QCM Flashcards

1
Q

Dans la reconnaissance des scènes et des objets, que signifie “CtF” :

a “Cognitive-to-Feel” qui signifie littéralement “du cognitif au ressenti”

b “Coarse-to-Fine” qui signifie littéralement “du grossier au plus fin”.

c “Complex-to-Fell” qui signifie littéralement “du complexe à baisser”.

A

b “Coarse-to-Fine” qui signifie littéralement “du grossier au plus fin”. (p.56)

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2
Q

Un son est défini selon :

a 2 (deux) paramètres: L’Intensité et la Fréquence.

b 3 (trois) paramètres: L’Intensité, la Fréquence et la Durée.

c 4 (quatre) paramètres: l’Intensité, la Fréquence, la Durée et le Spectre.

A

c 4 (quatre) paramètres: l’Intensité, la Fréquence, la Durée et le Spectre. (p.59-60)

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3
Q

“On observe que la nature du traitement détermine à la fois le temps de réaction moyen et la proportion de reconnaissance correctes. On peut observer qu’un encodage sémantique prend…”

a “… près de 200 ms de plus qu’un encodage perceptif.”

b “… près de 1000 ms de plus qu’un encodage perceptif.”

c “… près de 100 ms de moins qu’un encodage perceptif.”

A

a “… près de 200 ms de plus qu’un encodage perceptif.” (p.102)

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4
Q

Encodage et expertise :

a Gobbo& Chi (1996) ont montré, en opposant des enfants qui s’intéressaient aux dinosaures (les “experts”) à d’autres qui ne les connaissaient pas (les “novices”), que l’expertise conduit à une dénomination spontanée à un niveau plus spécifique que le niveau de base.

b Gobbo& Chi (1996) ont montré, en opposant des enfants qui s’intéressaient au dinosaures (les “experts”) à d’autres qui ne les connaissaient pas (les “novices”), que les enfants “experts” ou “novices” avaient une dénomination spontanée équivalente.

c Gobbo& Chi (1996) ont montré, en opposant des enfants qui s’intéressaient au dinosaures (les “experts”) à d’autres qui ne les connaissaient pas (les “novices”), que les novices ont une dénomination spontanée à un niveau plus spécifique (ils se basent sur des détails de la représentation) que le niveau de base.

A

a Gobbo& Chi (1996) ont montré, en opposant des enfants qui s’intéressaient aux dinosaures (les “experts”) à d’autres qui ne les connaissaient pas (les “novices”), que l’expertise conduit à une dénomination spontanée à un niveau plus spécifique que le niveau de base. (p.105)

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5
Q

Un chunk se définit comme :

a “… comme une unité intégrée de scripts et d’éléments pouvant se dérouler dans un scénario d’action (des points clés dans un scénario d’action).”

b “… comme une unité intégrée de connaissances, qui inclurait à la fois des éléments sémantiques et stratégiques (des règles pour agir).”

c “… comme une série d’indices pris dans le contexte de l’information à mémoriser au moment de sa présentation ; lors de la récupération de l’évènement, la présence des indices facilitera la récupération.”

A

b “… comme une unité intégrée de connaissances, qui inclurait à la fois des éléments sémantiques et stratégiques (des règles pour agir).” (p.106)

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6
Q

Miller (1956) avait fait l’hypothèse que la capacité de la mémoire à court terme était :

a “de 10 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “comme un numéro de téléphone. Pour faciliter la communication”).”

b “de 5 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “comme sur les doigts de la main”)

c “de 5 à 9 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “le nombre magique 7+/-2”)”

A

c “de 5 à 9 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “le nombre magique 7+/-2”)” (p.111)

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7
Q

L’attention et le contrôle de l’activité : “Dernièrement, l’attention a été envisagée comme…”

a “… comme un mécanisme central, supramodal, de coordination et d’intégration.”

b “… comme un véritable état mental de focalisation, d’interruption du flot continuel des pensées
inconscientes.”

c “… comme un moyen de mieux distinguer l’intelligence des individus.”

