Mémoire À Long Terme Flashcards

1
Q

Dissociation MCT et MLT

Effet primauté et récence représente quelle mémoire?

A

Primauté: MLT

Récence: MCT

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2
Q

Est-ce que rajouter des mots change la courbe de position sérielle?

A

Non

Ils va juste avoir plus de mots au milieu où on se rappel pas

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3
Q
Rundus 1971 (analysis of rehearsal processes in free recall)
Étude : présentation visuelle, 5 secondes pas mot. Répétition à voix haute pour voir nbr répétition 

Résultats?

A

Probabilité de rappel pour le début de la courbe est directement reliée au nbr de répétition
Montre que la répétition a un effet sur la force de la trace en MLT
Répétition = processus nécessaire

Pas de changement pour fin courbe
Pas besoin de répéter pour MCT

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4
Q

Glazner et Cunitz 1966 (prouver différenciation entre 2 mémoire)
Étude 1 : délai
Éliminer effet de récence et maintenir primauté

Comment ils ont fait ?
Résultats?

A

Imposer un délai pour ne pus avoir d’effet de récence

Plus le délai est long, plus l’effet de récence diminue 10: faible / 30: absent

Mais premiers items bien rapportés

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5
Q

Glazner et Cunitz 1966 (prouver différenciation entre 2 mémoire)
Étude 1 : espacement
Améliorer primauté et maintenir récence

Comment ils ont fait?
Résultats?

A

Lire plus lent améliorera l’effet primauté (peut plus répéter)

Effet primauté augmenter sans toucher à récence

Répétition pas utiliser dans récence car MCT

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6
Q

Glazner et Cunitz 1966 (prouver différenciation entre 2 mémoire)
Les 2 expériences

Conclusions?

A

Double dissociation obtenue

Délai: diminue récence

Présentation plus lente : améliore primauté

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7
Q

Épisodique ou sémantiques?

Détails/pensée/émotion/sensation

A

Épisodique

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8
Q

Épisodique ou sémantiques?

Acquis progressivement dans multiples contextes

A

Sémantiques

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9
Q

Épisodique ou sémantiques?

Le savoir

A

Sémantiques

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10
Q

Épisodique ou sémantiques?

Se souvenir

A

Épisodique

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11
Q

Épisodique ou sémantiques?

Acquis immédiatement (ici et maintenant)

A

Épisodique

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12
Q

Épisodique ou sémantiques?

Beaucoup de traitement descendent

A

Épisodique

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13
Q

Épisodique ou sémantiques?

Faits généraux

A

Sémantiques

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14
Q

Épisodique ou sémantiques?

Permet le voyage dans le temps mental

A

Épisodique

C’est le revivre

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15
Q

Épisodique ou sémantiques?

Connaissance abstraite

A

Sémantiques

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16
Q

Knowlton et Squire 1995 (remembering and knowing : 2 different expressions of declarative memory)
Étude : étudier des mots et dire si se souvient ou sait avoir vu le mot après 10min et 1 semaine.

Résultats?

A

Baisse rappel plus fort pour se souvenir que savoir.
Après 10 minutes : plus de rappel épisodique que sémantiques
Après 1 semaine aussi
MAIS Perd beaucoup plus d’épisodique

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17
Q

Knowlton et Squire 1995 (remembering and knowing : 2 different expressions of declarative memory)
Étude : étudier des mots et dire si se souvient ou sait avoir vu le mot après 10min et 1 semaine.

Conclusions?

A

La mémoire épisodique à un patron d’oubli différent que la mémoire sémantiques
Indice de 2 types de mémoire

Mémoire épisodique devient sémantiques avec le temps

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18
Q

Petrican et al 2010 (recollection and familiarity for public events in neurologically intact older adults)
Étude : 150 événements réels ou inventés dire si se souvient / sait / ne sait pas

Résultats?

A

On se souvient de moins en moins (épisodique)

On sait de plus en plus (sémantiques)

Souvenirs deviennent savoir

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19
Q

Petrican et al 2010 (recollection and familiarity for public events in neurologically intact older adults)
Étude : 150 événements réels ou inventés dire si se souvient / sait / ne sait pas

Conclusions ?

A

Les deux types de réponses évoluent dans le temps différemment.

Épisodique sensible à dégénérescence de l’hippocampe et du cortex frontal

Autre preuve de caract différentes pour différentes mémoires

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20
Q
Sachs 1967 (recognition memory for syntactic and semantic aspects of connected discourse)
Étude : écoute courte histoire et doit répondre à des questions. Changement peuvent être: aucun / formel / passif-actif / sémantiques 

Résultats?

A

Si testé immédiatement après:
Excellent pour tous types de changement

Si testé plus tard :
Exactitude réduite avec le temps
Mais meilleur pour changement sémantiques

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21
Q
Sachs 1967 (recognition memory for syntactic and semantic aspects of connected discourse)
Étude : écoute courte histoire et doit répondre à des questions. Changement peuvent être: aucun / formel / passif-actif / sémantiques 

Interprétation?

A

Preuve pour codage surtout sémantiques en MLT

Propriétés de l’oubli en MLT explicite
Signification préservée
Syntaxe disparaît tranquillement avec le temps

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22
Q

Épisodique ou sémantiques?

Beaucoup d’oubli

A

Épisodique

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23
Q

Épisodique ou sémantiques?

La mémoire X enrichie la mémoire Y

A

X : épisodique

Y : sémantiques

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24
Q

Épisodique ou sémantiques?

Il ne peut plus revivre des événements passés

A

Épisodique

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25
Q

Épisodique ou sémantiques?

Elle a oublié le sens des mots

A

Sémantiques

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26
Q

Épisodique ou sémantiques?

