QUESTIONS CGI Flashcards

1
Q

La fonction de chef de secteur est confiée :

A
  • aux responsables opérationnels du niveau chef de garde au minimum, demandés en renforcement le cas échéant
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2
Q

Un secteur est caractérisé par :

A
  • Chef identifié
  • Moyens
  • Zone ou un secteur d’action
  • Mission assortie d’un effet à obtenir
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3
Q

Le chef de secteur commande à vue généralement plusieurs chefs d’agrès ou de détachements à l’aide desquels il organise son chantier :

A
  • Relève
  • Sécurité
  • Point de manœuvre préalable (PMP
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4
Q

Il est en contact permanent avec le PC TAC, grâce au réseau radio ou à tout autre moyen pour :

A
  • Demander des moyens
  • Rendre compte de toutes évolutions dans son secteur
  • Rendre compte des mesures prises, au moins toutes les demi-heures
  • Demander la modification de son dispositif
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5
Q

La vl CDG respecte les principes d’engagement suivants :

A
  • Le déploiement des VL CDG est validée par la note de déploiement des moyens opé.
  • La VL CDG est sonné pour tous les motifs CDG de son secteur de compétences
  • Un VL CDG peut etre sonné ou demandé pour une fonction particuliere
  • Si plusieurs CGI du CS sont de gardes en meme temps, la garde au VL CDG est assurée par le titulaire du CGI le plus ancien dans le grade le plus élevé
  • La VL CDG peut etre engagé hors de son LSO sans son EP pour une compétence CDG
  • Pour départ nécéssitant un CDG le paramétrage doit privilégier la VL CDG a l’OGC si leurs LSO sont a équidistance de l’intervention
  • Aprés accord OGC, un CDG en VL peut se rendre sur intervention sans prendre systématiquement le COS.Il reste disponible
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6
Q

À sa prise de service :

*

A
  • Il prend connaissance des opérations de la veille et en cours
  • Il inspecte au rassemblement la garde d’incendie et les personnels de service. Il vérifie notamment la tenue, l’hygiène et l’aptitude du personnel
  • Il fait vérifier la présence, le fonctionnement et l’état du matériel dans les engins. Il s’assure de leur recomplètement, de leur validité et du respect des règles d’hygiène et de désinfection. Il veille à la mise à jour des ressources dans le système ADAGIO
  • Il prend connaissance des mesures opérationnelles de son secteur, des PEI indispo et rues barrées. Il s’assure de leur mise à jour et de leur diffusion
  • Il s’assure de l’essai des lignes directes quand elles existent ; il s’assure que la prise en compte du PVO, ainsi que la vérification des diverses installations techniques s’y rapportant ont été réalisées par le stationnaire
  • Il consulte la liste des services à fournir
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7
Q

Pendant son service :

A
  • Il lui est rendu compte de tout changement dans la composition de la garde ou dans la disponibilité des matériels. Il s’assure, à son initiative, du maintien permanent du potentiel opérationnel de son centre de secours
  • Il rend compte à OGC de tout événement ayant ou susceptible d’avoir une incidence sur le service d’incendie et prend les mesures palliatives nécessaires.

Ces évènements peuvent être :

  1. Indisponibilité ou remise en service d’engin ou de matériel
  2. Manifestation sur la voie publique
  3. Baisse anormale de pression dans les conduites alimentant les PEI
  4. Indisponibilité de moyens de secours dans certains établissements
  • Il contrôle l’exécution des reconnaissances opérationnelles des PEI et s’assure, à l’issue, du signalement des appareils indisponibles
  • Il s’assure par sondage que tous les rapports de sortie de secours sont correctement rédigés et validés
  • Il organise et dirige les séances de préparation opérationnelle :
  1. Séances de préparation physique
  2. Manœuvre de la garde
  3. Instruction théorique
  4. Perfectionnement des conducteurs
  5. Préparation opérationnelle des stationnaires et auxiliaires
  6. Etude des ÉTARÉ
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8
Q

