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Psychologie > Examen 1 > Flashcards

Examen 1 Flashcards

1
Q

Qu’est ce que les canadien pense du crime 3 pensée et lesquelles sont vrai?

A
  1. Enjeu important, mais pas prioritaire (vrai)
  2. Prévention est préférable au renforcement des lois pour combattre le crime (vrai)
  3. Le crime augmente avec les années (faux)
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2
Q

Quelles sont les 4 enjeux plus important que le crime en société

A
  1. taxes
  2. environnement
  3. Santé
  4. Emploie
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3
Q

Plus les gens sont âgée, plus l’enjeu est prioritaire (^45) vrai ou faux

A

(Faux) le contraire

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4
Q

Le crime et la sévérité diminue avec les années pourquoi?

A
  1. Moins de gens sont incarcérés
  2. Peine de prison plus courtes
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5
Q

Sous le gouvernement de Harper ont met l’accent d’arranger quoi?

A

Les lois

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6
Q

Quelles sont les aspect qu’on considère lorsqu’on juge d’un crime? Explique chaque éléments

A
  1. Loi : Est-ce que le comportement enfreint la loi?
  2. Moralité :Est-ce que le comportement enfreint des droits universels?
  3. Social : Est-ce que la société considère ce comportement comme punissable?
  4. Psychologique :Est-ce que le comportement cause du tort à autrui?
  5. Motivation : Quelles raisons ont mené l’individu à faire le comportement?
  6. Contexte : Quels sont les facteurs contextuels dans lequel l’individu à fait le comportement? (ex: Crimes violents sous intoxication extrême – Affaire Matthew W. Brown)
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7
Q

Si le crime n’étais pas intentionnelles est-ce que la personne peut être condamné?

A

Non

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8
Q

Définit le crime dans le cadre du cours?

A

Comportement intentionnel qui viole le code criminel; intentionnel dans le sens où le comportement ne s’est pas produit accidentellement ou sans justification excusable

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9
Q

Définition du terme délinquance?

A

Ensemble des crimes qui violent les normes de la société et qui sont sanctionnés par la loi
Les termes délinquance et crime peuvent donc être considérés comme synonymes

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10
Q

Définition du terme Comportement Antisocial?

A

Comportement qui manque de considération pour les autres individus et qui est susceptible d’être préjudiciable à la collectivité
Tout comportement délinquant/criminel est donc forcément antisocial
Tout comportement antisocial n’est cependant pas forcément délinquant/criminel

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11
Q

Au NB quelle est la différence entre un crime et la délinquance?

A

Originalement, la délinquance correspondait à des crimes moins sévères, alors que le crime correspondait à des crimes plus sévères

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12
Q

Entre les femmes et les hommes qui est plus souvent victime de crime?

A

Les femmes

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13
Q

Comment de canadien en pourcentage sont victime de crime par année?

A

22.5%

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14
Q

Combien il y a de crime au Canada par année ?

A

2.5 millions

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15
Q

Les crimes sont moins sévère au Canada ou au USA?

A

Canada

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16
Q

2x plus de crimes est commis proportionnellement au habitant au Canada qu’au USA Vrai ou Faux?

A

Vrai

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17
Q

Le nombre de canadien avoir été accusé (pas forcément coupable) de commettre au moins un crime par année ?

A

1.7 millions (5%)

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18
Q

Le nombre de Canadien en prison par année?

A

40 000

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19
Q

55% des peines sont moins longues que ?

A

1 mois

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20
Q

90% des peines sont moins longues que ?

A

6 mois

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21
Q

Le NB est la 3e province avec le taux de crime le plus élevée au Canada Vrai ou Faux?

A

Faux le moins élevé

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22
Q

Plus le crime est sévère plus la prévalence est élevée? Vrai ou faux

A

Vrai

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23
Q

Comment se compare le crime au Canada à celui du reste de la planète?

A

Le Canada se compare favorablement au reste de l’Amérique (Nord+Sud) et à l’Afrique, mais défavorablement à l’Europe.

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24
Q

Quels sont les impacts économiques du crime au Canada?

A

Coût moyen total à la société pour un criminel canadien

Coût moyen pour conserver un adulte en prison :
NB : Coût moyen des repas pour un prisonnier en Ontario (2008) :
NB : Coût moyen des repas pour un senior en foyer en Ontario (2008)

Coût total annuel pour gérer le crime au Canada (en 2003)

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25
Q

Coût moyen total à la société pour un criminel canadien

A

Environ 6 millions

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26
Q

Le cout de 6 millions pour les criminel inclue quoi?

A

Ceci inclut les coûts relatifs à la victime, au système correctionnel et au système de justice général

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27
Q

Le cout moyen pour conserver un adulte en prison

A

80 000$

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28
Q

Coût moyen des repas pour un prisonnier en Ontario

A

Plus 10$

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29
Q

Cout moyen de repas pour un sénior en résidence en Ontario

A

5.50$

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30
Q

Cout annuelle pour gérer le crime au Canada

A

60 milliard

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31
Q

Le cout pour gérer le crime équivaux a quelle pourcentage du système de pensée

A

50%

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32
Q

Les criminelle vont en moyenne plus qu’une fois en prison oui ou non

A

Oui

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33
Q

Les sanctions sont efficaces pour prévenir un récidive vrai ou faux?

A

faux il ne le sont pas

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34
Q

Qu’elles deux éléments ne prévient pas un récidive?

A

La durée et le type incarcération

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35
Q

Quelle prédit un augmentation de récidive entre l’emprisonnement et l’amende

A

Aucun sa ne change rien

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36
Q

Quelle prédit une augmentation de récidive de 7% entre 10 mois d’emprisonnement ou du travail communautaire

A

10 mois d’emprissonement

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37
Q

Quelle prédit une augmentation de récidive de 2-3% entre 1.5 ans de sentences ou 2.5 ans

A

2.5 ans

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38
Q

Sentences styles boot camp ne change rien au taux de récidive vrai ou faux

A

Vrai

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39
Q

la peine de mort a grandement aider a diminuer le crime et les meurtres vrai ou faux

A

Faux sa rien changer

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40
Q

Pourquoi les sanctions non pas d’effet sur la prévention des crimes

A

Impulsivité

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41
Q

Pour réduire le crime il faut faire quoi

A

punir les comportements antisociaux et renforcer les comportement prosociaux

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42
Q

Définition de Théories

A

proposent des déterminant potentiels (innés ou acquis)

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43
Q

Définitions d’études scientifique

A

Examinent si les déterminants proposés par les théories sont reliés au crime

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44
Q

Méta-analyses

A

Recensent les études scientifiques pour cibler quels déterminants sont vraiment importants

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45
Q

Les théorie innées sont?

A

Biologiques

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46
Q

Les théories acquis sont?

A

Psychosocial

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47
Q

Les quatres différentes types d’études scientifique sont?

A

Transactionnel : Corrélation
Longitudinal : Prédiction
Expérimental : Causalité
Essai randomisé contrôlé : Causalité + Forte validité

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48
Q

Les metas- analyse servent a?

A

Comprendre le tout pour mieux la traiter ou mieux intervenir.
Conclusion en regardant les résultats, taille d’effet prédisent ou non interprète, plus grand que sois même
En moyenne les nuances de déterminant générale qui apporterais quelqu’un a faire un crime

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49
Q

Quels sont les facteurs sociaux qui prédise le crime?

A

1.Genre
2.Statue
3 Age

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50
Q

Les hommes font-il plus de crime que les femmes

A

oui

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51
Q

Les prisonniers sont-ils plus pauvres et non éduqué?

A

oui

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52
Q

Est-ce que la sévérité et le taux du crime diminue avec l’âge?

A

oui

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53
Q

Qu’elles sont les limites de la perspective biologique?

A

Différence interpersonnelle qui fait qu’une personne vas commettre un crime ou l’arrêter.
Tout les hommes pauvres et non éduqué ne commettre pas de crime

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54
Q

Qu’elle est le % de criminelle qui reste au même niveau pour le taux de crime, même malgré le vieillissement

A

30%

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55
Q

Qu’elle différence entre les individues même groupes sociaux prédisent le crimes?

A
  1. Enjeux sociaux
  2. Associations Antisocial
  3. Cognitions Antisocial
  4. Historique Antisocial
  5. Biologique (- activation MA0A)
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56
Q

Limites de la perspective inter-individuelle

A

Pas tout le monde correspondant a ses facteurs a risques qui commettre un crime, considérer la perspective de l’intra-individualité

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57
Q

Qu’elles facteurs a l’intérieur d’individus du même groupe sociaux et avec les mêmes traits individuels prédisent le crime?

A

États d’ébriété
Le ratio cout-bénéfice du crime (worth-it) ex: Fraude

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58
Q

Quesque le modèle qui incluent les trois perspectives sert a?

