devoir Flashcards

1
Q

Après avoir introduit et définit le cadre général dans lequel ce situe cette théorie: Décrivez et détaillez le fonctionnement de chacune des composantes du modèle?

Détaillez le rôle de l’administrateur central ?

A

Beaucoup d’activités mentales nécessite de faire appel à une mémoire transitoire, du seul fait qu’elles se déroulent dans le temps et qu’elles nécessitent de coordonner des éléments. L’expression “mémoire de travail” est classiquement invoquée lorsqu’on cherche à rendre compte des contraintes temporelles et attentionnelles qui sont à l’oeuvre dans les activités cognitives.

Selon Babbeley (1986), la mémoire de travail est un système constitué de trois composantes:

1 La boucle phonologique est un système spécialisé dans le maintien de l’information verbale, sous une forme phonologique. Elle est composée elle-même de deux parties: le registre phonologique (enregistrement “passif” des informations verbales), et un processeur d’autorépétition, appelé “boucle articulatoire”, qui implique une activité de la part du sujet.

Des études ont montré que la mémoire à court terme était sensible aux propriétés phonologiques et articulatoires du matériel mémorisé, même si le matériel est présenté par écrit, ce qui traduit l’effet d’un “recodage” phonologique d’un matériel verbal écrit.

2 le bloc-notes visuo-spatial (ou Visuo-spatial Scratch Pad) est un sous système spécialisé dans le maintien et la manipulation temporaire d’images mentales.

3 L’Administrateur Central (ou Central Executive, ou Centre Exécutif), est un système attentionnel, de capacité limitée, qui est responsable des fonctions de contrôle et d’intégration de la mémoire de travail.

Il sélectionne et exécute les processus contrôlés et les stratégies: quel système de stockage doit être utilisé (boucle phonologique ou visuo-spatial Scratch Pad: Baddeley parle leur sujet de “système esclave”, soumis à l’administrateur central)?
L’administrateur central est un système qui doit permettre l’activation des informations pertinentes à un moment donné, et l’inhibition de celles qui ne sont plus pertinentes. Il assure ainsi la planification et la mise en oeuvre de nouvelles activités, et en cas de besoin l’articulation entre plusieurs activités.
Des études lui attribuent également un rôle dans la récupération contrôlée des informations en mémoire à long terme.

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2
Q

Mémoire procédurale & mémoire déclarative

Définissez ces deux types de mémoire ?

A

La mémoire déclarative concerne des connaissances verbalisables, portant notamment sur des faits. Il s’agit du “savoir quoi”, à quel moment et dans quels lieux.
La mémoire procédurale concerne les savoir-faire mis en jeu dans l’utilisation d’objets physiques ou d’objets symbolique. Il s’agit du “savoir comment”.

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3
Q

Deux formes de conditionnement

Définissez les deux formes de conditionnement et donner leurs auteurs ?

A

Le Conditionnement “répondant” (Pavlov). Il s’établit par association entre deux stimulus. Le stimulus conditionnel, après présentation simultanée et répétée avec le stimulus inconditionnel, finit par provoquer seul la même réponse.
Le conditionnement “opérant” (Skinner). Il s’établit par renforcement répété d’un comportement produit au départ par hasard, finit par provoquer la production systématique de ce comportement, par association avec la situation dans laquelle il se produit.

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4
Q

Contrôle Attentionnel

Enumérez et définissez les 4 situations qui peuvent augmenter et diminuer la performance humaine ?

A

Deux situations peuvent améliorer la performance humaine: il s’agit de la Focalisation et de l’Inhibition.
Deux autres la diminuent: la Distraction et l’Inattention.

La Focalisation s’exerce dans des situations pour lesquelles une information est non seulement pertinente pour la tâche, mais aussi fortement prégnante.

L’Inhibition est définie par les situations dans lesquelles le sujet prend en compte une information pertinente mais dont la valeur de prégnance est faible, il doit d’abord inhiber toutes les informations plus prégnantes et non pertinentes à la tâche à réaliser.

