PHYSIOLOGIE Flashcards
Composition de la membrane plasmique
- Couche périphérique externe glycoproténes, glycolipides, protéines périphériques) glycocalyx. –> marqueurs identité cellulaire
- histocompatibilité gr.ABO-Rh
- Double couche phospholipides (externe et interne)
- Couche protéique (protéines intégrées)
Propriété membrane plasmique
- Barrières relativement étanche
- Mobilité cellulaire due aux lipides et aux protéines
Fonctions membrane plasmique
- Transport des substances
- Barrière contre les agents nocifs
- Mouvement
- Échange d’informations
Spécialisation de la membrane plasmique
- Microvillosité (absorption intestinale)
- Cils vibratiles (poussières bronchiques)
Rôle mitochondrie
Fournir de l’énergie à la cellule à partir de la dégradation enzymatique des nutriments.
Fonction mitochondrie
- Phosphorylation oxydative : synthétiser et stocker de l’énergie sous forme d’ATP
- Cycle de Krebs : production ATP par dégradation glucides Métabolisme des acides gras (oxydation et synthèse)
- Concentration de certaines substances
Réticulum endoplasmique granuleux (REG)
Réseau membraneux de tubules et de sacs aplatis Granules = ribosomes
Rôles REG
- Produire des membranes internes et des vésicules de membrane
- Produire vésicules de transition destinées à l’assemblage des glycoprotéines et emballage
Étapes du REG pour production glycoprotéine
- REG capte les protéines que les ribosomes accrochés à sa membrane fabriquent.
- REG sucre ces protéines.
- REG emballe les glycoprotéines dans des vésicules de transition qui se dirigent vers l’appareil de Golgi.
Réticulum endoplasmique lisse (REL)
Réseau membraneux de tubules et de sacs aplatis (pas de ribosomes)
Rôle du REL
- Synthétiser des lipides.
- Détoxiquer les meds et drogues.
- Produire des membranes internes et des vésicules de membrane.
- Libérer le glucose vers le sang (cellules hépatiques)
- Accumuler des ions Ca+ (c. musculaires
Fonction lysosome
Défense cellulaire et phagocytose :
- digestion substances qui entrent dans la cellule par endocytose
- assurent l’autophagie (digestion d’organites usés)
- autolyse (digestion cellule entière)
- digestion extracellulaire
Lysosome
Vésicule membraneuse issue du complexe golgien contenant des enzymes (hydrolases), qui existent sous 2 formes
Formes lysosomes
- Lysosome primaire (phagosome)
- Lysosome secondaire (phagocytome ou pagolysosome)
Lysosome primaire (phagosome)
formé à partir de l’appareil de Golgi
Lysosome secondaire (phagocytome ou pagolysosome)
un primaire ayant fusionné avec d’autres vésicules et qui est impliqué dans la digestion cellulaire.
Cytosol
- Milieu hyalin et homogène baignent les organites cellulaires.
- Liquide intracellulaire qui constitue l’essentiel du contenu cellulaire.
- Composition voisine à celle du plasma avec quelques différences
Définition système
Notion arbitraire d’un ensemble d’éléments en interaction avec l’environnement.
Système ouvert
Peut échanger de la matière et de l’énergie
Système fermé
Peut échanger de l’énergie mais pas de matière
Système isolé
Ne réalise aucun échange avec l’extérieur
Expliquez l’équilibre métastable.
Concentration ionique différente de part et d’autre de la membrane avec dissymétrie de la répartition des charges électriques portées par les ions.
→ Polarisation électrique de la membrane (potentiel d’action) = indispensable au maintien de l’intégrité cellulaire (la vie)
→ Donc en déséquilibre thermodynamique.
Selon le 2e principe, tout système en état de déséquilibre thermo. évolue vers un état d’équilibre. Il y a alors un entrainement des mouvements d’ions à travers la membrane plasmique par diffusion passive (dictée par diff. de concentration électrochimiques).
