Philosophie Flashcards
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Quels sont les objectifs principaux de l’enseignement de la philosophie en terminale générale ?
L’enseignement de la philosophie en terminale vise à former le jugement critique des élèves et à les instruire par l’acquisition d’une culture philosophique initiale. Les deux objectifs sont étroitement liés, car le jugement s’exerce avec discernement lorsqu’il s’appuie sur des connaissances maîtrisées, et une culture philosophique initiale est nécessaire pour poser, formuler et résoudre des problèmes philosophiques.
Quels sont les trois perspectives principales du programme ?
- L’existence humaine et la culture 2. La morale et la politique 3. La connaissance
Quels sont les objectifs principaux de l’enseignement de la philosophie en terminale générale ?
L’enseignement de la philosophie en terminale vise à former le jugement critique des élèves et à les instruire par l’acquisition d’une culture philosophique initiale. Les deux objectifs sont étroitement liés, car le jugement s’exerce avec discernement lorsqu’il s’appuie sur des connaissances maîtrisées, et une culture philosophique initiale est nécessaire pour poser, formuler et résoudre des problèmes philosophiques.
Quels sont les trois perspectives principales du programme ?
- L’existence humaine et la culture 2. La morale et la politique 3. La connaissance
Absolu
Ce qui existe indépendamment de toute condition ou relation. Exemple : la vérité absolue.
Relatif
Ce qui dépend d’autres éléments ou d’une certaine perspective. Exemple : la morale relative selon les cultures.
Abstrait
Ce qui est détaché du contexte immédiat, général ou conceptuel. Exemple : la justice en tant que concept.
Concret
Ce qui est perceptible, ancré dans la réalité sensible. Exemple : un tribunal en tant qu’institution concrète.
En acte
Ce qui est réalisé, accompli, effectivement présent. Exemple : une graine devenue arbre.
En puissance
Ce qui a le potentiel de se réaliser. Exemple : une graine en tant qu’arbre en puissance.
Analyse
Démarche consistant à décomposer un tout en éléments plus simples. Exemple : analyse d’un texte.
Synthèse
Démarche consistant à rassembler différents éléments pour former un tout. Exemple : synthèse d’une théorie.
Concept
Idée générale ou abstraite permettant de saisir les caractéristiques essentielles d’une réalité. Exemple : concept de liberté.
Image
Représentation visuelle ou mentale d’un objet ou d’une idée. Exemple : une peinture représentant la liberté.
Métaphore
Figure de style consistant à remplacer un terme par un autre en raison d’une analogie. Exemple : “un océan de douleur” pour signifier une grande souffrance.
Contingent
Ce qui pourrait ne pas être ou être autrement. Exemple : la couleur des cheveux.
Nécessaire
Ce qui ne peut pas ne pas être ou être autrement. Exemple : la mortalité humaine.
Croire
Tenir quelque chose pour vrai sans preuve irréfutable. Exemple : croire en une divinité.
Savoir
Tenir quelque chose pour vrai avec une preuve ou une justification rationnelle. Exemple : savoir que la Terre est ronde.
Essentiel
Ce qui appartient à la nature même d’une chose, ne pouvant être modifié sans altérer son identité. Exemple : l’humanité d’un individu.
Accidentel
Ce qui ne modifie pas la nature fondamentale d’une chose. Exemple : la couleur des cheveux d’un individu.
Expliquer
Rendre intelligible par l’analyse des causes ou des lois. Exemple : expliquer un phénomène naturel.
Comprendre
Saisir le sens ou la signification d’un phénomène. Exemple : comprendre une motivation personnelle.
En fait
Ce qui est dans la réalité telle qu’elle est. Exemple : un pays dirigé par un dictateur.
En droit
Ce qui devrait être selon les normes légales ou morales. Exemple : un pays qui devrait être une démocratie.
Idéal
Ce qui est parfait ou conforme à un modèle, mais n’existe pas nécessairement dans la réalité. Exemple : une société idéale.