La Distraction correspond aux situations où un objet ou évènement prégnant et non pertinent apparaît dans l’environnement et capture involontairement l’attention du sujet.

L’Inattention correspond aux situations dans lesquelles le sujet oriente de façon involontaire (discrète) vers des informations non prégnantes et non pertinentes par rapport à l’activité en cours.

Ces informations sont traitées de façon volontaire: le sujet devient inattentif, absorbé par ses pensées.

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5
Q

Après avoir introduit et définit le cadre général dans lequel ce situe cette théorie :

Quelle est le postulat concernant la quantité de Ressources Attentionnelles et cité l’auteur de référence?

A

L’attention permet de gérer des activités simultanées nouvelles qui nécessitent un effort. L’attention semble indispensable aux informations et aux actions que l’individu n’a pas encore totalement mémorisées ou apprises. L’attention se partage entre les tâches et gérer les tâches consiste à accorder des priorités entre les tâches pour maintenir une performance correcte. Les différents résultats sur l’attention alimentent un débat sur la nature de la limitation attentionnelle:

(1) en terme de quantité de ressources propres à chaque individu ou (2) en terme de canal unique qui ne pourrait être partagé au même moment. C’est dans ce débat sur les limitations de l’attention que s’inscrivent les théories sur les ressources attentionnelles.

Le postulat adopté, concernant la quantité de ressources a été que le système cognitif humain,
comparé au système informatique, doit posséder une quantité limitée d’énergie lui permettant de réaliser à un moment donné des opérations ou des traitements conduisant à une plus ou moins bonne performance (Navon, 1984)

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6
Q

Après avoir introduit et défini le cadre général dans lequel se situe cette théorie : Définissez un “géon” ?
Donnez la signification de “RBC” ?
Quel est l’auteur de cette théorie & Qu’est ce que suggère cette théorie.
Expliquez de façon générale cette théoru quoi est-elle inspirée et que postule-t-elle?
L’auteur de la théorie RBC et son équipe ont mené de nombreuses expériences comportementales pour
valider cette théorie : donnez les deux principaux résultats que montre cette théorie par rapport à la reconnaissance.
Donnez les deux points clés de la théorie RBC : que constitue-t-elle actuellement et à quoi s’adapte-t-elle
bien?
Pour conclure, il y a actuellement plusieurs perspective à la théorie RBC : citez-en au moins une.

A

Lorsque nous examinons une scène, notre regard se porte sur les objets qui la composent. Comment, au niveau perceptif, s’opère leur reconnaissance ? En général, les objets se distinguent les uns des autres par une organisation structurale assez précise de traits et surfaces qui les composent. Mixant intelligence artificielle et neuroscience, Biederman, en 1987, propose une théorie de la reconnaissance d’objets par ses composantes.

Un géon est la contraction de “geometrical ion” ce sont des primitives tridimensionnelles qui permettent de schématiser, au niveau cognitif, tout objet. Ce sont des segments de ligne composant les contours internes/externes de l’objet et des propriétés liées à ces segments de ligne. Il existerait 24 géons. RBC signifie “Recognition-By-Components”.