→ Mais si on atteint l’équilibre, le «système cellule» serait équilibré mais mort. Un processus lutte alors contre cet équilibre, un mécanisme actif → pompe ionique ATPase Na+-K+ dépendante. → Maintient asymétrie → Équilibre métastable
Cybernétique
Science qui analyse des processus de contrôle et de communication entre les systèmes …. «sciences de l’ordinateur, mécanique et sociales…»
Biocybernétique
Science qui étudie des contrôles, communications ou de régulations des fonctions des systèmes de l’être vivant. Ensemble arbitrairement défini de tissus, d’organes, cellules reliés entre eux, pour accomplir une certaine fonction ou résultat.
Fonction homéostatiques
régulateurs en constance et régulateurs en tendance pour maintenir constants diff. paramètres physico-chimiques du milieu intérieur dans des valeurs compatibles avec la vie.
L’organisation d’une fonction homéostatique associe deux catégories de mécanismes dans le processus de régulation (régulateurs)
- Mécanisme passif
2. Mécanisme actif
Régulateur de constance
Système effecteur capable de réaliser une action (effet) dont la finalité dans le sens cybernétique est de maintenir un paramètre , la grandeur réglée ou de sortie (output), à une valeur constante, la grandeur de consigne.
Homéostat
Appareil ou système qui simule homéostasie
Système réglé
Compartiment par lequel est définie la grandeur réglée, caractérisé par son volume, par ses grandeurs d’entrée (débit entrée et sortie), et par sa grandeur de sortir (grandeur réglée).
Système réglant
Agit sur le système pour corriger les variations de la grandeur réglée et la maintenir proche de la grandeur de consigne. Il est informé en permanence sur le fonctionnement du système réglé par une voie de communication.
Émetteurs-capteurs (périphériques et centraux) du thermostat du corps humain
Thermorécepteurs localisés dans enveloppe cutanée et organes abdominaux. Thermorécepteurs centraux (principalement dans l’hypothalamus) sont les plus importants. La grandeur réglée étant la temp. centrale.
Transmetteurs du thermostat du corps humain
Système nerveux : nerfs sensoriels transmettent info des capteurs vers centre intégrateur (hypothalamus), et les voies nerveuses efférentes qui transmettent l’info. générée par ce centre intégrateur vers les effecteurs. Le centre intégrateur est considéré comme un élément associé au transmetteur.
Récepteurs-effecteurs du thermostat du corps humain
Plusieurs : muscles squelettiques, muscles lisses (vasodilatation et vasoconstriction), glandes sudoripares (évaporation sueur)
Rétroaction
- un effet en retour sur les grandeurs d’entrée, s’opposant à leurs variations et maintenant par la grandeur réglée au voisinage de la grandeur de consigne. C’est pour ce mécanisme que l’on utilise le terme de rétroaction.
- dans le cas sécrétion hormonale, un feedback hormonale sur le complexe hypothalamo-hypophysaire, mais pas en tant que représentation cybernétique du système de régulation
Pression osmotique assurée par :
potassium (K+) en intra-cellulairesodium (Na+) en extra-cellulaire
Régulation entrée/sortie de l’eau
- Entrées : la soif
- Sorties : hormone anti-diurétique (ou vasopressine)
Hormones anti-diurétique produite et secrété par?
Produite par l’hypothalamus et sécrétée par la post-hypophyse, en réponse :
- Augmentation de l’osmolalité plasmique
- Diminution du volume plasmatique
Régulation entrée/sortie du Na+
Entrée : aucune
Sortie : 2 facteurs hormonaux (aldostérone et facteur natriurétique auriculaire FNA)
Rôle aldostérone sur régulation Na+
En la diminuant (hyponatrémie) :Hormone minéralocorticoïde sécrétée par la corticosurrénale
Agit au niveau du rein en favorisant la réabsorption du Na+ vers le plasma (couplée à une sécrétion de K+ dans les urines)
Rôle FNA sur Na+
En l’augmentant (hypernatrémie) :Diminution de la réabsorption de sodium rénale et induit donc diminution rétention de l’eau.
Potassium (K+)
Cation intracellulaire majoritaire → déterminant pouvoir osmotique intracellulaire et donc du volume intracellulaire
Répartition potassium (K+) dans les cellules
98% intracellulaire2% extracellulaire : liquides interstitiels et plasma
Potassium régul par
Aldostérone (minéralocorticoïde surrénalien) agit tubules rénaux.
