Personne Âgée Flashcards
1) Concernant la sémiologie de l’anxiété :
A. C’est une perception pessimiste de l’avenir
B. C’est l’attente du danger: inquiétude, perplexité
C. On parle de stress pour désigner l’agent stressant
D. L’anxiété reflète une dimension cognitive
E. L’angoisse reflète une dimension somatique
B. C’est l’attente du danger: inquiétude, perplexité
D. L’anxiété reflète une dimension cognitive
E. L’angoisse reflète une dimension somatique
2) Concernant la famille des troubles anxieux classée dans le DSM5 :
A. On y retrouve le trouble panique
B. On y retrouve les phobies spécifiques.
C. On y retrouve le trouble anxieux généralisé.
D. On y retrouve l’état de stress aigu.
E. On y retrouve la phobie sociale.
A. On y retrouve le trouble panique.
B. On y retrouve les phobies spécifiques.
C. On y retrouve le trouble anxieux généralisé.
E. On y retrouve la phobie sociale.
+ agoraphobie, trouble anxieux de séparation
3) Concernant les objectifs de la loi du 5 mars 2007:
A. Elle promeut l’autonomie du majeur vulnérable.
B. Elle replace la personne au centre de sa protection.
C. C’est une juste mise en conformité du droit français avec le droit européen.
D. Elle protège autant le patrimoine que la personne du majeur vulnérable.
E. Le majeur devient acteur de sa protection.
A. Elle promeut l’autonomie du majeur vulnérable.
B. Elle replace la personne au centre de sa protection.
C. C’est une juste mise en conformité du droit français avec le droit européen.
D. Elle protège autant le patrimoine que la personne du majeur vulnérable.
E. Le majeur devient acteur de sa protection.
4) Concernant les protections juridiques:
A. L’assistance est l’accompagnement du protégé pour certains actes.
B. La tutelle est un régime de protection avec représentation permanente et continue pour tous les actes.
C. La nouvelle loi permet la prise en compte de la volonté du majeur afin de favoriser son autonomie dans tous les cas.
D. La loi ne permet pas de protéger la personne « sans la diminuer »
E. La loi est inscrite dans le code Civil.
A. L’assistance est l’accompagnement du protégé pour certains actes = curatelle.
B. La tutelle est un régime de protection avec représentation permanente et continue pour tous les actes.
C. La nouvelle loi permet la prise en compte de la volonté du majeur afin de favoriser son autonomie dans tous les cas.
E. La loi est inscrite dans le code Civil.
5) Concernant les épisodes dépressifs caractérisés de la personne âgée :
A Les épisodes dépressifs caractérisés sont rares chez la personne âgée
B Le grand âge constitue un facteur protecteur
C Un antécédent d’Episode Dépressif Caractérisé constitue l’un des principaux facteurs prédisposants
D Tout épisode dépressif caractérisé de la personne âgée doit être traité
E Les pathologies somatiques constituent des facteurs prédisposants
C Un antécédent d’Episode Dépressif Caractérisé constitue l’un des principaux facteurs prédisposants
D Tout épisode dépressif caractérisé de la personne âgée doit être traité
E Les pathologies somatiques constituent des facteurs prédisposants
Prédispositions + Sexe F, traitements, cluster C, rôle aidant
Protecteurs + Résilience, entourage, culture, religion
6) Concernant les épisodes dépressifs caractérisés de la personne âgée :
A Il existe des formes typiques comparables à celles de l’adulte
B Le masque démentiel se caractérise par des plaintes centrées autour d’un mauvais
C Fonctionnement d’une ou plusieurs partie(s) du corps par des idées délirantes non
D L’électroconvulsivothérapie est contre-indiquée chez la personne âgée du fait des risques congruentes à l’humeur anesthésiques
E Tout patient présentant une symptomatologie dépressive dans le cadre d’un Trouble Neurocognitif Majeur doit bénéficier d’un traitement médicamenteux antidépresseur
A Il existe des formes typiques comparables à celles de l’adulte
B Le masque démentiel se caractérise par des plaintes centrées autour de troubles cognitifs (peut être confondu avec patho neurodégé débutante)
E Tout patient présentant une symptomatologie dépressive dans le cadre d’un Trouble Neurocognitif Majeur doit bénéficier d’un traitement médicamenteux antidépresseur
7) Les facteurs de risque de troubles psychiatriques chez la personne âgée sont:
A Toute diminution des capacités perceptuelles ou cognitives qui diminuerait les capacités d’ajustement (ou coping) à un facteur de stress
B Toute situation d’isolement social et familial (deuil, veuvage)
