Portrait des soins palliatifs Flashcards
Quelle est la définition des soins palliatifs?
Les soins palliatifs se définissent comme les soins offerts aux personnes atteintes de maladies graves limitant l’espérance de vie, ainsi qu’à leurs proches, sans égard au stade de la maladie.
Que visent les soins palliatifs?
Ils visent principalement à améliorer la qualité de vie des personnes qui en bénéficient et à soulager la souffrance dans toutes ses dimensions.
Quelle est la définition des soins palliatifs selon la Loi Québécoise concernant les soins de fin de vie?
les soins palliatifs sont ‘’ les soins actifs et globaux dispensés par une équipe interdisciplinaire aux personnes atteintes d’une maladie avec pronostic réservé, dans le but de soulager leurs souffrances, sans hâter ni retarder la mort, de les aider à conserver la meilleure qualité de vie possible et d’offrir à ces personnes et à leurs proches le soutien nécessaire ‘’
Quels sont les deux types de soins de fin de vie que l’on peut offrir?
- soins palliatifs offerts aux personnes en fin de vie
- aide médicale à mourir
Selon l’entrevue de Dr. Loiselle et Mme Barette, comment se sentent les gens en fin de vie dans la majorité des cas?
ils sont neutres ou sereins, ils sont prêts à partir
Selon l’entrevue de Dr. Loiselle et Mme Barette, quelles sont les conséquences de repousser une discussion sur les soins palliatifs?
- une personne peut décéder dans la souffrance
- une personne peut décéder dans la peur
Selon l’entrevue de Dr. Loiselle et Mme Barette, pourquoi les gens repoussent-ils le recours aux soins palliatifs?
puisqu’ils sont confrontés à la réalité que la personne va mourir et ils veulent repousser ce moment
Nommez 4 représentations des soins palliatifs, c’est-à-dire 4 mots qui représentent les soins palliatifs selon les croyances d’une personne.
- espoir
- confort
- mort
- abandon
Les gens ont souvent des conceptions erronées des soins palliatifs et des soins de fin de vie. Sur quels sujets sont ces conceptions erronnées?
- l’absence de distinction entre les soins palliatifs et les soins de fin de vie;
- Les buts visés par les soins palliatifs et la prise en charge des symptômes;
- Les acteurs impliqués dans la prestation de soins palliatifs;
- Les personnes pouvant bénéficier de la prestation de soins palliatifs.
Quand peuvent être faits les soins palliatifs chez la personne malade?
dès qu’une personne sait qu’elle va partir
Qu’est-ce qui est soulagé par les soins palliatifs?
la douleur, mais également la souffrance psychologique, physique, et émotionnelle
Quelle loi a changé la perception des soins de fin de vie?
La Loi 2
Qu’est-ce que la Loi 2 soutient?
Chaque québécois a droit à des soins palliatifs de qualité
Quelle est la durée des soins palliatifs?
variable selon les individus : certains sont en soins palliatifs dès l’annonce d’un cancer, d’autres le sont une journée avant la mort.
En tant qu’infirmière, que peut-on dire à une famille ou à la personne malade réticente d’avoir accès à des soins palliatifs afin de changer leur perception de ces soins?
On peut démystifier les soins palliatifs et faire de l’éducation :
- la vie est précieuse et la mort en fait partie
- la mort donne un sens à la vie
- on doit célébrer la vie et mettre l’accent sur celle-ci
Pourquoi les gens sont-ils plus informés sur l’AAM?
car cela a été très médiatisé
Vrai ou faux : L’AAM est l’équivalent de la sédation palliative
faux
Est-ce que l’AAM renforce ou diminue l’équité dans les soins de fin de vie?
Renforce, puisque certaines personnes ont moins accès aux soins palliatifs et aux soins de fin de vie, mais L’AAM est plus balisée, et donc plus accessible à la population (les gens marginalisés qui répondent aux critères peuvent y avoir accès)
Est-ce que les connaissances par rapport au suicide assisté et au protocole de détresse sont plus ou moins élevées?
Moins élevées
Est-ce que les connaissances des québécois par rapport à l’AMM et l’arrêt de traitement sont plus ou moins élevées?
plus élevées, elles sont satisfaisantes
Vrai ou faux : les québécois sont plus favorables à l’AMM qu’à la sédation palliative
vrai
Vrai ou faux : les connaissances et l’expérience influencent grandement l’attitude des gens par rapport aux soins palliatifs
faux. cela ne semble pas vraiment expliquer l’attitude
Quels facteurs influencent les connaissances sur les soins pallatifs?
- l’expérience d’accompagnement
- la scolarité
- la situation financière
Vrai ou faux : l’attitude par rapport aux pratiques varie peu parmi les groupes
faux. l’attitude varie davantage parmi les groupes
Qu’est-ce qui est un facteur d’influence en ce qui concerne les soins palliatifs?
la planification avancée
La maladie chronique entraine des sentiments ________ et de _________ ___________
d’isolement et de douleur psychologique
Vrai ou faux : habituellement, lors de l’annonce d’une maladie chronique, les amis se rassemblent pour aider la personne touchée
Faux, les amis ne veulent pas côtoyer une maladie chronique, les gens sont mis à l’écart
Qu’est-ce que permet l’activité d’accompagnement par l’art permet?
- permet de voir la vie plus large que seulement la maladie, et permet un approfondissement
- permet de ne pas mourir en colère, permet la paix intérieure
Vrai ou faux : les soins palliatifs sont synonyme d’abandon
Faux! Ils visent à maintenir la qualité de vie plutôt que de la prolonger, ce qui ne signifie pas l’abandon.
vrai ou faux : La morphine, ou autres opiacés, entraînent une sédation ou confusion importante
Faux! Bien qu’une sédation légère/modérée soit commune, celle-ci se dissipe habituellement en 3-5 jours; Il est possible d’ajuster la dose ou chercher une alternative sinon.
vrai ou faux : La morphine, ou autres opiacés, réduisent l’espérance de vie
Faux! Les opiacés, lorsqu’utilisés avec une dose initiale minimale et un titrage appropriés, ne réduisent pas la durée de vie et ne causent pas la mort.
Vrai ou faux : Ne pas pouvoir décéder à domicile est un échec
Faux! Plusieurs facteurs contribuent à déterminer le lieu de décès, c.-à-d. les préférences de la personne, la présence et la disponibilité des proches aidants, la nature des symptômes, etc. Si la situation ne permet pas le maintien à domicile, il ne s’agit pas d’un échec, dans la mesure où la personne reçoit les soins de la meilleure qualité possible.