Questions de lecture Flashcards
Quels sont les ingrédients (facteurs communs) qui influencent le succès de la relation d’aide?
- Résultats/aboutissements améliorant la qualité de vie du client
- Le client et les facteurs contextuels de la vie du client
- La relation d’aide
- Le dialogue thérapeutique entre l’aidé・e et l’aidant・e
- Rétroaction/retour entre l’aidé・e et l’aidant・e (à deux sens - bidirectionnelle)
- Modèle ou méthode de thérapie et les postulats de celui-là
- Processus de gestion de problèmes standard as a human universal → mécanismes d’adaptation
- Processus de décision as a human universal
- Croyances, valeurs, normes, éthique et moral qui propulse le comportement humain
(voir dans les notes la proportion de ce qui est important)
Nommer et décrire (dans vos mots) un des facteurs pour lequel vous accordez une importance particulière pour vous en tant qu’aidant.e. Expliquez votre réponse.
- Dialogue thérapeutique.
- Agir afin de construire une relation basée sur la confiance
- Comprendre la situation de l’aidé・e et être capable de fournir une explication plausible à sa détresse/ses problèmes
- Comprendre l’aidé・e et les différents contextes de son problème: culturel, social, économique, politique, etc.
- Collaborer avec l’aidé・e afin de suivre leur progrès et leur opinions du processus
- Faire des ajustements au processus thérapeutique afin de s’ajuster aux besoins de l’aidé・e qui fluctuent face à l’évolution de la détresse/du problème (rétroaction (in)formelle et des signes de résistance/réticence/hésitation)
- S’engager à s’améliorer professionnellement.
Bref, être flexible, humble s’engager dans une relation basée sur la confiance et la compréhension de l’autre.
La relation d’aide est figée et claire et ne comporte pas de zones floues. Vrai ou Faux. Expliquez votre réponse.
Faux, la RA est, au contraire, une relation qui doit se réajuster au fil du temps, de la situation qui évolue, de la personne aidé⋅e, de l’aidant⋅e. La méthode/modèle thérapeuthique doit aussi être réajusté selon le cas échéant. (effet placebo, attentes, projection, ne se mesure pas)
En vos mots, résumer ce qu’est l’alliance de travail.
ultra méga important
L’alliance de travail c’est la collaboration entre l’aidé⋅e et l’aidant⋅e basée sur leur attente des buts et tâches à accomplir. C’est la force et la qualité de la collaboration.
Quelles sont les caractéristiques d’un bon aidant.e?
- Aider les aidé⋅es à développer des attentes positives en lien avec le processus d’aide et ses résultats
- Aider les aidé⋅es à comprendre et à rentrer dans le rôle d’un client⋅e proactif et engagé
- Mettre de l’emphase sur les buts et la nature collaborative de la relation.
voir les notes de cours du cours 2
Selon les recherches de Bedi’s (2006), quels éléments l’aidé.e apprécie particulièrement de son aidant.e ?
La nature de l’établissement de l’aide, la présentation de l’aidant⋅e et son langage corporel, l’expression non-verbale (gesticule), soutien émotionnel et le care, l’honnêteté, la validité, les conseils, mettre au défi, l’éducation de l’aidant⋅e, l’appréciation de l’aidant⋅e de l’auto-responsabilité de l’aidé⋅e, et la bonne administration des sessions. guider
Quels sont les comportements qui illustrent la valeur de fondation de la relation d’aide? La valeur de fondation de la RA est le respect. Certains comportements font preuve d’irrespect (faire du mal, arriver rapidement à des conclusions (jugement), alors que d’autres font preuve de respect tels que:
devenir compétent⋅e et engagé⋅e
être vrai⋅e/authentique
être là pour l’aidé⋅e et s’assurer que c’est clair
assumer la bonne volonté de l’aidé⋅e
se concentrer sur l’agenda de l’aidé⋅e en priorité
La valeur de fondation de la RA est le respect. Certains comportements font preuve d’irrespect (faire du mal, arriver rapidement à des conclusions (jugement), alors que d’autres font preuve de respect tels que:
- devenir compétent⋅e et engagé⋅e
- être vrai⋅e/authentique
- être là pour l’aidé⋅e et s’assurer que c’est clair
- assumer la bonne volonté de l’aidé⋅e
- se concentrer sur l’agenda de l’aidé⋅e en priorité
Nommer et décrire (dans vos mots) deux compétences multiculturelles importantes pour vous comme aidant.e. Expliquer en quoi elles font de vous un bon.ne aidant.e.
- Réaliser que les théories, les méthodes, les catégories, les procédures, les pratiques professionnelles auxquelles je suis habituée i.e occidentales ne sont pas la norme et peuvent différencier dans d’autres cultures et même chez des personnes occidentales.