A

a “… comme un mécanisme central, supramodal, de coordination et d’intégration.” (p.122)

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8
Q

caractéristique de l’attention : “il existe deux façons d’engager son attention : …”

a “…: l’une Ascendante, issue de l’environnement, et l’autre Descendante, initiée par l’intention de l’individu.”

b “… : l’une Automatique, issue du champ visuel fovéal, et l’autre Contrôlé, initié par les mouvements oculaire de l’individu.”

c “… : L’une Physiologique, issue de l’état d’excitation du système nerveux central, et l’autre
Psychologique, initiée par l’apparition d’un évènement dans l’environnement.”

A

a “…: l’une Ascendante, issue de l’environnement, et l’autre Descendante, initiée par l’intention de l’individu.” (p.126)

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9
Q

Dans une revue de littérature Ruz &Lupianez, en 2002, montrent :

a “… : que l’efficacité de la capture attentionnelle est modulée uniquement par la prégnance de la cible qui est ici à rapprocher de celle de saillance perceptive de l’objet ou encore d’affordance selon Gibson.”

b “… : que la capture de l’attention se produit en dehors de toute intention du sujet.”

c “… : que l’efficacité de la capture attentionnelle est modulée par la nature de la tâche à réaliser et le type de stratégies adopté par les sujets pour la résoudre.”

A

c “… : que l’efficacité de la capture attentionnelle est modulée par la nature de la tâche à réaliser et le type de stratégies adopté par les sujets pour la résoudre.” (p.129)

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10
Q

Dans une version modifiée d’écoute dichotique, Conway, Cowan &Bunting, en 2001, ont
différencié les participants en fonction de leur capacité de mémoire de travail, ils ont constaté:

a Que les participants dont l’empan est fort ont plus de difficulté à résister à une distraction très saillante, comparativement aux sujets à plus faible empan.

b Que les participants dont l’empan est faible ont plus de difficulté à résister à une distraction très saillante, comparativement aux sujets à plus fort empan.

c Que les participants dont l’empan est faible détecte mieux leur prénom (65%), comparativement aux sujets à plus fort empan (20%).

A

b Que les participants dont l’empan est faible ont plus de difficulté à résister à une distraction très saillante, comparativement aux sujets à plus fort empan. (p.135)

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11
Q

La loi de Yerkes-Dodson postule:

a Que la quantité de performances de n’importe quel individu se détermine selon une fonction en forme en U inversé, qui dépend du niveau d’éveil.

b Que les performances de n’importe quelle tâche se détermine selon une courbe de Gauss, qui dépend de la durée de la tâche.

c Que la qualité des performances de n’importe quelle tâche se détermine selon une fonction en forme en U inversé, qui dépend du niveau d’éveil.

A

c Que la qualité des performances de n’importe quelle tâche se détermine selon une fonction en forme en U inversé, qui dépend du niveau d’éveil. (p.157)

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12
Q

Pourquoi les théories de l’apprentissage sont qualifiées “associationnistes”?

a Parce qu’elles reposent toutes sur le principe qu’apprendre consiste a effectuer des actions par
l’association “d’essais et d’erreurs” et qu’un comportement fait l’objet d’un apprentissage s’il conduit de manière répétée (loi de l’exercice) à une satisfaction (loi de l’effet).

b Parce qu’elles reposent toutes sur le principe qu’apprendre consiste a établir des associations entre deux stimulations, ou entre une stimulation et une réponse, ou entre une situation et un comportement.

c Parce qu’elles reposent toutes sur le principe qu’apprendre consiste a construire de nouvelles
connexions (ou associations) neuronales pour enrichir des modèles intériorisés de son environnement.