À la fin de son service :

A
  • Il effectue les rappels nécessaires au personnel de garde
  • Il vérifie et signe les documents du service d’incendie et de secours
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9
Q

Il a le souci :

A
  • Engager le plus rapidement possible les moyens de renfort pour compléter le dispositif, tout en conservant ou en reconstituant une réserve dont le volume est directement lié à celui du personnel directement engagé
  • Organiser le dispositif en secteurs. Un secteur est un compartiment de terrain dans lequel un chef de secteur commande aux moyens qui lui sont confiés les missions de la MGO. Un secteur peut correspondre à :
  1. • une ou plusieurs faces d’un sinistre
  2. • un ou plusieurs niveaux d’un bâtiment
  3. • un volume particulier
  4. • un point difficile
  • S’assurer que chaque chef de secteur est doté d’un moyen radio
  • De connaître directement l’évolution de la situation aux points dangereux en s’y rendant personnellement dès que le PC TAC et le dispositif sont organisés, afin de pouvoir prendre rapidement les mesures qui s’imposeraient
  • De renseigner le commandement sur l’évolution de la situation.
  • De faire des points de situation réguliers au profit du public impliqué, élus ou représentant des collectivités territoriales, responsables d’établissement dans le but de leur délivrer les informations utiles
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10
Q

SUR LES LIEUX DE L’INTERVENTION

Le chef de garde a

A
  • l’initiative absolue des mesures à prendre et des moyens à engager
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11
Q

Le chef de garde a le droit

A

Et le devoir de pénétrer dans les locaux où il juge nécessaire d’intervenir, même s’il y a refus de la part des occupants :

  • Cependant, dans les ambassades, légations et consulats, il ne pénètre qu’avec l’accord du chef de la mission ou de son représentant
  • Dans les palais nationaux ayant un commandement militaire, il doit se mettre, autant que possible, en rapport avec le commandant militaire ou son représentant
  • Dans le cas où il n’y a pas urgence et s’il rencontre de la résistance de la part des habitants, il fait appel au concours de la police
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12
Q

AVANT DE QUITTER LES LIEUX DE L’INTERVENTION ET S’IL N’A PAS ÉTÉ RELEVÉ

*

A
  • Il procède à une visite minutieuse de tous les tenants et aboutissants ainsi que des communications de toute espèce, autant à l’intérieur des locaux sinistrés que dans les maisons avoisinantes où l’action des sapeurs-pompiers nécessiterait de prendre des mesures :
  1. Quand il le juge nécessaire, il met en place un service de surveillance et fait commander des rondes pendant et après ce service
  2. Lorsqu’un service de surveillance est installé, le COS est transféré aux responsables successifs de ce service, qui en organisent les relèves. Ce service ne peut être réduit ou supprimé que par le chef de garde ou l’OGC du secteur à l’occasion des rondes périodiques
  3. Ce dernier ne le supprime qu’après avoir repris le COS et acquis personnellement la certitude que tout danger a disparu
  4. Lorsque des rondes sont commandées, elles sont effectuées conformément à la partie 3 - titre 3 - § 9
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13
Q

AU 1ER ENGIN-POMPE

*

A
  • Dépasser largement l’entrée de l’immeuble et si possible l’adresse de l’intervention, afin de faciliter la mise en œuvre des moyens, permettre l’engagement de(s) l’échelle(s) sur la façade de l’immeuble, se mettre à l’abri des effets du rayonnement ou des risques d’explosion, permettre à l’équipage de descendre et de se préparer à couvert
  • S’alimenter systématiquement sur l’hydrant disponible le plus proche
  • S’engager conformément aux principes de la manœuvre
  • Pouvoir être désengagé facilement dès que possible
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14
Q

