Perception et appréciation d'oeuvres d'art Flashcards

1
Q

Quel est le 1er élément fondamental qui influence notre appréciation de l’art?

A

La beauté.

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2
Q

Est-ce que la beauté est l’unique facteur influençant l’appréciation?

A

Non.

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3
Q

L’homme a une tendance innée à être attiré vers la… et la …

A

…vers la beauté et la symétrie.

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4
Q

Nommer 2 émotions positives.

A
  • l’émerveillement

- le plaisir

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Q

Nommer 3 émotions négatives.

A
  • la peur
  • la tristesse
  • le dégoût
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6
Q

Est-ce que notre appréciation est stable ou instable?

A

Instable.

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7
Q

Selon quoi notre appréciation change-t-elle?

A

Elle change/fluctue selon les personnes, le temps (jeune versus âgé), l’humeur (si je dois triste, je n’aime pas les oeuvres joyeuses), selon un contexte + ou - positif.

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8
Q

Quels sont les deux types de contraste hédonique?

A
  1. Contraste hédonique négatif

2. Contraste hédonique positif

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9
Q

Qu’est-ce que le contraste hédonique négatif?

A

Une oeuvre négative est perçue comme encore plus négative, puisqu’elle apparaît après une oeuvre positive. L’oeuvre négative est mise en contraste avec l’oeuvre positive.

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10
Q

Qu’est-ce que le contraste hédonique positif?

A

Une oeuvre positive est perçue comme encore plus positive, puisqu’elle apparaît après une oeuvre négative.

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11
Q

Qui a initialement proposé le contraste hédonique?

A

Gustav Fechner.

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12
Q

Est-ce que le contraste hédonique se présente toujours de la même façon?

A

Oui. Toujours un stimulus avant l’autre.

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13
Q

Qu’est-ce qu’impliquait le contraste hédonique avant les années 80?

A

Carrés versus rectangles.

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14
Q

Vrai ou faux : c’est après les années 80 que le contraste hédonique a commencé à toucher l’appréciation subjective.

A

Vrai.

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15
Q

Quelle était l’étude de Lahne et Zellner (sans les résultats)?

A

Lahne et Zellner ont fait cuisiner un chef. Les participants mangeaient. Groupe A avait comme entrée une bruschetta cuisinée avec des aliments frais. Groupe B avait comme entrée une bruschetta cuisinée avec des aliments en conserve. Le même plat principal était servi aux deux groupes.

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16
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Lahne et Zellner?

A

Le plat principal a été perçu négativement par le groupe de la bonne bruschetta. Le plat principal a été perçu positivement par le groupe de la bruschetta médiocre. Contraste hédonique!

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17
Q

Par rapport à la présentation visuelle des plats, qu’est-ce que Fechner a montré (aucun rapport avec le contraste hédonique)?

A

Quand c’est beau, on aime davantage!

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18
Q

Quel était le sujet de l’étude de Parker, Bascom, Rabinovitz et Zellner (2008)?

A

La musique et le contraste hédonique.

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19
Q

Quelle est la conclusion de l’étude de Parker, Bascom, Rabinovitz et Zellner (2008)?

A

L’appréciation d’une chanson dépend de la chanson entendue immédiatement avant. Cela peut influencer la popularité de certains artistes.

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20
Q

Quelles sont les deux choses qui influencent le contraste hédonique?

A
  1. L’effet de catégorisation

2. L’effet des extrêmes esthétiques

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21
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire par catégorisation?

A

Classer les stimuli dans des catégories différentes.

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22
Q

Qu’est-ce que l’effet de catégorisation?

A

Lorsque des stimuli sont classés dans différentes catégories, ils ne sont pas comparés. Ceci annule le contraste hédonique, car ce phénomène survient en raison de la comparaison d’oeuvres ou de stimuli.

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23
Q

Vrai ou faux : il est possible de comparer un esthétique visuel des années 1800 et un de 2016 réalisé à l’ordinateur.

A

Faux, car catégories différentes = pas de comparaison

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24
Q

Qu’est-ce qui caractérise les non-experts?

A

Ils ne distinguent pas les courants artistiques. Ils classent les peintures dans une même catégorie générale. Ceci provoque un contraste hédonique, car comparaison possible.

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25
Q

Qu’est-ce qui caractérise les experts?

