Miami Flashcards

1
Q
  1. Les signaux métaboliques de la satiété comportent des concentrations plasmatiques
    élevées en glucose, en acides aminées ou en acides gras. (p. 142)
    * Vrai
    * Faux
A

Vrai

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2
Q
  1. La mesure de la circonférence brachiale sert à mesurer les changements nets dans la
    masse adipeuse de l’organisme. (p. 124)
    * Vrai
    * Faux
A
  • Faux → dans la masse musculaire
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3
Q
  1. En période postprandiale, la principale source énergétique du tissu hépatique c’est le
    glucose. (p. 102)
    * Vrai
    * Faux
A
  • Faux → Post-prandial = AA + AG courte chaîne. Jeûne = AG
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4
Q
  1. Le bilan azoté sert à mesurer les changements nets dans la masse protéique de
    l’organisme. (p. 125)
    * Vrai
    * Faux
A

vrai

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5
Q
  1. En période de post-absorption, les TAG des VLDL plasmatiques peuvent être
    hydrolysés par la lipoprotéine lipase grâce à l’action du glucagon. (p. 105 et 109)
    * Vrai
    * Faux
A
  • Faux → TAG des chylomycrons … grâce à l’insuline. Insuline = post-prandial, Glucagon = jeûne
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6
Q
  1. En période de post-absorption, le glucose libéré par glycogénolyse musculaire peut
    être transformé en lactate qui éventuellement pourra être recyclé par le cycle lactateglucose de Cori. (p. 113)
    * Vrai
    * Faux
A

Vrai

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7
Q
  1. Un tour de taille plus grand que 120 cm chez l’homme peut constituer un risque accru
    de souffrir d’hypertension artérielle, de diabète de type II ou du cancer de la prostate.
    (p.127, chap9 p.19)
    * Vrai
    * Faux
A

Vrai→ TT homme > 120 cm = augmentation risques comobordité/mortalité

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8
Q
  1. Un déficit d’apport en énergie, en macronutriments et en micronutriments peut être
    considéré comme une forme de malnutrition. (p. 122)
    * Vrai
    * Faux
A
  • Vrai → La dénutrition et une forme de mal nutrition (réponses confirmée par Carlos)
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9
Q
  1. En période de jeûne court, le bilan azoté est beaucoup moins négatif que lors du
    jeûne. (p. 114)
    * Vrai
    * Faux
A
  • Faux → Absence d’apport protéique → balance azotée = très négative → perte protéique rapide
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10
Q
  1. Parmi les organes du métabolisme énergétique, les reins sont considérés à la fois
    comme des organes de maintien et excréteurs. (p. 102)
    * Vrai
    * Faux
A

vrai

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11
Q
  1. Les signaux sensoriels (nerveux) de régulation de l’apport énergétique, se
    déclenchent lors de l’arrivée des aliments dans le système digestif. (p. 134)
    * Vrai
    * Faux
A

Vrai

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12
Q
  1. On peut considérer que la régulation à long terme de la prise alimentaire peut être
    exercée en fonction des réserves des lipides stockés dans le tissu adipeux. (p. 143)
    * Vrai
    * Faux
    → Leptine = permet la régulation à long terme en fonction de l’adiposité du sujet
    → Insuline = signal satiétogène à long terme, car sa production est proportionnelle à la masse de tissu adipeux
A

Vrai

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13
Q
  1. Le message de satiété induit par la leptine est relayé au cerveau en partant du nerf
    vague vers le noyau du tractus solitaire dans le tronc cérébral. (p. 143)
    * Vrai
    * Faux

→ Court terme = n. vague → noyau du tractus solitaire (tronc cérébral)
→ Long terme = noyau arqué (hypothalamus) : aire hypothalamique latérale + noyau paraventriculaire

A
  • Faux → Leptine = régulation long terme
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14
Q
  1. En période de jeûne court, l’hypercortisolémie peut induire un important effet
    catabolisant sur les protéines hépatiques et intestinales. (p. 115)
    * Vrai
    * Faux
A

