Neurosciences sociales Flashcards

1
Q
En quoi constituent les normes sociales?
A) Étudier l’origine des variabilités interindividuelles dans le
traitement des normes sociales
b) l’influence de ce
traitement sur notre prise de décisions 
c) comment
certains contextes peuvent altérer ce traitement
d) toutes ces réponses
A

d

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2
Q

Vrai ou faux :

La hierarchie sociale nous aide à guider notre comportement

A

vrai

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3
Q

Vrai ou faux:

Le modèle interne que nous nous créons est inflexible

A

faux

Le cerveau se crée des modèles internes qui permet de générer des hypothèses. S’il y a une erreur, on adapte le modèle.

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4
Q

Qu’est-ce que les neurosciences sociales?

a) l’étude de l’influence de l’architecture de notre cerveau sur la société
b) L’étude des attentes cérébrales que l’on se crée pour notre environnement
c) l’influence entre les niveaux d’organisation biologique et sociale

A

c)
Neurosciences sociales : Étude des mécanismes hormonaux, cellulaires, génétiques et des associations et influences entre les niveaux d’organisation biologique et sociale. Adaptation à la société pour s’y reproduire

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5
Q

Qui serait le père des neurosciences sociales?

a) John T.
b) Proschuitto
c) Cacioppo
d) Gary G.
e) kenny G

A

c) Cacioppo

À noter qu’à l’époque de la phrénologie, il existait une conception similaire

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6
Q

Dans une tâche où l’on présente des formes géométriques qui bougent

a) On a tendance à rester impassible devant ces formes et se demander ce qu’on fait là
b) Les mouvements sont structurellement analysés dans notre cerveau
c) On se représente les formes avec une composante sociale

A

c)

lunettes sociales

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7
Q

V ou F

Les enfants autistes ont de meilleurs résultats aux tâches sociales.

A

F. Enfants autistes très mauvais aux tâches sociales.

Exemple, tâche des formes géométriques, , près de 40%, vont attribuer les mauvais rôles aux formes géométriques

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8
Q

Pour quelle raison (notamment) le cerveau humain serait plus gros que celui des animaux?

A

Pour la dimension sociale de notre comportement, la charge de travail requise pour entretenir des relations sociales complexes.

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9
Q

Selon Dunbar, à combien s’élève le nombre de relations sociales proches que l’humain puisse avoir?

a) 90
b) 100
c) 110
d) 120

A

b)
Dunbar : 100, nombre maximal de personnes avec qui tu peux avoir une relation sociale proche
Pour maintenir relations sociales, demande mémoire, facultés cognitives connexes etc.

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10
Q

Vrai ou faux

La taille de l’amygdale et le nombre d’amis corrèlent.

A

vrai // Amygdale : + A est grand, + ces gens rapportent avec un réseau social grand. Amis de différents groupes…

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11
Q

V/F :Les régions sous-tendues par le nombre d’amis réels et le nombre d’amis virtuels sont complètement différentes.

A

F.
Relation entre nombre ami fb et matière grise de certaines structures. Ces structures corrèlent seulement avec le nombre d’amis virtuels et pas réels. Par contre, l’amygdale corrèle pour les deux. Par contre, pas synonyme de plasticité, mais d’une cerveau adaptation

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12
Q

Quelles régions cérébrales sont impliquées dans le nombre d’amis facebook que nous avons?

a) cortex entorhinal
b) gyrus temporal médian
c) sulcus temporal supérieur
d) cortex préfrontal ventromédian

A

a, b et c

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13
Q

Quelles-sont les deux régions qui sont toujours prêtes aux interactions sociale?

A

Cortex préfrontal dorso médian
Préculéus
2 régions toujours actives, même quand on fait rien, comme si notre cerveau était tjrs prêt pour interactions sociales

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14
Q

V/F : Dépendemment, de l’endroit où notre cerveau est atteint lors d’un accident, le développement du raisonnement moral peut ne pas être affecté

A

V et F.

Les régions liées au comportement social sont distribuées dans le cerveau au fil du développement.

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15
Q

Quel résultat surprenant observons-nous lors de la tâche du triangle gentil et du carré empêcheur chez les enfants de 6 et 10 mois?

A

Les enfants de 6 mois peuvent déjà inférer que le triangle est gentil et que le triangle est méchant. 100% de taux de réussite à cette tâche.