Cette théorie a été développée par Biederman, en 1987. Elle suggère que la reconnaissance d’un objet se fait par l’analyse de ses “composantes”.
En général, les objets se distinguent les uns des autres par une organisation structurale assez précise des traits et surfaces qui les composent. La théorie RBC de Biederman (1987) est inspirée des travaux de Marr (1982). Elle postule qu’au niveau cognitif/catégoriel, tout objet est représenté en mémoire sous une forme schématisée d’un arrangement spatial de primitives visuelles tridimensionnelles que Biederman (1987) dénomme “géon”.
Biederman et son équipe ont développé de nombreuses expériences comportementales pour valider le modèle RBC.
Ils vont tout d’abord montrer que la reconnaissance est aussi performance (exacte & rapide), que les objets soient présentés sous leur aspect naturel (photographie) ou “épuré” (dessin schématique).
Biederman et al. montrent que pour être efficace, le système de reconnaissance visuel ne semble pas avoir besoin des informations de détails, de couleur, de texture, etc., mais simplement des contours schématisant la structure des composantes volumétriques de l’objet.
Par contre, ils montrent également que si l’ensemble des composantes ne sont pas perceptibles parce qu’il manque, par exemple, les jonctions des contours (qui sont de puissants indices structuraux) : la reconnaissance échoue ou est rendue très difficile.
Si RBC constitue pour l’instant la proposition la plus achevée en psychologie cognitive de la reconnaissance visuelle des objets, elle n’est pas sans défaut.
Elle s’adapte bien à la reconnaissance des objets manufacturés qui, par construction, sont “géométriques”, mais moins aux objets plus naturels pour lesquels l’extraction des volumes requiert très souvent de prendre en compte les variations d’ombre, de texture, de mouvement… qui sont des indices non traités dans la théorie et le modèle de reconnaissance visuelle RBC.
Les travaux ultérieurs de l’équipe de Biederman ont pour objet de montrer que RBC possède les propriétés de rapidité, de résistance au bruit et de relative invariance spatiale observée dans le système visuel. Ces travaux cherchent également à compléter RBC par des mécanismes supplémentaires pour qu’il puisse fonctionner non seulement au niveau des catégories, mais aussi à celui des exemplaires (pouvoir, par exemple, dire que la scène perçue est une ville, et plus précisément Paris).

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7
Q

Expliquez et Justifiez comment Norman et Bobrow (1975) rendent compte quels sont les phénomènes attentionnels mis en évidence par des individus effectuent deux tâches conjointement?

Expliquez en faveur de quoi la notion de “pool central” a été abandonnée?

Introduisez et développez le modèle de Wikens, ainsi que son hypothèse pour expliquer la diminution des performances?

Expliquez, très succinctement, les perspectives de ce type de modélisation basée sur les ressources et citez Navon (1984): comment considère-t-il cette théorie?

A

En 1975, Norman et Bobrow expliquent que toute performance a besoin de ressources; la qualité de la performance obtenue dépendant de la quantité de ressources allouées. Lorsque deux tâches sont à réaliser conjointement, les ressources sont généralement allouées de façon non équitable entre elles; provoquant ainsi une chute des performances pour l’une et un maintien des performances pour l’autre.

La notion d’un pool central de ressources a été abandonnée en faveur de réservoirs multiples en ressources spécialisées, allouées préférentiellement à des traitements dont la spécificité dépend des différentes entrées perceptives (visuelle ou auditive), de la spécialisation hémisphérique (verbales ou non-verbales) et des sorties (phonatoire, oculomotrice ou motrice).
Wikens (1984, 1992) a élaboré un modèle de ressources multiples pour expliquer le fonctionnement de l’attention dans les situations complexes où l’opérateur effectue plusieurs activités simultanées.

Ce modèle stipule que l’information visuelle transitant par un canal de traitement indépendant des autres canaux perceptifs, ce type de traitement possèderait ses propres ressources.
De même, dans les étapes cognitives, un canal de traitement serait dévolu à l’analyse des
informations verbales et un autre à l’analyse des information visuo-spatiales.
Enfin aux étapes de sortie, des ressources seraient spécifiquement dévolues soit aux réponses
vocales, soit au réponses manuelles.
De ce fait, la diminution des performances de deux tâches réalisées en même temps dépendrait essentiellement du degré de similarité entre ces tâches. Le niveau de performance sur chaque tâche sera fonction du nombre de canaux ou de réservoirs qu’elles partagent.