A

b Parce qu’elles reposent toutes sur le principe qu’apprendre consiste a établir des associations entre deux stimulations, ou entre une stimulation et une réponse, ou entre une situation et un comportement. (p.88)

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13
Q

L’alerte Phasique se définit comme :

a L’alerte Phasique ou Vigilance correspond à l’état d’un individu qui oriente ses sens de façon volontaire vers un objet nouveau et attendu afin de mieux l’analyser ou de mieux analyser tout objet qui apparaîtra dans la même zone spatiale.

b L’alerte phasique correspond à l’état d’un individu qui est exposé à une situation de détection continue, monotone et longue d’une dizaine de minutes. (Broadbent, 1950-1953)

c L’alerte Phasique correspond à l’état d’un individu qui oriente ses sens de façon involontaire
vers un objet nouveau ou inattendu afin de mieux l’analyser ou de mieux analyser tout objet qui apparaîtra dans la même zone spatiale (Posner, 1978).

A

c L’alerte Phasique correspond à l’état d’un individu qui oriente ses sens de façon involontaire
vers un objet nouveau ou inattendu afin de mieux l’analyser ou de mieux analyser tout objet qui apparaîtra dans la même zone spatiale (Posner, 1978). (p.140)

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14
Q

Période Réfractaire Psychologique (PRP) :

a Une PRP peut être mise en évidence avec une procédure expérimentale qui consiste à décaler de quelques millisecondes la présentation de deux stimuli auxquels le sujet doit répondre l’un après l’autre.

b Une PRP peut être mise en évidence avec une procédure expérimentale qui consiste à présenter
simultanément deux stimuli auxquels le sujet doit répondre.

c Une PRP peut être mise en évidence avec une procédure longue et monotone où la baisse de détection est en relation avec la durée de la tâche.

A

a Une PRP peut être mise en évidence avec une procédure expérimentale qui consiste à décaler de quelques millisecondes la présentation de deux stimuli auxquels le sujet doit répondre l’un après l’autre. (p.144)

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15
Q

“L’Inhibition s’exerce lorsqu’il…”

a “… lorsqu’il faut ignorer ou s’empêcher de répondre à des objets de l’environnement qui ne
satisfont plus aux critères de pertinence fixé par le but à atteindre.”

b “… lorsqu’il faut ignorer ou s’empêcher de répondre à des objets de l’environnement qui continue a
répondre aux critères de pertinence fixé par le but à atteindre.”

c “… lorsqu’il faut faire un choix entre des informations contradictoires, sélectionner une stratégie de résolution, plus généralement de prendre une décision.”

A

a “… lorsqu’il faut ignorer ou s’empêcher de répondre à des objets de l’environnement qui ne
satisfont plus aux critères de pertinence fixé par le but à atteindre.” (p.153)

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16
Q

La supervision cognitive est :

a “un processus descendant qui peut intervenir dans les activités cognitive suivante: résoudre un conflit, […], inhiber ou ignorer des informations devenues inutiles.”

b “un processus ascendant car elle regroupe la détection des erreurs et l’encodage de la nature des informations à mémoriser.”

c “une organisation contrôlée de plans d’actions dirigés vers un but.”

A

b “un processus ascendant car elle regroupe la détection des erreurs et l’encodage de la nature des informations à mémoriser.” (p.150)

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17
Q

Le syndrome amnésique se définie par trois caractéristiques qui doivent être retenues :

a “(1) La mémoire immédiate est déficitaire, (2) La capacité à acquérir de nouveaux souvenirs est
déficitaire et (3) Les souvenirs anciens sont oubliés.”

b “(1) La mémoire immédiate est normale, (2) La capacité à acquérir de nouveaux souvenirs est
déficitaire et (3) Les souvenirs anciens sont oubliés.”

c “(1) La mémoire immédiate est normale, (2) La capacité à acquérir de nouveaux souvenirs est déficitaire et (3) Les souvenirs anciens sont intacts.”