Mécanisme défense contre variation pH de l’organisme
→ Tampons intra et extra
a. Tampons bicarbonate (H2CO3/HCO3-)
b. Tampon phosphates (Acide phosphorique H3PO4)
c. Tampon hémoglobine
d. Tampon protéines
Dans conditions normales, maintien du pH assuré par
- Élimination H+ par le rein
- Élimination CO2 par poumon (ventilation alvéolaire)
Compartiment extracellulaire LEC
- Milieu intérieur de l’organisme délimité par les membranes cellulaires et capillaires.
- Divisé en deux compartiments séparés par le capillaire sanguin : 1. Secteur vasculaire 2. Secteur interstitiel
Lymphe
- Liquide interstitiel circulant dans vaisseaux lymphatiques. Se charge d’une partie des déchets de l’activité cellulaire via les tissus intercellulaires.
- Épurée par le passage dans les ganglions. Circule ensuite vers le coeur où elle rejoint la circulation sanguine par le conduit lymphatique droit et le conduit thoracique (gauche) et se jette dans la veine sous-clavière droite et gauche.
Trajet de la lymphe
capillaires sanguins → liquide interstitiel → capillaires sanguins → vaisseaux lymphatiques → conduits lymphatiques → veines sous-clavières → coeur
Rôle du conduit thoracique dans la régulation de la lymphe
Recueille lymphe de la moitié gauche du thorax, du grabs gauche, du côté gauche de la tête et du cou, et des jambes qui se déverse dans la sous-clavière gauche.
Rôle du conduit lymphatique droit dans la régulation de la lymphe
Recueille côté droit du thorax, cou, tête et visage, qui se déverse dans la veine sous-clavière droite.
Fonctions du système lymphatique
- Drainer le surplus de liquide interstitiel.
- Transport lipides alimentaires et vitamines absorbés par le tube digestif.
- Assurer les réponses immunitaires, production lymphocytes T et B.
Les échanges entre le plasma et liquide interstitiel sont dépendants de
- Perméabilité endothéliale capillaire
- Pression hydrostatique capillaire
- Pression osmotique (capillaire et interstitiel)
Échanges entre liquide interstitiel et cellules sont dépendants de
- spécificité (perméabilité sélective) du transport membranaire
- pression osmotique (extra et intracellulaire) cellulaire
Transport passif
transport de composées sans consommation d’énergie
- Diffusion simple
- Diffusion facilité
Diffusion simple
diffusion de composés directement à travers la bicouche lipidique.
Diffusion facilité
Transport de composés à travers la bicouche lipidique grâce à une protéine de transport spécifique.
Types transport membranaire
- Transport passif
- Osmose
- Transport actif
Osmose
mouvement de solvant (H2O) a travers une membrane semi-perméable, sous l’action d’une molécule osmotiquement active.
Transport actif
transport grâce à une protéine de transport et une consommation d’énergie (ATP) contre le gradient électrochimique.
Deux cellules de types endocrines (selon type de sécrétion
A. sécrétrice de protéines
B. sécrétrice d’hormones stéroïdes
Caractéristiques des cellules sécrétrices de protéines
- Noyau volumineux (centre synthèse ribosomes)
- réticulum endoplasmique granulaire et un appareil de Golgi
- Présence de vésicule (ou grains) de sécrétion
Caractéristiques de cellues sécrétrices d’hormones stéroïdes
- Réticulum endoplasmique lisse très développé
- Mitochondries sont abondantes et possèdent des crêtes à forme tubulaire et non lamellaire comme dans la grande majorité des mitochondries
- Présence de vacuoles lipidiques c-a-d des composants intracellulaires dotés d’une membrane et contenant un matériel lipidique.
