Psychopathologie Flashcards

L'examen cumulatif

1
Q

Les 5 objets d’étude de la psychologie

A

Émotion, Cognition, Comportement, Processus biologiques, Processus sociaux

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2
Q

Les 7 indicateurs de l’anormalité

A

Souffrance, Comportements inadaptés, Déviance, Violation des règles sociales, Inconfort social, Irrationnalité et imprévisibilité, Dangerosité

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3
Q

Documentaire du pardon

A

Les parents ont pardonner le meurtrier d’avoir tuer leurs enfants

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4
Q

Définition du trouble mental?

A

Signes et symptômes de dysfonctionnement psychologique, C’est à dire des difficultés importantes dans les pensées, l’humeur ou le comportement d’une personne, qui lui causent de la souffrance ou qui diminuent sa capacité de fonctionner efficacement pendant une période prolongée

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5
Q

Définition de l’anormalité

A

Les dysfonctionnements comportementaux émotifs ou cognitifs inhabituels dans leur contexte culturel, associées à de la détresse personnelle ou à une altération considérable du fonctionnement sont anormaux

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6
Q

Définition de la santé mentale (OMS)

A

Il s’agit d’un état de complet bien-être physique, mental et social dans lequel une personne peut se réaliser surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de sa communauté

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7
Q

Classification des troubles mentaux (2 systèmes) ?

A

La classification internationale des maladies (CIM), mise au point par l’organisation mondiale de la santé (OMS)

Le diagnostic and statistic Manual of mental disorders (DSM), mis au point par l’American psychiatric association (APA)

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8
Q

Différence entre le (mini DSM) et la version longue

A

Caractéristiques des psychopathologies en fonctions de l’âge, du sexe et des cultures

Prévalence des psychopathologies

Évaluation habituelle de la psychopathologie chez la personne

Patrons familiaux

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9
Q

Similarité entre le (mini DSM) et la version longue

A

Liste des symptômes pour chaque psychopathologie

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10
Q

Indentification des pathologies dans le DSM-5-TR

A

Trouble mentaux

Affections physiques (conditions médicales)

Facteurs psychosociaux et contextuels

Mesure globale du niveau d’incapacité

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11
Q

Postulat de base du courant comportemental cognitif

A

L’acquisition et le maintien des comportements adaptés et pathologiques sont régis par les mêmes lois, les lois d’apprentissage. Sil un comportement a été appris, il peut-être désappris

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12
Q

Les 4 étapes de renforcement négatif et mention de la phobie dentaire

A

Aller chez la dentiste effraie la personne

Évitement du dentiste

Diminution de l’anxiété

Renforcement du comportement d’évitement parce qu’il a diminué l’anxiété

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13
Q

Conditionnement classique (Phobie de la nuit)

A

SI : cauchemars, RI : Peur, SC : Nuit, RC : Peur

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14
Q

Postulat de base du courant humaniste

A

La psychopathologie est un blocage dans la croissance personnelle et dans la tendance naturelle que les gens ont vers la santé mentale et physique

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15
Q

Les aspects des troubles anxieux

A

Les troubles anxieux (e. g., le trouble d’anxiété généralisée, la phobie spécifique, le trouble panique, l’agoraphobie) se distinguent les uns des autres en fonction des deux critères

Le type de situations craintes

Le raisonnement cognitif associé

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16
Q

Erma Bombeck (anxiété)

A

L’anxiété , c’est comme une chaise berçante, ca vous donne quelque chose à faire, mais ca ne vous mène a nulle part

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17
Q

Concernant les personnes avec de l’anxiété généralisée

A

Le résultat, c’est qu’ils échouent à s’échapper du monde illusoire crée par leurs pensées et images et qu’Ils vivent rarement dans le moment présent qui lui possède le potentiel de nous rendre heureux.

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18
Q

Phobie spécifique ( un exemple de déplacement)

A

X : Peur d’être jugé incompétent dans son travail

Y : Phobie des ascenseurs

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19
Q

Modèle de l’apprentissage préparé

A

On n’est préparé biologiquement à craindre certains objets plus que d’autres

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20
Q

Les deux autres type de troubles anxieux

A

Trouble panique

Agoraphobie

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21
Q

Le trouble obsessionnels compulsifs et apparentés

A

Troubles obsessionnels compulsif

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22
Q

Les deux types de Troubles à symptomatologie somatique et apparentés

A

Trouble à symptomatologie somatique

Crainte excessive d’avoir une maladie

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23
Q

Les trois types de Troubles dissociatifs

A

Dépersonnalisation/déréalisation

Amnésie dissociative

Trouble dissociatif de l’identité

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24
Q

Diagnostic différentiel: trouble panique vs anxiété généralisée

A

Trouble panique : Caractère bref, Caractère intense des attaques de panique

Anxiété généralisée : Plus durable, Moins intense

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25
Q

Cause comportementale cognitive du trouble de panique

A

Sensibilité aux sensations corporelles

Interprétation catastrophiques

+++ symptômes physiques

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26
Q

Définition de l’agoraphobie

A

Peur d’être dans une situation (un endroit) d’où il est physiquement difficile ou gênant de s’échapper ou dans laquelle on pourrait ne pas trouver de secours en cas d’attaque de panique ou de malaise

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27
Q

Définition du trouble obsessionnel compulsif

A

Comporte des pensées ou des impulsions désagréables qui s’Imposent à l’esprit de la personne et provoquent souvent en elle le désir irrésistible de s’engager dans une action répétitive pour diminuer sa détresse ou pour prévenir une catastrophe

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28
Q

Ce qui caractérise les troubles à symptomatologie somatique et apparentés

A

Présence de symptômes physiques (somatiques) ou de la préoccupations concernant la maladie

Qui causent de la détresse psychologique à la personne

ET ont un impact négatif sur sa vie

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29
Q

Trouble à symptomatologie somatique

A

Un ou plusieurs symptômes physiques sont rapportés

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30
Q

Crainte excessive d’avoir une maladie

A

Une maladie précise est redoutée

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31
Q

Dépersonnalisation/ déréalisation

A

Expérience d’un sentiment de détachement par rapport à l’environnement

Impression d’être devenu un observateur extérieur de son propre fonctionnement mental ou de son propre corps

Sentiment d’être dans un rêve

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32
Q

Amnésie dissociative

A

Un ou plusieurs épisodes ou la personne est incapable de se souvenir d’évènement importants, généralement traumatiques ou stressants

La fugue peut s’ajouter à l’amnésie dissociative. Dans ce cas, on parle d’amnésie dissociative avec fugue dissociative

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33
Q

Trouble dissociatif de l’identité

A

Généralement, les divers systèmes de personnalité manifestent des différences au niveau ( des histoires personnelles, des qualités, des attitudes, des façons de réagir et des noms )

Mais certains systèmes ne peuvent être que partiellement différent les uns des autres.

