Perception d'autrui Flashcards

1
Q

Modèle de lentille (Brunswick)

A

Capacité attentionnelle limitée. Objet perçu généralement représentation incomplète mais pas forcément déformée de l’objet réel.

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2
Q

Rôle actif du percevant : Leeper

A

GP1: femme âgée vs GP2: jeune femme

Mélange = GP1 100% âgée vs 95% jeune

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3
Q

Brugger (lapin / canard)

A

Les résultats sont en accord avec la période de l’année et du contexte.

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4
Q

Tajffel: processus de catégorisation

A

Processus qui tend à ordonner l’environnement en terme de catégorie

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5
Q

Processus de catégorisation: fonctions?

A
  • Simplification
  • Facilite la mémorisation
  • Accès aux connaissances (au delà)
  • Guide d’action (pas médecin pour vélo)
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6
Q

TIP?

A

«Des croyances générales à propos de la fréquence et la variabilité d’un trait et de sa liaison à d’autres traits.»

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7
Q

Types de TIP? (3)

A

basées sur les caractéristiques physiques
basées sur les traits de personnalité
basées sur l’appartenance de groupe (stéréotypes)

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8
Q

Test du dessin d’un bonhomme (Machover) puis Chapman & Chapman

A

45 dessins avec symptôme annoté

Participants notent correlation positive entre taille de la tête et intelligence

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9
Q

Avantages et inconvénients des TIP?

A

+ : simplifier réel (diminuent info à retenir, prédire cpt et personnalité des autres)
-: biais de confirmation d’hypothèse (focalise sur nos croyances)

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10
Q

Rosenhan: psychiatres & psy

A

DIagnostic de schizophrénie de la part de l’équipe soignante

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11
Q

Langer & Abelson: video de 2 personnes

A

Résultats: Les comportementalistes évaluent mieux le patient. Ainsi, différentes théories apportent différentes impressions.

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12
Q

Salamon & Asch: approche Gestaltiste

A

“le tout est plus que la somme des parties”

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13
Q

Trois postulats pour la formation d’impression

A
  • Cohérence évaluative
  • Effet des traits centraux
  • Effet de primauté
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14
Q

Format d’impression : Asch

A

Personne fictive via une liste de traits. On manipule la liste de traits (un trait ou l’ordre da,s les deux expé)
VD: on mesure les impressions par description i-libre ou par évaluation de 18 paires d’adjectifs opposés.
UN seul trait change l’impression globale. Trait central vs trait périphérique

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15
Q

Pourquoi des traits sont-ils centraux?

A

Structurent l’impression globale et apportent une information. Limite: peu écologique de présenter une personne par une liste de traits.

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16
Q

H. Kelly: nouveau prof

A

Les résultats de Asch sont généralisable à des situations plus proche de la vie réelle.

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17
Q

Asch: rôle des premiers traits

A

6 traits avec ordre différent dans chacune des deux listes. Effet de primauté. Format d’impression “en direct, on line” :> au fur et à mesure des infos que l’on reçoit de la personne.

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18
Q

Asch: modèle de …..?

A

Configuration:
Impression globale cohérente déterminée par des traits dits centraux + premiers traits. cela permet d’avoir une théorie sur autrui. “en direct”

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19
Q

Anderson: modèle…..?

A
  • impression globale (data driven)
  • fonction algébrique de la valeur associé à chaque traits
  • chaque trait à une valeur fixe
    Pour determiner la valeur fixe : -10 à + 10
    Etudier format d’impression: étudier la d’un grand nombre de traits d’une personne fictive puis jugement global de la sympathie
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20
Q

Modèle par addition?

A

Somme de la valeurs des traits

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21
Q

Modèle par moyenne?

A

Moyenne de la valeur des traits

22
Q

TI: traitement d’information relative à autrui

Asch?

A

Ti guidée par les théories (TIP, schémas et catégorie)

TI en direct (effet de primauté => restructuration cognitive)

23
Q

TI: traitement d’information relative à autrui

Anderson?

A

TI basé sur un calcul rationnel et objectif prenant en compte toutes les données
TI en différé (si effet de primauté dû à la baisse d’attention)

24
Q

Modèle du continuum (Fiske & Neuberg)

A

Le traitement par défaut est toujours a catégorisation initiale, ensuite on avance sur le continuum en fonctions des ressources cognitives (attention), de la volonté (motivation) et de l’information individualisante.

25
Q

Traitement par défaut: la catégorisation

A

Catégorisation initiale (homme/femme, jeune/vieux…)

  • est automatique (ne nécessite ni ressources, ni volonté)
  • est efficace et économique (permet d’économiser des ressources qui peuvent être allouées à d’autres activités)
26
Q

Macrae et al: Méthode

A

2 tâches à faire en même temps (4 personnes fictives avec 10 traits) avec condition sans catégorie (prénom) vs catégorie (prénom + appartenance catégorielle). 2nd tâche: geo et eco de l’Inde. VD: rappel des deux.
Résultats: meilleur rappel des traits stéréotypés dans condition catégorie
Meilleure perf au QCM dans la cond catégorie

27
Q

Traitement de l’info personnalisé

A

Intégration sur mesure des informations, nécessite la volonté (motivation) et les ressources cognitives.