A

Aide avec l’application des intervention et programme de prévention

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59
Q

Qu’elle sont les 4 facteurs de risques empirique relier au crime? (prédit fortement le crime)

A

Big four
1. Historique de comportements antisociaux
2. Traits de personnalité Antisocial
3. Cognitions Antisocial
4. Associations Antisociales

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60
Q

Explique historiques de comportements

A

Ex : Tout comportement perturbateur et hostile (vol, mensonge, désobéissance, etc.)
Le risque est plus élevé si les comportements…
Commencent jeune et persistent dans le temps
Sont effectués dans plusieurs contextes différents

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61
Q

Explique Traits de personnalité Antisocial

A

Recherche d’aventure et de plaisir + Faible contrôle de soi + Agressivité perpétuelle Sensation forte
Impulsivité (peine de mort diminue pas), caractéristiques personnelles

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62
Q

Explique cognitions antisocial

A

Ex : Attitudes, valeurs, croyances et rationalisations qui soutiennent le crime
Ex : Ressentiment (rancune + hostilité vis-à-vis des injustices perçues), Vengeance

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63
Q

Explique Associations Antisocial

A

Ex : Relations avec des criminels
Ex : Absence de relations avec des non-criminels
Ex : Soutien social en faveur du crime

Milieux et l’envirronement favorisant le crime
Rationalisation pour justifier le crime, blâme la victime, vangeance, resentiment she deserved it

Difficile de travailler avec eux : parce qu’on veux pas les punir, mais les aider empathie!, habilité a développer envers des criminelles

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64
Q

Qu’elle sont les 4 facteurs de risques qui prédit modérément le crime ?

A
  1. Enjeux familiaux/conjugaux
    Ex : Faible niveaux de (1) soins ou implication bienveillante + (2) monitorage ou supervision
  2. Enjeux scolaires/professionnels
    Ex : Faible (1) performance + (2) satisfaction à l’école et/ou au travail
  3. Enjeux de loisirs/activités
    Ex : Faible niveau d’implication et de satisfaction dans des activités et loisirs non-criminels
  4. Enjeux d’abus de substance
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65
Q

Qu’elle sont les 6 facteurs qui ne prédit pas significativement les crimes

A
  1. Niveau de détresse psychologique
  2. Présence d’enjeux de santé physique
  3. Peur de recevoir une peine/sentence légale
  4. QI
  5. Classe sociale d’origine
  6. Niveau de sévérité des crimes commis dans le passé
    (Avoir un antécédent de crimes augmente les chance de crimes futurs, peu importe leur sévérité)
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66
Q

Quelles sont les différents facteurs influencent la disposition des gens à émettre des comportements délinquants ?

A

Facteurs acquis (Apprentissage + Environnement)
Facteurs innés (Biologie + Évolution)
Interaction entre les facteurs inné-acquis

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67
Q

Explique le Facteurs acquis (Apprentissage + Environnement)

A

Facteurs qui dépendent des apprentissages et de l’environnement auquel on est exposé
Ex: Un facteur acquis influençant le développement de l’agressivité est le milieu dans lequel on grandit
Par conséquent, les enfants qui grandissent dans un milieu familial hostile ont plus tendance à développer des comportements agressifs et à répéter des comportements de violence familial à l’âge adulte (Costa et al., 2015)
Transmissions intergénérationnelle ( facteurs acquis)

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68
Q

Facteurs innés (Biologie + Évolution)

A

Facteurs qui dépendent du patrimoine génétique et que l’on présente donc dès la naissance
Ex: Un facteur inné influençant le développement de l’agressivité est le niveau d’activité du gène MAOA
Par conséquent, on peut deviner avec assez de précision à quel point le crime d’un homme était violent simplement en mesurant le niveau d’activité de son gène MAOA (Stetler et al., 2015)
Plus le crime est violent plus l’activation du gène est faible.

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69
Q

Interaction entre les facteurs inné-acquis

A

Les humains ont une grande capacité d’adaptation, de telle sorte que l’influence de plusieurs facteurs innés (ex: traits génétiques) dépend de facteurs acquis (ex: l’environnement dans lequel on grandit)
Ex: Des recherches ont nuancé que le gène MAOA prédit l’agressivité chez les humains… seulement si ceux-ci ont grandi dans un milieu familial hostile (ex: avec de la maltraitance; Aslund et al., 2011)
Mon gène est déficient , mais des comportement délinquant ne s’exprime pas. Environnement favorables n’exprime pas la vulnérabilité psychologique vs Environnement défavorables exprime la vulnérabilité.
Résultats typique , maltraitance= différence entre les gènes

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70
Q

Quand les humains grandissent dans un environnement sans maltraitance, l’activité du gène MAOA n’influence pas leur niveau d’agressivité. Vrai ou Faux

A

Vrai

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71
Q

Quand les humains grandissent dans un environnement avec maltraitance, une faible activité du gène MAOA prédit plus d’agressivité

A

Vrai

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72
Q

Pourquoi les théories sont importantes?

A

Elle permet de donner un sens et proposent des explication au phénomène

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73
Q

Qu’elle sont les caractéristiques d’une bonne théorie?

A
  1. Parcimonieuse : Concise, claire et non élaborer
    I2. dentifie les mécanismes qui causent (ou non) le phénomène d’intérêt (ex: le crime)
  2. Testable via des hypothèses et prédictions
  3. Basée sur des données empiriques
  4. Étudiable par plusieurs disciplines
  5. Tient en compte le genre, l’ethnicité et la culture
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74
Q

Les 5 types de théories biologique?

A
  1. Génétique
  2. Neurochimie
  3. Psychophysiologie
  4. Fonctionnement cérébral
  5. Facteurs environnementaux
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75
Q

Qu’est ce qu’est une théorie biologique?

A

Les théories biologiques postulent que nos gènes influencent nos comportements délinquants

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76
Q

qu’elle est le pourcentage de bagage génétique qui varie et ne varie pas?

A

1% et 99%

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77
Q

Qu’elle sont les trois études qui explique l’impact du 1%

A
  1. Études des jumeaux
  2. Études d’adoption
  3. Étude en génétique moléculaire
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78
Q

Jumeaux monozygotes (MZ) : Ont exactement le même code génétique (99% + 1%), alors la différence est du a quoi?

A

Toute différence observée entre ces jumeaux est donc complètement due à l’environnement

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79
Q

Jumeaux dyzygotes (DZ) : Partagent ≈50% du code génétique libre de varier (1%), alors la différence est du a quoi?

A

Toute différence observée entre ces jumeaux est partiellement (50%) dûe à l’environnement

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80
Q

En comparant des jumeaux monozygotes et dyzygotes sur des indicateurs de crime, on peut inférer à quel point les comportements criminels sont déterminés par la génétique. quelles sont les résultats?

A

S’il n’y a aucune différence entre les jumeaux MZ et DZ : Il n’y a aucune contribution génétique :La corrélation est la même pour les jumeaux MZ et DZ
S’il y a une différence entre les jumeaux MZ et DZ : Il y a une contribution génétique: La corrélation pour les jumeaux MZ est plus forte que celle des jumeaux DZ

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81
Q

Qu’elles sont les limites de l’étude des jumeaux

A

Les études des jumeaux tendent à surestimer la contribution génétique
Ex : Elles négligent le fait que les jumeaux monozygotes partagent le même placenta (influence de l’envirronement sur le placenta)
Ex : Elles négligent le fait que les jumeaux monozygotess ont plus de chances d’être soumis au même environnement (ex: même linge; mêmes opportunités d’apprentissage)

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82
Q

Les études de quoi qui permet de mieux expliquer la contribution génétique

A

de l’adoption

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83
Q

Un enfant adopté à la naissance n’a pas d’influence environnemental de son parent biologique
Toute relation entre un enfant adopté et son parent biologique est dûe à la génétique (et au hasard) vrai ou Faux

A

Vrai

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84
Q

Un enfant adopté n’a pas d’influence génétique de son parent adoptif
Toute relation entre un enfant adopté et son parent adoptif est dûe à l’environnement (et au hasard)
Vrai ou faux

A

Vrai

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85
Q

La génétique expliquerais % de la variation des comportements antisociaux pour l’adoptions

A

40%

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86
Q

La génétique cause indirectement ou directement les comportements criminels

A

indirectement

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87
Q

Une plus grande impulsivité amènerais quoi?

A

créeraient des prédispositions qui faciliteraient en retour de tels comportement

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88
Q

Les gènes affecteraient la vulnérabilité aux facteurs de risque environnementaux (Genès qui influence des caractéristique, nous rend plus vulnérable a des facteur environnementale
interaction du gène sur les facteurs environnementale.) , la probabilité d’avoir un trouble de la conduite en réponse à de la maltraitance est de ?

A

1.6% chez les enfants avec un risque génétique faible
23.5% chez les enfants avec un risque génétique élevé

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89
Q

Quelle limite contient l’étude d’adoption?

A

La limite des études d’adoption est qu’on n’identifie pas quels gènes sont impliqués dans les comportements criminels. Les études en génétique moléculaire aident à surmonter cette limite

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90
Q

Les gènes joue un rôle dans la production de quoi?

A

les protéines(acide aminés)

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91
Q

Les acides amenes quoi?

A

une cascade de réactions chimiques qui peut avoir une influence sur nos pensée, émotions et comportements

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92
Q

une gene possèdant une lésion produit juste asser de protéine vrai ou faux

A

Faux trop ou pas asser

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93
Q

Études en génétique moléculaire veux examiner quoi?