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34
Q

Trouble bipolaire: sa situation

A

Troubles dépressifs - (Troubles bipolaires ) - Troubles psychotiques/schizophrénie

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35
Q

Type de bipolaires 1

A

Dépression et ma manie

Manie seule

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36
Q

Troubles bipolaires type 2

A

Dépression et hypomanie

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37
Q

Catégorie de symptômes centraux des troubles dépressifs

A

Symptômes thymiques (c’est-à-dire, relatifs à l’humeur)

Symptômes cognitifs

Symptômes comportementaux (ou manque de motivation)

Symptômes physiques (ou somatiques)

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38
Q

Trouble dépressif caractérisé

A

Épisode souvent limité dans le temps (durée moyenne d’un épisode dépressif caractérisé non traité= 6-9 mois

Dans de rares cas (10-20% des cas), les personnes restent déprimées de façon chronique ( après deux ans, on parle alors souvent de trouble dépressif persistent, qui est un autre diagnostic.

Courte durée, mais a tendance à revenir (Environ la moitié des personnes qui ont fait un épisode dépressif caractérisé vont en faire au moins un deuxième épisode

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39
Q

Trouble dépressif et pensées automatiques négatives

A

Triade cognitive dépressive

Elle-même, Le monde autour (ou son expérience) , son avenir

“Je suis inadaptée , je ne suis rien”, “le monde autour est hostile”, “Le futur est sans espoir”

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40
Q

Quelques distorsions cognitives

A

Généralisation abusive

Abstraction sélective

Inférences arbitraires

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41
Q

Étude de cas de Catherine

A

Le trouble obsessionnelle compulsif

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42
Q

Histoire de cas (Valois)

A

Le trouble d’anxiété généralisée

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43
Q

Étude de cas (Colette)

A

Trouble dépressif caractérisée

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44
Q

Définition de la schizophrénie

A

Trouble mental ou l’individu souffre de distorsions importantes de la réalité, de retrait dans les interactions sociales, de désorganisation de la pensée, du discours et du comportement

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45
Q

Portrait clinique général de la schizophrénie : les symptômes

A

Délires ou idées délirantes ( de persécution et de grandeur )

Hallucinations

Pensée désorganisée ou discours désorganisée

Comportement désorganisé ou catatonique (catatonie, excitation , écholalie, comportements bizarres)

Symptômes négatifs

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46
Q

Symptômes négatifs

A

Définition : Absence ou déficits de comportements normalement présents dans le répertoire comportemental de la personne

Perte de motivation ou aboulie

Diminution de l’expression émotionnelle

Retrait dans les interactions sociales ou asociabilité

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47
Q

Définition des troubles de la personnalité

A

On parle de troubles de la personnalité lorsque la personne présente des traits de la personnalité (des façons de percevoir la réalité, des façons d’interagir avec les autres et des réponses émotionnelles) inflexibles et inadaptés aux contexte de la vie. C’est traits causent une certaine détresse à la personne ou l’empêchent de fonctionner adéquatement socialement et professionnellement

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48
Q

Les trouble de la personnalité se caractérisent par quoi?

A

Des difficultés interpersonnelles

Des problèmes d’identité

Des difficultés à fonctionner en société

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49
Q

Personnalité paranoïaque

A

Fait pas confiance à personne (soupçons)

Tendance à croire que la personne est irréprochable et les autres sont responsable de tout les obstacles dans sa vie

Peur que les gens vont la voler, frauder, essaye de la truquer et que tout le monde est malveillant

Tout le temps sur les gardes

Difficulté dans les relations interpersonnelles

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50
Q

Personnalité paranoïaque VS Trouble délirant de type persécution

A

La personne souffrant d’un trouble délirant de type persécution a, en plus, des délires et une perte de contact avec la réalité

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51
Q

Personnalité paranoïaque vs Schizophrène

A

La personne schizophrène a, en , plus des hallucinations et délires et une perte de contact avec la réalité

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52
Q

La personnalité schizoïde

A

Incapable de construit une relation sociale avec les autres et en n’a pas envie

Préfère la solitude

Typiquement pas de bonnes amies, aucun appuie

Difficulté à exprimer des émotions

Les autres ont la perception d’un froideur et distance

Indifférente au éloge et au critique, contrairement à la personnalité évitante et narcissiste

Occupation et intérêt solitaire

Prend pas de plaisir dans plusieurs activités social

inconfort constant (alien)

Souffrance inadapté

Croyance irrationnelle en situation social

Analogie : Ermite

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53
Q

Personnalité schizotypique

A

Système de pensée bizarre ex: télépathie

Problème de perception ex: parler au gens mort

Excentricité dans sa communication et dans ses comportements ex: Rituel

La personne est anxieuse socialement

Isolement

Pas d’amies proches

N’aime pas rencontrer des nouvelles personnes

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54
Q

Personnalité schizoïde vs Schizophrénie , Personnalité schizotypique

A

Problèmes de perception

Systèmes de pensées bizarres

Comportements bizarres

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55
Q

Personnalité schizotypique vs Schizophrénie

A

Hallucination

Délire

Catatonie

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56
Q

Personnalité histrionique

A

Rechercher constamment l’attention des autres (centre d’attention)

Facilement irritable si pas le centre d’attention

Gens théâtrale, dramatique, excessif

Ardeur excessive ex: réactions exagérer a des situations normal

Sexuellement provoquant et séducteur

Égoïste

Analogie : Harley Quin

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57
Q

Personnalité narcissique

A

La personne croit qu’elle est exceptionnelle

Recherche des compliments et est carburer par l’admiration des autres

Manque d’empathie face au autres

Croyance que tout devrais lui être donner sur un plateau d’argent (égo)

Exploitation des autres dans les relations interpersonnelles

Manipulation

Surestime ses réalisation et sous-estime les réalisation des autres

Analogie : Conor

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58
Q

Le postulat de base du courant psychodynamique

A

Plusieurs de nos comportement pathologiques sont du a des processus inconscient (automatique) qui nous influence

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59
Q

Principaux concept du courant psychodynamique

A

Ca (principe de plaisir)

Moi (principe de réalité)

Surmoi (principe de perfection)

Mécanisme de défense (cognitifs, généralement inconscient, déforment souvent la réalité, protection contre l’angoisse

Inconscient (partie submergées de l’iceberg)

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60
Q

Pronostic de la schizophrénie

A

Rémission partielle (thérapie et médicament)

Hospitalisation à long terme avec symptômes sévères (Sévère)

Symptômes continus ( répond au critère/ pas hospitaliser

Rémission complète: Complètement remis

Autre

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61
Q

Facteurs génétique et environnementaux lier avec la schizophrénie

A

Relation plus proche avec un schizophrène plus de chance de l’avoir aussi

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62
Q

Développement de la schizophrénie et cannabis

A

Avant 18 ans + x2 : réorganisation du cerveau déréguler

Avant 15 ans + 10.3% (26 ans)

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63
Q

Types de trouble délirant

A

Type : bizarre ou non bizarre

*Persécution

Grandeur

Jalousie (infidélité)

Érotomanie (relation avec célébrité)

Mégalomaniaque (physique hors du commun)

Somatique (problème physique)

