Module 2 Flashcards

1
Q

Selon Sylvie St-Onge, l’importance de la gestion du rendement des employés peut être diviser en 3 objectifs. Nommez les 3.

A

1- Levier de développement stratégique
2- Avantage concurrentiel
3- Outil de mobilisation

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Q

Expliquez l’objectif : Levier de développement stratégique.

A

La révision des normes traditionnelles de rendement des niveaux organisationnel et individuel permet d’établir des liens entre les critères de rendement et les objectifs d’affaires.
Éliminer les causes de non-compétitivité :
- Les structures hiérarchisées
- L’excédent de personnel
- Le manque de compétences
- L’organisation rigide du travail
- L’absence d’innovation

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3
Q

Expliquez l’objectif : Avantage concurrentiel.

A

Permet un rendement supérieur au marché boursier, un titre de plus grande valeur, des marges brutes d’autofinancement, une productivité plus élevée et la création de bénéfices.

Pour ce faire la gestion du rendement doit permettre :

  • L’amélioration de la formation des gestionnaires et des employés
  • La révision des critères de rendement
  • L’alignement de la stratégie avec les critères de rendement
  • Un régime de rémunération basé sur le rendement
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4
Q

Expliquez l’objectif : Outil de mobilisation.

A

Permet aux employés de connaître ce qu’on attend d’eux et sur quoi ils sont évalués, de connaître ce que l’on pense de leur rendement, ce qu’il faut améliorer et comment s’y prendre.
Permet aux cadres d’assurer différentes fonctions:
- Connaître et distinguer le rendement de chacun de leurs employés
- Justifier leurs décisions
- Mieux conseiller les employés
- Obtenir une rétroaction et discuter avec les employés
- Motiver les employés à atteindre les objectifs.

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5
Q

Quels sont les préalables pour assurer une gestion efficace du rendement des employés ?

A
  • Un formulaire d’évaluation du rendement :
    Un formulaire d’évaluation du rendement doit véhiculer clairement les facteurs de succès, les objectifs d’affaires et les valeurs de l’entreprise.
    Plus le formulaire est court et simple, plus les gens seront enclins à le remplir.
  • Un cadre « facilitateur » :
    L’évaluation du rendement repose à la fois sur les évaluateurs et leur habileté à évaluer, sur leur motivation à le faire et sur le fait que l’entretien d’évaluation se déroule avec une volonté réciproque de bonne entente.
  • Un contexte organisationnel; un catalyseur de performances :
    Le processus de gestion du rendement, en fonction de sa cohérence et de sa complémentarité avec les autres activités de gestion des ressources humaines, aura des bienfaits en raison du facteur synergie.
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6
Q

Nommez 5 conditions de succès de l’entrevue d’évaluation du rendement.

A

Le supérieur hiérarchique doit:

  • Donner le temps au subordonné de s’auto-évaluer, de se préparer;
  • Choisir un environnement tranquille et propice à la discussion;
  • Bien préparer l’entrevue (par exemple, en établissant un plan de la rencontre);
  • Poser des questions et encourager le subordonné à participer et à exprimer ses idées et ses émotions;
  • Écouter, écouter et écouter;
  • Se préparer à entendre des commentaires négatifs, confus, ainsi que des critiques;
  • Se comporter comme un coach, un facilitateur, un guide;
  • Être précis autant à propos des succès de l’employé qu’à propos de ses échecs;
  • Chercher à comprendre;
  • Répéter ce que le subordonné a exprimé;
  • Centrer la discussion sur la résolution des problèmes;
  • Appuyer ses propos sur des faits, c’est-à-dire sur des résultats et des comportements;
  • Établir conjointement avec l’employé les objectifs, le plan d’action et les moyens de s’améliorer, de partager ses idées.
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7
Q

Vrai/faux

Le processus d’évaluation du rendement est un processus qui vise seulement à mesurer et à juger les résultats (quantitatifs et qualitatifs), et parfois les comportements passés, en vue de prendre des décisions administratives et d’influencer le rendement futur.

A

VRAI

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8
Q

Vrai/faux

Le processus de maximisation du rendement sert à désigner l’ensemble des actions entre le superviseur et l’employé dans cette vision plus globale qu’est la gestion de la performance.

A

VRAI

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9
Q

Vrai/faux

La gestion de la performance englobe le rendement de l’individu, de l’équipe et de l’organisation et intègre les éléments fondamentaux de la stratégie organisationnelle.

