Prévention Du Suicide Flashcards

1
Q

Pourquoi il y a un plus haut taux de suicide chez les hommes ?

A

Ils utilisent des moyens plus létales, ils vont moins chercher de l’aide

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2
Q

Quels facteurs pourraient expliquer les idées suicidaires chez les personnes âgées ?

A

Perte d’autonomie, deuil, douleur

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3
Q

Quels sont les facteurs de risque pour le groupe de 15-24 ans ?

A

Transition de vie, changements physiologiques, recherche identité, période sensible au développement de trouble de santé mentale

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4
Q

Les facteurs de risques se divisent en 3 trois catégories, quelles sont-elles ?

A

Facteurs prédisposants, facteurs contribuants et facteurs précipitants

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5
Q

Quels facteurs sont issus du passé de la personne ?

A

Facteur prédisposant

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6
Q

Quels sont des exemple de facteur prédisposant ?

A

Antécédents dans la famille, traumatismes en enfance, tentatives passées, chaumage, pauvreté

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7
Q

Quels facteurs augmente la vulnérabilité dans le moment présent ?

A

Facteur contribuants

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8
Q

Quels sont des exemples de facteurs contribuants ?

A

Consommation excessive d’alcool, instabilité familiale, refuser de l’aide, deuil récent, disponibilités des moyens pour se suicider.

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9
Q

Quels sont les facteurs éléments déclencheurs ?

A

Facteurs précipitants

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10
Q

Quels sont des exemples de facteurs précipitants ?

A

Conflits soudain, conflit avec la justice, condition de vie, rupture amoureuse, perte, échec

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11
Q

Qu’est-ce qui atténue les facteurs de risque et qu’on veut faire augmenter en tant qu’ergo ?

A

Facteur de protection

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12
Q

Nommer des exemples de facteurs de protection.

A

Vivre en couple, attitude optimiste, bonne santé globale, bon réseau de soutien, bonne stratégies d’adaptation

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13
Q

Les facteurs de protection peuvent se diviser en trois catégories. Quelles sont-elles ?

A

Individuelles, familiales et environnementales

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14
Q

Quelles type de ressources existe-il pour les personnes avec idées suicidaires ?

A

Centre de crise, centre d’appel téléphonique, urgence, clavardage en ligne

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15
Q

Participer dans des occupations de façon quotidienne représente:

A

Facteur de protection

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16
Q

Qu’est-ce qu’une approche orientée sur les solutions permet ?

A

Susciter l’espoir

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17
Q

Pourquoi c’est important de mobiliser les proches ?

A

Comprendre le type de soutien, les soutenir (ils peuvent se sentir impuissant)

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18
Q

Il se peut que le thérapeute ressente des émotions face aux propose quoi faire dans ce cas ?

A

Reconnaître, accepter, comprendre, se recentrer

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19
Q

Qu’est ce que ça peut faire si je tente de fournir des solutions trop vite ?

A

La personne pourrait se refermer, ça ne favorise pas son engagement, sa participation dans le processus.

20
Q

Quels sont des exemples de propos inquiétants ?

A

Adieux, désespoir, se dévaloriser

21
Q

Quels signes inquiétants l’entourage peut remarquer ?

A

Recherches de moyens, faire des dons, écrire son testament, modification des comportements à risque

22
Q

Un moment critique est quel type de facteur ?

A

Facteurs précipitants

23
Q

Nommer des exemples de moments critiques.

A

Perte significative, tentative de suicide dans son entourage, échec

24
Q

Quand les propos nous inquiète, quelle question doit-on poser ?

A

Avez-vous des idées suicidaires ?

25
Q

Pourquoi faut-il être clair et droit au but dans notre question ?

A

Pour avoir une réponse claire et faciliter notre évaluation. Pour enlever le tabou sur le sujet et ne pas laisser sous-entendre des doutes.

26
Q

Qu’est-ce qu’on répond si la personne répond oui aux idées suicidaires ?

A

Merci de votre confiance, c’est beaucoup de courage de vous confier à moi

27
Q

Qu’est-ce qu’on répond si la personne répond non aux idées suicidaires.

A

Je suis contente que vous ne soyez pas rendu là. Si jamais votre détresse se manifeste par ses idées nommer des ressources. Si les propos nous inquiètent on peut aussi dire: je suis vraiment inquiète, êtes-vous sur ?

28
Q

Vrai ou faux ? L’intervention du suicide se fait après l’évaluation comme d’habitude.

A

Faux. C’est en parallèle.

29
Q

Qu’est-ce qui est au cœur de nos interventions pour le suicide ?

A

L’espoir

30
Q

Le code de 4 couleurs nous permet de statuer sur quoi ?

A

Sur le niveau de dangerosité quant au passage à l’acte de la personne

31
Q

Que veut dire l’acronyme COQ ?

A

Comment, où, quand

32
Q

Quels sont les 6 facteurs de risque et de protection ?

A
  1. Tentative de suicide
  2. Capacité à espérer un changement
  3. Usage de substances
  4. Capacité à se contrôler
  5. Présence des proches
  6. Capacité à prendre soin de soi
33
Q

Comment on peut susciter l’espoir concrètement ?

A

Proposer des occupations qui offre de l’espoir aux personnes. Les trouver avec eux.

34
Q

Quelle approche est à prioriser pour le suicide ?

A

Approche axée sur les solutions

35
Q

Comment est-ce qu’on peut concrétiser l’approche axée sur les solutions ?

A

Trouver des solutions, Faire émerger les compétences, identifier des buts à atteindre, écoute empathique

36
Q

Sur quoi on travaille chez la personne suicidaire ?

A

Sur son ambivalence et faire ressortir la partie qui veut vivre.

37
Q

Quels sont les trois postulats de l’approche axée vers les solutions ?

A
  1. Si ça marche change le pas
  2. Si ça marche pas, change le
  3. Quand ça fonctionne refait le
38
Q

Quel genre de question on peut demander pour aider à la personne à se projeter dans le futur ?

A

Une question miracle

39
Q

À la fin de l’intervention, sur quoi faut-il statuer ?

A

Le niveau de danger

40
Q

Si la personne est dans le vert, qu’est-ce qu’on fait pour conclure ?

A

Orienter la personne

41
Q

Si la personne est dans le jaune, qu’est-ce qu’on fait pour conclure l’intervention ?

A

On réfère la personne vers une autre ressource.

42
Q

Si la personne est dans le orange ou le rouge, qu’est-ce qu’on fait pour conclure notre intervention ?

A

On l’accompagne vers les ressources, exemple, l’accompagner à l’urgence

43
Q

Qu’est-ce qu’on fait pour assurer la sécurité de la personne ?

A

On établit avec elle un plan d’action

44
Q

Si la personne refuse notre plan d’action qu’est-ce qu’on peut faire pour assurer la sécurité ?

A

Évaluer la pertinence d’une évaluation médicale pour une garde, recours à la loi P38.

45
Q

Que doit-on faire si le danger est imminent ?

A

Appeler la police

46
Q

Quelles interventions on peut faire en tant qu’ergo ?

A

Bâtir un hope kit, Élaborer plan de crise peu d’étapes, ajout d’activités significatives

47
Q

En tant que professionnel de la santé, pourquoi faut-il développer une tolérance au risque ?

A

La clientèle qu’on voit est vulnérable. On fait du mieux qu’on peut pour assurer sa sécurité, mais on n’est pas responsable du résultat.