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64
Q

Trouble de la personnalité anti-social

A

Ne pas Respecter l’égalité, il se croient en dehors des normes

Actions commis d’infraction ex: vole

Agressif et irritable

Comportements irresponsable ex: pas respecter les obligations financière, ou sociale et professionnelles

La personne n’a pas de culpabilité ou de remord

Le comportement est complètement sous-développé

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65
Q

Personnalité Borderline/limite (le pire)

A

Personne impulsive : comportements sexuels a risques, conduite dangereuse au volant, voler

Émotivement instable (humeur normal a dépression, anxiété , irritabilité

Accès de colère très intense et inapproprié

Relation instable (dure a suivre)

Comorbidité avec abus de substance

Idéaliser certaine personne et ensuite fait quelque chose et est complètement déçus

Problème énorme identitaire

Souffrance extrême de détresse

Effort désespérer pas peur d’abandon

Aller de 0% à 100%

Comportement dangereux d’elle même ex: automutilation, tentative de suicide

Analogie : mettre de l’eau dans un verre, mais tout le temps perçus comme vide

Détresse psyché énorme et pour cela se fait mal car douleur physique apaise la douleur psychologique, solutions , soit la substance ou automutilation

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66
Q

Personnalité évitante

A

Sensible au rejet , alors se sens insécure et anxieux dans les interactions sociale

Détresse causer souffre de solitude, aimerais bien avoir des amies

Timide et blesser par la critique

Réserver dans les situations sociales, peur de dire des chose inapproprié, ou stupide , craint d’être embarrasser en publique

Sure d’être aimer avant de s’engager , certitude

Comorbidité avec l’anxiété social ou phobie spécifique

Symptôme d’imposteur

Distorsion cognitive de l’abstraction sélective

Subordonner ses désirs

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67
Q

Personnalité dépendante

A

Prise en charge

Désir d’être tout le temps accompagner

Pas être elle-même, plait a tout le monde , soit change de personnalité avec chaque personne

Laisser les autres décider pour elle

Pas compétitive

Pas la confiance entre elle, alors fait confiance aux autres

Peur de l’abandon

Prise de panique d’être seul

Insécure

indécise

Estime de soi (mauvais)

Autre niveau de dépendance paralysante

Contraire de paranoïaque et narcisist

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68
Q

Personnalité obsessionnelle-compulsive

A

Préoccuper par l’ordre , les règles et les détails inutile ou non pertinent, sentiment n’aboutit a rien

Difficulté de jeter de vieux objet sans utilité , valeur sentimental

Pas déléguer les taches

Anal

Dévouer au travail et oublie les loisirs, difficulté à avoir du plaisir

Syllogomanie

Thésaurisation compulsive (accumulation)

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69
Q

Modèle alternatif (dimensionnel) des troubles de la personnalité. Troubles stables caractérisés : Première partie

A

Des déficiences dans le fonctionnement de la personnalité

au niveau du soi (identité et auto détermination ) sur un continuum allant de normal à pathologique

au niveau du fonctionnement interpersonnel (empathie, intimité ) sur un continuum allant de normal à pathologique

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70
Q

Modèle alternatif (dimensionnel) des troubles de la personnalité. Troubles stables caractérisés (deuxième partie)

A

Des traits de la personnalité pathologiques/inadaptés (5 grands domaines)

Affectivité négative vs stabilité émotionnelle

Détachement vs Extraversion

Antagonisme vs agréabilité

Désinhibition vs caractère consciencieux

Psychotisme vs lucidité

Ces 5 domaines se subdivisent en 25 traits pathologiques

pole positif et négatif

réduit les troubles personnalité à 6 seulement

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71
Q

Les trouble de la personnalité pour le modèle alternatif

A

Personnalité antisociale

Personnalité évitante

Personnalité limite

Personnalité narcissique

Personnalité obsessionnelle-compulsive

Personnalité schizotypique

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72
Q

Le positif face au modèle alternatif pour les troubles de la personnalité

A

Comparer sur la même mesure (29 choses)

Plus de normativité

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73
Q

Étude de cas Jacques

A

Schizophrénie

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74
Q

Jonathan étude de cas

A

Trouble schizotypiques

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75
Q

Le travailleur social étude de cas

A

Personnalité paranoïaque

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76
Q

Les caractéristiques communes entre anorexie mentale et la boulimie

A

Comportements alimentaires inappropriés

Comportements visant à ne pas prendre du poids

Influence excessive du poids sur l’évaluation que la personne fait d’elle même (par exemple son estime de soi)

Influence de la pathologie sur la santé physique ou le fonctionnement psychosocial

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77
Q

Anorexie mentale

A

Peur excessive de prendre du poids , gros ou grosse

Refus obstiner de s’alimenter adéquatement, pas à croire qu’une quantité normale est nécessaire ex: une Diet extrême

Image déformer du corps, malgré les preuve contraire ex: miroir au mini golf qui s’agrandi

Perte de poids énorme, poids anormal, pente descendent

Ne reconnais pas que son poids n’est pas assez élevée, et que ses une problématique

L’idée de devenir gros ou grosse est encore la après la perte du poids

78
Q

Deux type d’anorexie mentale

A

Accès hyperphagiques/purgatif : crise de gloutonnerie et vomissements provoqués, laxatifs diurétiques

Restrictif : pas de crises de gloutonnerie , exercice excessif, jeune et diète (moins pire)

Anorexie mentale atypique : poids normal

79
Q

Le développement de l’anorexie

A

Inadéquate a surmonter les changement de la vie

Avant milieux favoriser , maintenant plus vue dans les milieux défavorisée et pays en émergence (image)

Perfectionniste et comorbidité avec le TOC

Les femmes

3-5% meurt

Mannequin, athlètes, ballerines

16-20 ans

80
Q

Obsession dysmorphie corporelle avec dysmorphie musculaire

A

Les hommes

Déficit du corps malgré de la preuve contraire

Stéroïdes anabolisants

Temps excessif passer au gym

Fonctionnement normal affecter (le gym est sa vie)

81
Q

Valeria Levitin

A

Mannequin, Anorexie mentale , décéder de complication (55lbs)

82
Q

Isabelle Caro

A

Comédienne , Mannequin, morte a 28 ans de anorexie

83
Q

Boulimie (moins pire)

A

Besoins urgent incontrôlable que la personne à d’absorber des aliment souvent et grande quantité dans un cours laps de temps

Épisodes récurrents et incontrôlables de crises de gloutonnerie

Comprend que son comportement est anormal ex: cacher

80% des gens se cherche à se faire vomir ou utiliser des laxatifs ou diurétique

20% jeune ou exercice excessif

Peur qu’elle perte le contrôle pour le reste de sa vie et que ses épisodes ne s’arrête pas , peut pas arrêter de manger

Peur de prendre du poids la majorité utilise des méthodes sévères pour ne pas prendre de poids