A

VRAI

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10
Q

Vrai/faux

La gestion de la performance se compose d’éléments cohérents et complémentaires avec les autres pratiques de gestion des ressources humaines.

A

VRAI

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11
Q

Vrai/faux

Le principal défaut des systèmes traditionnels de mesure de la performance organisationnelle est qu’ils se basent exclusivement sur des mesures financières.

A

VRAI

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12
Q

Vrai/faux

Deux des conditions que les auteurs Jacques Barrette et Jocelyne Bérard déterminent pour pouvoir améliorer la performance organisationnelle sont celles-ci : le système devrait définir des objectifs opérationnels en fonction des facteurs clés de succès et lier ceux-ci au rendement des individus

A

VRAI

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13
Q

Vrai/faux

L’évaluation de la performance des organisations publiques doit être orientée vers le degré de réalisation des objectifs définis le plus clairement possible par l’actionnaire principal, soit l’État.

A

VRAI

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14
Q

Vrai/faux

L’une des pierres d’achoppement à une satisfaisante évaluation de la performance des organisations publiques est la propension des autorités publiques à ne pas respecter les règles du jeu

A

VRAI

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15
Q

Les fondements du texte de Bruno Fabi, Yves Martin et Pierre Valois relèvent des concepts de l’engagement organisationnel et des moyens pour réussir la mobilisation des ressources humaines lors d’un changement organisationnel. Qu’entendent-ils par engagement organisationnel?

A

L’engagement organisationnel renvoie à l’intensité avec laquelle un individu s’engage dans une organisation et s’identifie à elle. L’engagement organisationnel est caractérisé par l’acceptation et la conviction profonde à l’égard des valeurs et des buts de l’organisation, la disposition à fournir des efforts considérables pour elle ainsi que le désir ferme de maintenir son appartenance à cette organisation.

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16
Q

Facteurs de succès dans le changement organisationnel

Qu’est-ce que les dirigeants doivent expliquer et pourquoi ?

A

Les dirigeants doivent expliquer les causes du changement, la nature et les objectifs de la transformation. Ils le doivent parce qu’ils sous-estiment l’importance cruciale du partage de l’information avec l’ensemble des acteurs organisationnels, qui permettrait une sensibilisation et une certaine appropriation de la transformation organisationnelle. De plus, parce qu’ils surestiment le degré de compréhension et de sensibilisation de leurs subordonnés.

17
Q

Facteurs de succès dans le changement organisationnel

Qu’est-ce qui augmente de façon significative les probabilités de succès dans une transformation organisationnelle?

A

Le temps et l’énergie investis dans les démarches de consultation et d’implication augmentent significativement les probabilités de succès. Les probabilités de succès seront meilleures dans la mesure où les acteurs concernés pourront être mis à contribution le plus rapidement et le plus intensivement possible.

18
Q

Facteurs de succès dans le changement organisationnel

Quelle forme peut prendre le type de soutien apporté aux acteurs dans l’organisation?

A

Le soutien offert peut prendre différentes formes : formation classique, personnes-ressources sur le terrain accompagnant les acteurs dans leur environnement de travail, groupes d’entraide, visites d’organisations ayant vécu des transformations similaires ou visites de fournisseurs de technologie. Peu importe les moyens utilisés, la finalité ultime demeure le développement des compétences techniques et sociales nécessaires à l’adaptation au contexte transformé.

19
Q

Facteurs de succès dans le changement organisationnel

La communication sous différents modes vise habituellement deux fins dans un contexte de transformation organisationnelle. Lesquelles?

A

La communication sous différents modes dans un contexte de transformation organisationnelle vise deux fins. D’abord, l’organisation devrait diffuser régulièrement les informations relatives à l’évolution de la transformation dans les différentes unités de l’organisation, ces dernières devenant à leur tour en mesure de réinjecter des informations dans le système. L’autre finalité, malheureusement négligée, concerne la célébration des succès.

20
Q

Facteurs de succès dans le changement organisationnel

Pourquoi est-il important de « monitorer », autrement dit, d’exercer une surveillance?

A

« Monitorer », exercer une surveillance, est important parce qu’il permet l’accès à des indicateurs de mesure permettant d’apprécier l’évolution de la transformation ainsi que certains de ses effets tangibles. Aussi, cela permet à l’ensemble des acteurs de suivre l’évolution de la transformation organisationnelle, de l’évaluer et le cas échéant, d’apporter certains correctifs.