Il savait que son frère s’était marié

A

Sémantiques

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27
Q

Épisodique ou sémantiques?

Elle ne peut plus reconnaître célébrité

A

Sémantiques

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28
Q

Épisodique ou sémantiques?

Elle se rappelle des événements de sa vie

A

Épisodique

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29
Q

Sémantiques et épisodique en imagerie cérébrale

Est-ce qu’il y a des endroits différents pour les souvenirs sémantiques et épisodique?

A

Il y a chevauchement mais il y a quand même une grande différence

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30
Q

Comment notre sémantiques affecte notre épisodique?

A

Notre connaissance guide où on porte attention et comment on va expérimenté la situation

La sémantiques affecte notre expérience qui a son tour affecte l’épisodique

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31
Q

Comment on forme la mémoire autobiographique?

A

Mémoire d’événements spécifiques de nos vies qui inclus de la sémantiques et de l’épisodique.
Interactions entre sémantiques et épisodique

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32
Q

Interaction sémantiques et épisodique lorsqu’on pense à des célébrités

Comment ça?

A

Sémantiques: Scarlett est une actrice qui joue dans des films d’action

Épisodique : te rappelle avoir regarder son film la semaine passée

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33
Q

Retour vers le futur dans souvenirs
Souvenirs = ramener quelque chose du passé mais qu’est-ce qui se passe quand on imagine le futur?

Exemple de KC et DB

A

KC : a perdu sa mémoire épisodique + pas capable de se projetée dans le futur

DB : à lésion hippocampe: difficulté à imaginer événements futurs

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34
Q

Retour vers le futur dans souvenirs
Souvenirs = ramener quelque chose du passé mais qu’est-ce qui se passe quand on imagine le futur?

Experience Addis 2007
Étude: imaginer événement passé et futur

Résultats en imagerie cérébrale?

A

Mécanismes cérébraux similaires

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35
Q

Retour vers le futur dans souvenirs
Souvenirs = ramener quelque chose du passé mais qu’est-ce qui se passe quand on imagine le futur?

Experience Addis 2007
Étude: imaginer événement passé et futur

Conclusions?

A

Hypothèse de la simulation épisodique

Souvenirs épisodiques sont pris et recombiner pour construire événement futur

Épisodique simulerait des possibilités du futur pour mieux anticiper et guider compta

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36
Q

Retour vers le futur dans souvenirs
Souvenirs = ramener quelque chose du passé mais qu’est-ce qui se passe quand on imagine le futur?

Experience McDermott 2016
Étude : décrire à haute voix et dire si en 1iere ou 3iem personne souvenir passé ou futur

Résultats

A

2 raconté en 3ieme personne

Il y aurait donc un processus commun dans ces 2 situations

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37
Q

Quelle est la relation entre l’errance de la pensée et le réseau du mode par défaut?

A

Aide à créer des simulations du futur

Une lésion dans le réseau du mode par défaut cause problème à se rappeler des souvenirs autobiographiques
Associés à problèmes d’imaginer le futur

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38
Q

Comparaison processus MLT MCT
MCT ou MLT ?

Visuel :
Quand tu regardes un motif et doit le reproduire tout de suite après?

A

MCT

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39
Q

Comparaison processus MLT MCT
MCT ou MLT ?

Auditif:
Lorsque tu chantes une chanson dans ta tête

A

MLT

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40
Q

Comparaison processus MLT MCT
MCT ou MLT ?

Visuel:
Visualiser quelque chose que tu as vi dans le passé

A

MLT

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41
Q

Comparaison processus MLT MCT
MCT ou MLT ?

Sémantiques :
L’inférence proactive lorsque reste dans la même catégorie

A

MCT

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42
Q

Comparaison processus MLT MCT
MCT ou MLT ?

Sémantiques:
On ne se souvient pas des mots mais du sens général du texte

A

MLT

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43
Q

Comparaison processus MLT MCT
MCT ou MLT ?

Auditif:
Représente le son des lettres dans l’esprit après les avoir entendu

A

MCT

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44
Q

Lésion hippocampe: effet MCT et MLT ?

A

Mct : bonne
Mlt : mauvaise
Incapable former nouveaux souvenirs

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45
Q

Lésion pariétal : effet MCT et MLT ?

A
Mct : nulle
  Empan de 2
  Affecte effet de récence 
Mlt : normal 
  Créer souvenirs d’événements de vie
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46
Q

Voir l’utilisation d’hippocampe dans MCT et MLT

Étude: regard visages échantillons / délai / regarde visages tests / dire si même ou non

Résultats?

A

L’activation durant le délai
Grande pour visage nouveau
Faible pour déjà vu

Preuve implication de l’hippocampe dans MCT
Surtout pour nouveaux stimuli

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47
Q

Critiques de Craik et Lockhart 1972 sur approche des boites.
Avant Baddeley et Hitch!!

Quels sont leurs critiques?

A

Trop de boites
Limite semble dépendre du type de matériel
Pourquoi il y aune limite?
Entreposage ou traitement
Codage de quel type : frontières semblent floues

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48
Q

Craik et Lockhart 1972 (niveaux de traitement)

Quelles sont les différents types de traitements

A
  1. Surface
    Accent sur caract physique
  2. Profond
    Accent sur signification
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49
Q

Craik et Lockhart 1972 (niveaux de traitement)

Quelles sont les différents types de répétition?

A
1. Répétition de maintien 
  Sans considérer le sens
  Sans faire de connexion avec d’autres information
  Non efficace pour transfert en MLT
  Utilisé dans traitement de surface
  1. Répétition élaborative
    Trouve moyen de relier info à quelque chose de significatif - Faire des liens / chunking / etc
    Seul type efficace pour entreposage en MLT
    Utilisé dans traitement profond
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50
Q

Craik et Lockhart 1972 (niveaux de traitement)

Qu’est-ce qu’un traitement profond amène de plus?