Trois familles d’hormones
- Hormones peptidiques
- Hormones stéroïde
- Hormones dérivées de la tyrosine
Hormones peptidiques
caractère hydrophile (incapables de franchir la membrane plasmique)
Hormones stéroïdes
précurseur est le cholestérol, lipophiles franchissent la membrane plasmique de la cellule cible
Hormones dérivées de la tyrosine (acide aminé)
- Hormones des glandes thyroïdiennes
2. Hormones catécholaminergiques sécrétées par les médullosurrénales (adrénaline, noradrénaline et dopamine).
Étapes de la synthèse des hormones peptidiques
- Transcription du gène en acide ribonucléique messager (ARN-m) noyau
- Traduction de l’ARN-m en acides aminés (molécule protéine), ribosomes
- Maturation du polypeptide dans les organites de la cellule endocrine (RE et Golgi)
- Exocytose conduisant à la sécrétion de l’hormone
Étapes d’activation de la synthèse des hormones peptidiques
- Transcription d’un gène codant un précurseur de l’hormone plus long que l’hormone active : la pré-pro-hormone.
- Lorsque la protéine est entièrement synthétisé, le peptide signal (radical pré) est clivé et la pro-hormone migre dans l’appareil de Golgi et est stockée dans les vésicules golgienne.
- La pro-hormone est clivé ensuite par des enzymes intra-vésiculaires (endopeptidases) permettant la formation de l’hormone active.
Les étapes de la synthèse des stéroïdes
1) Stockageducholestérol
2) Transport du cholestérol vers les mitochondries
3) Synthèse intra-mitochondriale de métabolites du cholestérol.
4) Les métabolites du cholestérol diffusent ensuite jusqu’au réticulum endoplasmique et sont convertis en hormones actives par un ensemble d’enzymes.
5) Les hormones actives diffusent ensuite librement à travers la membrane plasmique, et rejoignent la circulation sanguine.
Étapes de la synthèse des hormones thyroïdiennes
1) Captation de l’iode.
2) Fixation de l’iode
3) Couplage
4) Stockage
5) Libération
Deux éléments sont essentiels dans le codage du message hormonal
1) La modulation d’amplitude- variations dans la concentration plasmatique de l’hormone.
2) La structure chimique tri- dimensionnelle de la molécule (structure moléculaire) spécifie l’information qu’elle véhicule.
Transmetteur et récepteurs de la communication hormonale
- Transmetteur : plasma sanguin
- Récepteur : cellules cible
Pourquoi est-ce qu’on dit que les notions d’émetteur et récepteur sont relatives?
Car les voies de communication, sont souvent associées. Le récepteur d’une voie pouvant constituer
l’émetteur d’une autre voie.
Par exemple, les systèmes nerveux et endocrinien s’associent en série tant dans le système nerveux central ( complexe hypothalamo-hypophysaire ) que dans le système nerveux périphérique ( glande médullosurrénale ).
La transmission de l’information entre le récepteur moléculaire et site effecteur ce fait grâce a
un transducteur qui « transforme » l’information pour produire une réaction biochimique intracellulaire et une activation de l’effecteur ( réponse biologique ).
5 caractéristiques de la réception extracellulaire
1- Récepteur constitué d’une protéine des sept domaines transmembranaires en hélice.
2 -Couplage avec une classe de protéines essentielles pour transduction intracellulaire du signale: les protéines G.
3- Activation de l’enzyme l’adénylate cyclase et synthèse d’AMPc ( Second Messenger ).
4- Activation d’une cascade de réactions de phosphorylation via la stimulation de la protéine kinase ( PKA ).
5- Amplification du message et effets biologiques: activation autres enzymes, modification de la perméabilité membranaire, synthèse de protéines, déclenchements de sécrétions… …..effets biologiques.
5 caractéristiques de la réception intracellulaire
1- Récepteurs essentiellement nucléaire.
2- Couplage de l’hormone avec le récepteur et modification de la conformation stérique du récepteur ( permet de se lier a l’ADN ).
3- Liaison avec une séquence spécifique d’ADN.
4- Activation ( ou inhibition ) de la transcription de gènes. 5- Synthèse de nouvelles protéines ( effet biologique ).
Notion de pulsatilité de la sécrétion hormonale
Phénomène par lequel la sécrétion des hormones n’est pas effectuée de façon linéaire, mais comme des impulsions d’amplitude et de fréquence différentes.
Types de commandes de la sécrétion hormonale
- Commande de nature hormonale
- Commandes nerveuses
- Commandes chimiques*
- Commandes ioniques*
*humorale
Dans le cas des commandes hormonales, la stimulation et la sécrétion de l’hormone et sous contrôle par mécanisme de …
rétrocontrôle inhibiteur ou rétrocontrôle stimulateur.