Vrai

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15
Q
  1. Le neuropeptide α-MSH («Alpha-Melanocyte-Stimulating Hormone») produirait un
    signal de satiété en induisant la production de corticolibérine (CRH) dans le noyau
    paraventriculaire (NPV). (p. 140)
    * Vrai
    * Faux
A

vrai

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16
Q
  1. L’intervalle de l’indice de masse corporel (IMC) optimal se situe entre 18,5 à 24,9
    Kg/m2 (p. 124)
    * Vrai
    * Faux
A

vrai

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17
Q
  1. En période postprandiale, le glucose-6-phosphate formé dans les hépatocytes peut
    être utilisé pour le stockage d’énergie sous forme de glycogène. (p. 96)
    * Vrai
    * Faux
A

vrai

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18
Q
  1. En période de stress, l’adrénaline peut induire la libération de lactate musculaire,
    d’acides gras du tissu adipeux et de glucose hépatique. (p. 100)
    * Vrai
    * Faux
A

vrai

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19
Q
  1. L’obésité gynoïde est caractérisée par une accumulation de graisse au niveau des
    hanches (p. 127)
    * Vrai
    * Faux
A
  • Vrai → Obésité gynoïde = hanche-cuisse, Obésité androïde = abdominale
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20
Q
  1. Un stockage de la masse graisseuse dans la partie inférieure est caractérisé par de
    l’obésité de type androïde. (p. 127)
    * Vrai
    * Faux
A

Faux → Obésité gynoïde = hanche-cuisse, Obésité androïde = abdominale

21
Q
  1. Une dénutrition signifie un apport insuffisant en calories et en nutriments. (p. 122)
    * Vrai
    * Faux

→ Malnutrition = apport insufficant, excessif ou déséquilibré en calories et en nutriments
→ Dénutrition = apport insuffisant en énergie, macronutriments et micronutriments

A
  • Vrai → La dénutrition et une forme de mal nutrition (réponses confirmée par Carlos)
22
Q
  1. L’hypercorticisme est une diminution de la cortisolémie qui induit un nette effet
    catabolisant sur la masse protéique. (p. 115)
    * Vrai
    * Faux
A
  • Faux → Hypercortisolémie = augmentation de la cortisolémie
23
Q
  1. En période de jeûne court, l’hypercortisolémie peut induire la synthèse de l’albumine
    au niveau hépatique. (p. 100 et 115)
    * Vrai
    * Faux
A

Vrai → Hypercortisolémie = augmentation de la cortisolémie qui augmente la synthèse de l’albumine

24
Q
  1. Une hyperthyroïdie pourrait être diagnostiquée chez un sujet avec un taux
    d’anticorps antithyropéroxydases élevé jumelé avec un taux de TSH supérieur et un
    taux de T4 libre inférieur à la normale. (p. 99)
    * Vrai
    * Faux
A
  • Faux → Hyperthyroïdie = taux de TSH supérieur et un taux de T4 supérieur à la normale
25
Q
  1. Le diabète de type 2 résulte d’une production insuffisante d’insuline par le pancréas
    ou une réceptivité insuffisante des tissus à l’insuline.
    * Vrai
    * Faux
A
  • Faux → Diabète de type 2 = résistance des tissus à l’action de l’insuline
26
Q
  1. Le fait qu’un parent proche (mère ou père) souffre d’hypertension est un facteur de
    risque de maladies cardiovasculaires ?
    * Vrai
    * Faux
A

Vrai→ Facteurs de risques de MCV = facteurs métaboliques, prédisposition génétique, facteurs environnementaux, habitudes comportemental

27
Q
  1. Concernant les caractéristiques et l’évaluation de l’obésité, quel énoncé est VRAI?
    a. La catégorie de sujets obèses se caractérise par un indice de masse corporelle
    supérieur à 25 Kg/m2 → Surpoids = IMC > 25, Obésité = IMC > 30 (p. 127)
    b. L’obésité gynoïde se caractérise par une accumulation de tissu adipeux dans la
    région abdominale → Obésité gynoïde = hanche-cuisse (p. 127)
    c. L’obésité androïde se caractérise par une accumulation de tissu adipeux dans
    les cuisses → Obésité androïde = abdominale (p. 127)
    d. La graisse intra-abdominale est plus nuisible que la graisse abdominale souscutanée
    e. À la ménopause, l’obésité des femmes peut changer progressivement de type
    androïde à gynoïde → Type gynoïde à androïde (p. 129)
A

d. La graisse intra-abdominale est plus nuisible que la graisse abdominale souscutanée