Les changements de poids sont fréquents, mais la plupart ni très maigre ni obèse

21-24

84
Q

Facteurs de risque de la boulimie

A

Perfectionniste

Comorbidité personnalité limite et TOC

Sentir mieux avec une douleur physique, mangeant pour contrer la douleur mental

85
Q

Problème physique lier a la boulimie

A

Anémie

Aménorrhée

Déficience en minéraux et vitamines

Problème cardiovasculaire, soit manquer de fer transfert oxygène dans le sens

Duvet sur la face pour les réchauffer

Affecte les dents

Dangereux

86
Q

Boulimie VS Anorexie accès

A

Anorexie : le poids est moins élevé et savent qu’il sont entrain de faire du binge-eating

Boulimie: Le poids plus élevées

87
Q

Cause des troubles alimentaire

A

Socio-culturel : idéal social de l’a minceur est inaccessible (les médias sociaux, l’image des femmes, mince

biologique et psychologique (le fait que pas toute les femmes l’ont)

Psychologique : À quel point les facteurs social de l’a minceur à été intérioriser ex : rejette ou accepte

Cognitifs: Distorsions cognitive, comme celle de la dépression, tendance à avoir des crises de gloutonnerie quand elle se sentent mal psychologiquement (stress et inquiétude) qui servirait à la reconfronter (tentative pour aller mieux)

L’environnement familial est souvent problématique (manque de cohésion, communication imparfaite)

Parents : Préoccuper de leurs poids ou de leurs apparences

88
Q

Facteur de risque biologique des troubles alimentaires : le point déterminé

A
  1. On est programmé biologiquement (notamment à cause du nombre de cellules adipeuses qu’on a et de leur taille) peser un certain poids
  2. Le corps va résister au changement et va toujours tendre à revenir à ce poids
  3. Pour revenir à ce point déterminer le corps a prévu un mécanisme : la faim
  4. Ce phénomène explique pourquoi les anorexiques peuvent passer du type restrictif au type accès hyperphagiques/purgatif
  5. Le but est de revenir au point déterminé
  6. Quand le corps est sous-alimenté, la faim devient intense, ce qui favorise les crises de gloutonnerie que vivent plusieurs anorexiques
89
Q

Dysfonction sexuelle

A

Caractérisée par un manque de désir sexuel ou soi par une difficulté/incapacité à obtenir une gratification sexuelle

Problème physique ou psychologique lier au désir , à l’excitation ou au plaisir sexuel
Souffre/détresse

90
Q

Le trouble de l’érection

A

Incapacité persistante ou répété à attendre ou maintenir une érection adéquate jusqu’à l’accomplissement de l’acte sexuel

91
Q

Éjaculation précoce/prématurée

A

Lorsque que l’homme est capable d’érection , mais vas la perdre trop vite, soit contrôle mal le moment de l’éjaculation, une éjaculation dans la minute suivant le début de la pénétration vaginal, mais peut être d’autre type sexuel orale ou anale.

92
Q

Troubles paraphiliques (plus grave)

A

Troubles qui sont caractérisés par des comportements et des fantaisies sexuels impliquant, soit

  1. Des objets inusités ou des situations/activités inhabituelles ou bizarres
  2. Le fait de faire souffrir quelqu’un d’autre ou de souffrir soi-même
  3. Des enfants ou des personnes non consentantes
93
Q

Dysfonctions sexuelles chez la femme

A

Trouble de l’orgasme chez la femme

Trouble lié à des douleurs génito- pelviennes ou à la pénétration

94
Q

Trouble de l’orgasme chez la femme

A

Absence répétée d’orgasmes ou

Orgasmes peu fréquents ou

Délai marqué avant l’obtention d’un orgasme ou

L’intensité d’orgasmes moindre

95
Q

Trouble lié à des douleurs génito- pelviennes ou la pénétration

A

Douleur à la pénétration ou

Impossibilité de pénétration à cause de sa peur ou

Muscles du vagin trop tendus ce qui empêche ou nuit la pénétration

À cause de la peur

96
Q

Problèmes de désir sexuel chez la femme

A

Trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle (regroupe les problèmes de désir sexuel et les problèmes d’excitation/ de plaisir sexuel)

97
Q

Problèmes de désir sexuel chez l’homme

A

Diminution du désir sexuel (absence ou insuffisance répétée de fantaisies sexuelles ou de désir pour les activités sexuelles

98
Q

Cause/facteurs de risques de dysfonction sexuelle

A

Problèmes physiques : prendre des médications qui affecte le fonctionnement physique

Cause psychologiques: distractions cognitives pendant les relations sexuelle, soit l’anxiété de performance ex: pensées qui surviennent. Solutions = apprendre que relation sexuelle prend pas au sérieux, enlever une pression

Problèmes inter-relationelle

Mauvaise communication (intimité)

99
Q

Troubles paraphiliques VS Paraphilies

A

Un trouble si la personne souffre

Passée a l’acte (visionnement)

100
Q

Troubles paraphiliques

A

Ce sont des maladies

Impliquent souffrance personnelle ou torts causés aux autres

101
Q

Paraphilies

A

Ce ne sont pas des maladies

N’impliquent pas de souffrance personnelle ou de torts causés aux autres

102
Q

Troubles paraphiliques (maintenant)

A

Troubles paraphiliques

Paraphilies (préférences inhabituelles)

103
Q

Troubles paraphiliques (avant)

A

Paraphilies

Pas d’équivalent

104
Q

Fétichisme

A

Exciter sexuellemet par des objets non animer avec plus d’importance que la partenaire comme-t-elle ex: sous vêtement, talon de cuire ou partie du corps non génital (pied ou cheveux)

105
Q

Voyeurisme (le plus courant)

A

La personne se sent exciter lorsqu’elle observe qu’elle qu’un de façons récurrentes, sans qui le savent, entrain de se déshabiller ou en train de faire l’amour

106
Q

Exhibitionnisme

A

La personne se sent exciter sexuellement quand elle montre ses partie intime ou autre souvent la victime fait comme si ca ne l’affecte pas , la réaction fait ressortir un plaisir à la personne ayant se trouble

Si rit quand même non consentante, même vidéo compte pas

107
Q

Trois types d’événements stressants (ou de facteurs de stress)

A

Agents stressants extrêmes

Changements de vie majeurs

Agents stressants de la vie quotidienne

108
Q

Définition du stress

A

l’état interne dans laquelle se trouve la personne qui doit faire des demandes importantes de l’environnements, réfère a la réaction physiologique dans notre corps

109
Q

Agents stressants extremes

A

Évènement traumatique de différent type comme la guerre , victime de violence, pris en otage, impliquer dans un accident d’auto grave, passer au feu, désastre naturelle ex: PTSD

110
Q

Changements de vie majeurs

A

Évènement de vie auxquelles la majorité de nous somme confronté ex : mariage, mort d’un être proche, rupture, déménagement, perd emploie ex: trouble de l’adaptation

111
Q

Agents stressants de la vie quotidienne

A

Toute problème de stress mineur ex : examen, contravention, perd t’est clés

112
Q

Facteurs influençant l’impact des événements stressants (dépendamment l’environnement et le contexte)

A
  1. Caractéristiques des événements stressants : Durée du stress, Quantité de stress Concomitant (en même temps) , Caractère imprévisible ou non
  2. Ressources de la personne : Soutien social
  3. Interaction entre caractéristiques et ressources : Rôle modérateur du soutien social ( moins de stress avec moins de soutient sociale est pire que plus de stress et plus de soutient
113
Q