A

On examine le lien entre le niveau d’activité d’un gène et les comportements délinquants

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94
Q

Donne un exemple avec les gène MA0A

A

Le gène MAOA produit une protéine qui métabolise plusieurs neurotransmetteurs clés qui jouent un rôle dans la régulation de l’agression (ex: sérotonine, dopamine, norépinéphrine)
Ainsi, un faible niveau d’activité prédit des comportements agressifs chez les humains qui ont vécu de la maltraitance (Caspi et al., 2002)

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95
Q

Le taux de testostérone qui est associer a l’agression a un effet sur l’émission de comportement aggrésif vrai ou faux

A

Vrai

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96
Q

Plus les hommes ont un niveau de testostérone élévée , plus les crimes sont … et les régles en prison

A

violent, pas respecter

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97
Q

Les résultats de la méta-analyse sur le lien testostérone-agression est t-il fort ou faible? et quelle genre de relation expliquerais sont effet

A

faible et indirect

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98
Q

La sérotonine qui est un neurotransmetteur est aussi associé a l’agression vrai ou faux

A

Vrai

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99
Q

Le taux bas de sérotonine est associé a plus de comportements antisociaux vrai ou faux?

A

Vrai

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100
Q

Est ce que le genre, la cible de violence et l’alcoolisme change les résultats sur la sérotonine.

A

non

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101
Q

Résultats d’ Agression chez les hommes avec historique de violence

A

Sérotonine faible > Sérotonine élevée

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102
Q

Agression chez les hommes sans historique de violence

A

Lien causal ambigu (nul ou inverse)

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103
Q

La sérotonine semble causer une augmentation d’agressivité chez les gens prônes à l’agression vrai ou faux

A

Vrai

104
Q

Qu’elle sont les nuances sur le lien causal sérotonine-agressions

A

Manques d’évidence
Relation indirecte: plus réduction de l’impulsivité et non aggrésivité

105
Q

Plusieurs construits psychologiques sont associées à des signes physiologiques vrai ou faux et lesquelle?

A

Plusieurs construits psychologiques sont associées à des signes physiologiques
Ex : Lorsque nous vivons de la peur, de l’anxiété ou de la colère…
Notre coeur bat plus vite
Nous suons plus (tel que mesuré par notre activité électrodermale)
La recherche suggère que les délinquants ont des réponses physiologiques plus faibles…
Au repos
Pendant une tâche
En réponse à un stimulus (souvent stressant)

106
Q

Théorie 1 Psychophysiologique

A

Intrépidité (absence de peur / fearlessness) , maltraitance

107
Q

Théorie 2 Psychophysiologique

A

Recherche de stimulation (stimulation-seeking), battement de coeur plus bas au repos, activation élevés

108
Q

Quelles est la meilleur entre intrépidité et simulation?

A

Les deux fonctionne, mais simulation plus robuste et forte

109
Q

Le fonctionnement cérébraux expliquerais les comportements antisociaux ou délinquant selon l’observation de qui?

A

Phineas Gage

110
Q

Comment a l’aide de deux méthode on observe le fonctionnement cérébraux d’un délinquant et un non délinquant?

A

Neuroimagerie
Examiner la structure (ex : taille, lésion, tumeur)
Ex : Imagerie par Résonnance Magnétique (IRM); Tomodensitométrie (TDM)
Examiner le fonctionnement (ex : débit sanguin, glucose, métabolisme)
Ex : Tomographieparémissionde positons(On ingère un produit radioactif et on le regarde se propager dans les fluides du corps (ex: dans le sang/glucose dans les régions du cerveau)(TEP); Tomographie par émission monophotonique (TEMP)
Neuropsychologie: Tester indirectement le fonctionnement de diverses parties du cerveau afin d’inférer leur lien avec les comportements

Comment
Tests neuropsychologiques standardisés
Ex : Test de QI; Test d’attention; Test moteur; etc.

111
Q

Le cortex préfrontal joue un rôle dans des concepts associés à l’antisocialité
Ex : Régulation des émotions
Ex : Prise de décisions
Ex : Impulsivité

A

Des déficits du cortex préfrontal sont plus fréquents chez les individus antisociaux

112
Q

Ex : Capacité à avoir des comportements orientés vers des buts futurs (vs. immédiats)
Ex : Diriger délibérément son attention
Ex : Inhibition
Les fonctions exécutives sont associées au bon fonctionnement du cortex préfrontral

A

Les fonctions exécutives sont plus déficitaires chez les individus antisociaux

113
Q

Limites importantes du fonctionnement cérébrale lié a l’antisocialité

A

Les études en neuroimagerie et en neuropsychologie ne permettent généralement pas de statuer une relation de causalité entre le fonctionnement cérébral et l’antisocialité
À quel point l’antisocialité cause les déficits observés?
Ex : Est-ce que des comportements antisociaux finissent par engendrer des changements cérébraux?
À quel point les déficits observés causent l’antisocialité?
Ex : Est-ce qu’une lésion soudaine engendre plus de comportements antisociaux?

114
Q

Le stress maternel et la consommation de drogues pendant la grossesse peuvent induire des changements biologiques qui favorisent les comportements antisociaux?

A

oui

115
Q

Une mauvaise régulation de la glycémie prédit une diminution des comportements antisociaux? vrai ou faux

A

Faux , sa augmente

116
Q

La concentration de plomb dans le sang prédit le développement de l’antisocialité? parce qu’elle affecte des partie du cerveaux vrai ou Faux

A

Vrai

117
Q

Nous pouvons réduire l’effet sur le placenta a l’aide de technique parental

A

oui

118
Q

Quelles sont les 4 théories évolutionnistes?

A

Théorie de l’Histoire de la vie (Comportements Antisocial)
Sélection dépendante de la fréquence (Psychopathie)
Menace de Statue/Réputation (Homicide)
Investissement parental et effort d’accouplement (Différence de genre)

119
Q

Quelle comportement favorise nos chances de transmettre nos gènes?

A

Accouplement
Investissement Parental
Chasse

120
Q

Selon la théorie de l’histoire de la vie qu’est qui arrive si nos changes de survies sont faible

A

les gens vont faire des crime de plus au niveau pour avoir une plus grande probabilité de transmettre leurs gènes

121
Q

La théorie de l’histoire de la vie a deux élément primordiale pour se réaliser lesquelles?

A

Ressources limités
Futur imprévisibles

122
Q

Les postulats de la sélection dépendantes de la fréquence

A

un trait minoritaire (1%) qui favorise la transmission du gène (saumon)
L’efficacité est lié avec la fréquence des gens qui utilise ce gène
La psychopathie serait un trait unique développer de génération en génération

123
Q

Qu’est ce qu’est la psychopathie?

A

Forme extrème
Charme superficiel (insincère) / Manipulation / Mensonges
Absence de remord / Incapacité à ressentir de l’empathie
Impulsivité / Comportements à risque élevé / Irresponsabilité (ex: au travail)
Style de vie parasitique (ex : Exploiter autrui [leur argent, leur accueil, etc.])

124
Q

Quel est le lien psychopathie - sélection dépendante de la fréquence?

A

Cette rareté permet aux psychopathes d’utiliser leurs tactiques avec succès pour se reproduire
La majorité des gens ne réfléchissent pas comme des psychopathes et sont donc dupés à leur insu

125
Q

Qu’elle est le % de gens qui souffre de la psychopathie?

A

1.2%

126
Q

Selon menace de statue/réputation exprime ses postulats

A

Les êtres humains ont évolué de manière à ce que…
La réputation d’un homme soit intimement reliée à ses chances de se reproduire
Cette réputation soit basée sur son aptitude à représenter une menace crédible de violence

127
Q

Pourquoi la théorie de menace de statue/réputation fonctionne

A

Les gens auraient moins tendance à exploiter les ressources d’une personne menaçante
Les risques d’être agressés physiquement (et les coûts associés [ex: mourir]) seraient trop élevés
Représenter une telle menace serait attrayant d’un point de vue évolutif pour une partenaire
Plus l’accès aux ressources est sécure, plus les chances de transmettre ses propres gènes sont élevées

128
Q

La majorité des homicides sont commis par?

A

des rivalité de pouvoir entre homme
et commis par un home de statue social faible

129
Q

Pour les femmes qu’elles sont les postulats de la théorie parental et effort d’accouplement?

A

Femmes : Doivent rester vivante assez longtemps pour que chaque bébé naisse et soit allaité
Femmes : Mécanismes pour favoriser la survie des enfants (investissement parental)allaitement
Femmes : Agressivité (moins fréquente) pour assurer l’accès aux ressources (ex: vol de propriété)

130
Q

Pour les hommes qu’elles sont les postulats de la théorie parental et effort d’accouplement?

A

Hommes : Doivent seulement s’accoupler
Hommes : Mécanismes pour favoriser l’accouplement (efforts d’accouplement)
Hommes : Agressivité (fréquente) pour protéger son statut (ex : homicide)

131
Q

Qu’elles sont les différence entre les hommes et les femmes selon la théorie parental et effort d’accouplement?

A

Les hommes et les femmes ont des chances inégales de transmettre leurs gènes
Ces inégalités ont mené les hommes et femmes à développer différent mécanismes d’adaptation
Ces différents mécanismes d’adaptation ont engendré une relation différente avec l’agression

132
Q

Qu’est ce la théorie parental et effort d’accouplement a permis de remarquer selon la délinquance ?

A

Selon les théories de l’évolution, ces différents mécanismes d’adaptation expliqueraient pourquoi les femmes commettent des crimes (1) moins souvent et (2) moins violents

133
Q

Qu’elle genre de crime les femmes font plus?

A

les vol et sont motivé pas un accès de ressources limités

134
Q

Qu’elle sont les 3 grand courants théorique acquis qui explique la délinquance?