28
Q
  1. Concernant la faim et les signaux impliqués dans la régulation de la faim, quel énoncé
    est VRAI?
    a. Les orexines A et B peuvent emprunter le nerf vague pour induire un signal de
    faim au niveau du noyau arqué. → O : NPV, AHL → organisme via tronc cérébral (p. 137)
    b. La ghréline peut donner un signal de faim en induisant la libération de l’α-MSH
    au niveau du noyau paraventriculaire (NPV) → ↓ : POMC, α-MSH, ↑ : NPY, AgRP (p. 138)
    c. La faim correspond au besoin physiologique de combler l’envie de manger un
    aliment précis → Appétit = envie de manger un aliment précis (p. 133)
    → Faim = besoin physiologique de manger, de combler une sensation ressentie par
    l’organisme, comme un déficit énergétique
    d. La nature du signal de la faim a été identifiée comme une augmentation
    transitoire de la glycémie → Déficit énergétique = baisse transitoire de la glycémie (p. 133)
    e. La faim peut être stimulée par une glucagonémie élevée en cas de jeûne
A

e. La faim peut être stimulée par une glucagonémie élevée en cas de jeûne

29
Q
  1. Concernant les différentes formes des substrats énergétiques dans la circulation
    sanguine, quel énoncé est FAUX? (p. 101 et 113)
    a. Le glucose peut provenir de l’alanine musculaire → alanine, lactate, glycérol, glycogène
    b. Les acides gras peuvent provenir des chylomicrons → Chylomicrons = post-prandial
    → VLDL = jeûne
    c. Le glycérol peut provenir du glycogène hépatique → via glycogène musculaire
    d. Les corps cétoniques peuvent provenir de l’acétyl-CoA hépatique
    e. Le lactate peut provenir des hématies → catabolisme glycogène ou glucose dans hématies
A

c. Le glycérol peut provenir du glycogène hépatique → via glycogène musculaire

30
Q
  1. Concernant les phénomènes d’adaptation de l’organisme que l’on peut observer en
    période de jeûne prolongé, quel énoncé est FAUX? (p. 116 et 117)
    a. Une activation de la gluconéogenèse hépatique, rénale et intestinale
    b. Une diminution de la protéolyse tissulaire
    c. Une activation de la cétogenèse hépatique
    d. Une oxydation accrue des corps cétoniques par le foie → par le cerveau (p. 116)
    e. Une stimulation de la lipolyse adipocytaire
A

d. Une oxydation accrue des corps cétoniques par le foie → par le cerveau (p. 116)

31
Q
  1. Concernant les caractéristiques de la phase post-absorption, quel énoncé est FAUX?
    a. La priorité est d’épargner le glucose et le réserver pour les tissus glucodépendants
    b. Elle est caractérisée par une nette utilisation des réserves énergétiques
    c. Très tôt, les réserves en lipides sont rapidement transformées en corps
    cétoniques → En période avancée, le foie augmente la synthèse des corps cétoniques
    d. Elle démarre lorsqu’il n’y a plus de nutriments dans le tube digestif
    e. Les changements métaboliques en post-absorption sont assurés par une
    élévation de la glucagonémie (p. 111, chap8 p. 55
A

c. Très tôt, les réserves en lipides sont rapidement transformées en corps
cétoniques → En période avancée, le foie augmente la synthèse des corps cétoniques