A

Plus le type est profond, plus la trace est de longue durée / fortes

Amène un meilleur rappel

Qualité de l’encodage mène à qualité de récupération

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51
Q

Hyde et Jenkins 1973 (recall for words as a function of semantic, graphic and syntactic orienting tasks)
Étude : liste de mots et rappel avec la même liste. Différentes tâches pour différentes profondeurs. Savoir ou non si va être testé.

Qu’est-ce qui est plus sémantiques entre : contient E ou G / noms ou verbe / mot souvent utilisé / mot plaisant ou déplaisant

A

Plaisant ou non

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52
Q

Hyde et Jenkins 1973 (recall for words as a function of semantic, graphic and syntactic orienting tasks)
Étude : liste de mots et rappel avec la même liste. Différentes tâches pour différentes profondeurs. Savoir ou non si va être testé.

Résultats?

A

Perfo augmente avec la profondeur

L’intention d’apprendre: aucun effet significatif sur le rappel.

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53
Q

Hyde et Jenkins 1973 (recall for words as a function of semantic, graphic and syntactic orienting tasks)
Étude : liste de mots et rappel avec la même liste. Différentes tâches pour différentes profondeurs. Savoir ou non si va être testé.

Interprétation?

A

Support pour approche des niveaux

Intention n’est pas un facteur

Facteur important = stratégie optimale d’encodage profond

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54
Q
Slamecka 1978 (the generation effect)
Étude : traiter 100 paires de mots puis faire reconnaissance. Soit lit les mots ou génère un 2iem mot. Soit utilise rime ou sens. 

Résultats?

A

Performance rime plus basse car moins profond

Générer mots améliore la perfo pour tous les types d’essais

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55
Q

Roger, Kulper et Kirker 1977 (self reference and the encoding of personal information)
Étude : jugement d’adjectifs selon structure / phonémique / sémantiques / référence à soi

Résultats

A

Traitement plus profond améliore perfo

Perfo pour auto reference beaucoup plus élevé que toute autre condition.
Perfo meilleur pour essai ‘oui’

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56
Q

Leshikar 2015
Étude : évaluer adjectifs selon si ressemble ou non à soi vs dire si souvent utilisé.

Résultats

A

Reconnaissance meilleur pour lorsqu’elle juge envers elle

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57
Q

Bower et Winzenz 1970 (comparison of associative learning strategies)
Étude : apprentissage paire selon répétition /lecture / génération / imagerie.

Pourquoi imagerie est considérée comme plus profond?

A

Car elle a un encodage sémantiques et connaissance à long terme de la dynamique des objets.
Accès au sens + utilisation dynamique des références dans un contexte

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58
Q

Bower et Winzenz 1970 (comparison of associative learning strategies)
Étude : apprentissage paire selon répétition /lecture / génération / imagerie.

Est-ce que l’imagerie est vraiment le plus profond?

A

Oui

C’est même meilleur que la génération

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59
Q

Bower et Winzenz 1970 (comparison of associative learning strategies)
Étude : apprentissage paire selon répétition /lecture / génération / imagerie.

Quel est l’effet du délai sur le rappel?

A

Il n’y en a pas

La trace profonde est plutôt stable

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60
Q

Bower et Johnson 1969 (hierarchical retrieval schemes in recall of categorized word list)
Étude : apprendre liste de mot soit structuré soit au hasard et faire test rappel.

Est-ce qu’il y a une grande différence pour les 2 conditions ?

A

Oui!
Après 1 seule fois, il y avait avantage à avoir la structure
Et après 4 essais structure est parfaite

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61
Q

Bower et Johnson 1969 (hierarchical retrieval schemes in recall of categorized word list)
Étude : apprendre liste de mot soit structuré soit au hasard et faire test rappel.

Conclusion

A

Organisation hiérarchique par catégorie est une bonne stratégie de rétention

Premier mot est un indice pour le suiv

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62
Q

Bransford et Johnson -972 (montrer qu’empêcher d’organiser réduit l’habilité de se rappeler)
Étude : lire texte où chaque phrase fait du sens mais ensemble c’est dir de s’imaginer. Soit voit une photo qui décrit ou voit pas la photo.

Résultats?

A

Ceux qui voyait l’image se sont rappeler 2X plus du passage.

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63
Q

Bransford et Johnson -972 (montrer qu’empêcher d’organiser réduit l’habilité de se rappeler)
Étude : lire texte où chaque phrase fait du sens mais ensemble c’est dir de s’imaginer. Soit voit une photo qui décrit ou voit pas la photo.

Interprétation

A

Importance facteur d’organisation.

Image fourni structure mentale pour reliée les phrases et faire histoire qui a du sens.

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64
Q
Naire 2010 (relier des mots à la survie)
Étude: imaginer être sur une île déserte et lire liste mots et dire les plus utiles sur l’île. 

Résultats

A

Meilleur rétention que pour toute autre méthode d’encodage

Traitement de survie est important pour encodage en mémoire

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65
Q
Naire 2010 (relier des mots à la survie)
Étude: imaginer être sur une île déserte et lire liste mots et dire les plus utiles sur l’île. 

Quelles sont les critiques?

A

Mémoire aussi reliée à choses que nos ancêtres non pas vécu.

Être attaqué par zombie

Planifier une sortie en camping

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66
Q

Roediger et Karpicke 2006 (test enhanced learning : taking memory test improves long term retention)
Étude : étudier un passage ou se tester sur le passage. Tester immédiatement + 2 jours après + 1 semaine après.