A
  1. Psychodynamique
    Des processus psychologiques (inconscients) influencent les comportements délinquants
    Les expériences à l’enfance forgent le développement de la personnalité et de la délinquance
  2. Béhaviorisme
    Les principes d’apprentissage (conditionnement) influencent les comportements délinquants
  3. Apprentissage social
    Observer les comportements prosociaux et antisociaux d’autrui être renforcés ou punis influencent les comportements délinquants
135
Q

Les comportements agressif sont très présent a quelle âge?

A

2-3 ans

136
Q

Le surmoi et la délinquance sont relié comment?

A

Le développement inadéquat du surmoi est intimement relié au développement de la délinquance

137
Q

Quand le surmoi est mal développer (hostile) ont peut avoir un type précis de criminel , lequelle?

A

Le criminel névrotique
Problème : Le surmoi hostile «critique» trop fortement le Ça pour ses pulsions inacceptables
Origine : Intériorisation des pratiques parentales sévèrement punitives envers l’enfant
Conséquence : Génère un niveau pathologique de sentiments (inconscients) de culpabilité

Pour soulager la culpabilité induite par les critiques du surmoi, le Moi punit le Ça
Stratégie priorisée : Permettre des comportements criminels sévèrement punis par la société

138
Q

Le psychopathe possède un Surmoi?

A

Faible

139
Q

Qu’elle est le problème du psychopathe

A

Le surmoi faible ne critique pas suffisamment le Ça pour ses pulsions inacceptables
Origine : Intériorisation des pratiques parentales trop permissives envers l’enfant
Conséquence : Le Ça exprime librement ses pulsions agressives et sexuelles (en délinquance)

Les comportements délinquants sont accompagnés par des traits psychopathiques
Absence de remord / Incapacité à ressentir de l’empathie
Impulsivité / Comportements à risque élevé

140
Q

Le surmoi dévian fait référence a?

A

Surmoi déviant
Problème : Le surmoi déviant n’a pas bien intériorisé les attentes sociales
Origine : Bonne relation avec un parent qui a des valeurs antisociales
Conséquence : Aucune structure de personnalité ne conçoit de problème à être délinquant

Les comportements délinquants sont alors émis sans culpabilité
Aucune structure de la personnalité ne perçoit de problème dans le comportement

141
Q

Qu’elle est l’explication de la délinquance selon Bowlby

A

Selon Bowlby, les enfants nécessitent des soins et une implication bienveillante de leur mère afin de se développer sainement.

142
Q

Qu’elle est la période critique qu’un bb dévellope de l’attachement?

A

0 à 2.5 ans

143
Q

Une privation du lien d’attachement avec ses parents brime quoi?

A

les comportement prosocial, plus tendance a développer des comportements délinquant

144
Q

Quelles sont les critique de la théorie de Bowlby ?

A

Le pere? méthodologie questionnable?

145
Q

La privation maternelle est t-il un facteur de risque de la délinquance et si non pourquoi?

A

Non
d’autres figures de soins
inverser
pas tout le monde avec ce manque qui devient criminelle

146
Q

Glueck & Glueck : Délinquance juvénile

A

Les Glueck étaient un couple de criminologues d’affiliation psychodynamique qui ont travaillé à Harvard. Ils ont mené plusieurs études empiriques sur les causes du crime

147
Q

Les résultats de l’étude de Délinquance juvénile qui a inspiré d’autre théorie

A

Les délinquants grandissent dans un milieu familial sous-optimal
Parents : Enjeux psychologiques + Abus de substance + Criminalité + Niveau d’éducation plus faible
Relations parent-enfant : Négligence + Attachement insécure + Hostilité
Les Glueck ont conclu que le Surmoi ne pouvait pas bien se développer dans un tel contexte, ce qui favorisait l’apparition de comportements délinquants (innés et mal refoulés).

148
Q

Hirschi : Théorie du contrôle social

A

Selon Hirschi, certains facteurs sociaux agissent comme agents de contrôle des pulsions antisociales innées chez les être humains

149
Q

Les quatre facteur sociaux de contrôle selon Hirschi?

A

Attachement : Lien significatif avec des figures importantes (ex : parents, amis, enseignants)
On évite la délinquance pour éviter de brimer ces relations et liens d’attachements significatifs
Engagement : Efforts investis dans des buts socialement valorisés (ex: s’éduquer)
On évite la délinquance pour éviter de perdre les bénéfices associés à de tels efforts (ex : argent, statut)
Implication : Efforts investis dans des activités socialement valorisées (ex: travailler)
Plus on s’investit dans de telles activités, moins on a de temps pour participer à des activités criminelles
Croyance : Conviction qu’on doit obéir des règles communes
Plus on respecte les systèmes de loi et de justice, moins on est disposés à la délinquance

150
Q

Les recherches exprime d’autre lien non mentionner par Hirschi lesquelle?

A

Interaction : Un attachement sécure prédit la délinquance si l’attachement est à des pairs antisociaux
Causalité inverse : La délinquance peut causer une diminution de la qualité d’attachement avec autrui
Importance : La force du rôle prédictif de chaque facteur social varie entre eux et selon le genre

151
Q

Gottfredson & Hirschi : Théorie générale du crime

A

Gottfredeson et Hirschi ont proposé une théorie plus parcimonieuse et raffinée de la délinquance
Postulats

152
Q

Les postulats de la théorie générale du crime?

A

Nos aptitudes de contrôle de soi sont acquises tôt dans l’enfance
Ces aptitudes sont acquises à divers degrés selon la qualité des pratiques parentales
Ex : Les parents doivent monitorer, reconnaître et punir les comportements déviants
Les aptitudes de contrôle de soi sont le plus grand facteur protecteur de la délinquance
Nos aptitudes de contrôle de soi nous aident à résister aux pulsions (innées) de délinquance
Face à une opportunité de délinquance, l’individu avec le meilleur contrôle de soi résistera mieux
Le contrôle de soi est important car il permet de résister à plusieurs facettes du crime
Ex : Résister à la gratification immédiate d’un acte qui a des conséquences néfastes à long terme
Ex : Conserver une sensibilité vis-à-vis les besoins d’autrui
Ex : Résister à l’utilisation de la violence pour atteindre ses objectifs

153
Q

Il existe un lien fort entre le contrôle de soi et le crime nomme deux exemple

A

Guimauve, moin comportement problématique a l’adolescence
Alcool brime inibition et dont le controle de soi (préfrontal)

154
Q

La qualité des pratiques parentales prédit le contrôle de soi vrai ou faux

A

Vrai
Les pratiques parentales prédisent aussi directement la délinquance
D’autres facteurs que les pratiques parentales prédisent le contrôle de soi
Le contrôle de soi changent dans le temps (vs. reste fixe à partir de l’enfance)

155
Q

Les Programme d’intervention peuvent tu amélioré le contrôle de soi et diminuer la délinquance?

A

oui

156
Q

Conditionnement classique

A

Une réponse comportementale s’apprend en s’associant à un stimulus inconditionnel ex: pédophile

157
Q

Théorie biosociale d’Eysenck

A

Nous apprenons à inhiber nos comportements délinquants par conditionnement classique
Nous associons une réponse émotionnelle négative généralisée à la délinquance en raison des punitions reçues
Les gens peuvent développer des comportements de délinquance si leur environnement n’offre pas un cadre suffisamment ferme pour produire le conditionnement
Les gens peuvent développer des comportements de délinquance s’ils ont une insensibilité du système nerveux à être conditionné (et donc à acquérir l’association délinquance-négatif)= deficit de l’amydale et lent conditionnement

158
Q

Pour les gens psychopathique ses différent pour le conditionnement classique pourquoi? inversion

A

Sont moins sensibles à l’effet de conditionnement des pratiques aversives que ceux sans ces traits
Sont plus sensibles à l’effet de conditionnement des pratiques chaleureuses que ceux sans ces traits

159
Q

Implications pour les relations parent-enfant

A

Les parents qui alternent entre des pratiques hostiles (coercitives) et permissives favorisent le développement de traits antisociaux.