A

c “(1) La mémoire immédiate est normale, (2) La capacité à acquérir de nouveaux souvenirs est déficitaire et (3) Les souvenirs anciens sont intacts.” (p.86-87)

18
Q

Au niveau perceptif: “L’illusion de continuité…”

a “… peut conduire soit à percevoir un stimulus qui n’existe pas, soit, à l’inverse, à ne pas
percevoir un stimulus qui pourtant existe physiquement. Dans le domaine de la perception de la parole, cette illusion est connue sous le nom de restauration phonétique. L’auditeur restaure donc les phonèmes manquants de façon à pouvoir suivre le message.”

b “… correspond au fait que chacun perçoive les aberrations de structure spatiale montre que nous
utilisons tous les même mécanismes d’analyse et de structuration de l’image et en tirons les même
conclusions cognitives.”

c “… montre qu’interpréter une image requiert de déterminer ce qui, dans ses composantes, va constituer le fond de l’image sur lequel se détacheront ses figures”

A

a “… peut conduire soit à percevoir un stimulus qui n’existe pas, soit, à l’inverse, à ne pas
percevoir un stimulus qui pourtant existe physiquement. Dans le domaine de la perception de la parole, cette illusion est connue sous le nom de restauration phonétique. L’auditeur restaure donc les phonèmes manquants de façon à pouvoir suivre le message.” (p.80)

19
Q

“L’illusion de localisation vient appuyer l’idée…”

a “… que le système auditif tout comme le système visuel mettent en jeu deux types de processus distinguant l’Identification et la Localisation des objets”

b “… que la modalité haptique semble donc bien spécialisée dans l’appréhension des propriétés
matérielles des objets, alors que la vision l’est dans le domaine spatial.”

c “… que la vision domine chez le primate. Le cas le plus impressionnant est celui de la ventriloquie, qui donne véritablement l’impression que c’est la marionnette qui parle et non le marionnettiste. Si le marionnettiste ne mettait pas en mouvement sa marionnette, l’erreur de localisation de la source auditive disparaîtrait.”

A

a “… que le système auditif tout comme le système visuel mettent en jeu deux types de processus distinguant l’Identification et la Localisation des objets” (p.81)

20
Q

1 La modalité haptique est performante dans :

a La perception de la texture et la dureté des matériaux.

b La perception des propriété spatiales des objets.

c La perception et la connaissance précises de la forme et de la taille d’un objet.

A

a La perception de la texture et la dureté des matériaux. (p.71)

21
Q

2 Le syndrome amnésique semble indiquer une dissociation entre :

a Entre la mémoire à court terme et la mémoire de travail.

b Entre la mémoire procédurale et la mémoire déclarative.

c Entre la mémoire déclarative et la mémoire sémantique.

A

b Entre la mémoire procédurale et la mémoire déclarative. (p.87)

22
Q

3 Les liens entre les éléments dans le réseau de la mémoire sémantique ne sont pas toujours de la même force: certaines relations sont prioritaires. Par hypothèse, la force relative de ces liens va :

a “Va faciliter le rappel indicé”

b “Va renforcer l’effet de familiarité”

c “Va déterminer la rapidité des traitements cognitifs”

A

c “Va déterminer la rapidité des traitements cognitifs” (p.99)

23
Q

4 la perception visuelle est automatique dans le sens où :

a Le temps de présentation minimum des images permettant leur reconnaissance est d’une centaine de millisecondes (Thorpes, 1988).

b Le processus de traitement est irrépressible: dès qu’on ouvre les yeux, on ne peut s’empêcher de voir quelque chose et de l’identifier

c La forme globale est traitée plus rapidement que les parties et, en conséquence, interfère sur le
traitement de ces dernières, en le facilitant si les formes locales et globales sont similaires et en le
ralentissant si elles sont différentes.

A

b Le processus de traitement est irrépressible: dès qu’on ouvre les yeux, on ne peut s’empêcher de voir quelque chose et de l’identifier (p.51)

24
Q

5 La voie dorsale :

aA pour fonction de transmettre les informations de détails nécessaire pour différencier et identifier les éléments qui composent la scène visuelle: c’est la voie du “quoi”.

b Correspond à la formation réticulée qui s’étend sur toute la longueur du tronc cérébral et appartient aux voies motrices descendantes qui permettent le contrôle de la posture et de la locomotion.

c A pour objet de transmettre rapidement des informations spatiales utiles soit pour agir, soit pour reconnaitre l’agencement des éléments qui composent la scène visuelle: c’est la voie du “où”, ou du “comment”.