Trouble de l’adaptation (trouble liés des traumatismes ou à des facteurs de stress post-traumatique lier au stress

A
  1. Évènement stressant (dans les trois mois suivants l’événement)
  2. Trouble de l’adaptation
  3. Disparition des facteurs de stress (Plus de six mois additionnels de symptômes)
  4. Autre diagnostic
114
Q

La définition du trouble d’adaptation

A

Réagit inadéquatement a 1 ou plusieurs stresseurs, soit des changements de vie majeur ex: perd emploie

La plupart du temps changement de vie majeurs, mais certaine fois agents stressants extrême, mais peu de symptôme face à l’évènement traumatique, plus de résilience

  1. Incapable vue de stress pu capable de fonctionner adéquatement au niveau social ou professionnelle
  2. Plus de détresses que la norme, la personne vit plus de stress ou détresse face au stresseurs , émotions pas approprié au contexte ex: pleur plus que le temps passer ensemble

Pendant seulement 6 mois

115
Q

Facteurs de risque du stress post-traumatique

A

Au niveau de la personnalité

Au niveau du genre

Au niveau de l’histoire personnelle

Au niveau social

Au niveau cognitif

116
Q

Facteurs de risque cognitif du stress post traumatique

A

Les personnes qui ont déjà des images et des pensées inquiétantes sur les événements traumatiques qui pourraient survenir dans le futur sont plus à risque de développer la pathologie si elles vivent un événement traumatique

117
Q

Trouble a symptomatologie vs Maladie psychophysiologique

A

TAS : il a ou non une cause médicale expliquant les symptômes physiques, Accent mis sur les sentiments et pensées inadaptés par rapport aux symptômes physiques, Psychopathologie

MP: Il est nécessairement une maladie physique, Accent mis sur l’exacerbation de la maladie par les facteurs psychologiques (le stress). Sentiment et pensées pas nécessairement inadaptés, Psychologie de la santé

118
Q

Comment se développent les maladies psychophysiologiques ? étape 1

A

Quand une personne est face à un stress elle subit des changements physiologiques

  1. Accélération du rythme cardiaque
  2. Augmentation de l’hormone cortisol
  3. Augmentation de la tension artérielle
  4. Production d’adrénaline
119
Q

Comment se développent les maladies psychophysiologiques ? étape 2

A

Quand le stress s’en va l’organisme retourne normalement à son mode de fonctionnement habituel

120
Q

Comment se développent les maladies psychophysiologiques ? étape 3

A

En revanche, si le stress persiste , les changements physiologiques demeurent en permanence

121
Q

Comment se développent les maladies psychophysiologiques ? étape 4

A

Cela peut entrainer des dommages au niveau des organes

122
Q

Comment se développent les maladies psychophysiologiques ? étape 5

A

C’est le début des maladies psychophysiologiques

123
Q

Facteurs de risque de la maladie cardiaque

A

Personnalité de Type A

Personnalité de Type D

Dépression

Anxiété

Régulation émotionnelle déficiente : Les personnes moins efficace à contrôler leurs colère , plus facteur de risque de développement de la maladie cardiaque à l’inverse facteur de protection

124
Q

Dépression et la maladie cardiaque

A

Stress chronique - Inflammation excessive apporte symptômes dépressifs ou maladie cardiaque

125
Q

Hypertension artérielle

A

Serait du à une prédisposition biologique à avoir une réactivité cardiovasculaire élevée en période de stress. Cette réactivité cardiovasculaire élevée, si elle est accompagnée d’événements de vie stressants, progresserait en hypertension artérielle

126
Q

Facteurs de risque physiques de l’hypertension artérielle

A

hérédité, surpoids, habitudes de vie, alcool, sel, sédentarité et par le stress
10% cause physique existante (une maladie qui cause)

127
Q

États affectives qui augmente la tendance de Hypertension artérielle

A

Colère, peur, tristesse et irritabilité, mais stress est le pire

128
Q

La prévention

A

Éviter que les gens développent des troubles mentaux sérieux

129
Q

Traitement

A

Viser a aider ceux qui ont déjà développer des troubles psychologiques

130
Q

Les trois types d’intervention

A

Interventions universelles

Intervention sélectives

Interventions ciblées ou indiquées

131
Q

La classification des prévention (avant) parce que différent que santé mentale

A

Prévention primaire (diminuer les facteurs de risques)

Prévention secondaire (sélective et tertiaire= réadaptation/réintégration)

132
Q

Intervention universelle (4 aspects)

A

Encourager les gens à avoir de bonnes habitudes de vie dans des messages grand public ( regroupe-les intervention en prévention qui ont comme but d’aider la population générale , pas de population particulière cibler en générale agit dur les deux buts qu’elle à

  1. Importance d’une bonne alimentation
  2. Importance d’un programme d’exercices réguliers
  3. Importance d’un bon sommeil
  4. Importance des moments de détente et de loisirs
133
Q

Les buts de l’intervention universelle

A

Régulation émotionnelle
1. Diminuer les facteurs de risque des troubles manteaux

  1. D’augmenter les résistances des individus en augmentant leurs facteurs de protection

ex: Diminuer le stress ( facteur de risque) envoyer et à la population générale
ex: cultiver leurs amitiés (prendre des nouvelles d’eux)
ex: Montrer de la gratitude aux autres
ex: je me montre de l’autocompassion
ex: Apprendre à s’applaudir (besoin fondamental d’être reconnu n’est pas atteint , alors doit le faire nous même
ex: Pleine conscience
Ex: Marcher de 20-30 min diminue la dépression (vie balancer)

134
Q

Prévention ciblée/indiquée

A

Apporter du soutien et réconfort a la personne en crise ou ses proches éventuellement

Aller chercher de l’aide

Désamorcer la crise et faire mieux

Plus les intervenant ont des connaissance ou habilités relationnelle, plus ils sont empathique et respectueux mieux la prévention fonctionne

135
Q

Exemple de prévention ciblée/indiquée

A

Écrasement de l’avion : les survivant, la famille des survivant, les employés, l’équipe de secourisme, infirmière, médecin, pilote, cause d’un stress post-traumatique (gens a risque), trouble manteaux moins grave , développe pas toujours, mais peu développer moins sévère

136
Q

Le but de la prévention ciblée/indiquée

A

Intervention de crise immédiate pour les survivants, les familles de tout le monde, donner du soutient émotionnel, de l’information et de l’écoute. réduire l’anxiété, prévenir les problèmes au niveau professionnelles. et les haut risque de développer des troubles manteaux ex: ligne téléphonique, face à face

137
Q

Le débriefing positif et négatif de la prévention ciblée/indiquée

A

Rencontre de groupe des gens affecter par le désastre, parler de leur vécue, émotions, préoccupation

Controverse au niveau des données probantes dépendamment la personne (pas forcer)

138
Q

Prévention sélective

A

Enseigner que le suicide est une solution définitive a un problème qui est seulement temporaire, sa peu changer et devenir meilleur faut juste attendre

Regrouper les interventions pour toucher un sous-groupe a risque de développer des troubles manteaux ex : adolescent, minoritaire, niveau faible socio-économique, récemment divorcer/deuil, isoler , malade physiquement

139
Q

Exemple de la prévention sélective vu en classe

A

Parler ses grandir, les parents, doit avoir le premier mot, ne lâche pas
ex: analogie de l’huitre, soit percer sa coquille.