32
Q
  1. Concernant l’évolution du poids corporel et du métabolisme de base (MB) en fonction
    de l’état de nutrition des sujets, quel énoncé est FAUX? (p. 130-131, chap9 p.30-32)
    a. En cas de disette, la période d’amaigrissement est suivie par une stabilisation
    du poids → 1
    ère = amaigrissement, 2e = stabilisation, 3e = reprise du poids
    b. En cas de surabondance, le poids n’est pas stable et augmente sans cesse
    c. En cas de famine, notre organisme peut arriver à baisser le MB et même de
    reconstituer les réserves énergétiques pour ne pas perdre davantage du poids
    → Malgré tous ses efforts, l’organisme n’arrivera pas à diminuer le métabolisme. (p. 132, chap9 p. 35)
    d. En cas de disette, l’organisme peut trouver un nouvel équilibre caractérisé par
    un MB plus faible
    e. En cas de surabondance, le phénomène de prise de poids est réversible
A

c. En cas de famine, notre organisme peut arriver à baisser le MB et même de
reconstituer les réserves énergétiques pour ne pas perdre davantage du poids
→ Malgré tous ses efforts, l’organisme n’arrivera pas à diminuer le métabolisme. (p. 132, chap9 p. 35)

33
Q
  1. Concernant les signaux impliqués dans la régulation de la satiété, quel énoncé est
    FAUX ?
    a. La leptine et l’insuline inhibent la faim en stimulant les neurones à POMC
    (CART/α-MSH) du noyau arqué → Leptine, insuline, ghréline = NPY/AgRP et POMC (p. 136)
    b. La satiété peut être induite par une diminution du caractère agréable d’un
    aliment avec la quantité ingérée (p.140)
    c. Le mâchonnement peut induire un signal de satiété au niveau de
    l’hypothalamus→ mâchonnement, salivation, déglutition = inhibe prise alimentaire (p.140)
    d. Les chémorécepteurs de l’intestin grêle sont spécifiques de chaque type de
    nutriment et doivent être activés simultanément pour obtenir une satiété
    complète (p. 141)
    e. Le peptide PYY 3-36 induirait un signal de satiété en activant les neurones à
    NPY/AgRP (neuropeptide Y/agouti related peptides) du noyau arqué (chap9 p.66)
    → Peptide PYY 3-36 = inhibe les neurones NPY/AgRP du noyau arqué
A

e. Le peptide PYY 3-36 induirait un signal de satiété en activant les neurones à
NPY/AgRP (neuropeptide Y/agouti related peptides) du noyau arqué (chap9 p.66)
→ Peptide PYY 3-36 = inhibe les neurones NPY/AgRP du noyau arqué

34
Q
  1. Lequel des paramètres suivants n’est pas utilisée pour évaluer un état de dénutrition?
    a. Le dosage du glucose sanguin (p. 122, chap9 p.9)
    b. La mesure de l’indice de masse corporelle → Marqueurs anthropométriques (poids, IMC)
    c. Le dosage de l’albumine plasmatique → Marqueurs biologiques
    d. La mesure de la circonférence brachiale → Examen physique (MA, MM, signes carences)
    e. Le dosage de la transthyrétine → Marqueurs biologiques (albumine, transthyrétine bilan azoté)
A

a. Le dosage du glucose sanguin (p. 122, chap9 p.9)

35
Q
  1. Concernant les caractéristiques de la phase postprandiale, quel énoncé est FAUX?
    (p. 102, chap8, p. 28 à 31)
    a. Elle commence au moment où l’organisme fait la transition vers une nette
    utilisation des réserves énergétiques → Début = anabolisme > catabolisme → stockage
    → Fin = transition vers une nette mobilisation/utilisation des réserves énergétiques (p. 102, chap8 p.29)
    b. La durée dépend de la nature de la diète ingérée → selon 1. nature de la diète ingérée,
  2. vitesse de vidange gastrique, 3. Capacité d’absorption du système digestif
    c. Les changements métaboliques postprandiaux sont assurés par une élévation
    de l’insulinémie et la glycémie
    d. L’anabolisme l’emporte sur le catabolisme
    e. Les nutriments excédentaires sont transformés en lipides s’ils ne servent pas à
    l’anabolisme
A

a. Elle commence au moment où l’organisme fait la transition vers une nette
utilisation des réserves énergétiques → Début = anabolisme > catabolisme → stockage
→ Fin = transition vers une nette mobilisation/utilisation des réserves énergétiques (p. 102, chap8 p.29)

