QCM moteur et application 80% exam 2 Flashcards

1
Q

il est normal que la stimulation de la plante du pied entraine une réponse « en éventail » (extension) des orteils chez un bébé de 5 mois.

A

vrai, le signe de Babinski est considéré comme normal chez enfant < 7 mois. Réflexe primitif ?

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2
Q

Suite à un accident vasculaire cérébral, il y a une augmentation de la représentation corticale des muscles atteints.

A

faux, suite à un AVC, non-utilisation chronique du muscle. → contracture (augmentation du tonus musculaire) et diminution de la représentation corticale du muscle en question.

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3
Q

L’augmentation du tonus suite à un AVC est principalement causée par une contraction simultanée des muscles agonistes et antagonistes

A

faux, la co-contraction agonistes/ antagoniste est absente chez les personnes avec AVC et lésions médullaires. (Diapo 28)

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4
Q

La spasticité est caractérisée par une augmentation des réflexes tendineux.

A

vrai, Diapo 24

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5
Q

Suite à un accident vasculaire cérébral, un des facteurs neuronaux contribuant à l’hyper-rigidité est l’hyperréflexie.

A

faux, plutôt suite à une lésion médullaire, un des facteurs neuronaux contrinuant à l’hyperrigidité est l’hyperréflexie.

Suite à un AVC, c’est l’hyperexcitabilité au niveau du tronc cérébrale qui cause la spasticité.

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6
Q

La spasticité est causée par une hyperexcitabilité du réflexe tonique d’étirement.

A

vrai, diapo 24

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7
Q

Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une flaccidité.

A

vrai, diapo 22

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8
Q

Le hoquet est un exemple de myoclonus.

A

Vrai, diapo 19

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9
Q

Suite à un accident vasculaire cérébral, l’absence d’influence modératrice sur les motoneurones provoque une hyperréflexie (réflexe d’étirement phasique).

A

faux, suite à une lésion médullaire, pas tonique, phasique

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10
Q

Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une atrophie musculaire.

A

Vrai

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11
Q

Une rigidité de décérébration résulte en une posture en extension des membres supérieurs.

A

vrai

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12
Q

Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, l’inhibition de la spasticité préalablement au mouvement améliore l’effet d’un entraînement moteur.

A

Faux

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13
Q

Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, un entraînement en renforcement augmente la force et la fonction motrice, sans effet néfaste sur la spasticité.

A

Vrai

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14
Q

Une lésion du cervelet entraîne une diminution importante de la force musculaire

A

faux
Le cervelet est le centre de la coordination des mouvements. Une lésion du cervelet entraîne principalement ataxie cérébelleuse et hypotonie cérébelleuse.

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15
Q

Une lésion des voies motrices peut causer des contractions musculaires involontaires.

A

Vrai

exemples : spasmes, crampes, fasciculation, myoclonus, tremblements, fibrillations, mouvements anormaux

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16
Q

Une immobilisation par un plâtre entraine plus d’atrophie qu’une immobilisation causée par une paralysie car le plâtre limite plus la stimulation sensorielle du membre.

A

Faux
Des stimulations, même à un niveau inférieur à celui requis pour produire une contraction sont essentielles pour le maintien de la musculature.

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17
Q

Sur l’EMG, la présence d’unités motrices polyphasiques lors d’une contraction volontaire indique la présence de réinnervation.

A

vrai

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18
Q

Une lésion suffisamment haute des voies motrices n’a pas d’impact sur les réflexes produits au niveau de la moelle épinière.

A

Faux

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19
Q

Le « forced-use » ou « constraint-induced movement therapy » est beaucoup utilisée chez l’enfant et les populations AVC

A

Vrai

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20
Q

Une lésion au niveau du cortex moteur provoque principalement des symptômes contralatéraux à la lésion.

A

Vrai

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21
Q

Une fasciculation est une saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la surface de la peau.

A

Vrai

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22
Q

Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une hyperréflexie.

A

faux

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23
Q

La spasticité est un désordre moteur.

A

vrai

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24
Q

Le spasme est une contraction involontaire plus ou moins sévère.

