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Processus cognitifs > Mémoire sémantique > Flashcards

Mémoire sémantique Flashcards

1
Q

Comment définit-on la connaissance?

A

Information acquise et retenue

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Q

Dans quelle mémoire la connaissance est-elle organisée?

A

La mémoire sémantique

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Q

Sous quelles formes les connaissances peuvent être emmagasinées?

A

Concepts et catégories

Scripts et schémas

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4
Q

Comment définit-on un concept?

A
  • Représentation mentale abstraite qui nous permet de catégoriser les éléments (objets et individus) du monde qui nous entoure.
  • Unité fondamentale de la connaissance, rôle centrale dans la cognition
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Q

Comment définit-on une catégorie?

A

Regroupement concret d’objets représentant le concept

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6
Q

Vrai ou faux? Les notions de concept et de catégorie sont très reliées.

A

Vrai. La formation d’un concept permet de catégoriser

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7
Q

Quelles sont les trois fonctions des concepts et des catégories?

A
  1. Permet d’identifier rapidement des objets
  2. Réduit la complexité de l’environnement
  3. Réduit le besoin d’appendre continuellement
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8
Q

En quoi les concepts et les catégories permettent de réduire la complexité de l’environnement?

A

Permet de regrouper les objets en classe plutôt que d’y référer en fonction de leur singularité

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9
Q

En quoi les concepts et les catégories permettent de réduire le besoin d’apprendre continuellement?

A

Permet de faire des inférences quand on rencontre un nouvel objet (référer aux objets connus de la même catégorie)

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10
Q

En quoi consiste l’étude classique de Bourne sur la formation de concepts?

A

Apprendre une règle logique (conjonction ou disjonction, conditionnelle ou biconditionnelle) avec des formes géométriques dont les attributs/dimensions varient

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11
Q

Quelles sont les conclusions de l’étude classique de Bourne sur la formation de concepts en ce qui concerne le nombre d’essais requis pour apprendre la règle?

A
  • Une fois apprises, les quatre règles sont appliquées avec la même facilité
  • À partir du 3e problème, la règle est prêt de 0 peu importe le type de règle
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12
Q

Quelles sont les limites de l’étude classique de Bourne sur la formation de concepts?

A

Elle étudie le processus de catégorisation à l’aide de catégories artificielles, très différentes des catégories naturelles de la vie courante

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13
Q

Quelles sont les caractéristiques des catégories naturelles?

A
  • Définies selon dimensions continues (limites imprécises)
  • Organisées hiérarchiquement (par niveau)
  • Membres d’une catégorie pas égaux, certains plus typiques que d’autres
  • Caractéristiques pas nécessairement indépendantes
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14
Q

En quoi consiste l’étude de Labov sur les limites imprécises?

A

Bol ou tasse?

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15
Q

Quelles sont les résultats de l’étude de Labov sur les limites imprécises?

A
  • Pas de dichotomie claire entre un bol et une tasse

- Classification influencée par contexte de présentation

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16
Q

Quels sont les trois niveaux de l’organisation hiérarchique selon Rosch?

A

Supérieur, de base, subordonné

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17
Q

Quelles sont les deux fonctions du niveau de base selon le modèle de l’organisation hiérarchique de Rosch?

A

Vérification: Vérification plus rapide avec les termes du niveau de base
Identification: Lorsque participant doit générer lui-même le nom de l’objet

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18
Q

Qu’est-ce que la cohérence dans le modèle de l’organisation hiérarchique de Rosch?

A

Nombre d’attributs similaire entre les membres d’une même catégorie

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19
Q

Qu’est-ce que le caractère distinct dans le modèle de l’organisation hiérarchique de Rosch?

A

Nombre d’attributs différents entre les membres des catégories différentes

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20
Q

Que peut-on dire sur la cohérence et sur le caractère distinct au niveau supérieur dans le modèle de l’organisation hiérarchique de Rosch?

A

Cohérence faible, mais caractère distinct élevé

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21
Q

Que peut-on dire sur la cohérence et sur le caractère distinct au niveau de base dans le modèle de l’organisation hiérarchique de Rosch?