. AU 1ER MOYEN ÉLÉVATEUR AÉRIEN

A
  • Se positionner à l’adresse, ou sur la façade nécessitant des sauvetages
  • Laisser la place à la mise en station éventuelle d’un 2e MEA
  • S’engager conformément aux principes de la manœuvre et aux règles de sécurité associées aux types de MEA
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15
Q

AU 2E ENGIN-POMPE

A
  • S’assurer de la présence effective du 1er enginpompe à l’adresse de l’intervention
  • S’alimenter systématiquement à l’hydrant le plus approprié à la manœuvre
  • Veiller à ne pas gêner l’accès à d’éventuels MEA de renforcement
  • S’engager conformément aux principes de la manœuvre
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16
Q

FEU CIRCONSCRIT

A
  • Le feu est circonscrit lorsque les lances sont établies aux points d’attaque choisis et en nombre suffisant pour empêcher le feu de se propager.
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17
Q

MAÎTRE DU FEU

A
  • On est maître du feu lorsque le foyer diminue d’intensité et que l’on est certain qu’il ne peut plus prendre d’extension dans les limites où il a été circonscrit.
  • À cette phase, le débit hydraulique des moyens d’extinction est à son maximum.
  • Ces moyens sont supérieurs ou égaux en volume à ceux établis pour circonscrire le feu
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18
Q

FEU ÉTEINT

A

Le feu est éteint lorsque le foyer principal ne produit plus de flamme et que seuls quelques débris ou foyers résiduels subsistent. L’extinction est achevée en dégarnissant et/ou en déblayant, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de matières en combustion.

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19
Q

La marche générale des opérations (MGO) « incendie » comprend 10 phases :

A
  • ❶ Reconnaissances
  • ❷ Sauvetages et Mises en sécurité
  • ❸ Établissements
  • ❹ Ventilation
  • ❺ Attaque
  • ❻ Protection
  • ❼ Déblai et Dégarnissage
  • ❽ Surveillance
  • ❾ Rondes
  • ❿ Retour d’expérience (RETEX
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20
Q

Temps de vulnérabilité :

A

Période durant laquelle les intervenants réalisent sur ordre des missions de la MGO sans qu’un moyen hydraulique ne soit en manœuvre sur le sinistre. Il débute dès la présentation des intervenants sur intervention.

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21
Q

RECONNAISSANCES

A

Actions qui consistent à explorer tous les endroits exposés au sinistre, de manière à :

  • Procéder sans délai aux sauvetages
  • Rechercher le renseignement auprès des requérants ou personnes présentes sur les lieux
  • Rechercher d’éventuelles victimes
  • Cerner les limites du sinistre
  • Déterminer la nature des matières en combustion
  • Déterminer le mode d’extinction approprié
  • Définir les points d’attaque et les cheminements pour y parvenir
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22
Q

TOUR DU FEU :

RECONNAISSANCE DU COS

En arrivant sur le lieu de l’incendie, le COS fait le tour du feu (6 faces du sinistre) afin :

A
  • Se faire une idée générale de la situation
  • Demander les moyens qui lui semblent nécessaires
  • Ordonner immédiatement les premiers sauvetages
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23
Q

VENTILATION

Par son caractère opérationnel, elle ne peut être dissociée de l’attaque. Action qui consiste à :

A
  • Mettre en œuvre les moyens de désenfumage existants ou s’assurer de leur déclenchement automatique
  • Mettre en place si nécessaire un dispositif de ventilation adapté à la configuration des lieux et au type de sinistre
  • Maîtriser le sens du tirage
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24
Q

2 PRINCIPES DE VENTILATION :

A
  • Ventilation naturelle : Courant d’air obtenu sans moyen mécanique. Elle consiste en un balayage de l’air.
  • Ventilation mécanique : Courant d’air obtenu avec des moyens mécaniques. Elle consiste à créer une surpression ou une dépression. Elle regroupe le désenfumage mécanique et la ventilation opérationnelle
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25
Q