Résultats

A

Étude-étude : avantage à court terme

Étude-test : avantage à long terme

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67
Q

Roediger et Karpicke 2006 (test enhanced learning : taking memory test improves long term retention)
Étude #2 : étudier un passage ou se tester sur le passage. Tester immédiatement + 1 semaine après. Et va tester confiance
EEEE / EEET / ETTT

Résultats

A

Étudier augmente la confiance mais pas la perfo

Étudier: mieux pour tester immédiatement

Tester: mieux pour long terme
Même si étude juste 1 fois
Même sans rétroaction

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68
Q
Cepeda 2006 (distributed practice in verbal recall tasks: a review and quantitative synthesis)
Étude : meta analyse pour voir quelle façon de distribution de l’étude est meilleure.

Résultats

A

80% montre avantage sur rétention lorsque l’apprentissage est distribué.
Interval optimal : 1-3 jours

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69
Q
Cepeda 2006 (distributed practice in verbal recall tasks: a review and quantitative synthesis)
Étude : meta analyse pour voir quelle façon de distribution de l’étude est meilleure.

Conclusions : pourquoi

A

Effet robuste
Chez une clientèle diverse

Soit car on porte moins attention la 2e fois quand c’est trop rapproché

Soit car nombre de traces en mémoire est plus grand avec une présentation espacée
Plusieurs traces avec plusieurs contextes

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70
Q

Niveaux de traitement

  1. Ce que l’on sait
  2. Problèmes
  3. Solution
A
  1. Traitement profond = trace LT plus forte
  2. App à base sémantiques mène à meilleur reconnaissance/rappel
  3. Raisonnement circulaire : comment définir la profondeur
  4. Accent sur conditions d’apprentissage - pas sur processus de récupération
  5. Adapter but / conditions app / test pour améliorer rappel
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71
Q

Morris, Brandford et Franks 1977 (levels of processing vs transfer appropriate processing.
Étude : acquisition mots cibles (soit rime ou sémantiques). Reconnaissance de ces mots + nouveaux mots (rime ou sémantiques)

Qu’est-ce qu’ils voulaient montrer ?

A

Que la profondeur n’est pas un facteur crutial pour une trace mnésique forte

Que l’encodage et récupération influ la perfo (concordance)

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72
Q

Morris, Brandford et Franks 1977 (levels of processing vs transfer appropriate processing.
Étude : acquisition mots cibles (soit rime ou sémantiques). Reconnaissance de ces mots + nouveaux mots (rime ou sémantiques)

Résultats

A

Reconnaissance standard : meilleur si acquisition sémantiques

Reconnaissance rime : meilleure si acquisition rime

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73
Q

Morris, Brandford et Franks 1977 (levels of processing vs transfer appropriate processing.
Étude : acquisition mots cibles (soit rime ou sémantiques). Reconnaissance de ces mots + nouveaux mots (rime ou sémantiques)

Conclusions

A

Rejet de l’approche des niveaux de traitement

Important c’est la concordance entre acquisition et récupération

Concept de traitement approprié au transfert

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74
Q

Réponse Lockhart et Craik

A

Quand tu fais une moyenne c’est le sémantiques qui est toujours mieux

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75
Q

Tulving et Thomson 1973

V ou F ils disent que dans la relation entre l’encodage et récupération, c’est la concordance du type d’item qui est important?

A

Faux : peut aussi être le contexte

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76
Q

Godden et Baddeley 1975 (context-dependant memory)
Étude : encoder mots soit en dehors de l’eau ou dans l’eau puis rappeler en dehors de l’eau ou dans l’eau.

Résultats

A

Lorsqu’elle la condition d’acquisition et rappel concordent la perfo est meilleure

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77
Q

Godden et Baddeley 1975 (context-dependant memory)
Étude : encoder mots soit en dehors de l’eau ou dans l’eau puis rappeler en dehors de l’eau ou dans l’eau.

Interprétation

A

App dépend du contexte

Le contexte sert d’indice de récupération

Support pour spécificité de l’encodage

78
Q
Grant 1988 (context-dependant memory of meaningful material: information for students)
Étude : étudier un article (dans silence total ou bruit de cafétéria) puis rappel libre ou reconnaissance (dans silence ou bruit cafétéria)

Résultats

A

Lorsque contexte encodage et récupération concorde il y a meilleure perfo

Pas mieux si dans silence ou dans cafétéria tant que ça concorde

79
Q
Grant 1988 (context-dependant memory of meaningful material: information for students)
Étude : étudier un article (dans silence total ou bruit de cafétéria) puis rappel libre ou reconnaissance (dans silence ou bruit cafétéria)

Interprétation

A

Apprentissage dépend du contexte

Contexte utilisé comme indice de récupération

Support pour spécificité de l’encodage

80
Q

Eich, Metcalfe 1989 (mood dependant memory for internal vs external event)
Étude : musique pour modifier émotion. Puis acquisition en lecture ou génération. Puis rappelle dans même état ou différent.

Résultats

A

Meilleure perfo lorsque conditions concordent

Mais juste lors de génération et non lecture
Car génération interne et la lecture externe

81
Q

Tulving et Pearlstone 1966 (availability vs accessibility of information in memory for words)
Étude : écouter une liste de mot, puis rappel libre ou indicé (catégorie)

Résultats

A

Perfo de rappel beaucoup mieux lors d’indices catégoriels

35% moins d’oubli

82
Q

Tulving et Pearlstone 1966 (availability vs accessibility of information in memory for words)
Étude : écouter une liste de mot, puis rappel libre ou indicé (catégorie)

Interprétation

A

Problème de récupération pas d’interférence.