Les types de cellules gliales
- Les cellules microgliales
- Les astrocytes
- Les cellules épendymaires
- Les oligodendrocytes
Les cellules microgliales
- petite taille
- noyau arrondi ou ovalaire dense
- Elles proviennent des cellules sanguines ( monocytes/macrophages ) et pénètrent dans le SNC
- participent à la défense du tissu cérébral et à la réaction inflammatoire. Elles assurent des fonctions immunes telles que l’élimination des débris cellulaires.
Les astrocytes
- forme étoilé
- nombreux prolongements autour de la cellule et forment une sorte de squelette qui joue un rôle de support structural au sein du SNC.
- rôle nourricier , Les pieds astrocytaires entourent les capillaires sanguins qui irriguent le cerveau, constituant la couche interne de la barrière hémato-encéphalique (BHE).
- impliqués dans la formation des NT
Les cellules épendymaires
- forme cylindrique
- taille variable
- constituent paroi des cavités cérébrales contenant le liquide céphalo-rachidien (LCR)
- barrière filtrante qui règle les échanges entre le LCR et le système nerveux central.
Les oligodendrocytes
- plus petits que les astrocytes.
- rôle essentiel dans la formation de la myéline du S.N.C.
- Leurs prolongements sont à l’origine des gaines de myéline qui entoure les axones
des fibres nerveuses et permet d’accélérer la transmission de l’influx nerveux.
Myéline formée par quelles cellules dans SNP et SNC
- SNP : Cellules de Schwann (neurolemmocytes)
- SNC : Oligodendrocytes (encéphale et moelle épinière)
Surface axonale contient des charge négative (-) interne et positive (+) externe, grâce a l’action de…
la pompe ATPase Na+ K- dépendante et les Protéines-.
Le pic de dépolarisation correspond à …
entrée massive Na+ dans la cellule
La repolarisation correspond à…
ouverture des canaux potassiques avec une sortie du K+ de la cellule.
L’émetteur-capteur de la voie de communication neuronale
- constitué de l’ensemble des dendrites et corps somatiques du neurone.
- contient les jonctions post-synaptiques.
- transforme un message chimique en message électrique le potentiel post- synaptique ( PPS ).
- génère une dépolarisation du complexe somato-dendritique PPSE ou PPSI.
- sommation des potentiels ( PPSE/PPSI ).
- déclenche potentiel d’action ( PA ) au début l axone.
Transmetteur de la voie de communication neuronale
- constitué de l’axone.
- propage le message nerveux le long de l’axone par phénomène
de dépolarisation repolarisation de la membrane axonale ( PA .) - la propagation est toujours dans un seul sens.
Récepteur – effecteur de la voie de communication neuronale
- constitué de l’extrémité axonale ( arborisation ), élément pré-synaptique.
- l’exocytose de vésicules et libération du neurotransmetteur.
- transforme une information électrique en information chimique synaptique, c’est donc aussi un transducteur.
10 Étapes d’une synapse
- Synthèse du neurotransmetteur dans la région pré-synaptique, par réaction en chaîne d’enzymes spécifique.
- Stockage des NT dans vésicules à extrémité axonale pré-synaptique.
- Libération du contenu des vésicules par le potentiel d’action, processus qui implique l’exocytose des vésicules dans la fente synaptique. Provoqué par l’ouvertures des canaux spécifiques du Ca 2+ de la membrane axonale.
- Libération du NT dans la fente synaptique. Le neurotransmetteur se lie a ses récepteurs spécifiques localisés sur la membrane post-synaptique
- Conduction des potentiels post-synaptiques. Réponse du neurone post-synaptique par dépolarisation ( excitateur ) ou hyperpolarisation ( inhibiteur ) de la membrane du neurone.
- Processus de vidange de la synapse par recapture du neurotransmetteur vers la terminaison pre-synaptique ( système de pompe ). Prozac / sératonine
- Re-stockage du neurotransmetteur dans les vésicules .
- Dégradation ( neurotransmetteur ) par des enzymes intracellulaires spécifiques.
- Dégradation par des enzymes dans la fente synaptique.