A

Ils classent les peintures en catégories distinctes selon leur courant. Pas de comparaison, donc pas de contraste hédonique.

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26
Q

Afin d’avoir un contraste hédonique, on devrait toujours…

A

…classer les stimuli selon l’auteur ou le courant, experts ou non-experts.

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27
Q

Qu’est-ce que l’effet des extrêmes esthétiques?

A

Lorsque deux stimuli ont des valeurs opposées extrêmes, ils ne sont pas comparés (2 catégories distinctes). Cela annule donc le contraste hédonique. Peinture extrêmement laide versus peinture extrêmement belle = trop opposées = 2 catégories = pas de comparaison = pas de contraste hédonique!

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28
Q

Vrai ou faux : nos attentes envers un stimulus peuvent influencer notre niveau d’appréciation.

A

Vrai.

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29
Q

D’où viennent nos attentes?

A

Informations sur un produit (exemple : nominé aux Oscars), cotes d’appréciation (exemple : 5 étoiles), …

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30
Q

Comment nos attentes peuvent-elles engendrer un contraste hédonique positif ou négatif?

A

Parfois, des attentes positives ou négatives ne concordent pas avec la valeur réelle d’un stimulus. Par exemple, si j’ai vu la bande annonce d’un film et que je trouve qu’il a l’air WOW, mais que lorsque je l’écoute, je trouve ça bof = contraste hédonique négatif créé!

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31
Q

Qu’est-ce que l’effet d’assimilation?

A

Parfois, les gens vont « copier » les attentes des autres pour ajuster leur niveau d’appréciation, et ce, peu importe s’ils aiment ou non un stimulus. Par exemple, même si je n’ai pas trop apprécié Harry Potter, je vais dire comme mes amis que c’était bon.

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32
Q

Pourquoi survient l’effet d’assimilation?

A

Pression sociale

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33
Q

Qu’est-ce que le concept de la pression sociale?

A

Tendance à se conformer à la pression sociale. Agir en fonction des autres.

34
Q

Décrire l’exemple du film jugé extraordinaire par nos amis (concept de la pression sociale).

A

La pression sociale engendre une dissonance cognitive (inconfort face à la pression). Ça influence notre processus décisionnel. On se fie aux cotes de nos amis et on ne prête pas trop attention à notre propre appréciation. Ça facilite le traitement de l’info, on n’analyse pas vraiment, on ne suit pas nos goûts.

35
Q

L’influence des attentes a été démontrée pour…

A

…la musique et les films. Cotes positives + nbre de téléchargement = popularité.

36
Q

Vrai ou faux : l’influence des attentes est indépendante de la qualité de l’oeuvre.

A

Vrai. Même un mauvais film peut devenir populaire grâce à l’effet d’assimilation. + cote élevée = + de téléchargements = effet boule de neige = populaire

37
Q

Si un film est coté positivement, ai-je plus tendance à le coter positivement ou négativement?

A

Positivement moi aussi. Effet d’assimilation.

38
Q

Qu’est-ce que la neuroesthétique?

A

Domaine multidisciplinaire de la science expérimentale qui étudie les bases neurales liées à la contemplation d’oeuvres d’art. C’est l’explication des expériences esthétiques grâce aux neurosciences.

39
Q

Quels sont les trois grands auteurs de la neuroesthétique (avec petit résumé de chaque)?

A
  1. Zeki : principes de base de la perception visuelle.
  2. Ramanchandran : lois de perception visuelle appliquées à l’art.
  3. Chatterjee : régions cérébrales impliquées dans l’appréciation de l’art.
40
Q

Quelles sont les trois étapes du décryptage de l’information visuelle?

A
  1. Détection = 200 ms.
  2. Activation du système limbique (émotions).
  3. Prise de conscience de ce qui se trouve dans l’oeuvre = 500 ms.
41
Q

Selon Zeki, les bases neurologiques du cerveau sont-elles variables?

A

Oui, les bases neurologiques du cerveau présentent une certaine variabilité qui est à la base des expériences subjectives.

42
Q

Vrai ou faux : nous aurions tous un patron neuronal propre à nous qui explique pourquoi on aime telle oeuvre, alors que mon voisin ne l’aime pas.

A

Vrai. Appréciation subjective.

43
Q

Quelles sont les deux grandes lois de perception visuelles proposées par Zeki?