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16
Q

Quel serait le rôle de l’amygdale dans la détection de la peur chez autrui?

a) permet de relayer l’information visuelle afin d’une bonne analyse émotionnelle
b) grâce à l’activation des neurones miroir, permet d’inférer un sentiment de peur chez soi-même permettant ultimement une meilleure analyse des comportements d’autrui
c) Permet de porter attention aux bonnes régions permettant de détecter les émotions

A

c) amygdale permet de porter attention vers les infos pertinentes qui mènent à la détection de la peur

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17
Q

Quel patient avait de la difficulté à discriminer les émotions chez autrui suite à une ablation bilatérale des amygdales?

a) H.M
b) S.M
c) K. S
d) I. T

A

b) S.M

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18
Q

Pourquoi les gens ayant eu des injections de botex ont plus de difficulté à percevoir les émotions des autres?

A

La mimique de l’émotion chez les autres jouerait un rôle important dans notre capacité à percevoir leurs émotions. Activité musculaire des yeux en regardant une émotion de peur. Les gens avec Botox ont plus de difficulté à détecter la peur : moins d’activité dans les muscles.

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19
Q

Il y aurait 3 étapes au développement de l’empathie, quelles-sont-elles?

A

traitement des visages –> reconnaissance émotions –> empathie

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20
Q

La résonnance sensorimotrice se fait à partir de quelle structure?

A

les neurones miroirs

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21
Q

Expérience d’images de mains en douleur. Quand est-ce que l’on observe un changement dans l’excitabilité du cortex?

a) lorsque la main est en douleur
b) lorsque la main est neutre
c) lorsque l’on flatte la main

A

b) lorsque la main est en douleur
Mesure de l’excitabilité du cortex frontal = plus de mouvement. Lorsqu’on regarde la main : pas de changement d’excitabilité si main neutre. Mais la main en douleur : résonnance sensorimotrice (neurones miroirs). Notre cortex est inhibé lorsque nous ressentons de la douleur et également lorsque nous voyons quelqu’un avoir mal.

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22
Q

Quelle région est excitée autant lorsque nous regardons quelqu’un être en douleur que lorsque nous le sommes

A

Le cortex cingulaire antérieur. Apporterait une dimension affective. Introduit l’idée que l’empathie aurait aussi une résonnance affective et sensorimotrice.

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23
Q

ÉTUDE : modèle de régression Que permet de caractériser l’analyse multivariée (voxel) et combien de paramètres comprend-elle?

A

60 000 paramètres. Prédit par ordinateur si l’activité est basse, moyenne ou élevée pour la douleur.

24
Q

V/F. La douleur perçue fait plutôt parti du modèle affectif.

A

F. La signature pour la douleur perçue concerne des régions plus cognitives. Jonction cognitivo pariétale –> modèle plus cognitif

25
Q

Les modèles NPS et VPS sont facilement utilisables pour prédire l’un ou l’autre des modèles.

A

F. N’utilisant pas la même signature, ils sont difficilement utilisables

26
Q

Combien de temps est nécessaire à l’analyse du visage d’une personne à avoir s’il est de confiance ou non?

a) 250 ms
b) 300 ms
c) 200 ms
d) 225 ms

A

c) 200 ms, ensuite atteinte d’un plateau

27
Q

V/F: l’activité de l’amygdale diminue lorsque l’on trouve qu’une personne n’est pas de confiance

A

Faux. Cette activité augmente

28
Q

S.M était très doué pour juger de la thrustwortness des gens

A

Faux. Les patients ayant une ablation bilatérale de l’amygdale ne peuvent dissocier les gens de confiance ou non.

29
Q

V/F: Les prosopagnosiques ne peuvent différencier si une personne est de confiance ou non

A

F. Même eux ils peuvent.

30
Q

On évalue souvent un traitement de confiance à partir des autres. Quelle-structure est impliquée dans ce processus?

A

cortex parahyppocampique

se conformer ou non au comportement des autres

31
Q

Qu’est-ce qui rentre en compte dans notre sensibilité au rejet social?

A

La récompense et la punition. Se fier sur les autres, bonne source pour produire des comportements meilleurs
Aussi, très sensibles à l’approbation sociale, nous pousse à reproduire les comportements de masse.

32
Q

V/F: nous avons tendance à ajuster notre comportement en fonction du jugement des autres selon l’opinion des autres

A

vrai.

33
Q

Pourquoi sommes-nous poussés à la conformité?

A

Lorsqu’il y a un conflit entre nos actions/décisions et celles des autres. Patrons d’activation dans le cortex cingulaire. C’est l’ajustement du modèle interne dans le but de diminuer le message d’erreur.

34
Q

Pourquoi est-il important de savoir si quelqu’un est digne de confiance?

A

Puisse que nous avons une grande propension à la conformité, il est important de savoir s’il est vraiment de se conformer à cette personne en particulier.

35
Q

deux raisons pour lesquelles on se conforme

A

besoin d’avoir une interprétation adéquate de la réalité, besoin d’approbation sociale

36
Q

V/F dans l’étude de l’évaluation de la beauté d’une personne et de la rétroaction du groupe par rapport à la note donnée par le participant. Le participant avait plus de propension à changer sa réponse lorsque le groupe avait évalué le visage comme moins beau que la note donnée par le participant.