Réel
Ce qui existe objectivement dans la réalité. Exemple : une société telle qu’elle est.
Identité
Ce qui fait qu’une chose est la même qu’elle-même malgré le changement. Exemple : identité personnelle au fil du temps.
Égalité
Absence de discrimination entre les individus. Exemple : égalité des droits.
Différence
Caractéristique qui distingue un individu ou un objet d’un autre. Exemple : différences culturelles entre les pays.
Impossible
Ce qui ne peut pas être ou se produire. Exemple : un cercle carré.
Possible
Ce qui peut être ou se produire. Exemple : une éclipse solaire.
Intuitif
Connaissance immédiate, directe, sans passer par le raisonnement. Exemple : saisir intuitivement une mélodie.
Discursif
Connaissance obtenue par le raisonnement et l’analyse. Exemple : démontrer une théorie scientifique.
Légal
Ce qui est conforme aux lois en vigueur. Exemple : un contrat légalement valable.
Légitime
Ce qui est moralement justifiable. Exemple : une révolution légitime contre une dictature.
Médiat
Ce qui nécessite un intermédiaire pour être perçu ou compris. Exemple : comprendre une théorie via un manuel.
Immédiat
Ce qui est perçu ou compris directement, sans intermédiaire. Exemple : ressentir la chaleur du soleil.
Objectif
Ce qui existe indépendamment des préférences ou opinions individuelles. Exemple : une donnée scientifique objective.
Subjectif
Ce qui dépend du point de vue ou des préférences d’un individu. Exemple : une appréciation subjective d’une œuvre d’art.
Intersubjectif
Ce qui est partagé par plusieurs sujets, formant un consensus. Exemple : une norme sociale intersubjective.
Obligation
Ce que l’on doit faire selon les normes morales ou légales. Exemple : l’obligation de payer ses impôts.
Contrainte
Ce que l’on fait par force ou par pression extérieure. Exemple : agir sous la contrainte de la peur.
Origine
Point de départ ou cause première d’un phénomène. Exemple : origine historique d’une tradition.
Fondement
Principe ou base rationnelle sur lesquels repose une connaissance ou une institution. Exemple : les droits de l’homme comme fondement du droit international.
Persuader
Obtenir l’adhésion de quelqu’un en jouant sur ses émotions ou sa sensibilité. Exemple : persuader un enfant de ne pas toucher un objet dangereux.
Convaincre
Obtenir l’adhésion de quelqu’un par des arguments rationnels. Exemple : convaincre un collègue avec des preuves scientifiques.
Principe
Proposition générale servant de base à un raisonnement ou à une action. Exemple : le principe de non-contradiction.
Cause
Événement ou facteur qui produit un effet. Exemple : la foudre comme cause d’un incendie.
Fin
But ou objectif d’une action. Exemple : la santé comme fin d’une pratique sportive.
Public
Ce qui concerne l’ensemble des citoyens ou l’État. Exemple : les biens publics.
Privé
Ce qui concerne les individus ou un groupe restreint. Exemple : la vie privée.
Ressemblance
Similarité entre deux choses. Exemple : ressemblance entre deux frères.
Analogie
Similarité de structure ou de relation entre deux ensembles différents. Exemple : analogie entre le système solaire et un atome.
Théorie
Ensemble d’idées ou de principes organisés en un système explicatif. Exemple : la théorie de l’évolution.
Pratique
Mise en application concrète d’une théorie ou d’un savoir. Exemple : l’application de la médecine.
Transcendant
Ce qui est au-delà ou extérieur à une réalité donnée. Exemple : Dieu comme être transcendant au monde.
Immanent
Ce qui fait partie intégrante d’une réalité donnée. Exemple : la divinité immanente dans le panthéisme.
Universel
Ce qui concerne ou s’applique à tous sans exception. Exemple : les droits universels de l’homme.
Général
Ce qui concerne ou s’applique à la majorité des cas. Exemple : la plupart des lois naturelles.