A
  1. La constance

2. L’abstraction

44
Q

Qu’est-ce que l’abstraction?

A

Nous avons en tête la représentation générale d’une chose. On peut ajouter différentes propriétés à cette représentation et quand même la reconnaître. Le cerveau fait abstraction des détails superflus.

45
Q

Pourquoi la capacité d’abstraction aurait-elle évolué?

A

En raison des limites de la mémoire. On a pas assez d’espace en mémoire pour se rappeler de tous les modèles d’une chose. On a donc un modèle de base pour chaque chose.

46
Q

Est-ce que la loi de la constance est directement liée à la loi de l’abstraction?

A

Oui.

47
Q

Qu’est-ce que la loi de la constance?

A

Le cerveau a la capacité de reconnaître un objet ou un portrait, peu importe sa forme, sa position et sa couleur. Notre cerveau fait abstraction des détails superflus!

48
Q

Comment peut-on appliquer la loi de la constance aux arts?

A

Une peinture capte l’essence d’un objet ou d’un portrait. Elle capte sa représentation générale. Sa représentation serait ensuite modelée, entre autres, par les processus neuronaux de l’artiste (patron neuronal de l’artiste).

49
Q

Quelles sont les 8 lois de perception visuelles en lien avec l’art (Ramachandran)?

A
  1. Principe du pick shift
  2. Isolement
  3. Groupement perceptif
  4. Contraste
  5. Résolution de problèmes perceptifs
  6. Point de vue générique
  7. Métaphores visuelles
  8. Symétrie
50
Q

Qu’est-ce que le principe du pick shift?

A

Phénomène psychologique reconnu pour son application dans l’apprentissage de la discrimination chez les animaux. Avec le temps, un rat de laboratoire réagit plus fortement lorsqu’il voit un rectangle atypique. Le fait que le rat réponde plus fortement à un rectangle «super» indique qu’il apprend une règle et qu’il est impliqué émotionnellement et cognitivement.

51
Q

Qu’est-ce qu’un stimulus supernormal?

A

Un stimulus atypique.

52
Q

Quelle est l’application artistique du pick shift?

A

Certains artistes tentent de susciter une réponse émotionnelle plus forte en créant une oeuvre supernormale. Ils veulent une réponse émotionnelle plus forte! Ils amplifient les caractéristiques d’un objet ou d’un portrait pour augmenter l’intensité de la réponse émotionnelle (exemple du portrait de Trump).

53
Q

Qu’est-ce que l’isolement?

A

Isoler une caractéristique unique d’une personne ou d’un portrait accentue le niveau attentionnel. C’est un principe souvent exploité par les artistes (exemple : croquis, noir et blanc, couleur de cheveux/de peau ne sont pas des caractéristiques uniques).

54
Q

Qu’est-ce qu’une caractéristique unique?

A

Ce qui nous permet de reconnaître une personne (exemple : les traits faciaux).

55
Q

Qu’est-ce que le groupement perceptif?

A

Le cerveau a tendance à regrouper certaines choses, même lorsqu’elles sont réparties aléatoirement, puisque le but d’un premier traitement visuel est de définir un objet présent dans le champ visuel (exemple des points noirs répartis aléatoirement qui «forment» un dalmatien).

56
Q

Explication des points noirs répartis aléatoirement que l’on voit en dalmatien (groupement perceptif).

A

Les points noirs sont répartis aléatoirement, mais notre cerveau les regroupe ensemble et imagine un dalmatien. Quand je vois le dalmatien, mon système limbique s’active et je ressens du plaisir. De plus, je deviens plus attentive à l’oeuvre parce que je veux trouver d’autres choses. Finalement, mon cerveau va toujours se souvenir de l’emplacement du fameux dalmatien.

57
Q

Qu’est-ce que le contraste?

A

Certaines cellules de la rétine sont plus ou moins activées selon le niveau de luminosité. Nous serions plus attentifs lorsque des choses sont contrastées. Le contraste de couleur ou de texture dans une oeuvre serait donc aussi intéressant.

58
Q

Pourquoi le portrait de Rose dans Le Titanic est en lien avec le contraste?

A

L’oeil est attiré par ce portrait, car le collier le rend plus hétérogène, plus contrasté.

59
Q

Qu’est-ce que la résolution de problèmes perceptifs?