Connaissance disponible mais juste accessible à l’aide d’indices

Aucune preuve d’oubli

83
Q
Mantyla 1986 (optimizing cue effectiveness : recall of 500-600 incidentally learned words)
Étude : générer propriétés associés pour les mots (par soi ou autrui) puis test (générer mot avec 1 indice ou générer mot avec 3 indices

Résultats

A

En général générer 3 indices améliore perfo

Si on génère soi même améliore beaucoup la perfo, surtout si 3 indices

Quand on a pas vu les mots pas une bonne perfo

84
Q
Mantyla 1986 (optimizing cue effectiveness : recall of 500-600 incidentally learned words)
Étude : générer propriétés associés pour les mots (par soi ou autrui) puis test (générer mot avec 1 indice ou générer mot avec 3 indices

Interprétation

A

Plus on a de détails plus c’est facile de récupérer un souvenir

Générer soi même indices permet d’associer mots à propres souvenirs

Caractéristiques de bons indices
Compatibilité
Distinctivité : pas trop général

85
Q

Müller et Pilzecker 1990 (nouveaux souvenirs fragiles peuvent être perturbés)
Étude : apprendre liste de syllabes sans sens et soit apprendre immédiatement après une autre liste ou attendre 6 minutes avant la nouvelle. Puis se rappeler de la première liste.

résultats

A

Groupe immédiatement:
28% rappel

Groupe délai
48% délai

86
Q

Müller et Pilzecker 1990 (nouveaux souvenirs fragiles peuvent être perturbés)
Étude : apprendre liste de syllabes sans sens et soit apprendre immédiatement après une autre liste ou attendre 6 minutes avant la nouvelle. Puis se rappeler de la première liste.

Interprétation

A

Présentation immédiate de la 2e liste interromp la formation du souvenir

Ils n’ont pas eu le temps d’être consolidés

87
Q

Quels sont les 2 types de consolidation?

A

Synaptique :
Rapide
Chgmt structural de la synapse
Minutes ou heures

Systèmes neuronaux
Plus long terme
Réorganisation des circuits neuronaux
Mois ou années

88
Q

Quel est le premier modèle (standard) de consolidation à partir de l’Hippocampe ?

A

Hippocampe encode les nouveaux souvenirs
Hippocampe est connectée avec les aires corticales supérieures
Rôle de l’hippocampe est de rejouer le souvenir et envoyer le signal au cortex

Avec le temps
Connexions avec cortex affaiblissent
Connexions intracorticales renforcées
Éventuellement l’hippocampe n’est plus impliquée

89
Q

Quel est le deuxième modèle (traces multiples) de consolidation à partir de l’Hippocampe ?

A

Hippocampe encode nouveaux souvenirs
Hippocampe est connecté avec les aires corticales supérieurs

Avec le temps
Hippocampe reste en contact avec cortex même pour souvenirs lointains

Hippocampe serait principalement lié avec la mémoire épisodique

90
Q

Viskontas (réponse hippocampe change avec le temps)
Étude : regarder pairs images et imaginer en interaction puis s’en rappeler avec délai différents.

Résultats

A

10minutes après : plus de retention épisodique
1 semaine après : beaucoup perte épisodique

Épisodique: même activation hippocampe après 1 semaine
Sémantiques: chute activation hippocampe après 1 semaine

91
Q
Bonnici 2012 (hippocampe et mémoire autobiographique)
Étude : se rappeler de vieux souvenirs clairs ou nouveaux souvenirs et les cotés en terme de clarté. Regarde activité hippocampe + cortex pré frontal + autres cortex. Technique multivoxel pattern analysis

Résultats

A

Classificateurs ont réussi à déterminer souvenirs lointains ou récents

Hippocampe activée pour nouveau et ancien souvenirs
Mais plus d’activité dans cortex prefrontal pour souvenirs lointains

92
Q

Hebb 1948 (app et souvenirs sont représentés ds le cerveau par des changement des synapses.

Qu’est-ce que Hebb a trouvé

A

Potentialisation à long terme
Augmentation libération après stimulation répétée
Neurone B libère plus vite au même stimulus

Montre comment expérience peut causer des changement dans les synapses

Experience spécifique est représenté par pattern de liberation spécifique dans neurones

93
Q

Wilhelm et al 2010 (sleep selectivity enhances memory expected to be of future relevance)
Étude : sommeil vs éveil / apprentissage intentionnel vs non intentionnel

Résultats

A

Sommeil :
Performe en général mieux

Sommeil + intention d’apprendre:
Meilleure perfo

Sommeil + incident : pas intention app
Aussi mauvais que l’éveil

Éveil:
Moins bon
Aucune différence pour intention et non int

94
Q

Wilhelm et al 2010 (sleep selectivity enhances memory expected to be of future relevance)
Étude : sommeil vs éveil / apprentissage intentionnel vs non intentionnel

Intention

A

Les participants sommeil + intention
Plus de sommeil profond (phase cruciale pour app)

Sommeil crucial pour consolidation des souvenirs pertinents
Consolidation sélective

Plus app proche du sommeil, plus il y a consolidation

95
Q

Hupbach et al 2007 (reconsolidation of episodic memories : a subtle reminder triggers integration)
Étude : app liste mot A / B et rappel. Selon procédure 1 (j1: app liste A pièce 1 | j2: rappel contexte liste A, et app liste B pièce 1 | j3: test liste A)
Procédure 2 (j1: app liste A pièce 1 | j2: pas contexte A app liste B pièce 2 | j3: test liste A)

Résultats

A

Groupe rappel contexte A
Beaucoup d’intrusions de la liste B dans rappel de liste A (22%)

Groupe sans rappel contexte A
Peu d’intrusions

Contrôle:
Aucune / impossible intrusion (pas vu B)

Preuve de réactivation et reconsolidation

96
Q

Nader Schafe, Doux 2000 (fear memories require protein synthesis in the amygdala for reconsolidation after retrieval)
Étude : fait un app aux rat et introduire anisomycine soit lors de l’association initiale / soit un jour après / soit lors de la réactivation

Lorsqu’on injecte le lendemain est-ce que ça touche l’apprentissage?