- Des récepteurs spécifiques du neurotransmetteur existent sur la membrane pré-synaptique, lorsque le neurotransmetteur s’y fixe il en résulte une transduction intracellulaire dans la terminaison axonale. Ceci provoque une inhibition de la libération vésiculaire. Il s’agit d’une rétroaction négative.
Émetteur-capteur de la communication synaptique
est constitué par le récepteur-effecteur de la voie de communication neuronale. Il est formé par élément de l’arborisation axonale, le bouton pré-synaptique. Présence de vésicules avec réserve importante de neurotransmetteur. E-C transforme le message électrique en message chimique.
Transmetteur de la communication synaptique
formé par la fente synaptique. La concentration du neurotransmetteur dans la fente synaptique représente le paramètre signifiant du message nerveux chimique au sein de la voie de communication synaptique
Récepteur-effecteur de la communication synaptique
formé complexe somato- dentritique et représente émetteur-capteur du neurone suivant. Liaison avec récepteurs spécifiques et activation post-synaptique
( ionique ou chimique ) qui se traduit par la genèse d’un potentiel post-synaptique.
Division du SNP
- SN somatique
- SN autonome
- SN entérique
(afférente/sensitive et efférente/motrice)
Division du SN autonome (système inconscient)
- Sympathique (orthosympathique)
2. Parasympathique
SN parasympathique
- inhibiteur
- régule le milieu intérieur en situation basale
SN sympathique
- excitateur
- agit en situation de stress, mobilise l’énergie
nécessaire en réponse aux situations de stress.
SN entérique
- cerveau de l’intestin
- Un grand nombre des neurones des plexus entériques fonctionnent de manière relativement indépendante du SNA et du SNC; ils communiquent néanmoins avec le SNC par l’intermédiaire de neurones sympathiques et parasympathiques.
Neurones sensitifs du SN entérique
peuvent être de type mécano-, thermo-, ou chémorécepteurs (pH , étirement )
Neurones moteurs du SN entérique
régissent la contraction muscles lisses tube digestif ( péristaltisme ), sécrétion
des glandes endocrines et l’activité sécrétrice estomac ( acide ).
NT associés au SN somatique
Acetylcholine
Un relais synaptique.
NT associé au SN parasympathique
Acétylcholine ( neurone pré-et
postganglionnaire ).
NT associé au SN sympathique
Acétylcholine ( neurone préganglionnaire ).
Noradrénaline et l‘Adrénaline ( neurone postganglionnaire ).
Fonction SN parasympathique
ralentissement général des organes, stimulation du
système digestif
Fonction SN sympathique
correspondant à la mise en état d’alerte de l’organisme et à la préparation à l’activité physique et intellectuelle.
Principaux NT de la classe excitateur
- acétylcholine
- familly des catécholamines (dopamine, noradrénaline, adrénaline)
- sérotonine
- acides aminées excitateurs (principalement acide glutaminque et acide aspartique)
Principaux NT de la classe inhibiteur
- GABA (acide gamma-aminobutyrique)
- Glycine
Émetteurs-capteurs-extérocepteurs du SN somatique
les cinq fonctions sensorielles: la vue, l’audition, l’odorat, le goût et le toucher ( proprioception ). Peau, articulations et muscles.
Récepteurs-effecteurs-extérofecteurs du SN somatique
les muscles striés squelettiques
émetteurs - capteurs- intérocepteurs du SN viscéral/autonome
en relation avec milieu interne.
Sensibilité viscérale: douleurs gastriques, coliques, douleurs du coeur,
distension voie urinaires.
Capteurs sensoriels: variations physico-chimiqes ( thermorécepteurs, barorécepteurs, glucorécepteurs ).
Récepteurs- effecteurs- intérofecteurs du SN viscéral/autonome
les muscles lisses des viscères, le muscle strié cardiaque, les glandes exocrines, les glandes endocrines.
Les transmetteurs de la voie de communication nerveuse
- Les nerfs sensoriels périphériques propagent le message nerveux sensoriel des intérocepteurs et extérocepteurs vers le S.N.C.
2) Le S.N.C. intègre cette info nerveuse sensorielle et permet la transmission d’un message modulé en fonction de la nature du message afférent. Les fonctions cognitives de l’encéphale interviennent également dans l’élaboration du message.