A

F. Lorsque le groupe évaluait le visage moins bien que ce qu’avait fait le participant, il avait tendance à moins changer sa note.

37
Q

Lorsqu’il y a un conflit cognitif entre les normes sociales et le comportements et qu’ensuite il y a conformisation, deux régions sont activées et quel mécanisme sous-tendent-ils?

A

le cortex cingulaire et le noyau acumben. Ils entrent également en jeu dans les mécanismes de punition et de récompense.

38
Q

Pourquoi dans le jeu de l’ultimatum certaines personnes préfèrent ne rien recevoir du tout, plutôt qu’une somme ridicule (ex : 1/20)

A

dans le but de punir l’autre personne en indiquant la transgression sociale par rapport à ce que l’on s’attendrait de recevoir

39
Q

ERPN : Erreur de prédiction sur la norme peut être séparée en deux catégories.

A

EPn Positive = enviro meilleur que la norme

EPn Négatif = enviro moins bon que la norme

40
Q

Par rapport aux normes sociales, nous possédons 3 mécanismes

A

1: calculer (compute) les normes partagées sur ce qui est attendu
2: détecter de possibles déviations par rapport à ces normes
3: choisir la bonne déviation

41
Q

V/F: EPn positif se fait par la voie dorsale

A

vrai

42
Q

V/F: EPn corrèlerait avec le système dopaminergique

A

V Trace dopaminergique? Oui. Régions dont l’activité corrèle avec signal d’erreur de prédiction positive et négative (striatum)

43
Q

V/F Dans l’expérience des hautes et basses offres, lorsque la norme change, l’adaptation n’est pas rapide

A

F: l’adaptation est très rapide au contraire

44
Q
//////fonctions exécutives//////
Quelle lésion aurait probablement eu Phineas Gage?
A

Cortex orbito-frontal et préfrontal médian

45
Q

F.E. De quel syndrome frontal Phineas Gage aurait souffert?

A

Syndrome frontal dysexécutif

46
Q

F.E. Quel syndrome le neurologue français François Lhermitte a identifié au milieu des années 1980?

a) Le syndrome dysexécutif
b) le syndrome d’inhibition
c) syndrome de dépendance environnementale
d) Le syndrome de l’imitiation

A

c)

47
Q

F.E. Quels sont les deux comportements observés chez les patients atteints du syndrome de dépendance environnementale?

a) Comportement d’inhibition
b) Hyperloquie
c) comportement d’imitation
d) comportement d’utilisation

A

c et d

48
Q

F.E. Le syndrome de dépendance comportementale est comorbide avec…?

a) Anosognosie
b) Anosodiaphorie
c) aphasie
d) confabulations

A

b)

49
Q

F.E. Quels-sont les trois points communs que partagent le syndrome frontal dysexécutif, le syndrome frontal d’inhibition et le syndrome de dépendance environnementale?

A

1- La formation de règles de comportement
2-La mise à jour de ces règles selon l’environnement
3-L’implémentation de ces règles pour agir correctement ou efficacement

50
Q

F.E. Comment pourrait-on définir l’initiation de règles?

A

Notre capacité à inférer des principes à partir d’expériences vécues et les appliquer à des contextes pour adapter nos comportements.
D’où le fait qu’on ‘invente’ de nouvelles règles.

51
Q

F.E. Quelle-est la région affectée chez les patients qui ont de la difficulté à initier de nouvelles règles?

A

Le cortex préfrontal latéral

52
Q

F.E. Qu’est-ce que l’aboulie?

a) Un syndrome d’hyperphagie, trouble alimentaire
b) un trouble moteur
c) Un trouble attentionnel

A

c)
Le patient est léthargique, a de la difficulté à initier des mouvements volontairement, à maintenir l’attention ou de continuer une action motrice sur une période prolongée

53
Q

F.E. Quel était le but de l’expérience de Wallis et al. (2001)?

a) Investiguer les bases cérébrales de l’encodage de règles
b) investiguer sur la capacité d’initiation de règles chez le singe
c) La capacité des singes à extraire des règles à partir de leurs expériences

A

a

54
Q

F.E. V/F : Les singes reconnaissent la règle non-matching indépendamment de l’objet ou de l’indice (montrant le côté abstrait de la règle)

A

F.

Tout est bon, sauf que c’est la matching rule à la place

55
Q

F.E. Wallis et al. (2001)

V/F : Dans le cortex préfrontal latéral, les différents neurones encodent différentes règles

A

vrai
L’activité relative d’un neurone est correlée avec la règle pertinente
diapo 22