Cependant aucun des modèles proposés sur la fonction de gestion en termes de division des
ressources attentionnelles n’a permis de rendre compte parfaitement de la diversité des résultats obtenus, ni pu proposer un moyen objectif pour évaluer rigoureusement la quantité de ressources dont dispose chaque individu à un moment donné lorsqu’il réalise une activité simple ou complexe.
L’impossibilité de répondre à ces questions a amené certains chercheurs pourtant reconnus comme d’éminents spécialiste du domaine, à remettre en cause la validité de la notion de ressources de l’attention et des modèles d’attention divisée qui en sont issus. Ils considèrent cette notion de ressources comme un “fourre-tout” théorique (Hirst, 1986; Navon, 1984) construit sur la base d’un raisonnement circulaire (Allport, 1980), car les preuves expérimentales obtenues ne sont pas suffisamment éloignées du concept. Par exemple, lorsque la réalisation simultanée de deux tâches n’a pas d’effet sur les performances, il est considéré que chacune des tâches puise dans un réservoir différent, si c’est l’inverse, ils suffit d’affirmer qu’il s’agit du même réservoir!

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8
Q

Théorie des géons, combien d’étape ?

A

3 étapes :

  • segmentation du champ visuel,
  • reconnaissance des geons,
  • appariement.
1 =  objets sont encodés. la segmentation se fait par extraction des contours des objets et du traitement des régions concaves,
2 = le système cognitif reconnait les géons à partir de 5 propriétés invariantes : courbes, parallèles, co-terminaisons, symétrie, colinéarité.
3 = relier l'assemblage des geons a des représentations d’objets stockées en mémoire. un patron, dès qu'il ressemble à une forme l'objet est reconnu.
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9
Q

2 approches expliquant la PERCEPTION ?

A

GESTALT + CONSTRUCTIVISME

1 = Wertheimer 1923, Koffka et Kohler. psy de la forme ou gestaltisme. lois innées et ne nécessite pas de recours à l’expérience antérieure.
traite spontanément et sans analyse les phénomènes comme des formes (ens structure) et non comme de simple juxtaposition d’éléments.
donc supériorité du tout sur les parties. ou la totalité diffère de la somme des parties qui la compose.
explication neuroanatomie fonctionnelle : lors de l’analyse du champ visuel , décompo au niveau du cortex visuel primaire en fréquence spatio temporelle, en image filtre en basse ou haute fréquence spatiales.
info basse freq = grossiere (syst magnocellulaire, rapide), haute freq = détaillee (voie parvocellulaire, plus lente). freq spatiale traitees en parallele. Ctf.

2 = construction de la signification : idée que la perception a une fonction adaptative. percevoir c’est donner signification à ce qui est perçu.
processus créatif de construction et de déconstruction de formes par rapport a un ens de données sensorielles.
pour Bruner, percevoir est un processus cognitif consiste a tester des hypothèses confirmées par des infos reçues ultérieurement. le sujet est un etre actif.

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10
Q

présentez le principe d’héritage des traits :

A

dans le modèle de collins et quillian, la mémoire sémantique est un réseau complexe qui lie entre eux les concepts et les traits. (traits = propriété spé. des objets que nous connaissons).
par économie cognitive les traits ne représenté 1 fois au niveau le + pertinent. et sont stockés au niveau le + général hérités par les cat. ss ordonnées. principe héritage des traits. les cat. sont reliées entre elles = structure conceptuelle hierarchisee. (propriété avoir une tige est stockée cat. plante, héritée cat. fleur et tulipe.

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11
Q

Comment rock et Victor (1964) ont étudié l’intégration visuo haptique ?

A

Pour que la représentation de l’objet soit effective, il faut que l’interprétation des données soit cohérente.
ils ont utilisé la méthodes des situations bimodales conflictuelles qui consiste à créer un conflit perceptif entre les 2 modalités.
ce que je vois ne correspond pas à ce que je touche. demande à des adultes de regarder un bloc en bois au travers d’un prisme qui rétrécit la dimension horizontale des objets de 50%. donc la vision déforme ce carre en rectangle. en même temps, les sujets palpent ce même carré sous la table. puis le sujet doit reconnaitre, soit par la vision seule ou le toucher parmi plusieurs carré.
phase test : il désigne le rectangle qu’ils ont vu
test haptique : réponse est une moyenne entre les valeurs visuelles et haptique.
c’est travaux mette en avant que la modalité haptique semble bien spé dans l’appréhension des propriétés des objets alors que la vision l’est das le domaine spatial.