C Les événements de vie stressants (ex.: maltraitance, négligence, douleur mal prise en charge, changement de lieu de vie, notamment l’entrée en institution)
D Les pathologies non psychiatriques
E L’âge
A Toute diminution des capacités perceptuelles ou cognitives qui diminuerait les capacités d’ajustement (ou coping) à un facteur de stress
B Toute situation d’isolement social et familial (deuil, veuvage)
C Les événements de vie stressants (ex.: maltraitance, négligence, douleur mal prise en charge, changement de lieu de vie, notamment l’entrée en institution)
D Les pathologies non psychiatriques
8) Concernant les personnes âgées atteints de trouble psychiatrique :
A Les troubles psychiatriques représentent une cause majeure de handicap et sont associés à une mortalité élevée
B Les troubles psychiatriques et addictifs réduisent l’espérance de vie (en moyenne de 16 ans chez les hommes et de 13 ans chez les femmes)
C La première cause de surmortalité est le suicide
D L’espérance de vie d’un patient souffrant de trouble psychiatrique sévère est de 20% supérieur à celle constatée en population générale
E Plus de 20% des adultes de 60 ans et plus souffrent d’un trouble de santé mentale ou neurologique
A Les troubles psychiatriques représentent une cause majeure de handicap et sont associés à une mortalité élevée
B Les troubles psychiatriques et addictifs réduisent l’espérance de vie (en moyenne de 16 ans chez les hommes et de 13 ans chez les femmes)
C La première cause de surmortalité est le suicide
E Plus de 20% des adultes de 60 ans et plus souffrent d’un trouble de santé mentale ou neurologique
9) A propos des symptômes psycho-comportementaux:
A Ce sont des symptômes qui peuvent venir émailler l’évolution des maladies← neurodégénératives
B Ils sont peu fréquents mais potentiellement très problématiques
C C’est un groupe plutôt homogène de symptômes
D Ils se traitent de la même manière que les troubles psychiatriques
E Leur présence contre indique le maintien à domicile.
A Ce sont des symptômes qui peuvent venir émailler l’évolution des maladies neurodégénératives
10) A propos des symptômes psycho-comportementaux:
A Les hallucinations ne sont jamais multimodales dans les maladies neurodégénératives
B Les hallucinations visuelles sont rares dans la Maladie à Corps de Lewy
C Ils n’apparaissent qu’après plusieurs années d’évolution de la pathologie
neurodégénérative
D L’inversion du rythme nycthéméral correspond à un trouble de l’appétit
E Le mécanisme physiopathologique des idées délirantes peut être différent de celui observé dans les troubles psychotiques comme la schizophrénie
E Le mécanisme physiopathologique des idées délirantes peut être différent de celui observé dans les troubles psychotiques comme la schizophrénie = plutôt interprétation délirante
TNCM = troubles neurocognitifs majeurs
SPCD = symptômes psychologiques et comportementaux au cours de la démence
La schizophrénie est caractérisée par :
A) des idées délirantes
B) des personnalités multiples
C) un retard mental
D) des hallucinations accoustico-verbales
E) des troubles du cours de la pensée
A) des idées délirantes
D) des hallucinations accoustico-verbales
E) des troubles du cours de la pensée
Concernant la schizophrénie (quelle est la proposition vraie) :
A : sa prévalence est de 0,5 à 0,8 %
B : elle touche plus d’hommes que de femmes
C : elle débute essentiellement de façon aigue
D : le délire est dit paranoïaque
E : il n’y a jamais d’hallucinations
A : sa prévalence est de 0,5 à 0,8 %
Parmi les propositions suivantes quelle(s) est (sont) la (es) complication(s) d’un épisode dépressif majeur :
A : le suicide
B : la schizophrénie
C : l’autisme
D : la dépendance à l’alcool
E : la « bouffée délirante aigue »
A : le suicide
D : la dépendance à l’alcool
Sur le plan clinique, un trouble bipolaire se définie dans le temps par (une ou plusieurs réponses possibles) :
A: une alternance d’épisode maniaque et d’épisode dépressif
B: une alternance de schizophrénie et de dépression
C: une alternance de schizophrénie et d’épisode maniaque
D: une alternance de schizophrénie et d’hypo-manie
E: une alternance d’épisode dépressif et d hypo-manie
A: une alternance d’épisode maniaque et d’épisode dépressif
E: une alternance d’épisode dépressif et d’hypo-manie
Sur le plan clinique, un épisode maniaque se défini par (une ou plusieurs réponses possibles):
A: une exaltation
B: une accélération psycho-motrice
C: des idées suicidaires
D: un ralentissement psycho-moteur
E: un repli autistique
A: une exaltation
B: une accélération psycho-motrice