A

Cohérence élevée, et caractère distinct élevée

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22
Q

Que peut-on dire sur la cohérence et sur le caractère distinct au niveau subordonné dans le modèle de l’organisation hiérarchique de Rosch?

A

Cohérence élevée, mais caractère distinct faible

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23
Q

Pourquoi le niveau de base est privilégié dans le modèle de l’organisation hiérarchique de Rosch?

A

Cohérence élevée: Facile d’associer aux membres de sa catégorie
Caractère distinct élevé: Facile de différencier des membres des autres catégories

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24
Q

En quoi consiste l’étude de Tanaka et Taylor sur l’expertise et le niveau de base?

A

Des experts canins et des ornithologues doivent vérifier des phrases

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25
Q

Quelles sont les conclusions de l’étude de Tanaka et Taylor sur l’expertise et le niveau de base?

A

Lorsque pas expert, plus rapide pour catégoriser au niveau de base
Lorsque expert, identification au niveau subordonné devient aussi rapide que niveau de base (caractère distinct augmenté)

26
Q

Que peut-on dire sur la cohérence et sur le caractère distinct au niveau subordonné concernant l’expertise dans l’étude de Tanaka et Taylor?

A

Le caractère distinct et la cohérence sont élevés au niveau subordonné pour les experts. Activité de catégorisation influencée par expérience.

27
Q

En quoi consiste l’étude de Rosch sur la typicalité?

A

Lister les attributs d’objet typiques et moins typiques pour calculer le nombre d’attributs communs

28
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Rosch sur la typicalité?

A

Membres typiques partagent plusieurs attributs avec les autres membres et peu d’attributs avec ceux des catégories adjacentes. Membres ne sont pas tous équivalents

29
Q

Quels sont les effets de typicalité?

A
  • Temps de réaction et précision
  • Probabilité de production d’items (Les plus typiques sont nommés en premier)
  • Atténuants (presque, un peu) utilisés pour les objets non typiques
30
Q

Quels sont les deux modèles de catégorisation?

A

Modèle du prototype et Modèle des exemplaires

31
Q

Comment fonctionne le modèle du prototype?

A

Un prototype est défini comme étant la moyenne des membres d’une catégorie. Un nouvel objet est classifié par sa comparaison au prototype

32
Q

En quoi consiste l’étude classique de Posner et Keele sur la catégorisation de prototype?

A

Prototype: Ensemble de points. Présentation d’ensembles de points ayant similitude élevée ou faible

33
Q

Quels sont les résultats de l’étude classique de Posner et Keele sur la catégorisation de prototype?

A

Participant rapport avoir vu prototype lors de la phase d’apprentissage même jamais présenté, donc il a créé représentation moyenne lors de phase d’apprentissage

34
Q

En quoi consiste l’étude de Rosch, Simpson et Miller sur le prototype et la typicalité?

A

Figures en bâtonnets plus typiques que d’autres dans leur ressemblance au prototype

35
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Rosch, Simpson et Miller sur le prototype et la typicalité?

A

Plus la figure est typique, moins il y a d’erreurs, plus la catégorisation est rapide

36
Q

Comment fonctionne le modèle des exemplaires?

A

Les nouveaux objets sont comparés aux exemplaires déjà connus en mémoire. Si il u a correspondance, le nouvel objet est considéré comme appartenant à la catégorie

37
Q

Quels sont les deux modèles d’organisation des connaissances en mémoire sémantique?

A

Modèle de réseau hiérarchique et modèle de distribution de l’activation

38
Q

De quoi est constitué le modèle de réseau hiérarchique?

A

Des nœuds (concepts) auxquels sont associés propriétés spécifiques, représentés à différentes niveaux et des liens (lient les concepts)

39
Q

Comment s’explique le principe d’économie dans le modèle de réseau hiérarchique?

A

Les caractéristiques partagées par grande majorité des membres de la catégories sont emmagasinées à un niveau supérieur

40
Q

En quoi consiste l’étude de Colliuns et Quillian sur le modèle hiérarchique?