Annonce la jeune fille qui se rapproche avec son père (investissement tellement profond, mais maintenant parle plus)

Intéresser vous a leurs rêve (t-shirt blanc avec son design)

Encourager réussite scolaire de votre enfants comme le sports

DARE

Favoriser les liens familiaux positif en améliorant la communication au sein de la famille

140
Q

Qu’elle était le mouvement DARE dans la prévention sélective

A

Problème de consommation à l’adolescence est relier à long termes a plusieurs problèmes physique et psychologique à court terme et long terme, donc DARE à crée un vidéo pour montrer que efficacité est limiter quand prend des drogues

Message extrême effet inverse vue, œuf frit comme ton cerveau avec abus de substance, enfant qui révolte

141
Q

Au niveau scolaire explique la prévention sélective

A

données informations dans les écoles sur les effets dommages sur la surconsommation Ex: visite du criminelle, FPS, enseigner aux adolescents des habilités d’affirmation de soi et dire non pour ne pas succomber à la pression social des paires. Promouvoir au parents que la norme à l’adolescence est de ne pas consommer

Ex: message ou vidéo ou on montrer les aspect négatifs de la consommation, ou ce qui est cool est de ne pas fumer, la gang allumer les jeunes qui font la leçon au plus vieux est de ne pas fumer “aille allume”

142
Q

La différence entre la prévention ciblée/indiquée et sélective

A

Sélective : le groupe risque , plus large , alors moins générale

ciblées/indiquées : a risque, plus petit, alors moins général

143
Q

Incidence

A

Nombre de nouveau cas (d’un trouble mental) apparaissant dans une période donnée

Les interventions universelles et sélectives cherchent à la réduire

144
Q

Prévalence

A

Nombre de cas existants (d’un trouble mental)

Les interventions ciblées ou indiquées cherchent à la réduire

145
Q

Réintégration dans la communauté

A

Diagnostique de trouble mental et après remet en société.

146
Q

Qu’est-ce qu’est un programme postcure

A

La personne qui souffre ou ont souffert de trouble psychologique, il aide à prévenir les rechutes et hospitalisation répéter, réduire les séquelles et les incapacités qui survienne par suite d’un trouble mental. Correspond a la réadaptation en santé mentale

147
Q

After care patient program

A

Autonomie des patients

Favoriser interaction positive entre résident

soutient essentielle entre eux

Aider par l’intervenant ex: résidences alternative Résidence.

148
Q

l’efficacité des after care program

A

Efficacité moindre, soit plusieurs programmes fonctionnent moins biens qu’on le souhaiterais ex: environnement douteux ou médicament/traitement pas disponible et gens fonctionne pas dans les programmes si trouble moins sévère et non psychotique

149
Q

Qui d’autre bénéficie de ses programme?

A

Les prisonnier

150
Q

Que fait une maison de transition pour les prisonnier

A

Trop stressant la vrai vie tout de suite , alors besoin entre deux , libération conditionnelle (patient travail) et revient le soir

pas trouver de logement

pas de factures

Temps trouver un emploi et d’être bons dans ton emploie

Habilité gérer argent

Habilités gérer la colère/toxicomanie

Programme plus psychologique

Les gens se sentent soutenue par leurs efforts de réintégrer la société

Acquériez habilités pour y arriver

Réinsertion sociale

151
Q

Synthèse ligne du temps des prévention et traitements

A
  1. Interventions universelles (prévention) : population générale
  2. Interventions sélectives (prévention)
  3. Interventions ciblées ou indiquées (prévention)
  4. Traitement psychologique (approche curative)
  5. Programme postcure ou réadaptation (réintégration dans la communauté)
152
Q

Différence entre la psychothérapie et la relation d’aide informelle

A

Psychologue vas mettre en pratique des interventions précise pour répondre au besoin spécifique de la personne en difficulté (la personne à étudier).

Les interventions repose sur des cadres théoriques et repose du des données de recherche qui montrent leur efficacité (données probantes)

153
Q

Ressemblance entre la psychothérapie et la relation d’aide informelle

A

Dans les deux cas, l’aidant ou le psychologue vont utiliser des habilités comme l’écoute, empathie, le respect l’authenticité

154
Q

Pourquoi les gens consulte en psychothérapie

A
  1. Souffrance de trouble mentaux, sont déprimés, vivent de l’anxiété, problème à faire face a des situations difficiles.
  2. D’autre vivent des situations stressantes et demande de l’aide pour faire face a ses situations stressantes (deuil, divorce, séparation, perte d’emploie)
  3. Problèmes plus normaux et cherchent la croissance personnelle (ont des symptômes, mais ne sont pas bien avec leurs symptômes)
155
Q

Pour traiter la dépression qu’elle est le plus efficace

A

La thérapie de la restructuration cognitif de beck ses montrer au moins aussi efficace que les anti-dépresseurs, sauf pour le cas de dépression avec caractéristiques psychotique (émotion et délire centrer sur la négativité), les personne ayant la dépression lier a moins de rechute en utilisant la théorie de Beck qu’antidépresseurs

156
Q

Les divers facteurs reliés au client et au psychothérapeute influençant l’efficacité de la psychothérapie (alliance thérapeutique)

A

Facteurs reliés au client

Facteurs liés au thérapeute

Facteur partagée

157
Q

Facteurs reliés au client

A

Sa motivation à changer : gains secondaires à changer, faut que le client soit prêt a changer

Les sévérité de ses problèmes : plus grands conseil qu’on peut donner a quelqu’un ce de pas attendre trop avant de consulter, plus sévère , plus sa devient difficile

158
Q

Facteurs liés au thérapeute

A

Méthodes d’intervention utilisées : les habilités relationnelles du thérapeute vas aussi influencer

159
Q

Facteur partagée

A

La poursuite d’un objectif commun entre le client et le psychothérapeute comme résultat souhaité pour la psychothérapie : C’est quoi qu’on vise comme gain, quoi qu’on attaque en premier (problème le plus pire)

160
Q

Techniques psychothérapeutiques

A

Techniques psychanalytiques/psychodynamiques

Techniques comportementales cognitives et comportementales

161
Q

Techniques psychanalytiques/psychodynamiques

A

Association libre

Analyse des résistances

Analyse du transfert

162
Q

Techniques comportementales cognitives et comportementales

A

Désensibilisation systématique

Modelage

Thérapie comportementale rationnelle émotive

Thérapie cognitive de Beck

Thérapie d’acceptation et d’engagement

Inoculation au stress

163
Q

Association libre

A

le client laisse aller le court de ses pensées en disant tout ce qui lui vient à l’esprit sans censure même si ca apparait pas relier et insignifiant et douloureux ex: dit toute quand le thérapeute prend des notes