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12
Q

illusion de Muller Lyer ?

A

expérimente les effets de contexte. permet de saisir la complexité et leur invariance inter individuelle.
présentation de l’illusion (test) :
2 flèches = longueur disposée l’une sous l’autre, de différencie seulement par les pennes, tournées vers l’ext et l’int. (élément dit inducteur qui provoque l’illusion).
le sujet soit pointer le centre de la figure, la flèche dont pennes tournées vers l’int est majoritairement désignée comme le plus longue.
explication de l’illusion :
en modalité visuelle elle relève de effets : effet de contraste, penne masque la réelle longueur du segment.
effet cognitif en évoquant un angle d emur en creux (vue de loin) ou a un angle en coin (vue de près).
en modalité haptique : disparait
conclusion :
l’angle formé par les pennes, + aigu plus le segment parait court. sauf en haptique et en la répétant.

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13
Q

Perception ?

A

désigne l’ensemble des méca. et procedures qui nous permettent de prendre connaissance du monde qui nous entoure sur la base des infos élaborées par nos différents sens.
elle est régie par différents facteurs : certains lies aux carac. des stimuli et d’autres aux contraintes des récepteurs ou encore aux conditions neuro physio. de la transmission de l’info vers les centres nerveux.
l’ens de ces facteurs ont une relation de causalité ascendante (bottom up) d’autres de nature cognitive relevent de processus conceptuel sup et de l’intégration des expé du sujet : relation descendante (top down).

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14
Q

organisation mémoire sémantique ?

A

pendant longtemps, mémoire = système unitaire, durée de conservation trace mnésique était fonction de la qualité de l’acquisition.
depuis, milieu XX considérée comme plurielle, plusieurs registres qui se différencient par leur durée de stockage de l’info (labilité), capacité (empan). mémoires sensorielles, de travail, MLT.

mémoire sémantique sous système MLT. constitué de connaissances acquises et apprises. (verbalisables).
pour dénommer les objets, nous faisons appel à 2 grands types de connaissances : concepts (idées à propos) et schémas (ens de concepts reliés entre eux).
ens des individus qui constitue le concept forme son extension alors que les propriétés (description) forment son intention.
modèle collins et quillian (69) est le plus connu. catégories sont classées par les lois de la nature et emboitées les unes dans les autres. arbre de catégorie ou hirachique, de structure conceptuelle.

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15
Q

selon le modèle de collins et quillian, de quoi dépend la récupération d’une information en mémoire ?

A

le temps mis pour récupérer une information en mémoire dépend de la distance sémantique entre les concepts ou de celle entre concept et trait. notions d’activation et de propagation de l’activation des notions dans le réseau.
une tache de vérification de phrases confortent cette hypothèse. on suppose que lorsqu’un concept est activé l’activation se propage le long des voies du réseau. plus la distance sémantique est importante plus cette activation prendra du temps pour parvenir à un autre point du réseau.

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16
Q

amorçage négatif ?

A

le paradigme de l’amorçage négatif met en évidence le fait que l’inhibition d’un stimulus reste active pendant plusieurs secondes.
expé : 2 stimuli S1 et S2 sont présentés en même temps au sujet. 1er temps : phase d’amorçage = le sujet doit identifier l’objet cible. S1 tout en ignorant l’objet distractif S2.
phase test : la cible est soit l’objet S2 soit un nouvel objet. la rapidité de la réponse devrait être identique dans les deux conditions. en réalité S2 reste inaccessible temporairement car son inhibition interfère avec sa sélection par l e sujet à la seconde présentation.
Dalrymple Alford et al (66) ont montré que donner le nom de la couleur qui a été inhibé précédemment est plus difficile qu donner le nom du’ne autre couleur.