160
Q

Explique le cercle vicieux

A

Les traits antisociaux chez les enfants suscitent des réactions émotionnelles fortes chez les parents,
Ce qui prédit en retour l’utilisation de pratiques coercitives
L’enfant étant insensible à l’aversion, le conditionnement aversif des pratiques parentales échoue
Le parent se typiquement coupable d’avoir agit aussi sévèrement et devient donc permissif
L’enfant constate alors que ses comportements délinquants n’ont pas de conséquence, ce qui renforce ses traits antisociaux et éventuellement suscite d’autres réactions émotionnelles fortes chez les parents

161
Q

Théorie de l’association différentielle (Sutherland, 1947)

A

La probabilité d’émettre un crime dépend du ratio attitudes prosociales : antisociales de son groupe d’appartenance

162
Q

Les postulats de la théorie de l’association différentielle

A

Le premier projet
La délinquance est un comportement…
La délinquance implique un apprentissage…
Nos chances d’avoir des comportements délinquants sont plus élevées si…

163
Q

Limites de la théorie de l’association différentielles

A

difficile a tester et les mécanisme qu’on apprend la délinquance ne sont pas expliquer

164
Q

Théorie de l’apprentissage social (Akers, 1973)

A

Selon Akers, on apprend la délinquance par conditionnement opérant, classique et vicariant

165
Q

Étapes du conditionnement vicariant (Apprentissage par observation)

A

Étape #1 : Voir autrui être renforcé (ou ne pas être puni) pour un comportement
Ex : Voir un parent être récompensé pour un comportement malhonnête
Étape #2 : Réfléchir par rapport au comportement en question
Ex : «Ce comportement semble être correct puisque mon parent le fait, et il semble être bénéfique»
Étape #3 : Imiter le comportement d’autrui
Ex : Faire le même comportement malhonnête que son parent
Étape #4 : Vivre les conséquences (elles doivent être positives pour renforcer l’apprentissage)
Ex : Vivre les bénéfices d’avoir été malhonnête sans faire l’expérience d’une punition

166
Q

Sources principales de conditionnement vicariant

A

Parents
Pairs
Médias

167
Q

Bandura et al résultats de l’étude

A

Les enfants imitent les comportements de l’adulte (ex : utilisent les mêmes gestes et mots)
Les enfants émettent aussi des nouveaux comportements agressifs

168
Q

DuRant et al (2006) résultats de l’étude

A

Regarder une émission de wrestling prédit dans les deux semaines qui suivent…
Se battre avec un autre élève (surtout les hommes); Porter une arme sur soi (surtout les femmes)

169
Q

les jeux vidéo et l’observation de comportement agressif augment les chance d’avoir des comportement anti-sociaux vrai ou faux

A

Vrai

170
Q

Mécanismes de conditionnement vicariant

A

Moralité : Nos interactions influencent nos attitudes vis-à-vis nos comportements antisociaux Ex : On les perçoit plus comme étant «bien» (vs. «mauvais»)

Normalité : Plus on est exposé à un comportement agressif, plus on le considère comme normalEx : Regarder des films slashers (violence envers femmes) mènent à plus blâmer les femmes victimes de violence domestique (Mullins & Linz, 1995)

171
Q

Les conclusions de la théorie de l’apprentissage social

A

Les interventions les plus efficaces à réduire le crime incluent des notions d’apprentissage social (Cullen et al., 2003)
La force de prédiction des variables d’apprentissage social pour le crime est élevée (Aken, 2009)
À travers les cultures, les variables d’apprentissage social prédisent le crime (Kim & Goto, 2003)

172
Q

Théorie intégrative : PIC-R

A

pour expliquer la délLa PIC-R est une théorie qui utilise plusieurs principes acquisinquance

173
Q

Les principes de la théories

A

Intègre les différents mécanismes d’apprentissage discutés qui mènent au crime
Apprentissage social : Rôle de la socialisation dans le développement d’attitudes pro-crime
Contrôle de soi : Difficulté à résister aux tentations à court terme prédit le crime
Conditionnement : Rôle des associations, renforcements et punitions dans l’apprentissage du crime
Discute des antécédents et conséquences du crime
Exemple d’antécédents : Apprentissage social d’attitudes pro-crime
Exemple de conséquences : Renforcement par les pairs; Élévation du statut social
Discute des sources qui influencent les antécédents et conséquences du crime
Individu (Ex : S’auto-renforcer à la suite d’un crime; Présence de traits et attitudes antisociales)
Autrui (Ex : Approbation de la part des pairs)
Comportement (Ex : Faire l’expérience de l’excitation de commettre un crime et de s’en sortir)
Situation (Ex : Vivre dans la pauvreté peut augmenter les bénéfices associés au vol d’argent)

174
Q

Le programmes basé sur la théorie intégratives sont les plus efficaces a?

A

Évaluer le risque de commettre un comportement délinquant
Prévenir la délinquance
Diminuer les chances de récidives chez les délinquants

175
Q

À partir de quel âge un enfant saisit suffisamment les conséquences de ses comportements?

A

12 et + sinon maturité cognitive inssufisante

176
Q

À partir de quel âge doit-on punir les comportements d’un enfant comme s’il était un adulte?

A

18 ans et +, préfrontal mion developper

177
Q

60% des crimes sont commis par qu’elle groupe d’age?

A

adolescents de 16 et 17 ans

178
Q

La prévalence des crimes juvénille et leurs séverité est en ….

A

baisse

179
Q

Quelles sont les comportements les plus fréquent rapporté a la police?

A

Agression sans dommage physique : 17%
Méfaits (ex: endommager une propriété ou un véhicule, vandalisme) : 13%
Vol (< 5000$) : 11%

180
Q

Quelles sont les comportements les plus modérement fréquent rapporté a la police?

A

Proférer des menaces (ex: en ligne) : 7%
Agression avec dommage physique (ex: par arme; avec le corps) : 6%
Agression sexuelle : 3.7%

181
Q

Quelles sont les comportements les plus rares rapporté a la police?

A

Homicide : 45 cas
Tentative de meurtre : 38 cas
Conduite criminelle d’une voiture (ex: sous influence) : 1.7%

182
Q

Définitions d’une sanctions juvénile?

A

Les sanctions imposées aux jeunes visent à prévenir une trajectoire criminelle à l’âge adulte

183
Q

Le % de sentence de probation donnée et durée de

A

60% et 1 ans

184
Q

Le % de sentence de service communautaires

A

25%

185
Q

Le % de sentence de période de garde=centre de détention (crime plus sévère) et durée

A

15% et Durée moyenne : 2 ans (homicide); 8 mois (tentative de meurtre); 6 mois (agression sexuelle)

186
Q

Nomme 1 trajectoires développementales de la délinquance juvénile sont typiquement discutées

A
  1. Déclenchement pendant l’enfance
    Historique de difficultés dès les premières années de vie
    Ex : Tempérament difficile (ex: difficile à consoler; colères fréquentes)
    Ex : Comportements problématiques à la maternelle et la garderie
    Ex : Agressivité physique envers les autres enfants à l’école
    Trajectoire très rare
    Environ 3 à 5% des enfants présente ce profil dans la population générale
    La majorité de ces enfants ne deviennent pas des criminels à l’âge adulte et cessent leurs comportements agressifs avant (ou pendant) l’adolescence (Nagin et al., 2001)
187
Q

Nomme la 2e trajectoires développementales de la délinquance juvéniles

A

Déclenchement pendant l’adolescence
Début des comportements délinquants à l’adolescence
Ex : Absentéisme scolaire
Ex : Vol
Ex : Vandalisme

Trajectoire très fréquente
Environ 70% des adolescents ont des comportements délinquants à l’adolescence
Ces comportements sont cependant rares et peu graves
Une très faible minorité continuent à émettre des comportements antisociaux à l’âge adulte

188
Q

Conclusion sur les trajectoires développementales

A

Plus un individu présente des comportements antisociaux à un jeune âge…
Plus ses chances sont élevées d’émettre des comportements antisociaux (1) à l’âge adulte et (2) graves
Plus ses chances sont élevées de présenter d’autres enjeux (ex : TDA/H, trouble d’apprentissage)

La majorité des jeunes avec des comportements antisociaux ne deviennent pas criminels
Cela demeure vrai peu importe l’âge de déclenchement des comportements antisociaux

Certains comportements antisociaux prédisent mieux la délinquance à l’âge adulte
Ex : L’agression physique à l’enfance/adolescence est un des meilleurs prédicteurs de la persistance des comportements antisociaux à l’âge adulte

189
Q

Le trouble de la conduite est le diagnostic juvénile précurseur du trouble de personnalité antisocial Vrai ou faux

A

Vrai

190
Q

Perspective cognitive

A

Les enfants et adolescents délinquants auraient des déficits cognitifs et des distorsions cognitives

191
Q

Les résultats de l’Attention aux indices socio-émotionnels
Martin-Key et al (2018)

A

Habiletés à détecter les émotions de base (peur, colère, tristesse, etc.) : Ados avec TC < Ados sans TC
Attention portée aux différents indices faciaux (ex: regarder les yeux) : Ados avec TC < Ados sans TC

192
Q

Les résultats de l’étude des biais d’attribution hostile

A

Attribution d’intentions hostiles au pair : Ados avec TC > Ados sans TC
Les juvéniles avec un TC attribuent plus d’intentions hostiles à autrui

193
Q

Les résultats de l’étude sur les habiletés de résolution de problèmes
Matthys et al., (1999)

A

Nombre de solutions générées : Ados avec TC < Ados sans TC
Intention d’utiliser des solutions agressives : Ados avec TC > Ados sans TC
Les juvéniles avec TC génèrent des solutions (1) moins nombreuses et (2) plus agressives

194
Q

Les facteurs de risques individuel de la délinquance

A

Prénatal : D’avoir été exposé à des facteurs de risque prénataux
Ex : Mère consomme de l’alcool/cigarettes pendant la grossesse (Cohen et al., 2002)
Ex : Complications à la naissance (ex: manque d’oxygène) (Mednick & Kandel, 1998)

Neurodéveloppement : D’avoir des enjeux neurodéveloppementaux
Langage : QI verbal plus faible (Seguin et al., 1995)
Impulsivité/Attention : D’avoir présenté des enjeux relatifs aux TDA/H à l’enfance (Hawkins et al., 1998)

Tempérament difficile : D’avoir été plus difficiles à consoler à l’enfance (Farrington, 1995)

195
Q

Les facteurs de risques familiaux de la délinquance

A

Abus : Avoir des parents qui sont abusifs
Ex : Négligence (Patterson et al., 1998)
Ex : Abus physique (Gershoff et al., 2016)
Ex : Abus sexuel (Santé Canada, 2003)