2 TACTIQUES DE VENTILATION :

A
  • Ventilation de protection : Elle consiste à mettre un compartiment en surpression, afin de le protéger des fumées et des gaz chauds.
  • Ventilation d’attaque : Elle consiste à créer un tirage favorable pour les portelances. Elle contribue également à réduire le risque d’embrasement généralisé éclair, à améliorer la visibilité, à réduire la chaleur ambiante et à protéger les voies de communication
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26
Q

2 TECHNIQUES DE VENTILATION MÉCANIQUE :

A
  • Dépression (aspiration)
  • Surpression (injection)
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27
Q

Les objectifs de la ventilation sont de :

A
  • Favoriser les sauvetages, les mises en sécurité et les évacuations
  • Sécuriser la progression des intervenants en prévenant la survenue de phénomènes thermiques
  • Faciliter l’engagement des intervenants en préservant certains locaux, soit en évacuant les fumées, soit en les mettant à l’abri des fumées
  • Favoriser l’extinction du sinistre en contrôlant les propagations du feu
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28
Q

RÉALISER UN TOUR DU FEU

La 1re reconnaissance consiste sur incendie à réaliser un tour du feu en vue de :

A
  • Compléter les sauvetages /
  • Rendre compte des locaux et matériaux en feu,
  • terminer moyens supplémentaires
  • Contrôler le dispositif en place
  • terminer les nouveaux points d’attaque
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29
Q

DÉFINIR SES AXES D’EFFORTS

Il définit son idée de manœuvre, demande les moyens supplémentaires éventuellement nécessaires, et précise ses axes d’effort qui peuvent être par exemple sur feu :

A
  • Sauvetages ou les mises en sécurité
  • Lutte contre les propagations
  • Attaque du foyer principal
  • Lutte contre les effondrements
  • Ventilation et les exutoires de fumées
30
Q

VEILLER PARTICULIÈREMENT

A
  • Evacuation des fumées et des gaz chauds
  • Sécurité du personnel, en l’absence de l’officier sécurité
  • Prise en compte des blessés et des impliqués
  • Mise en œuvre rapide des moyens de protection
  • Eclairage du site de l’opération
  • Relève du personnel d’attaque
  • Collaboration avec la police
31
Q

MESSAGE D’AMBIANCE

Décrire succinctement la situation telle qu’elle est constatée, ainsi que son évolution probable

Passé dans les cas suivants :

A
  • Alerter ou de rassurer rapidement le commandement sur une situation, de préférence dans les 10 min après s’être présenté, notamment après une appréciation « poursuivons reconnaissances » du COS
  • Situation ou d’événement exceptionnel :
  1. Sur-accident
  2. Attentat
  3. Agression violente des secours
  4. Impossibilité de passer un message classique dans les délais normaux •
  5. Informer rapidement le commandement /répercussions médiatiques
32
Q

MESSAGE DE RENSEIGNEMENTS

Il est obligatoirement transmis dans les cas suivants :

A
  • Explosion, fuite de gaz ou NRBC
  • Plan spécial est déclenché
  • Moyens de renforcement ont été demandés
  • Personnalité ou d’une haute autorité sur les lieux de l’intervention, qu’elle soit impliquée ou non
  • Découverte d’une victime dont le décès est certain, y compris en présence de la police
  • Deux victimes sur l’intervention
33
Q

Fréquence des messages de renseignements

A
  • Le 1er message est transmis au plus vite par le COS, idéalement dans les 15 min après la présentation du 1er engin sur les lieux de l’intervention.
  • Ce délai peut être porté à 30 min si un message d’ambiance est transmis entre temps.
  • Pendant les phases actives, le délai entre 2 messages ne doit en principe pas dépasser 45 min.
  • Cependant, après les phases actives, le délai peut être porté à 90 min.
34
Q