A

Non : ce n’est pas juste le fait d’injecter le produit, mais le timing

97
Q

Nader Schafe, Doux 2000 (fear memories require protein synthesis in the amygdala for reconsolidation after retrieval)
Étude : fait un app aux rat et introduire anisomycine soit lors de l’association initiale / soit un jour après / soit lors de la réactivation

Quand est-ce qu’il y avait un effet?

A

Lorsqu’on injecte en même temps que l’association initiale
Pas de consolidation

Lorsqu’on injecte en même temps que la réactivation
Pas de reconsolidation même s’il avait réaction avant

98
Q

Nader Schafe, Doux 2000 (fear memories require protein synthesis in the amygdala for reconsolidation after retrieval)
Étude : fait un app aux rat et introduire anisomycine soit lors de l’association initiale / soit un jour après / soit lors de la réactivation

Interprétation

A

Preuve de réactivation et reconsolidation

Montre la fragilité souvenirs récupérés
S’applique au PTSD

99
Q

Brunet (réactivation souvenir et reconsolidation chez PTSD)
Étude : événement traumatisme et injection

Résultat

A

Diminution de l’anxiété face au souvenir traumatisant

100
Q

Tulving, Schacter et Stark 1982 Exp1 (priming effects in word-fragment completion)
Étude : étudier mots qui seront testés plus tard soit par complétion ou reconnaissance.

Reconnaissance test la mémoire explicite ou implicite?

A

Explicite

101
Q

Tulving, Schacter et Stark 1982 Exp1 (priming effects in word-fragment completion)
Étude : étudier mots qui seront testés plus tard soit par complétion ou reconnaissance.

Completion fait refer à la mémoire implicite ou explicite et pourquoi ?

A

Implicite car les mots chercher n’étaient pas mentionnés, donc c’était le premier mot à l’esprit

102
Q

Tulving, Schacter et Stark 1982 Exp1 (priming effects in word-fragment completion)
Étude : étudier mots qui seront testés plus tard soit par complétion ou reconnaissance.

Résultats?

A

Après un intervalle d’une heure : augmentation de la probabilité de compléter un fragment en utilisant mot vu dans la liste

103
Q

Tulving, Schacter et Stark 1982 Exp1 (priming effects in word-fragment completion)
Étude : étudier mots qui seront testés plus tard soit par complétion ou reconnaissance.

Interprétation

A

Présence d’amorçage de répétition

Présentation de l’amorce a un effet qui continue même lorsqu’il n’est plus présent
Facilite réponse quand réapparaît.

Ne peut pas être expliqué par mémoire explicite : personne sait pourquoi ils ont répondu ça

Alternative: utilise rappel conscient (explicite)

104
Q

Tulving, Schacter et Stark 1982 Exp2 (priming effects in word-fragment completion)
Étude : étudier mots qui seront testés plus tard soit par complétion ou reconnaissance. Regarde l’oubli
Si oublie est différent: on a deux mémoire

Résultats?

A

Perfo en reconnaissance : diminue après 7 jours

Perfo en complétion: reste intacte

105
Q

Tulving, Schacter et Stark 1982 Exp2 (priming effects in word-fragment completion)
Étude : étudier mots qui seront testés plus tard soit par complétion ou reconnaissance. Regarde l’oubli
Si oublie est différent: on a deux mémoire

Interprétation?

A

Effet amorçage de répétition
Constant à travers le temps
Dépend pas de mémoire explicite

106
Q

Memoir implicite selon Squire 2004

Exprimé par perfo ou récupération

A

Performance

107
Q

Memoir implicite selon Squire 2004

Formes (4)

A
Procédurale 
Amorçage 
  Répétition 
  Conceptuel
Simple conditionnement classique
  App d’association 
Apprentissage non-associatif
  App vicariant
108
Q

Classification des tests de mémoire Neath 1998
Incident vs intentionnel
Indirectes vs directes
Implicite vs explicite

Apprendre sans dire que ca va être testé

A

Incident

109
Q

Classification des tests de mémoire Neath 1998
Incident vs intentionnel
Indirectes vs directes

Dire d’aller chercher chercher dans mémoire lors du test

A

Directes

110
Q

Classification des tests de mémoire Neath 1998
Incident vs intentionnel
Indirectes vs directes

Apprendre avec l’intention d’être testé sur le matériel

A

Intentionnel

111
Q

Classification des tests de mémoire Neath 1998
Incident vs intentionnel
Indirectes vs directes

Montrer amélioration de perfo même si ne dit pas d’aller chercher en mémoire

A

Indirectes

112
Q

Jacoby et Dallas 1981 (on the relationship between autobiographical memory and perceptual learning)
Étude : expérience de type niveaux de traitement. 3 taches d’orientation différentes (typographique, rime, sémantiques). 2 tests différents (reconnaissance ou identification rapide). Ne savent pas que vont être testé.

Résultats?

A

Niveaux traitement ont effet sur la perfo en reconnaissance mais pas en identification rapide.

Effet de profondeur pour reconnaissance
Explicit

Pas effet profondeur pour identification rapide
Implicite

113
Q

Jacoby et Dallas 1981 (on the relationship between autobiographical memory and perceptual learning)
Étude : expérience de type niveaux de traitement. 3 taches d’orientation différentes (typographique, rime, sémantiques). 2 tests différents (reconnaissance ou identification rapide). Ne savent pas que vont être testé.