Particulier
Ce qui concerne un individu ou un groupe restreint. Exemple : une coutume particulière à une région.
Singulier
Ce qui est unique ou exceptionnel. Exemple : un talent singulier pour la musique.
TRUE
Ce qui correspond à la réalité ou à la logique. Exemple : une proposition scientifiquement vérifiée.
Probable
Ce qui a une forte probabilité d’être vrai. Exemple : l’arrivée probable d’une tempête annoncée par les météorologues.
Certain
Ce qui est connu comme vrai sans doute possible. Exemple : la rotation de la Terre autour du Soleil.
Quelle est la distinction entre l’art et la technique ?
L’art vise la création d’œuvres dotées d’une valeur esthétique ou symbolique, tandis que la technique est orientée vers l’efficacité pratique et utilitaire.
L’art doit-il imiter la réalité ?
La mimesis (imitation) est une théorie classique selon laquelle l’art doit imiter la nature ou la réalité. Platon critique cette notion comme trompeuse, tandis qu’Aristote la voit comme source d’apprentissage. Cependant, les mouvements modernes comme le cubisme et l’abstraction rejettent cette imitation.
L’art peut-il révéler la vérité ?
Pour Heidegger, l’art est un moyen de dévoiler la vérité en rendant visible ce qui est caché. Cependant, Platon considérait l’art comme éloigné de la vérité car il s’agirait d’une simple imitation du monde sensible, lui-même imitation du monde des Idées.
Quelle est la place de l’émotion dans l’art ?
L’art suscite des émotions chez le spectateur, comme la catharsis évoquée par Aristote dans la tragédie. Kant considère que le sentiment du beau provoque une satisfaction désintéressée. Tolstoï, en revanche, insiste sur le rôle de la communication des émotions par l’art.
Y a-t-il des critères objectifs pour juger une œuvre d’art ?
Kant soutient que le jugement esthétique, bien que subjectif, prétend à l’universalité grâce au “sens commun”. Hume, lui, reconnaît l’existence de critères établis par un “public éclairé”. Cependant, la modernité (notamment avec le ready-made de Duchamp) remet en question ces critères.
L’art doit-il être moralement acceptable ?
Platon propose de censurer l’art qui nuit à l’ordre moral et social, tandis qu’Aristote considère que la tragédie purifie les émotions par la catharsis. Aujourd’hui, l’art engagé cherche souvent à dénoncer les injustices sociales et politiques.
L’art est-il autonome ?
Pour Kant, l’art est autonome car il ne vise ni utilité ni morale. Hegel le considère comme une forme d’expression de l’Esprit absolu. Cependant, les mouvements comme le réalisme et l’art engagé insistent sur la dimension sociale et politique de l’art.
Quelles sont les relations entre art et beauté ?
Pour Platon, l’art doit refléter la beauté idéale. Kant considère le beau comme un sentiment désintéressé. Nietzsche, en revanche, oppose l’art apollinien (beau, mesuré) à l’art dionysiaque (exubérant, irrationnel). La modernité sépare de plus en plus l’art de la beauté.
Quel est le rôle de l’intention de l’artiste dans l’œuvre d’art ?
Les formalistes estiment que l’intention de l’artiste n’a pas d’importance et que l’œuvre doit être jugée en elle-même. D’autres, comme Tolstoï, pensent que l’intention de l’artiste de communiquer des émotions est fondamentale.
L’art peut-il être défini ?
Certains, comme Collingwood et Tolstoï, définissent l’art par la communication des émotions. D’autres, comme Danto, suggèrent que toute définition est impossible car l’art évolue constamment. Goodman propose que l’art soit défini par ses symboles et systèmes de représentation.
Quelle est la distinction entre l’art et la technique ? - “EXEMPLE
Les Tournesols (1888, Vincent Van Gogh) en tant qu’œuvre d’art, comparé à une machine à coudre qui est un produit de la technique.