A

c A pour objet de transmettre rapidement des informations spatiales utiles soit pour agir, soit pour reconnaitre l’agencement des éléments qui composent la scène visuelle: c’est la voie du “où”, ou du “comment”. (p.53)

25
Q

6 Quel est l’objet de la Psychophysique?

a L’objet de la psychophysique est de déterminer les relations quantitatives qui existent entre un stimulus physique et la perception qu’on en a.

b L’objet de la psychophysique est de déterminer les relations qualitatives qui existent entre un stimulus physique et la perception qu’on en a.

c L’objet de la psychophysique est d’appliquer des lois de la physique pour expliquer le fonctionnement du système cognitif.

A

a L’objet de la psychophysique est de déterminer les relations quantitatives qui existent entre un stimulus physique et la perception qu’on en a. (p.51)

26
Q

7 D’après Fernandez-Duque et al. (2000), les moyens de régulation mis en oeuvre lors du
fonctionnement métacognitif reposent sur deux processus cognitifs qui sont le contrôle et la
supervision. Le contrôle est :

a “Considéré comme un processus ascendant car il regroupe la détection des erreurs et l’encodage de la nature des informations à mémoriser.”

b “Considéré comme volontaire et descendant.”

c “modulé par des informations perceptives ascendantes et par des informations attentionnelles
descendantes (Norman &Shallice, 1986).”

A

b “Considéré comme volontaire et descendant.” (p.150)

27
Q

8 Miller (1956) avait fait l’hypothèse que la capacité de la mémoire à court terme était :

a “de 10 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “comme un numéro de téléphone. Pour faciliter la communication”).”

b “de 5 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “comme sur les doigts de la main”)

c “de 5 à 9 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “le nombre magique 7+/-2”)”

A

c “de 5 à 9 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “le nombre magique 7+/-2”)” (p.111)

28
Q

9 De nombreuses recherches récentes dans le domaine des activités mentales montrent :

a “de bonnes corrélations entre la capacité de la mémoire de travail et le raisonnement.”

b “des liens entre le traitement cognitif de documents multimédia et le développement cognitif.”

c “de bonnes corrélations entre la capacité de la mémoire à court terme et la résolution de problème”

A

a “de bonnes corrélations entre la capacité de la mémoire de travail et le raisonnement.” (p.118)

29
Q

10 “La modulation de la capture attentionnelle remet en cause…”

a “…Le caractère réputé autonome des automatismes cognitifs: un processus automatique est
modulé par le contexte de l’activité cognitive dont il est issu.”

b “…Le caractère très rapide, irrépressible, signant ainsi la capture volontaire de l’attention.”

c “…Le fait que lorsque la recherche visuelle ne nécessite pas d’attention, autrement dit est automatique, la rapidité des réponses n’est quasiment pas affectée par la complexité ou la densité de la présentation”

A

a “…Le caractère réputé autonome des automatismes cognitifs: un processus automatique est
modulé par le contexte de l’activité cognitive dont il est issu.” (p.129)

30
Q

11 Le niveau d’éveil se définit :

a “Comme un état de préparation à détecter et à répondre à certains changements qui apparaissent à des intervalles de temps aléatoires dans l’environnement (Mackworth, 1957).”

b “a partir de l’enregistrement sur la boite crânienne des ondes cérébrales, mais aussi grâce à l’utilisation d’indices physiologiques (tonus musculaire, rythmes respiratoire et cardiaque, myosis) et comportementaux (qualité des réponses dans la détection de signaux).”

c “Comme un seuil d’activation du système nerveux central à partir duquel l’individu fournit une réponse comportementale en réaction à un stimulus présenté dans son environnement
(Parasuraman, 1984).”