A

La découverte d’un objet, après un effort visuel, est plus agréable que s’il est immédiatement aperçu. Cela nous incite à continuer d’analyser l’oeuvre jusqu’à la découverte de l’objet caché (exemple du dalmatien).

60
Q

Pourquoi est-ce que la résolution de problèmes perceptifs est-elle importante?

A

L’humain a évolué afin de trouver des dangers. C’est inné chez l’homme. Pas juste dans l’art. Ça explique la paréidolie.

61
Q

Qu’est-ce que la paréidolie?

A

Voir des images/formes humaines ou animales dans des formes (exemple: dans les nuages).

62
Q

Qu’est-ce que le point de vue générique?

A

Nous pouvons percevoir une image de plusieurs manières différentes. Toutefois, le système visuel rejette les points de vue qu’il juge improbables. Il préfère une vision UNIE et GÉNÉRIQUE.

63
Q

Qu’est-ce que sont les métaphores visuelles?

A

Lien mental entre deux concepts qui semblent différents en surface, mais qui partagent une connexion plus profonde quand on sait bien les analyser.

64
Q

Pourquoi est-ce que les métaphores visuelles sont-elles souvent utilisées en art?

A

C’est gratifiant pour le spectateur de trouver la métaphore. Ça augmente l’appréciation. Ça augmente l’attention.

65
Q

Qu’est-ce que la symétrie?

A

Tendance innée de l’être humain à être attiré vers le beau. Les choses symétriques sont liées à la beauté. Plus une oeuvre est symétrique, plus elle est attrayante.

66
Q

Que représente l’asymétrie?

A

La maladie, l’infection. On est repoussés par l’asymétrie.

67
Q

Est-ce que la symétrie peut réellement expliquer l’appréciation de l’art?

A

Non, la symétrie est beaucoup trop simple. Elle n’explique d’ailleurs pas le succès de Picasso.

68
Q

Quels sont les 3 circuits qui vont s’activer lorsqu’on aime une oeuvre?

A
  1. Circuit sensori-moteur (perceptions sensorielles).
  2. Circuit d’émotion-évaluation : active le système limbique et le circuit de la récompense.
  3. Meaning-knowledge circuit : circuit qui donne un sens et qui se réfère à nos connaissances.
69
Q

Quels sont les récepteurs activés par le circuit de la récompense?

A

Les récepteurs muopioïdes.

70
Q

Qu’est-ce qui influence la prise de décision concernant l’appréciation esthétique?

A

L’interaction entre les différents circuits sensoriels, moteurs et émotionnels.

71
Q

Plus une oeuvre est agréable, plus on éprouve du plaisir, plus…

A

…le circuit de la récompense est activé.

72
Q

Lorsqu’on contemple une oeuvre qu’on aime, on est plus…

A

…attentifs.

73
Q

Pourquoi a-t-on une préférence innée pour les paysages?

A

Les paysages activent davantage l’aire parahippocampale = hippocampe = mémoire = souvenirs de voyages. Les paysages = détente, sécurité, abris (par évolution humaine).

74
Q

Quel cortex est associé au plaisir, au circuit de la récompense et est impliqué dans la comparaison d’oeuvres d’art?

A

L’activation du cortex orbitofrontal médial.

75
Q

Plus j’aime une oeuvre, plus le cortex orbitofrontal médial est…

A

…activé.

76
Q

Que se passe-t-il lorsque l’activité du cortex orbitofrontal médial diminue?

A

L’amygdale s’active.

77
Q

À quoi est liée l’activation de l’amygdale?

A

Détection de stimuli menaçants, peur, anxiété, liaisons avec l’hippocampe (souvenirs négatifs activés).

78
Q

Quelles sont les deux manières d’expliquer qu’il est possible d’activer des oeuvres négatives même si le cortex orbitofrontal médial ne s’active pas?

A
  1. Les récepteurs muopioïdes du circuit de la récompense nous impliquent émotionnellement à l’oeuvre.
  2. Subjectivité humaine : les patrons neuronals de chacun.
79
Q

Vrai ou faux : l’appartenance culturelle influence aussi la perception des oeuvres d’art.

A

Vrai. Influence nos émotions et notre appréciation.

80
Q

Que signifie-t-on par «culture»?

A

Plus large que l’appartenance à un groupe ethnique ou à une région géographique. Réfère également aux groupes auxquels on s’identifie.