L’art doit-il imiter la réalité ? - “EXEMPLE
Les Demoiselles d’Avignon (1907, Pablo Picasso) rompt avec la mimesis traditionnelle en offrant une représentation cubiste des figures féminines.
L’art peut-il révéler la vérité ? - “EXEMPLE
La Maison du Peuple (1902, Victor Horta) illustre la transparence et la fonctionnalité dans l’architecture Art nouveau, reflétant la vérité sociale selon Horta.
Quelle est la place de l’émotion dans l’art ? - “EXEMPLE
La Tragédie (1955, Pablo Picasso) provoque un sentiment de mélancolie en représentant trois figures angoissées.
Y a-t-il des critères objectifs pour juger une œuvre d’art ? - “EXEMPLE
Les Époux Arnolfini (1434, Jan van Eyck) est reconnu pour sa précision technique et sa maîtrise du symbolisme, suggérant l’existence de critères techniques et esthétiques.
L’art doit-il être moralement acceptable ? - “EXEMPLE
Guernica (1937, Pablo Picasso) dénonce la brutalité de la guerre civile espagnole tout en respectant les normes morales en condamnant la violence.
L’art est-il autonome ? - “EXEMPLE
Fontaine (1917, Marcel Duchamp) revendique l’autonomie de l’art en transformant un urinoir en ready-made, indépendamment de toute utilité pratique ou morale.
Quelles sont les relations entre art et beauté ? - “EXEMPLE
Le Baiser (1907-1908, Gustav Klimt) associe l’art à la beauté idéale à travers sa composition harmonieuse et ses motifs dorés.
Quel est le rôle de l’intention de l’artiste dans l’œuvre d’art ? - “EXEMPLE
La Chapelle Sixtine (1508-1512, Michel-Ange) reflète l’intention de Michel-Ange de glorifier la Création dans sa fresque monumentale.
L’art peut-il être défini ? - “EXEMPLE
Campbell’s Soup Cans (1962, Andy Warhol) remet en question la définition traditionnelle de l’art en fusionnant culture populaire et expression artistique.
Le bonheur est-il un état stable ou un idéal inaccessible ?
Le bonheur peut être conçu comme un état stable atteignable (Aristote, “Eudaimonia”) ou comme un idéal inaccessible (Kant, “Souverain Bien”). Les épicuriens et les stoïciens proposent également des méthodes pour atteindre un bonheur stable.
Le bonheur est-il le but ultime de l’existence ?
Pour Aristote, le bonheur est le but ultime de la vie humaine (Eudaimonia). Kant, cependant, considère le devoir moral comme prioritaire par rapport à la recherche du bonheur. Nietzsche remet en question cette vision en insistant sur la volonté de puissance.
Le bonheur dépend-il de nous ?
Les stoïciens et les épicuriens pensent que le bonheur dépend de nous en adoptant une attitude intérieure détachée des circonstances extérieures. Cependant, les philosophes modernes, comme Schopenhauer, insistent sur l’influence des conditions extérieures.
La vertu mène-t-elle nécessairement au bonheur ?
Pour Aristote, la vertu est nécessaire au bonheur, mais pas suffisante. Kant considère la vertu comme primordiale, mais reconnaît que le bonheur et la vertu ne coïncident pas toujours dans cette vie (d’où l’idée du “Souverain Bien” dans l’au-delà).
Le plaisir est-il suffisant pour atteindre le bonheur ?
Pour les épicuriens, le plaisir est le moyen d’atteindre le bonheur, à condition qu’il soit mesuré (ataraxie). Les stoïciens et les kantistes rejettent cette idée, privilégiant la vertu ou le devoir moral.
Peut-on être heureux malgré la souffrance ?
Les stoïciens croient que le bonheur est possible malgré la souffrance grâce à l’acceptation du destin (amor fati). Pour Nietzsche, la souffrance fait partie intégrante du bonheur (philosophie du dépassement). Les existentialistes, comme Sartre, insistent sur le choix individuel malgré l’absurdité.
Le bonheur individuel peut-il être en conflit avec le bonheur collectif ?