A

Vrai

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25
la spasticité est causée par une hypoexcitabilité du réflexe d’étirement dans le cadre d’un syndrome pyramidal.
faux
26
La faiblesse musculaire contribue davantage à la perte de fonction que la spasticité douze mois après un AVC.
vrai
27
Le clonus est une contraction musculaire involontaire, répétée et rythmique.
vrai
28
Suite à un accident vasculaire cérébral, l’absence d’influence modératrice sur les motoneurones provoque une hyperréflexie (réflexe d’étirement phasique).
faux
29
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une atrophie musculaire.
vrai
30
Une rigidité de décérébration résulte en une posture en extension des membres supérieurs.
vrai
31
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, l’inhibition de la spasticité préalablement au mouvement améliore l’effet d’un entraînement moteur.
faux
32
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, un entraînement en renforcement augmente la force et la fonction motrice, sans effet néfaste sur la spasticité.
vrai
33
Une lésion du cervelet entraîne une diminution importante de la force musculaire
faux
34
Une lésion des voies motrices peut causer des contractions musculaires involontaires.
vrai
35
Une immobilisation par un plâtre entraine plus d’atrophie qu’une immobilisation causée par une paralysie car le plâtre limite plus la stimulation sensorielle du membre.
faux
36
Sur l’EMG, la présence d’unités motrices polyphasiques lors d’une contraction volontaire indique la présence de réinnervation.
vrai
37
Une lésion suffisamment haute des voies motrices n’a pas d’impact sur les réflexes produits au niveau de la moelle épinière.
faux
38
Le « forced-use » ou « constraint-induced movement therapy » est beaucoup utilisée chez l’enfant et les populations AVC
vrai
39
Une lésion au niveau du cortex moteur provoque principalement des symptômes contralatéraux à la lésion.
vrai
40
Une fasciculation est une saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la surface de la peau.
vrai
41
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une hyperréflexie.
faux
42
La spasticité est un désordre moteur.
vrai
43
Le spasme est une contraction involontaire plus ou moins sévère.
vrai
44
La spasticité est causée par une hypoexcitabilité du réflexe d’étirement dans le cadre d’un syndrome pyramidal.
faux
45
La faiblesse musculaire contribue davantage à la perte de fonction que la spasticité douze mois après un AVC.
vrai
46
Le clonus est une contraction musculaire involontaire, répétée et rythmique.
vrai
47
Une hyper-rigidité musculaire est une résistance excessive à l’étirement actif et passif du muscle.
vrai
48
Une rigidité de décortication signale une atteinte à un niveau supérieur au tronc cérébral.
v
49
L’atrophie neurogénique est la diminution de taille du cortex moteur suite à une lésion neurologique.
f
50
Une lésion des noyaux gris centraux peut entraîner une difficulté à initier un mouvement.
vrai Freezing = incapacité à initier un mouvement ou un arrêt temporaire du mouvement en cours. Il est souvent associé à la marche et se présente alors comme la perception d’avoir les pieds collés au sol et de ne plus pouvoir continuer à avancer. Phénomène très fréquent chez les idvus atteints Maladie Parkinson. Maladie de Parkinson = atteinte substance noire → donc une lésion des noyaux gris centraux
51
Une fibrillation est une contraction invisible et involontaire d’une fibre musculaire
v
52
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurones supérieurs) entraîne : pertes des mouvements fractionnés.
v
53
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurones supérieurs) entraîne : parésie.
v
54
Suite à un accident vasculaire cérébral, un clonus peut être déclenché lors d’une mise en charge pour un transfert.
v
55
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurones supérieurs) chronique entraîne : hyporéflexie.
f
56
Une lésion des voies motrices peut causer une paralysie.
v
57
Suite à un accident vasculaire cérébral, un clonus soutenu n’est pas nécessairement pathologique.
f
58
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne des fibrillations.
v
59
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, la faiblesse a moins d’impact sur la fonction que les troubles du tonus.
f
60
L’hypertonie spastique est constante peu importe la vitesse ou force appliquée.
f
61
Une lésion médullaire au niveau de L1 entraîne, entre autres, une diminution de la force des extenseurs du coude.
f
62
Le spasme est une saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la peau.
faux Spasme = Contraction involontaire +/- sévère. Fasciculation = saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la peau.
63
La stimulation électrique d’un muscle peut être utilisée pour prévenir l’atrophie d’un muscle dénervé.
v
64
Suite à une lésion médullaire, un des facteurs myoplastiques contribuant à l’hyper-rigidité est l'augmentation de la sensibilité au réflexe d'étirement tonique.
f, La sensibilité au réflexe d'étirement tonique n'est pas un facteurs myoplastique (changement adaptatif au niveau du muscle) mais un facteur neural (cf : tableau).
65
La stimulation électrique des muscles est parfois utilisée pour prévenir l’atrophie neurogénique.
v
66
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, la force musculaire ne peut pas être évaluée de façon reproductible.
f
67
Une parésie est une perte complète de la contraction musculaire volontaire.
f, La parésie est une perte partielle de la contraction musculaire volontaire et la paralysie est une perte complète de la contraction musculaire volontaire.
68
La fasciculation est la contraction invisible et involontaire d’une fibre musculaire.
faux Fasciculation = saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la peau. Fibrillation = la contraction invisible et involontaire d’une fibre musculaire
69
Une lésion des voies motrices peut causer un tonus musculaire augmenté.
vrai | Une lésion des motoneurones supérieurs peut causer une hypertonie vélo-dépendante
70
Le terme hémiparésie est utilisé afin de décrire une diminution de la force musculaire des deux membres inférieurs.
faux | Ce terme est utilisé pour : atteinte d’un seul côté seulement. Parésie = atteinte aux 2 membres inférieurs.
71
Une réponse en coup de canif est une résistance active à l’étirement, avec aller-et-retour comme une lame de canif.
faux Le nom coup en canif est une allégorie avec l’ouverture d’un canif : plus difficile au début, puis après, ça se relâche (plus facile)
72
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurones supérieurs) entraîne : hyperrigidité musculaire.
v
73
La spasticité est caractérisée par une augmentation vitesse-dépendante du réflexe tonique d'étirement.
v
74
Suite à un accident vasculaire cérébral, certains réflexes changent de direction.
v, Le « changement de direction du réflexe » fait référence au signe de Babinski. En effet, à la suite d'une lésion du motoneurone supérieur, une personne aura une réaction pathologique au réflexe cutané. A la place de fléchir tous les orteils suite à la stimulation plantaire, les patients feront une extension du gros orteil.
75
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, l’inhibition de la spasticité préalablement au mouvement est important avant un entraînement moteur.
f
76
Suite à une paralysie cérébrale, la cocontraction des muscles agonistes et antagonistes contribue à l'hypertonie.
v
77
Suite à un AVC, un des facteurs myoplastiques contribuant à l’hyper-rigidité est la présence de contracture.
v
78
Suite à une lésion médullaire : l’absence d’influence modératrice sur les motoneurones provoque une hyperréflexie (réflexe d’étirement tonique).
v
79
Sur l’EMG, la présence de signes de contractions brèves de fibres musculaires lorsque la personne est au repos indique un début de réinnervation du muscle.
f