- Développer et comprendre comment des gens de différentes cultures comprennent et font face à la maladie, autant mental que physique, et quel est leur rapport avec l’aide extérieure. Chaque personne reste unique dans leur culture.
Permet de comprendre la réalité des autres à travers plusieurs lunettes plutôt que seulement la mienne. Force à ne pas voir les gens dans un silo.
Selon les données rapportées dans Egan (2014), quels sont les opposés de la reprise de pouvoir (empowerment)?
La dépendance, faire preuve d’égard, et l’oppression. Les aidant⋅es n’empower pas les aidé⋅es; illes ont une relation de pouvoir/ont de l’influence sur ceuses-ci.
Décrire sommairement ce qu’est-ce un aidant.e incompétent. (p.68
Une personne qui sous-estime les problèmes de l’aidé⋅e (banalisation), a des problème interpersonnels avec ses aidé⋅es, utilisé des techniques faibles, surutilise certaines techniques (rigidité), ou est en conflit avec ses aidé⋅es sur la méthodologie d’aide utilisée. Peut faire plus de mal que de bien.
Décrire les comportements non-verbaux d’une personne qui donne l’impression d’être empathique)?
- Avoir une posture ouverte (pas de bras croisés)
- Regarder dans les yeux, sans fixer
- Ne pas éviter le regard de l’autre
- Essayer de conserver une expression faciale relativement neutre (pas de froissement de sourcils, de sourires, etc.)
- Se pencher légèrement vers son interlocuteur
- Faire face à l’autre
- Avoir l’air relax/de ne pas être en train de forcer une attitude d’écoute
- Ton de voix (pas se mettre à parler trop fort, on y va normalement avec douceur)
(Qu’est-ce que ça va avoir comme un impact?)
Que signifie l’acronyme S.O.L.E.R. ?
Expliquer en quoi chacun de ces thèmes est important pour manifester son attention à l’aidé⋅e.
Face the client squarely
Adopt an open posture
Remember that it is possible at times to lean toward the other
Maintain good eye contact
Try to be relatively relaxed or natural in these behaviours
Faire face au client, adopter une posture ouverte, possibilité de se pencher vers l’autre, regarder dans les yeux, tenter d’être relax/naturel dans ces comportements
FOPYD F: faire face à l’aidé⋅e O: attitude d’ouverture P: se pencher vers l’autre Y: maintenir le contact visuel (yeux) D: être détendu et naturel
Face the client squarely: se faire face enfin de passer le message que nous sommes là pour le/la client⋅e, que nous sommes disponibles/à l’écoute
Adopt an open posture: peut être un signe que nous sommes ouverts à ce que l’aidé⋅e nous partage, littéralement ou figurativement
Remember that it is possible at times to lean toward the other: envoie le message que nous sommes investis dans la conversation
Maintain good eye contact: passe le message que nous sommes à l’écoute, disponible, là pour la personne
Try to be relatively relaxed or natural in these behaviors: permet de dire que nous ne sommes pas nerveux/distrait et utilise le corps comme moyen de véhiculer un contact personnel et d’expression, et de mettre le/la client⋅e à l’aise
En quoi consiste « l’écoute de soi » comme aidant⋅e (Listening to Oneself). En quoi est-ce utile en relation d’aide ?
C’est l’utilisation d’un «second channel» d’écoute, c’est-à-dire de s’écouter tout en écoutant le/la client⋅e afin de pouvoir identifier ce qu’il pourrait l’aider. C’est une forme positive de conscience de soi. Conversation internet, écoute en parallèle. Conscience réflexive.
Ça permet d’identifier c’est quoi l’étape suivante dans le processus d’aide, et permet de mieux interagir avec les aidé⋅es (comme en étant conscient⋅e de son non-verbal). Mieux connaître ses ressources internes. Savoir ce que l’on ressent peut permettre de savoir comment l’autre se sent.
Nommer les trois dimensions de la réponse empathique ET décrire chacune d’elles.
Perspicacité (perceptiveness): la capacité de bien comprendre une situation
Savoir comment (know-how): la capacité de savoir quoi faire de cette situation; comment réagir; quoi dire; comment le dire
Assurance (assertiveness): faire confiance à sa perspicacité et à son savoir-comment
Quel moyen pour communiquer une réponse empathique sera le plus facile à utiliser pour vous et pourquoi?
Quel moyen pour communiquer une réponse empathique sera le plus difficile à utiliser pour vous et pourquoi ?
Ne pas sous/sur-estimer les émotions, sentiments et humeurs de l’aidé⋅e parce que je fais confiance aux gens sur l’identification de leurs émotions/sentiments et que je crois que chaque émotion est valide me poussant à ne pas remettre en question l’intensité de celle-ci.
Être sensible en nommant les émotions/sentiments, même si je suis capable d’identifier les grandes familles d’émotions, c’est quand même difficile pour moi d’être précise et d’être sensible aux subtilités.