A

c “Comme un seuil d’activation du système nerveux central à partir duquel l’individu fournit une réponse comportementale en réaction à un stimulus présenté dans son environnement
(Parasuraman, 1984).” (p.138)

31
Q
  1. La fiabilité renvoie :

a) au fait que la perception visuelle se marque d’une simplicité, d’une efficacité et d’une robustesse qui
contraste avec la complexité des problèmes perceptifs

b) au fait qu’un individu ou un groupe d’individus donné perçoivent un stimulus comme étant le même au temps t et t+1 alors que le stimulus peut être plus ou moins déformé et le contexte avoir quelque peu changé
c) au fait que dans l’épreuve de Barrage de Zazzo (1969) les performances déclinent au fur et à mesure de la réalisation de l’épreuve prouvant que l’attention n’est pas un système fiable pouvant se maintenir au cours du temps avec le même niveau d’efficacité.

A

b) au fait qu’un individu ou un groupe d’individus donné perçoivent un stimulus comme étant le même au temps t et t+1 alors que le stimulus peut être plus ou moins déformé et le contexte avoir quelque peu changé (p. 51)

32
Q
  1. La loi du “Destin Commun” se définit comme :

a) La loi selon laquelle un flux sensoriel est perçu comme une continuité et donc interprété comme
provenant d’une même source (Bregman, 1990).

b) La loi selon laquelle dans l’organisation de la mémoire sémantique chacune des catégories porte des
liens qui en précisent les traits. Et ces traits sont stockés au niveau le plus général possible (Collins & Quillian, 1969)

c) La loi selon laquelle les éléments évoluant en même temps au cours du temps vont s’organiser en une même forme, permettant d’expliquer les phénomènes de ségrégation figure/fond.

A

c) La loi selon laquelle les éléments évoluant en même temps au cours du temps vont s’organiser en une même forme, permettant d’expliquer les phénomènes de ségrégation figure/fond. (p.64-65)

33
Q
  1. “Un changement brutal de l’un des paramètres du son (intensité, fréquence) sera interprété comme…”
    a) “… l’arrivée d’un autre évènement auditif provenant d’une source sonore différente (Rasch,1978).”
    b) “…un changement brutal de l’un des paramètres du son.”
    c) “…une fission perceptive et deux flux de sons purs sont perçus (Bregman & Campbell, 1971).”
A

a) “… l’arrivée d’un autre évènement auditif provenant d’une source sonore différente (Rasch,1978).” (p.65)

34
Q
  1. L’effet d’amorçage peut se définir comme :
    a) le fait que les sujet ont gardé activée dans leur mémoire une représentation des cibles présentées auparavant, et que cette activation a un effet facilitateur sur une tâche de complétion. (Warrington & Weiskrantz, 1970) (p.91)
    b) le fait que quand il y a un conflit perceptif sur une propriété spatiale, les sujets manifestent une tendance à la “capture visuelle”, c’est-à-dire qu’ils ne tiennent pratiquement pas compte des données haptiques et basent leur jugement perceptif uniquement sur les données apportées par la vision. (Rock & Victor, 1964)
    c) le fait que les catégories en mémoire sémantique sont emboîtées les unes dans les autres et si l’on déploie l’organisation du super-ordonné aux sous-ordonnées, on se retrouve devant une structure hiérarchique et si la catégorie sous-ordonnée est activée toutes les catégories super-ordonnées associées seront, également, activées.
A

a) le fait que les sujet ont gardé activée dans leur mémoire une représentation des cibles présentées auparavant, et que cette activation a un effet facilitateur sur une tâche de complétion. (Warrington & Weiskrantz, 1970) (p.91)

35
Q
  1. “Toutes les données sur l’organisation des informations en mémoire mettent l’accent à la fois sur la façon dont les connaissances sont stockées en mémoire, et sur la façon dont elles sont récupérées, autrement dit…”
    a) “… sur les processus cognitifs de décodage et de recodage.”
    b) “… sur les fonctions cognitives d’encodage et de récupération.”
    c) “… sur les fonctions cognitives d’intégration et de récupération.”
A

b) “… sur les fonctions cognitives d’encodage et de récupération.” (p.101)

36
Q
  1. Craik & Tulving, en 1975, considèrent que la mémoire est :

a) “un système structural fondé sur des dissociations causées par des lésions cérébrales de natures
différentes.”