Permet de voir le préconscient : tout ce qui est dans notre tête, mais on peut l’apporter a notre conscience si on veut. Après la thérapeute va interpréter les associations libres du client. On interprète ca pour voir comment le comportement actuel de la personne est le résultat de processus inconscient (comment le présent est influencé par le passé)

164
Q

Analyse de résistance

A

Encore utilisé aujourd’hui comme technique, on s’intéresse à la source des résistances. Les résistances vont se manifester de plusieurs façons ex: le client ne veut pas parler de certains sujets, le client fait des interprétations est trop désinvolte (affecter plus qui dit) , arriver en retard à la thérapie

165
Q

Analyse du transfert

A

principe que les relations vécues dans le passée avec des personnes importantes pour lui (souvent parent) vont influencer la façon d’agir avec le thérapeute. Lorsqu’un client fait un transfert, il vas vivre avec le thérapeute des émotions intenses positives ou négatives (culpabilité, colère) qui a ressentie avec des gens qui étaient important de son passée (ca peut être de l’amour avec le thérapeute). Le client va agir avec le thérapeute comme si le thérapeute était cette personne la importante du passé

Le thérapeute vas interpréter le transfert et ca va l’aider a comprendre la source de difficulté du client

166
Q

Analyse du contre transfert

A

On réagit fortement au propos du client pourquoi on a vécu des choses semblables a sa en perdant son objectivité. Genre la thérapie conjugale (plus proche avec une personne que l’autre)

167
Q

Thérapie psychodynamique brève

A

25 à 30 sessions (version courte)

168
Q

Approche psychodynamique moderne

A

Elles ont un focus interpersonnel (dans le manuel on parle de relation d’objet, toute les relations que les personnes ont avec les autres). On s’intéresse aux relations transférentielles qu’une personne à l’intérieur de la thérapie , mais aussi à l’extérieur de la thérapie (nouveau)

schémas appris par interaction

Si j’ai vécu du rejet, abus , négligence ce que j’en ai introjecté (ce qui reste à l’intérieur de moi) va venir influencer ma perception de mes relations actuelles. La personne pers son objectivité dans l’évaluation de la situation actuelle parce qu’elle elle est trop influencé par son passé

169
Q

La théorie psychanalytique (critique)

A

Chère et les objectifs sont à long terme , met trop d’importance au passé pas assez du présent

170
Q

La théorie psychodynamiques (critique)

A

Pour éliminer une partie des critiques (moins chère, moins long) et amène une meilleure compréhension de sa dynamique de sa personnalité

171
Q

Thérapie béhaviorale-comportementale

A

Ca s’intéresse aux émotions, cognitions et comportements d’une personne

Comment les cognitions d’une personne influencent ses comportements et ses émotions

Comment un comportement est maintenu par les contingences de l’environnement (jeu pathologique maintenu par renforcement psychologique intermittent

On travail beaucoup l’alcoolisme en thérapie conjugale, les comportements alcooliques sont maintenus par les comportements de son partenaire, avoir des conséquences sinon on changera pas

172
Q

Désensibilisation systématique

A

C du contre conditionnement, fait partie des techniques behaviorale. Consiste à faire relaxer la personne (utiliser dans les phobies) et ensuite elle imagine des situations anxiogènes pour elle et le but c que la situation anxiogène soit imaginé en mm temps que la relaxation et comme on peut pas être relaxer ou anxieux en mm temps, la relaxation devrait faire diminuer l’anxiété.
Ça se fait en 3 étapes
1 = la personne apprend à relaxer (visualisation, respiration)
2 = Construit une hiérarchie de situations ou d’objets qui lui cause de l’anxiété allant du moins anxiogène au plus anxiogène
3 = On va demander à la personne de pensé à une situation anxiogène pendant qu’elle relaxe et on commence par la situation moins anxiogène de la liste.
Si la personne est vrm paniqué pi si l’anxiété est vrm grande on retourne à l’étape d’avant ou une autre d’avant genre la relaxation (fo back aller à une étape que la personne maitrise) (Wolpe qui a développer ça avec travaux de Jones)
C vrm une exposition graduelle et en imagination
Quand ce n’est pas graduelle = implosion/flooding
Variance : au lieu de demander à la personne de s’imaginer, on fait l’exposition avec des objets réels (in vivo), réalité virutelle où on peut reproduire des scènes

173
Q

Modelage

A

C bcp au niveau du comportement
Consiste de faire apprendre un compt au client en imitant le compt d’une autre personne (souvent c le thérapeute)
Ex: personnalité schizoïde peut apprendre des habiletés sociales au client. En thérapie conjugale c souvent utiliser pour apprendre des habiletés de base au conjoint (écoute, manifestation d’empathie, redire dans tes mots ce que l’autre a dit)

174
Q

Thérapie comportementale rationnelle-émotive (Ellis)

A

C une technique cognitive
-part du principe que la psychopatho c du a nos croyances irrationnelles (nos philosophies et règles de vie irrationnelles). C souvent je dois ou je devrais que le monde vont se dire
Le but c’est de confronter le client sur ses croyances irrationnelles (ex: j’ai besoin d’être aimé et accepté par tlm pila le thérapeute dirait qu’est-ce qui se passe c quoi la pire affaire qui pourrait arriver, pk c si important quoi qui arriverait si tu l’était pas, toi aimes-tu tlm. Genre la vie est tuff pi le thérapeute lui dirait bin la vie est tuff pr tlm
Persuasion verbale des croyances de la personne et la technique c la confrontation Utiliser pour traiter depression et trouble anxieux

175
Q

Thérapie cognitive de Beck

A

C une technique cognitive
-part du principe que la psychopatho c du a nos croyances irrationnelles (nos philosophies et règles de vie irrationnelles). C souvent je dois ou je devrais que le monde vont se dire
Le but c’est de confronter le client sur ses croyances irrationnelles (ex: j’ai besoin d’être aimé et accepté par tlm pila le thérapeute dirait qu’est-ce qui se passe c quoi la pire affaire qui pourrait arriver, pk c si important quoi qui arriverait si tu l’était pas, toi aimes-tu tlm. Genre la vie est tuff pi le thérapeute lui dirait bin la vie est tuff pr tlm
Persuasion verbale des croyances de la personne et la technique c la confrontation Utiliser pour traiter depression et trouble anxieux
C bcp basé sur la restructuration cognitive
Part du principe que les troubles mentaux sont dus à des distorsions cognitives (erreur de raisonnement dans la façon de pensé au sujet de soi, au sujet du monde extérieur et au sujet de notre avenir)
Ca la été développer pour la dépression mais asteur on use ca aussi pour troubles alimentaires, troubles anxieux
On enseigne au client le lien entre ses pensées et ses émotions
On apprend au client à décoder ses erreurs de raisonnement (à voir quand ya une distorcions cognitive) ramasser des infos réalité, on va creuser pour en apprendre plus
D’avantage un processus de vérification de la vérité avec un concept de distorsions cognitive

176
Q

Thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT)

A

3e vague
Implique des concepts comme l’acceptation, la compassion et contact avec l’instant présent
La première vague c’était l’approche béhaviorale
2e vague = plus cognitions influence nos émotions et compt
3e vague = plus acceptation des émotions

S’oppose à l’idée que la souffrance et ou la présence d’un trouble mental soit anormal
Ce sont nos efforts pour contrôler nos émotions douloureuses qui serait problématique et non le fait d’en avoir/vivre
Nos pensées pensent mais c juste des pensées ce n’est pas la réalité
Thérapie vise à augmenter la flexibilité psychologique de la personne
Flexibilité psychologique = (capacité d’être en contact avec le moment présent en toute conscience)
Fo agir conformément à nos valeurs personnelles
Vise à aider le client à observer ses pensées pi a accueillir tt ça et on pense que c ca qui ameneait les gens a accepter etc.