3) Les nerfs moteurs périphériques propagent le message nerveux moteur du S.N.C. vers les extérofecteurs et intérofecteurs du système nerveux somatique et visceral.
Les trois voies de communication associées en séries de l’Axe hypothalamo-hypophysaire
- Une voie de communication hormonale hypothalamique.
- Une voie de communication associée a l’adénohypophyse.
- Une voie de communication associée a la glande endocrine
périphérique.
Émétteur/capteur, transmetter et récepteur/effecteur de la voie de communication hormonale hypothalamique
- l’émetteur-capteur : une neurone parvocellulaire hypothalamique, le messager chimique est une hormone « libérine »
- transmetteur : le sang portal du
SPHH - récepteur-effecteur : une cellule endocrine adénohypohysaire.
Émétteur/capteur, transmetter et récepteur/effecteur de la voie de communication associée à l’adénohypophyse
- l’émetteur-capteur : le récepteur hypophysaire de la première voie, le messager chimique est une hormone ( stimuline),
- transmetteur : le sang
- récepteur-effecteur : les cellules d’une glande endocrine périphérique
Émétteur/capteur, transmetter et récepteur/effecteur de la voie de communication à la glande endocrine périphérique
- émetteur-capteurs : les récepteurs périphériques ( glande endocrine périphérique )
- transmetteur : sang
- récepteur-effecteurs : les cellules cibles effectrices qui expriment le récepteur de l’hormone périphérique.
L’axe corticotrope comprend quoi?
Comprend les voies de communication hormonales de la corticolibérine ( CRH ) et de la vasopressine ( AVP ou ADH ), hormones hypothalamiques qui stimulent la libération de la corticostimuline ( ACTH ) par les cellules corticotropes adénohypophysaires. Les cellules cibles de l’ACTH sont de la glande corticosurrénale qui sécrètent les glucocorticoïdes.
Rôle des glucocorticoïdes
1) Métabolisme glucidique
2 ) Métabolisme protéique
3) Métabolisme lipidique
L’axe thyréotrope comprend quoi?
Comprend la voie de communication hormonale de la thyréoliberine ( TRH ), hormone hypothalamique qui stimule la libération de la thyréostimuline ( TSH ) par les cellules thyréotropes adénohypohysaires. Les cellules cibles sont celles de la glande thyroide, en réponse elles sécrètent les hormones thyroïdiennes T3 et T4.
L’axe gonadotrope comprend quoi?
Comprend la voie de communication hormonale de la gonadolibérine ( GnRH ), hormone hypothalamique qui stimule la libération des gonadostimulines ( FSH et LH ) par les cellules gonadotropes adénohypophysaires.
Fonction FSH chez l’homme
la cible de la FSH sont les cellules de Sertoli dans les tubes séminifères. Contrôlent l’évolution de la spermatogenèse, et jouent un rôle nourricier pour le spermatozoïde en maturation . Les cellules cibles de la LH sont les cellules de Leydig ou cellules interstitielles des testicules, responsables de sécrétion de testostérone.
Fonction FSH chez la femme
la FSH et LH contrôlent le cycle menstruel. La cible de la FSH sont les cellules folliculaires ( Granulosa ) , responsables de la sécrétion de la progestérone et de l’estradiol. La FSH contrôle la maturation folliculaire. La cible de la LH sont principalement les cellules de la thèque, responsables de la sécrétion de testostérone ovarienne.
La LH et FSH sont aussi responsables en milieu du cycle menstruel de l’ovulation.
L’axe somatotrope comprend quoi?
Comprend les voies de communication hormonales de la somatolibérine ( GRH ) et de la somatostatine ( SRIH ), hormones hypothalamiques qui agissent sur les cellules somatotropes adénohypophysaires.
Rôle GRH et SRIH
La GRH induit une augmentation de la sécrétion d’hormone de croissance ( GH ) et la SRIH induit une diminution de la sécrétion de GH.