21
Q

Facteurs de succès dans le changement organisationnel

Quelle adaptation des politiques de gestion des ressources humaines serait souhaitable pour assurer la pérennité?

A

Certaines adaptations des politiques de gestion des ressources humaines pourraient être que :

  • les stratégies de gestion soient axées vers des emplois comportant davantage de défis professionnels;
  • que les pratiques de la reconnaissance couronnant l’abnégation et l’obéissance soient axées plus vers la reconnaissance de la mise à contribution des compétences;
  • les décisions prises en fonction de l’ancienneté soient plus des décisions prises en fonction de la performance;
  • la gestion centralisatrice devienne une gestion participative et responsabilisante.
22
Q

Le texte de Lise Vaillancourt et de Lyne Jutras présente un modèle destiné à encourager l’engagement organisationnel mis en application dans une administration publique. Sur quels éléments le modèle s’appuie-t-il pour satisfaire les employés en milieu de travail et ainsi susciter leur engagement? (5)

A

1- Améliorer les facteurs périphériques reliés à l’environnement immédiat et physique des gens (conditions et espaces de travail).
2- Construire un esprit d’équipe en améliorant les communications (diffusion vers le haut et le bas, libre expression des employés).
3- Mobiliser les employés en les faisant participer le plus possible à la prise de décision.
4- Investir dans le développement professionnel des employés afin qu’il puisse s’opérer un transfert des compétences dans l’organisation.
5- Reconnaître et apprécier la contribution des personnes.

23
Q

Le texte d’Estelle Morin est centré principalement sur le sens à donner au travail. Mais quel sens pouvons-nous donner au terme « sens du travail »? On dit qu’il a deux racines : du latin sensus, des langues germaniques sumo et en psychologie (phénoménologie), on lui donne aussi une description. Définissez-les.

A
  • (Sensus) la signification du travail, la valeur du travail aux yeux du sujet et la définition ou la représentation qu’il en a.
  • (Sumo) la direction, l’orientation du sujet dans son travail, ce qu’il recherche dans le travail et les desseins qui guident ses actions.
  • (Phénoménologie) l’effet de cohérence entre le sujet et le travail qu’il accomplit, entre ses attentes, ses valeurs et les gestes qu’il pose quotidiennement dans son milieu de travail.
24
Q

La centralité se définit comme l’importance relative du travail dans la vie du sujet à un moment donné de son histoire personnelle

Des chercheurs dans le domaine, ont construit une échelle de huit énoncés pour mesurer la centralité du rôle du travail chez l’individu.

A

1- L’importance de réussir au travail.
2- La présence de préoccupations non-reliées au travail, (durant le trv).
3- La juste répartition du temps entre le travail et le non-travail.
4- L’intériorisation des rôles associés au travail.
5- L’intérêt pour le travail.
6- L’importance d’être au courant de ce qui se passe au travail.
7-La présence de préoccupations reliées au travail (en dehors du travail)

25
Q

Les orientations du travail. Nommez les 10 valeurs.

A
Hédonisme
Stimulation
Autodétermination
Universalisme
Bienveillance
Conformité
Tradition
Sécurité
Pouvoir
Accomplissement
26
Q

Définition du sens du travail.

A

Le sens au travail est défini comme un effet de cohérence entre les caractéristiques qu’un sujet recherche dans son travail et celles qu’il perçoit dans le travail qu’il accomplit. Le psychiatre Yalom (1980) affirme que l’individu a besoin d’une raison d’être, d’avoir un but, des valeurs ou des idéaux, sans lesquels il connaîtrait une condition de détresse. Dès lors, la quête de sens est, en essence, une expérience existentielle.

27
Q

Selon Isaksen, huit caractéristiques du travail contribuent à lui donner un sens. Nous nommons ici les premières. Quelles sont les autres manquantes?

A

1- La possibilité de s’identifier à son travail et à son milieu de travail.
2- La possibilité d’avoir des bonnes relations avec les autres et de se préoccuper de leur bien-être.
3- Le sentiment que le travail est utile et qu’il contribue à l’accomplissement d’un projet important.
4- Le sentiment que le travail accompli est important pour les autres, est bénéfique pour autrui.
5- La possibilité d’apprendre et le plaisir de s’accomplir dans son travail.
6- La possibilité de participer à l’amélioration de l’efficacité des processus et des conditions de travail.
7- Le sentiment d’autonomie et de liberté dans l’accomplissement de son travail.
8- Le sentiment de responsabilité et de fierté du travail accompli.