17
Q

présenter l’éveil et la vigilance ?

A

l’attention permet de réagir à la nouveauté. elle ne peut se maintenir avec la même efficacité au cours du temp. les variations de la demande attentionnel, sont liées aux variations du niveau d’éveil.
déf : seuil d’activation du SNC à partir duquel l’individu fournit une réponse comportementale en réaction à un stimulus. mesure EEG plus indice physiologiques et comportementaux.
Le loi de Yerkes dodson postule que la qualité des perf à une tache suit une courbe en forme de U inversé.
Il existe donc un niveau optimal de perf li à un certain degré d’excitation ou d’éveil. cette courbe varie avec la complexité de la tache.
alerte phasique, posner (78), anticipation dans une attente active un évènement prévisible, involontaire.
alerte tonique : syst autonome de tonicité musculaire.
niveau d’éveil est d’origine psy et phy, dépende rythme bio et sociaux des individus qui évoluent en cycle circadien.
la vigilance dépend essentiellement de l’état d’alerte d’un individu qui l’apparition d’un évènement.

18
Q

comment s’effectue la reconnaissance des objets sonores ?

A

proposé par Mc Adams (94) pose des hypothèses sur les processus d’identification et de reconnaissance d’objets sonores. la reconnaissance auditive passe par 4 étapes;
signal acoustique : va syst auditif péri au central, transduction sensorielle,
regroupement ou séparation source du son,
construction représentation perceptive (hauteur, intensité, durée, timbre) de l’objet sonore,
appariement objet stocké en mémoire.

19
Q

fonctionnement de la mémoire ?

A

basée sur l’encodage et récupération des infos.
tulving et craig (75) : ont établi des liens entre encodage et niveau de traitement : perceptif, sémantique, phonétique. + traitement est profond plus il ait sur la reconnaissance et donc sur l’efficacité de la mémo.
procédé mnémotechniques, traitement sémantique et représentation imagées.
hypothèse de palvo et al (72) du double codage : sémantique et imagée.
mémoire chez expert/novice cat. + abstraite et dénominations plus précises et spé.
effet de contexte qui agit sur la récupération.

20
Q

modele de l’attention ?

A

l’attention sujet déterminatn en psycho cognitive depuis le 19s, travaux de lange, james, ribot. depuis broadbent et treisman l’ont envisagé comme un meca. de filtrage ou d’atténuation de nbr infos.
attention sélective : focalisation de mon attention sur une info et ignorer le reste.

cherry (53) : a montré que pour pouvoir prêter attention sur une infos le sujet se calerait sur des critères physiques et de l’info.
test de écoute dichotique : envoie d’un message A dans une oreille et inversement. consigne d’écouter et de répéter l’un des 2 messages qui lui ai présenté. au cours de l’expé on introduit des variations physique ou conceptuelle sur le message à ignorer (changement de voix, introduction de sons, inversion de mot).
observation : sujet peuvent écouter et répéter un message. les sujet sont capables de relever les variations physiques et une incapacité pour le conceptuelle.
filtre précoce placé sur les premières étapes du traitement.

broadbent (58) filtre attentionnel suggère que l’on ne peut traiter d’un imput à la fois. l’attention serait un canal unique n’ayant pas de meca pour diviser l’attention. canal a capacité limitée . sorte de goulot d’étranglement des infos. fonction adaptative qui permettrait de protéger le sti d’une surcharge cognitive. et donc de sélectionner les infos pertinentes.
filtre inra perceptif placé après les étapes de memo. sensorielles.

Treisman (60) : l’attention sélective serait un atténuateur qui fonctionnerait par seuil d’activation.
le sujet a ici une part active dans le traitement attentionnel, lorsqu’une info dépasse le seuil alros l’info est ratiée sémantiquement et le sujet peut prendre conscience qu’il a traité cette info.