b) “fondée sur des modèles connexionnistes et l’information sur un concept donné se trouve distribuée
sur un grand nombre de traits, qu’ils appartiennent au concept lui-même ou à son contexte”

c) “un continuum, dont l’un des extrêmes est le produit éphémère des analyses sensorielles, et l’autre le produit pérenne des opérations sémantiques”

A

c) “un continuum, dont l’un des extrêmes est le produit éphémère des analyses sensorielles, et l’autre le produit pérenne des opérations sémantiques” (p.102)

37
Q
  1. Au niveau mnésique : “On constate que la nature du traitement détermine…”
    a) “… à la fois le temps de réaction moyen et la proportion des reconnaissances correctes”
    b) “… la performance en rappel libre et en rappel indicé.”
    c) “… à la fois la mémorisation et l’économie réalisées lors d’un second apprentissage par rapport au premier.”
A

a) “… à la fois le temps de réaction moyen et la proportion des reconnaissances correctes” (p.102)

38
Q
  1. Selon Baddeley (1986), la mémoire de travail est un système constitué de
    a) 3 (trois) composantes : la boucle phonologique, le bloc-notes visuo-spatial et l’administrateur central
    b) 4 (quatre) composantes : la boucle phonologique, le bloc-notes visuo-spatial, le buffer épisodique et l’administrateur central
    c) 5 (cinq) composantes : la boucle phonologique, le bloc-notes visuo-spatial, la mémoire à court terme, la mémoire à long terme et l’administrateur central
A

a) 3 (trois) composantes : la boucle phonologique, le bloc-notes visuo-spatial et l’administrateur central (p.114)

39
Q
  1. Qu’est ce que le “clignement attentionnel”?

a) C’est la possibilité de pouvoir percevoir, analyser et mémoriser plus d’informations que nous sommes
en fait capables d’en restituer verbalement.

b) C’est l’absence de prise de conscience d’un stimulus visuel, bien que le regard soit focalisé sur cet
objet (Simons & Chabris, 1999).

c) Cette expression illustre l’idée que lorsque nous passons d’une activité cognitive à une autre, en particulier lorsqu’il s’agit de réorienter son attention d’une information à intérioriser (mémorisation) à une information externe (détection), notre attention est comme “aveugle” aux cinq éléments qui suivent et qui défilent à la cadence d’un élément présenté toutes les 90 ms.

A

c) Cette expression illustre l’idée que lorsque nous passons d’une activité cognitive à une autre, en particulier lorsqu’il s’agit de réorienter son attention d’une information à intérioriser (mémorisation) à une information externe (détection), notre attention est comme “aveugle” aux cinq éléments qui suivent et qui défilent à la cadence d’un élément présenté toutes les 90 ms. (p.133)

40
Q

La liste des erreurs quotidiennes liées à l’attention laisse entrevoir que l’attention a pour fonction de sélectionner l’information pertinente dans l’activité en cours de réalisation :

a) Etre attentif, c’est sélectionner une région physique de l’environnement sensoriel afin de contrôler les entrées.
b) Etre attentif, c’est se focaliser sur l’information pertinente et rejeter les informations distractives.
c) Etre attentif, c’est réaliser un compromis sur la répartition des ressources entre les activités à réaliser en même temps.

A

b) Etre attentif, c’est se focaliser sur l’information pertinente et rejeter les informations distractives. (p.142)

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Q
  1. La distraction correspond :
    a) aux Situations dans lesquelles le sujet oriente de façon involontaire son attention vers des informations non prégnantes et non pertinentes par rapport à l’activité en cours.
    b) aux Situations où le sujet effectue une rupture avec son occupation principale.
    c) aux Situations où un objet ou un évènement prégnant et non pertinent apparaît dans l’environnement et capture involontairement l’attention du sujet.
A

c) aux Situations où un objet ou un évènement prégnant et non pertinent apparaît dans l’environnement et capture involontairement l’attention du sujet. (p.157)