Interprétation

A

Relation forte entre profondeur et mémoire explicite

Pas de relation entre profondeur et mémoire implicite

Vu qu’il y a effet differenciel
Il y a donc 2 sorte de mémoire

114
Q

Jacoby et Dallas 1981
Autres résultats
Reconnaissance vs identification perceptuelle

Lecture vs anagramme (génération)

A

Reconnaissance
Mieux pour anagramme ds explicite

Identification perceptuelle
Pas difference entre lecture et anagramme

Effet génération lié à mémoire explicite et non implicite

115
Q

Jacoby et Dallas 1981
Autres résultats
Reconnaissance vs identification perceptuelle

Temps de présentation

A

Reconnaissance
Mots présentés plus longtemps son mieux reconnus

Identification perceptuelle
Aucune différence

116
Q

Jacoby et Dallas 1981
Autres résultats
Reconnaissance vs identification perceptuelle

Présentation groupée vs espacées

A

Reconnaissance
Mieux espacé que groupé

Identification perceptuelle
Pas de différence

117
Q

Jacoby et Dallas 1981
Autres résultats
Reconnaissance vs identification perceptuelle

Délai avant le test 15min vs 24h

A

Reconnaissance
Perfo plus basse après 24h

Identification perceptuelle
Aucune différence

118
Q

Sperberg et al 1979 (semantic priming effects on picture and word processing)
Étude : identification pairs en haut est amorce pour en bas. 1/2 des pairs sit sémantiquement reliée. Apprentissage implicite.

Résultats

A

Plus rapide de nommer la cible quand reliée sémantiquement

Existence d’un processus implicite d’amorçage sémantiques

119
Q

Sperberg et al 1979 (semantic priming effects on picture and word processing)
Étude : identification pairs en haut est amorce pour en bas. 1/2 des pairs sit sémantiquement reliée. Apprentissage implicite.

Pourquoi est-ce plus long pour les images que les mots?

A

Les images doivent être transférées au système articulatoire pour faire son

120
Q

Amnésie antérograde ou rétrograde?

Oublie souvenir passé

A

Rétrograde

121
Q

Amnésie antérograde ou rétrograde?

Incapacité à former nouveaux souvenirs

A

Anterograde

122
Q

Graf, Squire et Mandler 1984 (the information that amnesic patients de not forget)
Étude : amnésiques vs contrôle. 2 tâches orientations (voyelle ou appréciation) + plusieurs tests (rappel indicé ou rappel libre ou complétion mot)

Incident ou intentionnel?
Indirectes ou direct?
Pour rappel indicé / libre / complétion

A

Rappel indicé : incident et directes

Rappel libre : incident et directes

Complétion: incident et indirectes

123
Q

Graf, Squire et Mandler 1984 (the information that amnesic patients de not forget)
Étude : amnésiques vs contrôle. 2 tâches orientations (voyelle ou appréciation) + plusieurs tests (rappel indicé ou rappel libre ou complétion mot)

Résultats?

A

Pas de différence pour la complétion =

Mémoire explicite des amnésiques atteintes mais pas l’implicite

124
Q

Graf, Squire et Mandler 1984 (the information that amnesic patients de not forget)
Étude : amnésiques vs contrôle. 2 tâches orientations (voyelle ou appréciation) + plusieurs tests (rappel indicé ou rappel libre ou complétion mot)

Interprétation?

A

Amnésie maintenant vu comme un déficit de la mémoire explicite et non implicite aussi
Juste la récupération

125
Q

Mémoire implicite et explicite chez les personnes âgées?

A

Explicite atteinte avec l’âge

Implicite na change pas avec amorçage

126
Q

Reber 1967 (implicit learning of artificial grammars)
Étude : apprendre structure d’un nouveau langage en voyant des bons et mauvais exemples. Implicite.
1-rapporter les séquences sans savoir qu’il y a grammaire
2-juger grammaticalité sans savoir qu’il y a une grammaire

Résultats

A

1-Apprentissage plus rapide lorsque les séquences sont grammaticales
2-reconnaissance des séquences grammaticales et non grammaticales (79%)

Mais ne sont pas capable de nommer la règle grammaticale

127
Q

Reber 1967 (implicit learning of artificial grammars)
Étude : apprendre structure d’un nouveau langage en voyant des bons et mauvais exemples. Implicite.
1-rapporter les séquences sans savoir qu’il y a grammaire
2-juger grammaticalité sans savoir qu’il y a une grammaire

Conclusions

A

Présence d’une mémoire implicite de la grammaire

Connaissance de la grammaire de façon implicite

128
Q

Perfect et Askew 1984 (print adverts : not remembered but memorable)
Étude :
Soit incidente (dire ce qui rendrait la revue plus attrayante) - questionnaire sur articles
Soit intentionnelle (savent que pubs sont matière pertinente)-opinion pour améliorer pub
Tests (évaluer pubs ou reconnaissance)

Résultats pour tâches reconnaissance

A

Exposition incidente : 11%

Exposition intentionnelle: 60%

129
Q

Perfect et Askew 1984 (print adverts : not remembered but memorable)
Étude :
Soit incidente (dire ce qui rendrait la revue plus attrayante) - questionnaire sur articles
Soit intentionnelle (savent que pubs sont matière pertinente)-opinion pour améliorer pub
Tests (évaluer pubs ou reconnaissance)

Résultats pour tâches évaluations pubs

A

Les pubs vues évaluées plus positivement que les non vues pour les 2 conditions (incidente et intentionnelle)

Même si s’en rappelle pas, évaluée plus positivement. Effet implicite.

