspirine
54
Q

Quels sont les symptômes de la catégorie «sévérité modérée» du MAM et le tx. à suivre ?
(2 point - score 4 à 6)

A
  • maux de tête ne cédant pas à l’aspirine
  • vomissements
    Tx. Aspirine, repos et arrêt de l’ascension
55
Q

Quels sont les symptômes de la catégorie «sévérité sévère (danger)» du MAM et le tx. à suivre ?
( 3 point - score >6)

A
  • dyspnée de repos
  • fatigue anormale ou importante
  • baisse de la diurèse
    Tx. Descente immédiate ou caisson hyperbare