177
Q

Inoculation au stress

A

C’est Meinbenbaum qui a faite ça
À lorgine c’était pr traiter les phobies
Actuellement c vue bcp plus comme une technique préventive pour les amener à être capable de tolérer un stress en changent les choses qui se disent les choses qui se disent dans leur tête avant ou pendant l’évènement stressant (ex: tu vas-tu mourir non bin tu vas être bonne, je ne peux rien faire c pas dans mon contrôle, c quoi qui est important tt suite)
Y’a aussi des stratégies physiques (montre au gens comment relaxer, respirer…)
On va leur montrer des stratégies cognitives (tt les pensées aidantes qu’on a pendant les évènements stressants plutôt que des pensées mal adaptées) (pensées aidantes = une étape à la fois tu peux faire face à a situation ; faire la distinction entre un défit et une menace ; essaie de pensé a dekoi d’autre ; ca va être terminé sous peu…)
Ajd la technique d’inoculation au stress est utilisé pour des troubles anxieux (genre présentation orale tu vas te parler, c bon pr gérer la douleur, les troubles anxieux, psychologie sportive yappelle sa la préparation mentale surtout dans le sport élite
Discours interne/inoculation au stress: Apprend à développer Pensée aidante pendant l’évenement plutôt que mauvais ex: une étape a la fois , distinction défi et non menace, avance, vie pas en danger , pensse a d’autre chose, anxiété social, la douleur, utiliser en psychologie sportive (préparation mentale)

178
Q

Phobie de l’avion (désensibilisation systématique et sa hiérarchie)

A

Parler de prendre l’avion - Se rendre à l’aéroport - Être dans l’avion

179
Q

Croyances irrationnelles

A

Le plus large de nos pensées sont nos croyances irrationnelles (je veux être aimé de tlm, je veux réussir tout ce que j’entreprend)

180
Q

Distorsions cognitives

A

sont un peu plus précise mais qui est englobé dans croyance irrationnelle

181
Q

Cognitions de l’inoculation au stress

A

ça serait de changer jva faire une folle de moi à c pas grave jva le faire pi c ca que c jva pas mourir pi ça c englobé dans distor. Et croy.

182
Q

Mettre en ordre de gravité (tourbillon noir)

A

Ce qui est au centre c les croyances (Ellis) suivis des distorsions cognitives et les cognitions de surface (très situationnel) c en périphérie

Croyances irrationnelles c pas vrm appris pi c assez stable dans le temps comme ca fait lgt tas ca

Change pas grand-chose mais juste discours interne
Millieu plus deep
Et les autres plus en surface, soit périphérie

Cognitions (moins grave)
Distorsions (grave)
Croyance (plus grave), de base, stable , partager, plus , Apprend a plus interrioriser à travers le temps

183
Q

Évaluation

A

Les interventions (behavioral cognitive) sont vrm précises : on sait quoi fo modifier, méthodes de traitements sont très précise, les résultats sont faciles à évaluer

Dans le traitement de la dépression la thérapie de la restructuration cognitive de Beck s’est montré su moins aussi efficace que les antidépresseurs SAUF dans le cas de dépression avec caractéristiques psychotiques (ou la personne va avoir délires et hallucinations dans sa depression)

Les individues qui sont suivi une thérapie cognitive de Beck pour traiter dépression y font moins de rechute que ceux qui ont pris des antidépresseurs

184
Q

Thérapie existentielle

A

La psychopatho provient de l’alinéation (manque de liberté d’expression), incapacité trouver sens de la vie, solitude, décalage,

  1. Aider à Trouver le sens à sa vie
  2. (pas de techniques préétablie)
  3. Accent sur l’expérience subjective de chaque personne qui consulte (Tout le monde est différent, alors thérapie doit etre différent pour chaque)
  4. Révélations de soi (partage son expérience de vie, son vécue, opinion, croyance) contrairement au autre approche pure ayant comme but d’etre autheutique pour que le client soit autheutique . La recherche indique que diminue les symptome psychologique du client et vise a humaniser le thérapeute, démontre similarité avec le client, approche intégrative
  5. Critiquer négativement parce que ses trop vague pas de procédure établie en étape, aucune save comment sa se passe et est différent pour tout le monde
  6. Critiquer positivement , les concepts influencent la psychothérapie ex: unicité (caractère unique d’une personne), authenticité. Développement optimal de potentialité, expérience subjective, espect super important
185
Q

Thérapie humaniste-expérientielle

A

Améliore la conscience de soi du client et mène a l’acceptation
Rogers: thérapie humaniste centrée sur le client, accepter et être lui-même pis a développer une plus grandre estime de lui , accepter toutes les parties de notre personnalité étant une émotion légitime (hostilité), une approche non directive
Client identifie les causes et les solutions en son problème par d’interpretation partagée entre le thérapeute et le client (le thérapeute oriente, mais ne propose rien)
Thérapeute, écoute activement, empathique, reflet, acceptation inconditionelle, regard positif inconditionelle
Rarement pratiquer exactement comme le fesait rogers, encore populaire en europe
Ce qui a inspirer entretien motivationelle très utiliser , abus de substance , thérapie humaniste breve , aider le client a prendre la décision de changer

186
Q

La thérapie conjugale

A

Comportementale traditionnelle

Comportementale intégrative

187
Q

Comportementale traditionnelle

A

Vise l’acquisition d’habilités

  1. Communication (expression et écoute active)
  2. Résolution des problèmes
  3. Expression de sentiments positifs
  4. Expression d’agressivité
188
Q

Comportementale intégrative

A

Vise l’acceptation

Acceptation des limites de l’autre partenaire et des limites de la relation

vise aussi le changement

Pour les problèmes pour lesquels il y a des solutions seulement

189
Q

Thérapie familiale (synthèse)

A

Thérapie familiale

Thérapie familiale systémique (satir et Minuchin

Thérapie familiale structurale (Minuchin)

190
Q

Therapie familiale structurale (types de frontières)

A

Enchevetrées

Trop d’intrusion d’un membre vers l’autre

Pas de respect de l’espace de l’autre

Rigides

Pas assez de cohésion entre les membres

Désengagement

Flexibles