Enjeux parentaux : Avoir des parents avec des enjeux
Ex : Maladie mentale chez un parent (Seguin et al., 1995)
Ex : Décès d’un parent (Cummings et al., 2000)
Ex : Divorce (Cummings et al., 2000)

Un noyau familial sous-optimal créer un contexte défavorable au développement de l’enfant

196
Q

Les facteurs de risques scolaires de la délinquance

A

Épanouissement scolaire : D’être peu épanoui au niveau scolaire
Ex : Faible rendement académique dès l’enfance (Hinshaw, 1992)
Ex : Faible aspirations académiques (Bulm et al., 2003)
Ex : Faible assiduité (Farrington, 1989)
Ex : Faible engagement dans des activités parascolaires (Jessor et al., 1995)

Style disciplinaire : Les suspensions n’aident pas forcément à réduire la délinquance (Cummings et al., 2000)

L’épanouissement scolaire de l’enfant envers l’école ainsi que le cadre offert par le milieu scolaire influencent la délinquance

197
Q

Les facteurs de risques relatif au paires de la délinquance

A

Affiliation : D’avoir des affiliations antisociales (voir cours 1 – Big4)
Ex : Pairs délinquants (Laird et al., 2001))
Ex : Fratrie délinquante (Farrington, 1989)
Ex : Gang délinquante (Hill et al., 1999)

Pression : De recevoir de la pression pour faire des comportements antisociaux (Bulm et al., 2003)

198
Q

Le seul facteur de risques communautaires est la pauvreté vrai ou faux

A

Vrai

199
Q

Comment détecter des enjeux de délinquance cher les jeune

A

Trouble d’opposition avec provocation (Oppostional Defiant Disorder)
Patron de comportements négatifs, hostile et défiants
Ex : Humeur colérique et irritable (ex: Crises de colère; Ressentiment; Vindicatif [tend à se venger])
Ex : Comportement querelleur et provocateur (ex: S’oppose aux règles; Embête autrui; Aucune responsabilisation)
40% des jeunes avec trouble d’opposition avec provocation développent un trouble de la conduite

Trouble de la conduite (Conduct disorder)
Patron de comportements qui violent les droits d’autrui et les règles sociales de base
≈ 50% des jeunes avec un trouble de la conduite développent un trouble de personnalité antisocial

Trouble du déficit d’attention avec/sans hyperactivité (TDA/H)
Patron d’inattention et/ou d’impulsivité qui interfère avec le quotidien
Ex (inattention) : Semble ne pas écouter, fautes d’inattention, difficultés d’organisation, suit mal les consignes
Ex (impulsivité) : Remue les mains/pieds, parle trop, difficulté à attendre ton tour,
≈ 40% des jeunes avec un TDA/H ont un trouble de la conduite ou d’opposition avec provocation

Les enjeux d’impulsivité du TDA/H ainsi que les conséquences négatives associées aux enjeux d’inattention semblent favoriser le développement de la délinquance

200
Q

Comment posé un diagnostic?

A

Les diagnostics sont souvent posés après l’entrée à l’école
À l’école, les enseignants rapportent des problèmes chez l’enfant, ce qui incite les parents à agir

Pour poser un diagnostic, une évaluation psychologique/psychiatrique est requise
Entrevues avec parents + école + enfant; Tests standardisés; Bulletins scolaires; Visites maison + école

Pour poser un diagnostic, il faut considérer les enjeux développementaux
Ex : Avant 5 ans, des enjeux d’inattention, d’impulsivité et d’agressivité sont fréquents (et normaux)
Ex : Les comportements des jeunes sont parfois une adaptation au milieu où ils évoluent (vs. attitudes)

201
Q

Qu’elle sont les trois catégories d’intervention pour la délinquance?

A

Interventions primaire
Objectif : Prévention
Population visée : Groupes à risque (qui n’ont pas encore développé des enjeux de délinquance)
Interventions secondaires
Objectif : Déviation (Écarter les jeunes de la trajectoire délinquante)
Population visée : Nouveaux délinquants
Interventions tertiaires
Objectif : (Réduire la gravité des enjeux de délinquance)
Population visée : Délinquants chroniques

202
Q

Intervention dans les familles

A

Exemple d’intervention : Programmes d’habiletés parentales
Buts potentiels
Détection : Mieux détecter les signes précurseurs de délinquance chez l’enfant
Pratiques : Améliorer les pratiques parentales qui préviennent la délinquance
Relation : Améliorer la relation parent-enfant (ex: attachement)

Exemples de programmes d’habiletés parentales
Incredible Years (Webster-Stratton, 1992)
How to Talk so Kids will Listen & Listen so Kids will Talk (Faber & Mazlish, 1980)

Les programmes semblent efficaces à prévenir des enjeux de délinquance, surtout à court terme

Limites
Le taux de désistement chez les parents avec enfants à risque est très élevé (ex: > 50%)
L’efficacité de plusieurs programmes ne perdure pas à long terme

En raison de leurs limites, les programmes d’habiletés parentales sont rarement administrés seuls

203
Q

Intervention dans les écoles programme 1

A

Exemple de stratégies : Offrir du soutien aux élèves défavorisés
Exemple d’un programme #1 : Scared Straight
Objectif : Effrayer les enfants à haut risque de délinquance afin qu’ils évitent une vie criminelle
Moyen : Prisonniers présentent la vie cruelle en prison; Agressions sexuelles discutées; Visite une prison
Efficacité : Participer au programme cause une augmentation de 1 à 28% du crime (Petrosino et al., 2000, 2013)

Malgré son inefficacité, ce programme (et ses variantes) sont encore utilisées à ce jour

204
Q

Intervention dans les école programme 2

A

Exemple d’un programme #2 : Fast Track (programme cohérent avec la perspective cognitive)
Objectif : Développer les habiletés sociocognitives des enfants dès la maternelle
Moyen : Programme d’habiletés sociales; Coaching parental; Activités parascolaires; Tutorat; etc.
Efficacité : Les enfants à risque élevé qui suivent le programme sont moins antisociaux à l’adolescence
Pourquoi : Diminution des déficits et distorsions cognitives
Ex : Moins de biais d’attribution hostile
Ex : Attitude moins favorable envers l’agression
Ex : Réponses plus positives/adaptives aux conflits interpersonnels
Le programme Fast Track est un des programmes les mieux implantés aux États-Unis

205
Q

Interventions secondaire 1

A

Exemple d’une intervention secondaire #1 : Programmes de déviation
Objectif : Dévier les jeunes du système de justice vers programmes communautaires + scolaires
Postulat : Le système de justice est moins efficace (ou inefficace) à réduire la délinquance
Force : Semble aider à réduire les comportements antisociaux (Davidson & Redner, 1988)

206
Q

Interventions secondaire 2

A

Exemple d’une intervention secondaire #2 : Thérapie multi-systémique
Objectif : Identifier les besoins d’un jeune délinquant à travers les systèmes de sa vie
Exemple de systèmes : Famille; Pairs; Quartier
Force : Plus efficace à réduire la délinquance que l’incarcération

207
Q

Interventions tertiaires

A

Approche #1 : Réhabilitation
Philosophie : Les jeunes délinquants ont besoin d’être exposé à des modèles prosociaux
Lieu du traitement : Dans la communauté (ex: probation; services communautaires)
Approche #2 : Rétribution
Philosophie : Les délinquants doivent être punis (souffrir) pour leurs actions et séparés de la société
Lieu du traitement : Dans un centre de correction des jeunes

208
Q

Quelle approche est la plus efficace?

A

Selon une méta-analyse, l’approche la plus efficace implique… (Wooldredge, 1988)
Moins de rétribution (ex: Des séjours en centre de détention plus courts)
Plus de réhabilitation (ex : Une implication avec les services communautaires plus grande)

209
Q

Grands principes et recommandations pour réduire la délinquance juvénile

A

Intervenir le plus tôt possible
Il est plus facile de prévenir la délinquance que de la traiter
Quand un jeune est déjà impliqué dans la délinquance, plusieurs complications s’ajoutent (ex: désir de conserver son amitié avec ses pairs antisociaux)

Intervenir sur plusieurs facettes
Aider le jeune (ex: habiletés socio-cognitives)
Aider le parent (ex: habiletés parentales)

Adapter l’intensité de l’intervention à l’intensité du problème
Problèmes chroniques : Intervention plus exhaustive et intense
Problèmes limités : Intervention plus spécifique et limitée

210
Q

Délinquance économique

A

Toute offense criminelle dont la motivation principale est un gain économique

211
Q

Exemples de délinquance économique

A

Vol (ex : argent, propriété, compte bancaire, identité)
Trafic (ex: femmes, drogues)
Fraude (ex: taxes non payées, taxes non perçues, travail sous la table, blanchiment d’argent)

212
Q

Comment s’organise la délinquance économique?