A

Tâche de vérification d’énoncés: appartenance à une catégorie, propriété

41
Q

Selon l’étude de Colliuns et Quillian sur le modèle hiérarchique, qu’est-ce que l’effet de niveaux?

A

Le temps de réponse augmente en fonction du nombre de niveaux entre les termes

42
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Colliuns et Quillian sur le modèle hiérarchique?

A
  • Plus long de vérifier propriété que appartenance

- Temps de réponse augmente en fonction de l’effet de niveaux, donc organisation hiérarchique

43
Q

Quels sont les problèmes de l’étude de Colliuns et Quillian sur le modèle hiérarchique?

A
  • Effet d’inversion de niveaux

- Effet de typicalité

44
Q

Qu’est-ce que l’effet d’inversion de niveaux dans l’étude de Colliuns et Quillian sur le modèle hiérarchique?

A

Jugement est plus rapide pour comparer des concepts non adjacents que des concepts adjacents

45
Q

Qu’est-ce que l’effet de typicalité dans l’étude de Colliuns et Quillian sur le modèle hiérarchique?

A

Membres d’une classe ne sont pas équivalents, certains plus typiques sont catégories plus rapidement que les moins typiques

46
Q

Comment définit-on le modèle de la distribution de l’activation?

A

Hypothèse que la mémoire n’est pas hiérarchique et que les liens entre les concepts n’ont pas tous la même force

47
Q

Pourquoi Collins et Loftus proposent le modèle de la distribution de l’activation?

A

Pour expliquer l’effet d’inversion de niveaux et l’effet de typicalité dans le modèle de mémoire hiérarchique

48
Q

Qu’est-ce que le concept de distance sémantique dans le modèle de la distribution de l’activation de Collins et Loftus?

A

La longueur de la ligne représente la force d’association. Plus la décision quant à la vérification d’un énoncé est rapide, plus la distance sémantique est courte

49
Q

Comment fonctionne le modèle de la distribution de l’activation de Collins et Loftus?

A

Concept présenté est activé en mémoire. Activation du mot se propage à concepts reliés. Concepts reliés activés peuvent activer d’autres concept. Activation s’affaiblit à mesure que propagée.

50
Q

En quoi consiste l’étude de Meyer et Schvaneveldt sur le modèle de distribution de l’activation?

A

Tâche de décision lexicale basée sur la présentation de deux séries de lettres (mots associés ou non-associés)

51
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Meyer et Schvaneveldt sur le modèle de distribution de l’activation?

A

Réponse plus rapide lorsque les deux mots sont associées.

Premier mot active concepts associés, donc deuxième mot déjà actif au moment de sa lecture

52
Q

Qu’est-ce qu’un schéma en mémoire sémantique?

A

Ensemble de caractéristiques relatives à une situation

53
Q

Qu’est-ce qu’un script en mémoire sémantique?

A

Séquence structurée d’évènements associés à une situation

54
Q

En quoi consiste l’étude de Brewer et Treyens sur les schémas?

A

Rappeler les objets dans une pièce. Les participants rappellent des objets qui n’étaient pas présents en se fiant sur leurs schémas

55
Q

En quoi consiste l’étude de Bransford et Johnson sur la mémoire et les inférences?

A

Lire un texte ambigu avec ou sans titre

56
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Bransford et Johnson sur la mémoire et les inférences?

A

Su un schéma erroné est activé, moins d’information est encodé relativement à la situation

57
Q

En quoi consiste l’étude de Intraub et al. sur la mémoire et les inférences?

A

On présente photo, puis demande au participant de la reproduire

58
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Intraub et al. sur la mémoire et les inférences?

A

Reproduction contient plus d’informations que photo originale, dont Effet des frontières

59
Q

En quoi consiste l’étude de Asch sur les stéréotypes et les inférences?

A

Participants entendre description d’une personne et doivent faire des inférences sur cette personne en indiquant si honnête ou malhonnête

60
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Asch sur les stéréotypes et les inférences?

A

La catégorisation au plan social peut mener à de fausses inférences et au développement de préjugés

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