LE PREMIER MESSAGE DE RENSEIGNEMENTS

Contexture générale

A
  • Nature et importance
  • Adresse exacte
  • Destination et nombre d’étages du bâtiment
  • Mesures prises ou en cours par les SP
  1. actions sur le public avec degré de panique dans les ERP
  2. sauvetages
  3. mises en sécurité
  4. évacuations
  5. lances en manœuvre ou en attente
  6. périmètre de sécurité
  7. arrêt de la circulation
  8. activation SINUS…
  • Bilan provisoire
  • Services publics et spécialisés et autorités
  • Incidence prévisible de l’événement
  • Appréciation du COS sur l’évolution prévisible de la situation
35
Q

Les moyens hydrauliques

Il doit être précisé :

A
  • Etat des lances dont celles sur MEA
  • Le nombre
  • Le type
  • Moyens privés utilisés en manœuvre ou en attente
  • Nombre de lignes de 110 mm établies
36
Q

Protection personnel sur intervention :

A
  • Maintiendes avertisseurs lumineux
  • Mise en place dispositif coniques
  • Port EPI

Mesures doivent etre adaptées a :

  • Nature de la voie
  • Importance du danger
  • Conditions generales de circulation
  • Visibilité
37
Q

Confinement :

A
  • Action visant a ordoneer a des personnes de se maintenir a l’abri d’un danger ambiant en se calfeutrant a l’interieur des locaux dans lesquels elles se trouvent
38
Q

Evacuation :

A
  • Operation visant a ordonner a des personnes de se deplacer hors des limites d’un perimetre de sécurité, au besoin en les accompagnant, afin qu’elles ne soient plus exposées aux effets d’un danger evolutif
39
Q

Sauvetage :

A
  • Action visant a soustraire d’un peril immediat une personne qui sans aide exterieur serait vouée a une mort certaine
40
Q

Mise en sécurité :

A
  • Action visant a extraire en l’accompagant
  • Une personne menacée par un danger
  • Auquel elle ne peut se soustraire d’elle meme
41
Q

LCPP

A

Déversements et émanations

  • Fuite ou deversement d’hydrocarbures dans un espace clos générant risque explo
  • Fuite ou émanation de gaz naturel, GDF trouve pas l’origine
  • Emanation oxycarbonée non identifié/maitrisé
  • Intoxication oxycarbonée ayant entrainé DCD
  • Emanation ou deversement produit inconnue avec victime
  • Pollution cours d’eau ou egouts
  • Intervention à caractère NRBC, accident ou incident chimique

INCENDIE OU EXPLO :

  • Feu IGH OU bâtiment institutionnel ;
  • Feu ERP ac demande complementaire
  • Feu RH/RI
  • Feu avec DCD ou UA
  • Feu équipement technique / véhicule energie nouvelle
  • Acétylène
  • Découverte d’engin explosif ou de matière
  • Explosion de toute nature

Accidents spécifiques

  • Choc électrique d’origine inconnue
  • Accident d’ascenseur et de monte-charge avec victime
42
Q

ARCHITECTE DE SECURITE

A

CAS URGENT :

  • Désordre structurel susceptible situation en peril
  • Danger batimentaire pouvant affecter conditions de vies
43
Q

VTBA

A
  • 185 A 300KG
44
Q

MATERIEL RESERVE OPERATIONNEL

A
  • LOT POLLUTION
  • LOT INNONDATION
  • LOT TROUBLE URBAIN
  • LOT EMULSEUR
45
Q

ETARE

A
  • Un ETARE 1 est une EGI pour laquelle une mesure opérationnelle est temporairement nécessaire.
  • Si cette mesure est appelée à durer, un référencement en ETARE 2 ou 3 doit être étudié
46
Q

ETARE 2

A
  • Un ETARE 2 est une EGI dans laquelle existent un ou plusieurs risques permanents.
  • ERP de type J, 0, U et R ( 2 a 5 cat ) avec locaux à sommeil y compris les logements foyers, les hôtels meublés.
47
Q