A

Individuel : Des gens de divers statut socioéconomiques commettrent individuellement des actes
Corporatif : Des organisations (ex: gang, entreprises «légitimes») financent ou comettent des actes

213
Q

Les Conséquences aux organisations des crime économique

A

Organisations : Au Canada, ≈55% sont victimes de délinquance économique sur une période de 24 mois
Ex (employés) : Détournement d’actifs (ex: vol l’argent ou un bien de l’entreprise)
Ex (consommateur) : Fraude (ex: achète un nouveau produit et retourne une ancienne version)
Ex (pirates informatiques) : Cyberattaques
Ex (compétiteurs) : Espionnage, Vol de propriété intellectuelle

214
Q

Les conséquence individuels des crimes économique

A

Ex (trafic illégal) : Prostitution forcée + Addiction sévère à diverses drogues
Ex (conflits entre gang) : Citoyens morts/blessés par balle
Ex (conséquence directe) : Vol d’identité
Ex (conséquence indirecte) : Primes d’assurances et bancaires plus élevées

215
Q

Délinquance en col blanc

A

Déliquance économique commise par une personne au statut social élevé par l’entremise son travail

216
Q

Quels sont des types de comportements de délinquance en col blanc?

A

Organisationnel (ex: corporation, agence, entreprise)
Exemple : CFO falsifie le dossier fiscal de la compagnie avec l’approbation du conseil d’administration

Professionnel (ex: avocats, médecins, psychologues)
Exemple : Médecin facture au gouvernement 18 patients alors qu’il n’en a vu que 12

Agents de l’état (ex: policiers, fonctionnaires, agents de correction)
Exemple : Un policier accepte un pot-de-vin (argent en échange d’une faveur [=corruption])

Individuel (ex: employé)
Exemple : Voler de son employeur; Ne pas rapporter son plein revenu à l’ARC

217
Q

Qui sont les délinquants économiques en col blanc typiques?
Caractéristiques sociodémographiques

A

Age : ≈ 40 ans (Délinquant typique : ≈ 30 ans)
Ethnie : Blanc
Genre : Homme
Éducation : Élevée (Délinquant typique : faible)
Travail : Souvent dans le monde de la finance

218
Q

Qui sont les délinquants économiques en col blanc typiques?
Caractéristiques psychologiques (Holtfreter, 2005)

A

Hédonisme (Importance élevée accordée à la poursuite du plaisir)
Narcissisme (ex : Sentiment d’être supérieur, entitlement, négligence des besoins d’autrui)
Faible contrôle de soi (ex : Difficulté à résister à la tentation de commettre un vol «facile»)
Faible intégrité

219
Q

Vol et crime contre les biens

A

Prendre quelque chose qui appartient à autrui (ex: entreprise; individu) sans consentement ou permission

220
Q

Quels sont les types de vol?

A

Vol > 5000$ : Emprisonnement allant jusqu’à 10 ans
Vol < 5000$ : Emprisonnement allant jusqu’à 2 ans

221
Q

Exemples de vols

A

Crime contre les biens
Ex: Vol d’un porte-feuille, Vol d’une carte de crédit, Vol d’auto, Vol dans une maison
Vol à l’étalage (shoplifting)
Ex : Voler de l’alcool à Alcool NB

222
Q

Pourquoi les gens commettent des vols et des crimes contre les biens? les facteurs de risques niveau individuel

A

Abus de substance : Le vol est un moyen de payer pour la substance envers laquelle il y a addiction
Itinérance : Le vol est un moyen d’obtenir de la nourriture ou un abris

223
Q

Pourquoi les gens commettent des vols et des crimes contre les biens? Niveau sociétal

A

Pauvreté : Une société en difficulté économique a un taux de vol plus élevé
Tourisme : Le taux de vol augmente avec la présence de touristes

224
Q

Théorie de l’activité routinière

A

Postulat principal : Trois facteurs sont nécessaires afin qu’un vol se produise
Individu doit être disposé à la délinquance
Individu possède des facteurs psychologiques/situationnels pro-délinquance (ex: attitudes antisociales)
Individu doit être habileté à la délinquance
Individu possède les habiletés pour voler la cible (ex: savoir entrer par infraction chez autrui)
Cible doit être vulnérable à la délinquance (absence de gardiens des biens)
Pour qu’un vol ait lieu, l’objet du vol ne doit pas être (suffisamment bien) gardée
Ex : La participation accrue des femmes dans le monde du travail dans les années 1970 a augmenté la qualité de vie des gens. Même si la qualité de vie prédise une diminution du crime, on a observé une hausse des vols domestiques à l’époque (probablement à cause de l’augmentation de maisons vides le jour)

225
Q

Fraude

A

Utilisation de la tromperie afin d’obtenir les propriétés d’autrui, ses services, son argent ou sa sécurité

226
Q

Quels sont les types de fraude?

A

Fraude > 5000$ : Emprisonnement allant jusqu’à 14 ans
Fraude < 5000$ : Emprisonnement allant jusqu’à 2 ans

227
Q

Exemples de fraude

A

Identité : Utiliser l’identité d’autrui
Ex : Se faire passer pour autrui afin d’entrer illégalement dans un pays
Ex : Demander un prêt sous le nom d’autrui et ne jamais le rembourser
Avance de fond : Faire un paiement afin d’obtenir quelque chose (qui ne sera pas obtenu)
Ex : Se faire passer pour un amant sur un site de rencontres et demander de l’argent pour rendre visite
Corruption/pot-de-vin : Utiliser sa position ou son pouvoir
Ex : Un fonctionnaire accepte l’argent d’un individu et offre en échange un service plus rapide

228
Q

Théorie du triangle de la fraude(Cressey, 1973)

A

Postulat principal : La fraude est le résultat de trois facettes qui s’enchaînent
Pression
L’individu sent d’abord une pression (motivation) à commettre la fraude
Ex : Dettes excessives; Quotas de vente non-atteints
Opportunité
Des facteurs situationnels offrent une opportunité de frauder
Ex : Aucune méthode de détection de fraude en place
Rationalisation
L’individu rationalise que son comportement est moralement acceptable
Ex : Ils le méritaient; C’est un mal pour un plus grand bien; Ils n’en avaient pas besoin

229
Q

Cybercrime

A

Utilisation d’un ordinateur comme objet de crime ou comme outil pour commettre un crime

230
Q

Quels sont des types de cybercrime?

A

Piratage
Ex : Accéder aux informations d’autrui sur son ordinateur
Hammeçonnage
Ex : Envoyer un faux courriel afin d’obtenir des informations sur autrui
Posession/diffusion de pornographie juvénile
Trafic de drogues sur internet
Vol d’identité

231
Q

Théorie du choix rationnel(Cornish & Clarke, 1986)

A

Postulat principal : Nous évaluons les coûts et bénéfices d’un cybercrime avant de le faire
Le cybercrime serait populaire parce que ses coûts seraient faibles sur plusieurs facettes
Moralité : La victime est virtuelle, ce qui facilite sa dépersonnalisation (et l’absence de remords)
Efficacité : Les mesures anti-cybercrime sont encore jeunes, ce qui facilite le succès des cyberattaques
Risque : Les cyberattaques sont faciles à faire sous anonymat, ce qui réduit les chances d’arrestation

232
Q

Prostitution

A

Offrir des services sexuels en échange d’argent

233
Q

Qui sont les personnes impliquées dans la prostitution?

A

Personne qui vend : Prostitué/e
Typiquement une femme (adolescente ou jeune adulte)

Personne qui achète : Client/e
Typiquement un homme

Personne qui encadre le processus : Pimp
Typiquement un homme
Rôle : (1) Contrôler les prostitué/es, (2) Trouver des clients, (3) Conserver une part des revenus

234
Q

Loi sur la prostitution au Canada

A

La loi canadienne sur la prostitution vise à protéger les travailleuses et les travailleurs du sexe
Vendre des services sexuels (être une prostituée) : Légal
Exception : Interdit de vendre dans un lieu où des mineurs risquent de se trouver (ex: un parc)

Acheter des services sexuels (être un client) : Illégal

Profiter de la vente de sercices sexuels (être un pimp) : Illégal

235
Q

Pourquoi les services de prostitution existent?
Caractéristiques typiques des hommes-clients qui achètent des sercives sexuels Xantidis & McCabe (2000)

A

Sociodémographie (âge, éducation, statut marital, emploi) : Aucune particularité
Ex : Le fait d’être marié vs célibataire ne prédispose pas à plus/moins acheter des services sexuels

Aisance à interagir avec des femmes dans des situations sexuelles : Moins élevée
Pour certains, acheter des services sexuels est une façon de satisfaire un désir d’intimité

Recherche de sensation (voir cours 2) : Plus élevée
Pour certains, acheter des services sexuels permet de vivre de la nouveauté/variété sexuelle

236
Q

NB : Seulement ≈33% des hommes disent avoir apprécié leur relation sexuelle avec une prostituée (vrai ou faux)

A

vrai

237
Q

Théorie des tensions générales(Bucher et al., 2015)

A

Postulat principal : Vivre certaines tensions suscite des stratégies déviantes afin de les réduire

Tensions typiquement vécues qui mènent à la prostitution
Hommes-clients
(1) Malaise sexuel, (2) insatisfaction sexuelle, (3) Recherche de sensations
Ces tensions prédisent l’achat de services sexuels afin de satisfaire un besoin d’intimité ou de sensations

238
Q

Crime organisé

A

Groupe qui vise à commettre ou faciliter des crimes afin d’en tirer un bénéfice (financier)

239
Q

Le crime organisé existe depuis plus de 150 ans au Canada

A

2005 : Première reconnaissance légale d’un groupe comme organisation criminelle (Hells Angels)
2020 : Le gouvernement estime qu’il y a plus de 2 000 groupes actifs dans le crime organisé au Canada

240
Q

Exemples d’activités criminelles des groupes organisés

A

Trafic d’humains (ex: prostitution, organes, esclavage)
Trafic de drogue (activité la plus fréquente)
Fraude

241
Q

Exemples d’organisations criminelles

A

Hells Angels (plus grande organisation au Canada)
Trafic de drogues, sexe, armes à feu et biens

Bacchus Motorcycle Club (fondé au NB)
Trafic de drogues

North Preston’s Finest (fondé à Halifax)
Trafic de sexe

856 Gang (territoires canadiens)
Trafic de drogue et armes à feu

242
Q

Comment le crime organisé réussit à faire des profits et à se protéger de la loi?