36
Q
  1. Concernant les interconversions des substrats énergétiques au niveau hépatique,
    quel énoncé est FAUX? (p. 101, chap8 p. 17)
    a. Le lactate peut être transformé en glucose 6-phosphate
    b. L’acétyl-CoA peut être transformé en glucose → unidirectionnelle vers acétyl-CoA
    c. Le glycérol peut être transformé en glycéraldéhyde 3-phosphate
    d. Les acides gras peuvent être transformés en corps cétoniques
    e. Le pyruvate peut être transformé en acide gras
A

b. L’acétyl-CoA peut être transformé en glucose → unidirectionnelle vers acétyl-CoA

37
Q
  1. Concernant la dénutrition et les méthodes d’évaluation, quel énoncé est FAUX?
    a. La dénutrition par carence d’apports peut résulter d’une diminution des
    capacités masticatoires → Interrogatoire = dénutrition par carence en apports =  carences
    masticatoires, détérioration intellectuelles/démences, thérapeutiques agressives (chimio/Rx), maladies
    du tube digestif (malabsorption intestinale), insuffisance rénale, respiratoire ou cardiaque,
    infection/pathologie inflammatoire, hyperthyroïdie, chirurgie majeure (p. 123, chap9 p. 12)
    b. Chez le jeune adulte, on peut suspecter une dénutrition si son indice de masse
    corporel (IMC) est inférieur à 21 Kg/m2 → Dénutrition jeune adulte = IMC < 18,5 kg/m2
    → Dénutrition personnes âgées < 70 ans = IMC < 21 kg/m2
    (p. 124, chap9 p.14-15)
    c. La dénutrition peut résulter d’une malabsorption intestinale → Interrogatoire
    d. Le diagnostic d’une dénutrition est avéré si la perte du poids habituel en un
    mois est de 5% ou de 2 kg (p. 124, chap9 p. 13)
    → Dénutrition = perte 2 kg ou 5 % en 1 mois, 4 kg ou 10 % en 6 mois
    e. La dénutrition peut s’exprimer par des gencives gonflées et des cheveux ternes
    et cassants → Examen physique = Yeux (déssèchement, vascularisation cornéenne, pâleur
    conjonctivale), Langue (glossite, atrophie des papilles linguales), Cheveux (dépigmentation et perte facile,
    ternes et cassant), Gencives (gonflées, saignantes), Squelette (rachitisme chez l’enfant, ostéomalacie
    chez l’adulte), Muscles (atrophie, faiblesse musculaire), Peau (œdèmes périphériques), Abdomen
    (hépatomégalie/stéatose) (p. 123, chap9 p.11)
A

b. Chez le jeune adulte, on peut suspecter une dénutrition si son indice de masse
corporel (IMC) est inférieur à 21 Kg/m2 → Dénutrition jeune adulte = IMC < 18,5 kg/m2
→ Dénutrition personnes âgées < 70 ans = IMC < 21 kg/m2
(p. 124, chap9 p.14-15)

38
Q
  1. Lequel des analyses suivantes est utilisé pour confirmer une obésité androïde ? (p. 129)
    a. Le dosage de l’albumine plasmatique → Confirmation d’une malnutrition protéique avancé
    b. La mesure de l’indice de masse corporelle → Estimation surpoids/obésité chez l’adulte
    c. La mesure du poids → Estimation surpoids/obésité chez l’adulte (via IMC)
    d. La mesure du ratio taille/hanche →H = TT > 120 cm et RTH > 1 ; F = TT > 110 cm et RTH > 0,85
    e. Le dosage de la protéine C réactive (CRP)
A

d. La mesure du ratio taille/hanche →H = TT > 120 cm et RTH > 1 ; F = TT > 110 cm et RTH > 0,85