ETARE 3

A
  • Un ETARE 3 est une EGI pour laquelle existent un ou plusieurs risques permanents,connus des sapeurs pompiers territorialement compétents.
  • Ce référencement est obligatoirement associé à un document d’aideà la décision, ( triptyque ETARE) et à des visites régulières de l’établissement.
  • ERP de type J, 0, U et R avec locaux à sommeil de la 1ère catégorie
  • ERP type GA
  • Gare ou station du GPE en phase de chantier
48
Q

RTE

A
  • Feu sous une ligne électrique RTE
  • Feu ou explosion dans un poste de transformation RTE
  • Feu dans une galerie comprenant une installation RTE;
  • Fuite d’huile d’un transformateur RTE
  • Fuite d’huile d’une liaison souterraine RTE
  • Fuite de matière dangereuse à proximité des ouvrages RTE;
  • Chute d’un câble électrique RTE
  • Chute d’un pylône électrique RTE
  • Inondation d’un poste ou d’une galerie RTE
  • Ascension d’un pylône RTE
  • Mise à découvert ou endommagement d’un câble sous-terrain RTE
  • Secours à victime situé à moins de 5 mètres d’un conducteur ou dans un ouvrage RTE
49
Q

319 :

A

POM

  • OSG
  • OGC
  • PC TAC
  • DN + G.REX
  • VSAV
  • AR

Zone aeroportuaire

  • G.PMA
  • GST
50
Q

ALTAIR 4X

A

CARACTERISTIQUE :

  • 2012
  • 222gr
  • Etance poussiere/ 1m sous l’eau 30min
  • Alarme sonore visuelle vibrante
  • Alarme immobilité 30 scd
  • 95 db

3 cellules de detection :

  • Catalytique pour CH4
  • Electrochimique pour CO / H2S
  • Electrochimique pour 02

Cellules sensibles aux differences de :

  • Pression
  • Temperature
  • Hygrométrie

VALEUR :

  • VME : Valeur moyenne d’exposition sur 8h
  • VLE : Valeur limite d’exposition sur 15 min
  • 16h autonomie / si batterie faible 30min restante

XXX :

  • CH4 - 100% de la LIE
  • Eteindre - Fresh air /Si XXX GACO

+++ :

  • inf 15% ou sup 30 % 02
  • CO sup 1999ppm
  • H2S sup 200ppm

CH4 :

  • Alarme Basse : 20% LIE
  • Alarme Haute : 40% LIE

02 :

  • Alarme Basse : 19%
  • Alarme Haute : 23%

CO :

  • Alarme Basse : 50 ppm
  • Alarme haute : 100 ppm

H2S :

  • Alarme Basse : 5 ppm
  • Alarme Haute : 10 ppm
51
Q

1116

A

Attaque terrorsite NRBC et ou explo

Module 1 :

  • CHEF.G.NRBC
  • VI.NRBC
  • OGC
  • DN +G.REX
  • 2 VSAV

Module 2

  • EM
  • UMH

En zone aeroportuaire

  • OSG
  • G.aide CDT
  • GST
52
Q

117

A

Feu ou explosion en chantier souterrain

  • G.ETARE
  • S.ELD
  • V.REX
  • OGC
  • G.aide CDT
  • CRAC
  • GST
  • EM
53
Q

317

A

Attaque terroriste hors explosion/ NRBC

  • OGC GAA
  • EP GAA
  • 2 VSAV GAA
  • UMH

Zone aeroportuaire :

  • OSG
  • OGC
  • G. d’aide au CDT
  • EP CGI
  • EP
  • EP SSLIA
  • 2 VSAV
  • EM
  • UMH
  • GST
54
Q

318

A

Personne blessee arme a feu

  • EP GAA
  • VSAV GAA
  • EM GAA
55
Q
A
56
Q

Poursuivons reco

A
  • Si la situation présente un risque prévisible d’extension du sinistre et/ ou de danger pour les personnes
57
Q

Attaque d’atténuation

A
  • La coordination intérieur/extérieur
  • L’angle d’attaque
  • La qualité du jet de lance
  • Le temps d’application