Tout sur l’axe lactotrophe (prolactine)
Plusieurs hormones peptidiques hypothalamiques stimulant l’axe ont été mises en évidence, la plus importante est la TRH. ( …..endorphines )
Hypothalamus exerce essentiellement une action inhibitrice sur la sécrétion de prolactine. La neurohormone responsable de cette inhibition est une amine biogène, la dopamine , sécrétée par les neurones dopaminergiques parvocellulaires. Les cellules cibles sont les cellules lactotropes de l’adénohypophyse, libérant la prolactine ( PRL ). Les cellules cibles de la PRL sont des glandes mammaires qui synthétisent le lait.
Hormones peptidiques sécrétées via la neurophypophyse
ocytocine et la vasopressine.
Fonction ocytocine (OT)
- sécrétée en quantité importante chez la femme durant l’accouchement et la lactation.
- L’OT synchronise et stimule la contraction de fibres musculaires lisses au niveau de l’utérus ( facilitant la parturition ) et des glandes mammaires ( facilitant l’éjection du lait au cours de la tétée )
Fonction vasopressine (AVP)
- diminue le volume des urines en augmentant la perméabilité à l’eau du tube collecteur du rein.
- activité vasoconstrictrice ( hypertensive ).
La libération de la vasopressine est sous le contrôle de
baro- et d’osmorécepteurs ( des cellules spécialisées au niveau du cœur et de l’hypothalamus respectivement ).
La surrénale est constitué deux tissus d’origine embryonnaire distincte:
- partie externe : corticosurrénale
- partie interne : médullosurrénale
La partie externe de la surrénale (la corticosurrénale) est d’origine … et a comme fonction?
est d’origine mésodermique elle synthétise et sécrète des stéroïdes.
La partie interne de la surrénale (médullosurrénale) est d’origine …. et fait partie du …
est d’origine nerveuse et fait partie du système nerveux végétatif orthosympathique ( sympathique )
L’activation du SNA sympathique a une conséquence de nature endocrine avec la libération de deux familles de molécules hormonales
- les catécholamines
- les neuropeptides.
catécholamines
adrénaline, noradrénaline, dopamine
neuropeptides
enkephalines, vasoactive intestinal peptide ( VIP ),
neuropeptide Y, chromogranine A ……
L’action des catécholamines va s’exercer par l’intermédiaire de 3 grandes classes de récepteurs :
les récepteurs alpha et bêta adrénergiques, et les récepteurs dopaminergiques ( Da ).
Réaction de l’organisme face au stress
« le syndrome général d’adaptation » . L’organisme répond par une libération massive de glucocorticoïdes par la glande surrénale et une mobilisation du SNA sympathique et libération adrénaline, noradrenaline et dopamine.
Divisé en trois phases
Les phases de l’organismes face au stress
- La phase d’alarme.
- La phase de résistance.
- La phase d’épuisement.
Phase d’alarme
A cour terme la réaction d’alarme est dominée par la réponse du SNA sympathique avec deux composante:
- La composante nerveuse: augmentation du tonus du SNA sympathique.
2) La composante endocrine: Libération massive de l’adrénaline par la médullosurrénale sous le contrôle stimulateur du nerf splanchnique ( SNA ).

La phase de résistance
- Si la réponse déclenchée par la réaction d’alarme n’est pas efficace et l’agrésseur
maintient son intervention sur l’organisme, - La mobilisation de l’axe hypothalamo-hypophysaire corticotrope: il met en jeu
l’axe hypothalamo-hypophysaire corticotrope met en jeu …
trois niveaux de communication les neurones hypothalamiques synthétisent la CRH et AVP, la voie de communication hormonale de ACTH adénohypophysaire et la voie de communication hormonale des glucocorticoïdes.
Les effets des glucocorticoïdes ( cortisol ) à court et à moyen terme sont essentiellement exercés sur le métabolisme des glucides, protidique et lipidique. Ceci pour mettre à la disposition de l’ organisme les métabolites énergétiques dont ses cellules ont besoin
Phase d’épuisement
- L’état de stress prolongé.
- Caractérisé par:
1) Impossibilité d’agir a de nouvelles agressions.
2) Effets négatifs de concentrations élevés de glucocorticoïdes sur l’organisme.
3) Diminution éventuelle de la capacité de sécrétion en glucocorticoïdes ( épuisement ).
–> la mort peut survenir