Questions sur les textes Flashcards
Quelles sont les meilleures mesures pour faire face au phénomène des gangs
Le meilleur moyen reste la répression
Programme dans les communauté pour créer des meilleurs opportunité pour les jeunes et familles
Programme de formationdes jeunes
Prévention en milieu scolaire
Comment les auteurs expliquent-ils le processus d’affiliation lié au phénomène des gangs?
Ce processus se fait désormais de façon graduel et se manifeste par l’opportunité d’occuper un rôle différent, de recevoir de nouvelles responsabilités ainsi que d’assurer la relève au sein d’une même famille.
Quel rôle peut jouer le contexte socio-économique sur l’affiliation à un gang
D’abord, le fait de venir d’un milieu défavorisé, réduit grandement les possibilités d’accomplissement (travail et école sont inaccessibles) ce qui favorise leur intérêt au phénomène des gangs. Cet univers peut être vu comme une alternative afin d’avoir un succès économique et social, d’obtenir un statut, de la reconnaissance, du prestige ainsi que le respect.
- L’auteur mentionne que l’augmentation des inégalités est une des causes de l’itinérance. Il souligne d’autres éléments. Identifiez au moins trois de ces éléments
1) L’absence de logements abordables et salubres.
2) Les difficultés familiales.
3) Les comportements individuels inadaptés
- Quels liens l’auteur établit-il entre l’itinérance et le passage répété des personnes en milieu institutionnel?
Que ce passage peut être en quelque sorte à l’origine de l’itinérance, car il fragilise. Celui-ci entraîne des ruptures et des déracinements, ce qui nuit grandement à la quête de l’identité. De plus, on oublie parfois de prendre en considération que les jeunes éprouvent des difficultés au niveau de l’autonomie. Or, ces expériences et ces apprentissages effectués dans les établissements ne correspondent pas nécessairement aux réalités vécues lorsqu’on se retrouve seul en appartement.
- L’auteur parle de vulnérabilité juridique. Expliquez son propos.
Étant donné que ces personnes dérangent et bousculent les conventions sociales, elles sont perçues comme menaçantes. De plus, elles transgressent les règles et lorsqu’elles sont accusées d’un délit, les chances qu’elles soient emprisonnées sont élevées en raison d’une récidive, mais aussi parce qu’elles n’ont pas d’adresse fixe. En ce qui concerne le système judiciaire, elles sont peut outillées et leurs actions est souvent le résultat d’une aggravation de leurs difficultés.
- Quelles sont les quatre sphères qui rendent possible l’exercice des droits des personnes et comment, dans cette perspective, pouvons-nous définir la pratique de l’urgence sociale?
1) La santé
2) La justice
3) Le revenu
4) L’habitat
D’abord, il est primordial de détecter les ruptures dans chacune de ces sphères. Par la suite, il sera plus facile de les accompagner dans un processus afin d’éclaircir ces impasses et de se sortir de la situation d’urgence sociale.
- Quelle est la philosophie qui guide l’accompagnement dans un contexte d’une pratique d’urgence sociale?
La résilience, donc que l’individu reconnaît sa capacité à être quelqu’un. La philosophie d’aider pour une situation précise plutôt que pour un groupe précis. Aider des gens à sortir de la situation d’urgence en étant soi-même. Aider à reprendre pied suite à l’urgence.
- L’auteur établit deux grandes différences entre le système d’urgence sociale (hébergement d’urgence) et le système d’assistance. Définissez une de ces grandes différences.
Une des différences est le fait que le système d’urgence sociale se concentre sur les activités en lien avec la sortie des individus. De ce fait, lorsqu’il y a une augmentation des demandes, la pression est contrôlée par la mise en œuvre de processus de sorties plus efficaces. Tandis que le système d’assistance, quand à lui, structure ses activités autour de l’entrée. Ainsi, lorsque la demande augmente, le système contrôle la pression en augmentant sa capacité d’accueil.
L’autre est fonrdé sur le droit des individus ( juste en définir un anyway
- Sheen (1976) relève deux sources à l’incapacité des professionnels à comprendre la souffrance vécue par la personne suicidaire. Quelles sont ces deux sources?
1) Le manque d’informations sur la problématique.
2) L’anxiété personnelle vécue face à la problématique
- Deux grandes catégories d’interventions sont définies par l’auteur. Quelles sont ces deux grandes catégories et expliquez brièvement la nature de chacune d’elle?
1) La catégorie d’intervention analytique met de l’avant l’importance de l’expression de l’agressivité et insiste sur le fait que les problèmes découlent d’une mauvaise adaptation à leur entourage et d’une médication antidépressive.
2) L’intervention en situation de crise préconise une intervention active, autoritaire et avec des personnes de l’entourage au moment de la crise. On doit intervenir dans un cours délai et ce, avec peu d’informations.
- Selon l’auteur, les travaux de Schön (1994) ouvrent une perspective intéressante quant à la construction des savoirs en lien avec le suicide. Quels sont les deux grands postulats de Schön en lien avec la construction de ces savoirs
1) Le premier postulat implique que les intervenants créent des savoirs à l’aide de leur réflexion en cours d’action, afin d’évaluer ses interventions et ses gestes.
2) Le deuxième postulat est que l’apprentissage des savoirs est un acte social. Les savoirs du groupe et de l’individu agissent dynamiquement afin de forcer l’intervenant à ne pas se centrer sur son propre jugement. Permet à l’intervenant de comprendre la situation sous plusieurs angles.
- McMilan (2000) a examiné la distribution des facteurs de risque suicidaire. À quelle grande recommandation son étude arrive-t-elle?
- Qu’il faudrait investir dans des programmes de promotion et de soutien des fonctions parentales pour ainsi diminuer les risques de situations d’abus dans l’enfance.
- Quels sont les quatre grands facteurs environnementaux, sociaux et culturels que Caron (2002) a identifiés comme possibles précipitants pour les gestes suicidaires?
1) La défavorisation sociale et matérielle, comme par exemple le chômage.
2) La médiatisation de certains suicides.
3) La construction sociale du sens du suicide.
4) L’accessibilité à des moyens létaux
- Trois grands facteurs d’activité ont été développés au Québec pour la prévention du suicide. Quels sont ces trois grands secteurs?
1) Développement de réseaux de sentinelles à l’échelle provinciale.
2) Activités de sensibilisation aux risques que présentent les médicaments et les armes à feux gardés à la maison.
3) Traitement des cas de suicide dans les médias.