Le porte lance reste en jet bâton jusqu’à apparition des critères d’efficacité :

  • Disparition des flammes
  • Production de vapeur
  • Nombre d’étage x 2 + 1
58
Q

MCB2

A

Multi-Contaminamètre portatif version Béta 2

  • Alpha (α), Béta (β), Gamma (γ) et X
  • le contrôle de contamination radioactive
  • la levée de doute du caractère radiologique de l’intervention.
  • Échelle du contaminamètre : 0,2 à 9999 c/s.
  • Bruit de fond variant de 0 à 0,8 c/s.
59
Q

AP2C

A

APPAREIL PORTATIF DE CONTRÔLE DE CONTAMINATION

  • Détection des toxiques industriels et agents chimiques de guerre
  • Pas ATEX

Il permet :

  • Mettre en évidence un produit dangereux possiblement contaminant
  • Définir une zone de danger vapeur, c’est-à-dire la zone d’exclusion
  • Contrôler les personnes ayant été en contact des agents chimiques contenant :
  1. Soufre : ypérite soufrée
  2. Phosphore : neurotoxiques organophos-phorés de la famille G :
    • • Sarin
    • • Soman
    • • Tabun
  3. ► Soufre et du phosphore : neurotoxiques organophosphorés de la famille V

Lecture :

60
Q

S4PE

A

Système portatif de prélevement des produits persistants par évaporation

  • Certains produits contaminants, ne dégagent pas de vapeurs dans les conditions normales de température et de pression.
  • Pour les détecter il faut les recueillir et les chauffer (pour qu’ils se vaporisent).
  • Cette action se fait au moyen du S4PE qui racle une surface et chauffe la raclette.
61
Q

RPAI

A
  • A compter du 8 fevrier
  • Recherche de Produits Accélérateur d’incendie
  • Avec chien Cyno
62
Q

RETEX 5

A
  • Feu comble toiture
  • Présence CA au point d’attauque H24
  • Gestion des secteurs
  • Antici^per evolution
  • Attention au RSMU
63
Q

RETEX 4

A
  • Feu entrepot !!
  • Message feu eteint quand on a verifier
64
Q

ZONE DE POSER

A
  • Zone dégagée plutôt en hauteur que dans une cuvette
  • Dimensions minimum :
    • De jour : 30 m x 30 m
    • De nuit : 100 m x 50 m, ne pas éclairer l’hélico
  • Surface dure et à peu près plane, sans obstacle au sol haut de plus de 30 cm
  • Terrains non poussiéreux, sablonneux ou caillouteux
  • Axe dégagé si possible et face au vent
  • Pas d’objet susceptible de s’envoler en présence du souffle ou être arraché
65
Q

PEGASE

A
  • Plateforme opérationnelle d’Estimation des polluants lors d’Incendies Grand Ampleur pour la Preservation de la Santé et de l’environnement
  • LCPP mets a disposition de la 38cie materiel prelevement atmospherique
  • Engagement du VI.NRBC et chef de groupe NRBC
    • G.INC
    • R.INC
66
Q

Belier :

A

Acces difficile

500l/min

Surface 50m2

67
Q

Mirea

A

Lance autopropoulsé

Gaine / Cave par soupiraux

200l/min

68
Q

Poudroux

A

Utilisé en complement lance Belier

150L/MIN

69
Q

Feu coffret de gaz en façade (PGR)

A

DN

REX

70
Q
A
71
Q

L’anticipation

A

Qui permet la prise de toutes les dispositions tactiques et matérielles, est indispensable dans tous les domaines. Elle est le grand principe qui régit l’action des secours :

  • En amont, par la prévention et la planification opérationnelle, lors de l’élaboration des plans de secours et de la répertoriation des établissements les plus dangereux
  • Au moment de la demande de secours, lorsque le nombre ou la gravité des appels incitent à compléter préventivement le volume d’engins dépêchés sur les lieux et à prévoir leur relève