28
Q

Kruglanski & Freund: méthode

A

effet de primauté: les infos présentées en premier priment sur les autres.

29
Q

Effet de primauté modulé par (2)?

A

Importance de la tâche + tmps de reflexion

30
Q

Les informations individualisés privilégiées (3)

A

Infos diagnostiques & saillantes
Infos pseudo-diagnostiques
Infos non-diagnostiques

31
Q

Infos diagnostiques et saillantes?

A
Traits centraux et premiers traits
Infos concrètes, imagées
Infos rares (infos extrêmement positives ou négatives)
Infos négatives
Infos incohérentes avec nos attentes...
32
Q

Infos pseudo-diagnostiques?

A

Illusion d’être informé => jugement catégoriel

Remember Henrio p66, écoute dichotique avec illusion d’être informé.

33
Q

Infos non diagnostiques?

A

non pertinentes, triviales. dilution du stérotype. ex: on stérotype moins le mathématicien et le juriste maintenant qu’on a plus d’infos sur eux.

34
Q

Concept de Causalité de Hume?

A

→ Causalité déterminé par processus complexe d’induction à partir de l’observation de ma succession de deux événements (proche de la notion de covariation).

35
Q

Michotte: perception directe de la causalité

A

Causalité déterminé par un processus perceptif simple et immédiat.

36
Q

Illustration via un extrait du film d’Heider & Simmel, 1944

A

Les mouvements des objets sont perçus comme des activités humaines => antropomophisme.
Attribution des intentions des objets
Explication des mouvements en terme de causalité
Les interactions sont perçues de la même manière

37
Q

Analyse naïve de l’action, >Heider

A

Causes perso: intention, motivation…

Cause enviro: pe diff de la tâche…

38
Q

Attribution causale:

A

défini comme le processus d’inférence par lequel les gens expliquent les comportements d’autrui (hétéro-attribution) et d’eux-mêmes (auto attribution).

39
Q

Types de causes à l’attribution causale:

A
  • Causes internes vs externes à la personne
  • Causes stables (traits de caractères…) vs instables (l’effort, humeur…) dans le temps.
  • Causes contrôlables (effort…) vs incontrôlables (chance, temps…)par la personne.
  • Causes globales (perçu comme récurrente d’une situation à l’autre) vs spécifiques (limités à une situation précise)
40
Q

Pourquoi faisons-nous des attributions causales?

A
  • Pour comprendre, contrôler/maitriser l’environnement social
  • Pour mieux prédire les évènements futurs
  • Pour mieux prédire l’estime de so
41
Q

Quand faisons-nous ces attributions causales?

A
  • Une demande explicite (type réactif)
  • Un événement surprenant, inattendu, extrême
  • Un événement avec conséquences négatives (échec..)
42
Q

Théorie d’attribution causale: théorie d’inférence correspondante chez Jones & David

A

L’observateur cherche à inférer une correspondance entre cpt observé et une disposition stable de l’acteur.
Cpt observé: Jean bat son chien => Jean esr qql d’aggressif

43
Q

Facteurs qui déterminent l’inférence correspondante:

A
  • Liberté de choix de l’acteur
  • Désirabilité sociale du cpt observé (plus le comportement est désirable, moins il est informatif des dispositions de l’acteur).
  • Effets non-communs, distinctif (effet uniquement associés au comportement choisi). Ils sont très informatifs des dispositions de l’acteur.
44
Q

Caractéristiques de la théorie de l’inférence correspondante

A
  • Elle concerne l’explication du comportement d’autrui (hétéro-attribution).
  • Elle s’intéresse uniquement aux attributions dispositionnelles (causes internes, stables)
  • Les attributions peuvent se faire à partir d’une seule observation d’un comportement.
45
Q

Test expérimental: Pro ou vs Castro

A

Sujet lisant un essai:
- Pro ou vs Castro
- Choix libre ou imposé de l’acteur
Evaluation de l’attitude véritable de l’auteur envers Fidel Castro (10-70 pts)
Résulats: dans la condition imposé les gens n’arrivent pas à tenir compte que c’est de la comédie et non la vérité quand ils sont pro-Castro!

46
Q

La théorie de l’inférence correspondante est une théorie ….. et une théorie ….

A

normative

idéalisée

47
Q

Erreur fondamentale d’attribution:

A

sous-estimer les causes situationnelles au profit des causes dispositionnelles.

48
Q

Modèle inférence-correction:

A

2 phases:
A/ Cpt observé : inférence automatique d’une disposition correspondante (inférence) (parle fort)
B/ Corretion de l’inférence dispo initiale : attribution finale (ajustement situationnel) (pe elle est sourde)

49
Q

Gilbert & al, Video entretien

A

Fantasmes sexuels vs loisirs:

biais de correspondance en 1

50
Q

Théorie attributionnelle (Weiner)

A

voir fiche

51
Q

Erreur fondamentale d’attrubution vs erreur ultime d’attribution:

A

A/ biais de correspondance ou biais de surattribution. Cpt d’autrui observé et attribué à une cause interne/dispositionnelle.
B/ Biais d’attribution inter-g ou attribution ethnocentrique: contexte intergroupe, cause internes ou externes en fonction de cpt -/+ et endo/exogroupe.