Selon les utilitaristes comme Bentham et Mill, le bonheur individuel doit s’accorder avec le plus grand bonheur du plus grand nombre. Les philosophes existentialistes, cependant, insistent sur le conflit entre l’authenticité individuelle et les normes sociales.
Le bonheur peut-il être mesuré ?
Pour les utilitaristes, le bonheur peut être mesuré en termes de plaisir et de douleur. Cependant, des philosophes comme Kant et Nietzsche soulignent l’aspect subjectif et qualitatif du bonheur, rendant difficile toute mesure objective.
Peut-on être heureux sans liberté ?
Pour les stoïciens, la liberté intérieure est suffisante pour le bonheur. Cependant, d’autres philosophes comme Rousseau et Sartre insistent sur la liberté politique ou existentielle comme condition du bonheur.
Le bonheur est-il un droit ?
Pour les philosophes des Lumières comme Rousseau et Locke, le bonheur fait partie des droits naturels de l’homme. Kant et Mill soutiennent également cette idée, bien que sous des formes différentes. Nietzsche, cependant, remet en question cette notion comme idéal bourgeois.
Qu’est-ce que la conscience ?
La conscience est la faculté qu’a l’esprit humain de connaître ses propres états et de se rapporter à lui-même. Selon Descartes, c’est ce qui permet de douter et de penser (“Cogito ergo sum”). Pour Sartre, la conscience est toujours intentionnelle, c’est-à-dire qu’elle est toujours “conscience de” quelque chose.
La conscience est-elle source de connaissance ?
Oui, selon Descartes, la conscience apporte une certitude immédiate à travers le cogito. Mais selon Freud, la conscience est une partie limitée de l’esprit humain, car une grande partie de notre psychisme est inconsciente (refoulée).
La conscience permet-elle de connaître autrui ?
Pour Husserl, la conscience peut appréhender autrui à travers le concept d’intersubjectivité. Mais Sartre soutient que l’autre nous est toujours étranger car il échappe à notre perception directe.
La conscience rend-elle libre ?
Pour Sartre, la conscience fait de l’homme un être libre et responsable de ses choix, car il est “condamné à être libre”. Cependant, Spinoza considère que la conscience est illusoire car l’homme est déterminé par ses passions et les causes extérieures.
La conscience est-elle une illusion ?
Selon Freud, la conscience ne perçoit qu’une petite partie du psychisme humain, la majorité étant inconsciente. De plus, certains neuroscientifiques comme Daniel Dennett estiment que la conscience est une construction illusoire créée par notre cerveau.
Y a-t-il un moi permanent ?
Pour Descartes, le “moi” est permanent et certain à travers le cogito. Cependant, Hume considère que le moi est une simple collection d’impressions et de perceptions successives. Nietzsche rejette aussi l’idée d’un moi stable, le voyant comme une construction sociale.
La conscience peut-elle se tromper sur elle-même ?
Oui, selon Freud, à travers les mécanismes de refoulement et de déni. Sartre évoque également la “mauvaise foi”, où la conscience se ment à elle-même pour éviter l’angoisse de la liberté.
La conscience est-elle liée au corps ?
Descartes prône le dualisme corps-esprit, où la conscience est distincte du corps. Cependant, Merleau-Ponty propose une conception de la conscience incarnée, indissociable du corps et du monde.
L’inconscient remet-il en question la notion de conscience ?
Oui, selon Freud, la majeure partie du psychisme humain est inconsciente, formée par des désirs refoulés et des pulsions. Jung ajoute la notion d’inconscient collectif. Cette théorie contredit le rationalisme cartésien de la conscience transparente à elle-même.
Comment la conscience peut-elle être divisée ?
La dissociation mentale (Pierre Janet) ou les états de dédoublement de la personnalité révèlent une division de la conscience. Freud évoque également les conflits entre le Moi, le Surmoi et le Ça, divisant ainsi l’esprit humain en plusieurs instances.