39
Q
  1. Concernant les effets de la thyroxine sur la régulation du métabolisme des
    nutriments, quel énoncé est VRAI ? (p. 100)
    a. Augmenter la gluconéogenèse hépatique → Augmentation de la glycogénolyse hépatique
    b. Augmenter la protéolyse des muscles squelettiques et la mobilisation des acides
    aminés → Stimulation de la captation d’AA suivi de la protéosynthèse
    c. Diminuer la lipolyse adipocytaire → Augmentation de la lipolyse adipocytaire
    d. Augmenter la captation d’acides aminés suivie de la protéosynthèse
    e. Diminuer la β-oxydation dans les tissus consommateurs des acides gras
    → Augmentation de la B-oxydation dans les tissus consommateurs des AG
A

d. Augmenter la captation d’acides aminés suivie de la protéosynthèse

40
Q
  1. Concernant les possibles symptômes ou caractéristiques du diabète de type 1 non
    traité, quel énoncé est FAUX ? (p. 112, chap8 p.63)
    a. Un état d’acidocétose → Acidocétose menant au coma et même la mort est à craindre
    b. Une hyperglycémie
    c. Une mauvaise haleine → l’acidocétose résulte en une soif intense
    d. Un gain de poids de 5 % en un mois → Généralement chez les diabétiques de type 2
    e. Une glucosurie élevée → l’acidocétose résulte en une augmentation de la fréquence urinaire
A

d. Un gain de poids de 5 % en un mois → Généralement chez les diabétiques de type 2

41
Q
  1. Parmi les conséquences de l’obésité et un régime riche en lipides, on peut citer les
    suivants sauf… (p. 129)
    a. Risque accru d’hypertension artérielle
    b. Risque accru des troubles bipolaires
    c. Risque accru de diabète de type 2
    d. Risque accru d’athérosclérose
    e. Risque accru de stéatose ou fibrose hépatique
A

b. Risque accru des troubles bipolaires

42
Q

/LES PROCHAINES QUESETIONS PEUT SRM SE RETROUVER EN CHOIX DE REP

Quels sont les marqueurs d’obésité sur lesquels se baser pour déterminer si une personne
souffre ou non d’obésité ?

A
  1. Tour de taille (TT)
  2. Rapport taille/hanche (RTH)
43
Q

Quels sont les moyens d’établir si une personne est dénutrie ?

A
  1. Examen physique → réserves adipeuses, masse musculaire, signes de carences
    en nutriments, examen des yeux, langue, cheveux, gencives, squelette, muscles,
    peau et abdomen
  2. Interrogatoire → variations du poids, signes digestifs, modifications de
    l’alimentation, retentissement sur l’état général…
    a. Diminution des capacités masticatoires ; troubles de la déglutition
    b. Détériorations intellectuelles/démences ; douleur/souffrance psychique
    c. Thérapeutiques agressives (chimio / Rx)
    d. Maladies du tube digestif (malabsorption intestinale)
    e. Insuffisances rénale, respiratoire ou cardiaque
    f. Infection/pathologie inflammatoire
    g. Hyperthyroïdie
    h. Chirurgie majeure (polytraumatisme; brûlures …)
  3. Les marqueurs anthropométriques → poids, calcul de l’IMC, circonférence
    brachiale
  4. Les marqueurs biologiques → dosage de marqueurs à valeur pronostique
    (albumine) ou utiles pour le suivi (bilan azoté
44
Q

Dans quelle circonstance pathologique retrouve-t-on une hyperglycémie et une
accélération de la lipolyse adipocytaire?

A

→ Diabète de type 1 non traité

45
Q

Quels sont les symptômes majeurs de l’hypocorticolémie ?

A
  1. Prise de poids
  2. Peau fragile et mince, vergeture
  3. Ecchymose
  4. Acné
  5. Augmentation de la pilosité
46
Q

Quels sont les facteurs de risque liés au développement d’athérosclérose ?

A
  1. Hypertension artérielle
  2. Poids malsain
  3. Antécédents familiaux de maladies de coeur
  4. Manque d’activité physique
  5. Tabagisme
47
Q

Si Mme. Rondeur souffre d’hypercholestérolémie, de quel facteur de risque son médecin
devrait-il principalement s’inquiéter?

A

→ Taux de cholestérol élevé

48
Q

Quels médicaments peuvent être prescrits contre l’hypercholestérolémie ?

A
  1. Inhibiteurs de l’absorption du cholestérol, tel que l’ézétimibe
  2. Statines, ayant pour rôle d’empêcher le foie de produire du cholestérol
49
Q

PHOTO/SCHÉMA DES HORMONE ET SOURCE D’ÉNERGIE

A