A

Violence et intimidation
À l’interne : Afin de maintenir la discipline et dissuader les trahisons
À l’externe : Afin de rivaliser contre les autres groupes; Afin de taire des individus

Habiletés critiques
Recrutement/coercion de professionnels financiers (ex : comptables, avocats)
Contrefait (ex: carte d’identité contrefaite; argent contrefaite)
Fraude en valeurs mobilières (ex : ponzi scheme; pyramid scheme)
Affiliations internationales
Permet de répondre aux diverses demandes et de contourner les lois canadiennes
Ex : ≈85% des armes de poing illégales saisies à Toronto proviennent des États-Unis (ex: par drône)

Infiltration et exploitation de l’économie légale
Permet de blanchir l’argent (ex: restaurant/casino déclare plus de revenu que réellement fait)
Permet de transporter clandestinement des commodités illégales

243
Q

Pourquoi les gens joignent le crime organisé?
Théorie interactionnelle(Thornberry & Krohn, 2001)

A

Parcours typique
Un lien positif avec la société est d’abord affaibli
Ex : Désanchetement du système politique; Expériences négatives avec la justice
Le lien affaibili engendre alors des comportements antisociaux
Les comportements antisociaux facilitent ensuite l’affiliation à une organisation criminelle
Une fois dans l’organisation criminelle, les comportements délinquants sont renforcés et normalisés

244
Q

Activités du crime organisé : Trafic du sexe

A

Définition
Exploitation sexuelle d’une personne sans son consentement
Moyens : Drogue, manipulation, force, abus de pouvoir
Prévalence
Le trafic du sexe est en hausse
95% des victimes du trafic du sexe sont des femmes
Chaque fille sexuellement exploitée peut offrir des centaines de millier de dollar au trafiquant par année

245
Q

7 caractéristiques typiques des femmes exploitées sexuellement au Canada

A

Âge : Jeune (12 à 25 ans)
Statut marital : Célibataire
Éducation : École secondaire non-complétée
Emploi : Aucun historique d’emploi légitime
Abus de substance : Débute à un plus jeune âge
Activités sexuelles : Débutent à un plus jeune âge
Enjeux familiaux : Milieu familial dysfonctionnel

246
Q

2 parcours typique des femmes exploitées sexuellement au Canada

A

Femmes canadiennes contrôlées psychologiquement par un (groupe de) trafiquant sexuel
Le contrôle psychologique induit une estime de soi très faible et de la honte, ce qui mène les femmes à accepter leurs circonstances et à croire qu’elles méritent ce qui leur arrive
Ex : Séduction (fille tombe en amour avec trafiquant et, pour éviter de le perdre, accepte des requêtes sexuelles)
Ex : Chantage (Menace d’envoyer des photos pornographiques à la famille ou aux amies)
Ex : Addiction (afin que la prostitution devienne nécessaire pour obtenir la drogue)

Femmes de l’étranger qui immigrent sous la promesse d’un faux emploi (nounou, servante)
Une fois immigrée, les femmes sont exploitées sexuellement dans l’espoir de retrouver leur passeport ou pour payer une fausse dette de voyage

247
Q

4 signes qu’une fille est victime du trafic du sexe

A

Nouveau linge très cher
Vie sociale secrète
Notes académiques baissent
Discute de son copain (trafiquant), mais refuse de le présenter

248
Q

Activités du crime organisé : Trafic de drogues

A

Définition
Production, transport et vente illégale de drogues
Le crime organisé intervient souvent au niveau de la facilitation du transport et de la vente
Structure typique
Production : Souvent faite à l’internationale
Transport : Des mules traversent les frontières avec les drogues (parfois à leur insu)
Ex : Dans leur bagage, dans leur intestin (sac étanche qui sera excrété), dans les cavités du corps
Vente : Gros dealers vendent aux petits dealers qui vendent aux consommateurs

249
Q

Activités du crime organisé : Fraude

A

Carte de crédit : Obtenir l’information de la carte de crédit d’autrui
Ex : Un terminal envoie l’information d’une carte à une usine illégale de production de cartes de crédit
Propriété intellectuelle : Vendre un produit contrefait (ex: sur Internet)
Ex : Vendre des sacs à dos où on illégitimement inscrit la marque «North Face»
Véhicule : Vol et revente de véhicules
Ex : Voler un véhicule, changer son numéro d’identification (+ plaques + couleur) et le revendre
Hypothèque : Utilisation de prêts hypothécaires afin de faire un again économique
Ex : Obtenir un prêt, déclarer (faussement) banque route et conserver l’argent
Marketing de masse : Utilisation d’un média de masse (ex: internet)
Ex : Vous avez gagné un voyage! Donnez votre numéro carte de crédit afin d’obtenir vos billets

250
Q

Plusieurs outils existent pour évaluer le risque de récidive chez des délinquants économiques

A

Procédure typique
Délinquants complètent un questionnaire (ou une entrevue) afin d’évaluer le risque de récidive
Selon le résultat au questionnaire (ou l’entrevue), on détermine si l’individu devrait être incarcéré
Questions typiques : Facteurs de risque généraux et spécifiques au type de délinquance
Ex : Big four (historique de comportements + traits + cognitions + associations antisociales)
Ex : Historique d’arrestation + condamnation + incarcération
Ex : Indices sociodémographiques (niveau d’éducation, emploi)
Ex : Abus de substance
Ex : Santé mentale
Ex : Présence dans une organisation/gang (et ses caractéristiques)

251
Q

Mise en contexte de la délinquance économique

A

La délinquance économique regroupe plusieurs populations et types de crime
Diverses approches sont développées pour minimiser diverses formes de délinquance économique
Différents types d’approches existent
Interventions systémiques (ex : Programmes gouvernementaux pour contrer le crime organisé)
Interventions individuelle (ex: Thérapie pour réduire le risque de récidive de fraude)
Plusieurs approches interviennent sur différents facteurs de risque/protection
Ex (risque) : Big Four
Ex (protection) : Soutien social
L’efficacité de ces approches n’est pas toujours documentée empiriquement (ou accessible)
Ex : Certains programmes sont privés et ne partagent pas (clairement) leurs résultats

252
Q

Délinquance en col blanc et fraude
Approche systémique : Prévenir et sanctionner avec les lois gouvernementales

A

Loi sur la concurrence : Interdit d’annoncer qu’un produit fait quelque chose qu’il ne fait pas

Loi sur l’immigration (…) : Interdit de soudoyer (bribe) un employé gouvernemental

Loi de l’impôt et revenu : Interdit l’évasion fiscale

Loi sur le recyclage des produits criminels : Interdiction de participer au blanchiment l’argent
Toute institution financière doit rapporter toute transaction financière soupçonneuse à FINTRAC
(FINTRAC : Centre qui collecte et analyse toute transaction financière susceptible d’être un blanchiment d’argent)

253
Q

Vol et crime contre les biens
Approche de groupe : Alternatives, Attitudes, and Associates Program (AAAP)

A

But : Intervenir sur les AAA avec des délinquants
Alternatives : Enseigner des habiletés de résolution de problèmes (alternatives au crime)
Attitudes : Modifier les attitudes, croyances et valeurs antisociales
Associations : Encourager des relations/associations prosociales
Efficacité : Non-documentée

254
Q

Prostitution
PEERS (Prostitute Empowerment Education and Resource Society)

A

Mise en contexte : Les travailleuses du sexe sont exposées à plusieurs risques
Ex : Violence, Abus de substance, Enjeux de santé physique et mentale, Itinérance
Objectif : Réduire les facteurs de risques en appliquant 4 principes
Choix : Soutenir les femmes peu importe si elles veulent quitter ou rester dans le travail du sexe
Habiletés : Développer des habiletés clés en misant sur les forces des femmes (ex: communication, négociation, travail sous pression, gestion de clients difficiles)
Réduction des torts : Offrir des interventions pour minimiser les torts (ex: traiter la dépendance)
Confiance : Les travailleuses du sexe organisent et livrent elles-mêmes les programmes d’aide
Efficacité : Non-documentée

255
Q

Crime organisé/gang 2 approches

A

Approche #1 : Démanteler le crime organisé
Ex : Interventions policières
Efficacité : Courte durée (les groupes sont habiles à se recomposer pour répondre aux demandes)
Ex : En 2002, Maurice «Mom» Boucher (chef de la branche montréalaise des Hells Angels) a été arrêté et incarcéré. Les Hells Angels ont néanmoins continué leurs activités et ont même évincé Mom de leur organisation en 2014

Approche #2 : Programmes communautaires
Ex : Augmenter la cohésion sociale pour dissuader de joindre les gangs
Ex : Offrir du soutien social pour sortir des gangs
Ex : Offrir des interventions pour améliorer le contrôle de soi
Efficacité : Mitigée (il est difficile d’implanter adéquatement de tels programmes)

Psychologie (3 decks)

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