130
Q

Perfect et Askew 1984 (print adverts : not remembered but memorable)
Étude :
Soit incidente (dire ce qui rendrait la revue plus attrayante) - questionnaire sur articles
Soit intentionnelle (savent que pubs sont matière pertinente)-opinion pour améliorer pub
Tests (évaluer pubs ou reconnaissance)

Interprétation

A

Effet similaire pour conditions explicite ou implicite
Implique que seule la mémoire implicite est utilisée par dans le changement d’attitude

Pas besoin de mémoriser pour quelles soient efficaces (une seule exposition est suffisante)

131
Q

Qu’est-ce la mémoire autobiographique?

A

Pour expériences spécifiques de notre propre vie

Inclut sémantiques et épisodique

132
Q

V ou F : la vision a un rôle important dans la mémoire autobiographique?

A

Vrai

Sauf pour les aveugles, c’est l’audition

133
Q

Cabeza et al 2004 (mémoire autobiographique vs mémoire de laboratoire)
Étude : regarder photos prisent pas soi ou autrui. Quelques jours plus tard, dire si c’est la tienne ou non avec des nouvelles photos.
Mesure l’activation causée par les photos

Résultats

Lobe pariétal
Lobe temporal
Cortex pré frontal
Hippocampe

A

Lobe pariétal : associés au traitement de scènes
Mêmes activation pour les 2

Lobe temporal: associés à mémoire épisodique
Même activation pour les 2

Cortex pré frontal : traitement info sur soi
Plus activés pour ses propres photos

Hippocampe: participe à récupération
Plus activé pour ses propres photos

134
Q

Ribin, Rahhal et Poon 1998 (bosse de réminiscence)

Quels âges sont inclus?

A

10 à 30 ans

135
Q

Ribin, Rahhal et Poon 1998 (bosse de réminiscence)

Quelles sont les 3 hypothèses?

A

1-Image personnelle
Mémoire mieux lorsqu’on forme image de soi/identité personnelle
Rôle acquis: graduation/mariage/carrière/kid

2-Script de vie culturelle
Événement attendu selon culture. Dans script
Ex: sweat 16/secondaire 5/mariage

3-Cognitive
Changements rapides = encodage plus fort
Ex: ado tourmenté/statut familial/éducation

136
Q

Ribin, Rahhal et Poon 1998 (bosse de réminiscence)

Et si nos changement arrivent plus tard exemple un immigrants

A

Bosse déplacée qui coïncide avec la transition vers la stabilité
Soutien pour hypothèse cognitive

Mais encore un débat

137
Q
Barlett 1932 (remembering)
Étude : lire histoire puis réécrire le plus fidèlement possible. Reproduction à différents intervalles 

Résultats première reproduction?

A

Reproduction mot à mot
Impossible

Signification générale reste

Types de changement
Simplification événement/structure
Omission/ajout de détails
Transformation de détails vers plus famillié

138
Q
Barlett 1932 (remembering)
Étude : lire histoire puis réécrire le plus fidèlement possible. Reproduction à différents intervalles 

Résultats reproduction répétée ?

A

Plus on reproduit, plus il y a Rationalisation/Reconstruction/Élaboration

Forme générale persiste même si fausse
Détails deviennent stéréotypés et stables
Chgmts liés à situation courante
Détails reproduits suivent cadre général

Histoire plus courte mais sens général stable
Élaboration / intervention plus fréquente
Détails inventés concorde avec stéréotypes

139
Q
Barlett 1932 (remembering)
Étude : lire histoire puis réécrire le plus fidèlement possible. Reproduction à différents intervalles 

Interprétation

A

MLT pas un dictaphone
Récupération surtout basé sur sens plutôt stable/détails instables

MLT est reconstructive et imprécise 
  Réinterprété pour concorder avec 
  connaissance personnelles
  Plusieurs sources : événements réels + 
  connaissance + attentes
140
Q

Quels sont les 7 pêchés des la mémoire selon Schacter 2001?

A
Éphémérité
  Accessibilité décroissante de la 
  mémoire avec le temps
Distraction
  Manque d’attention = oubli en encodage
Blocage
  Inaccessibilité temporaire de l’info enregistrée 
Persistence 
  Souvenirs non voulus incapable d’oublier 
Mésattribution (experience)
  Erreur d’identification de source
Biais (expérience)
  Distorsion produite par connaissance
Suggestibilité (expérience)
  Incorporation d’info trompeuse en mémoire
141
Q

Roediger et McDermott 1995 (creating false memories: remembering words not presented in lists)
Étude : 6 listes de 12 mots reliée à mots critiques. Rappel libre ou reconnaissance

Résultats rappel libre

A

Courbe de position sérielle

Ils ont rapporté les mots critiques jamais vus aussi souvent que les mots moins rapportés de la liste

142
Q

Roediger et McDermott 1995 (creating false memories: remembering words not presented in lists)
Étude : 6 listes de 12 mots reliée à mots critiques. Rappel libre ou reconnaissance

Résultats reconnaissance

A

86% reconnaît mots liste originale

Reconnaît les appâts non relié

Moins précis si mot faiblement relié

Mot critiques
84% disent reconnaître le mot et être confiant

143
Q

Roediger et McDermott 1995 (creating false memories: remembering words not presented in lists)
Étude : 6 listes de 12 mots reliée à mots critiques. Rappel libre ou reconnaissance

Conclusions

A

On peut produire faux souvenirs en associant nouveaux matériel avec matériel déjà appris et relié sémantiquement.

Mesattributions

144
Q

Jacoby et al 1989 (becoming famous overnight)
Étude : app noms pas célèbre. Reconnaissance immédiatement ou 24h après

Résultats

A

Immédiatement
Peu d’erreurs

24h
Ils ont identifié les noms pas célèbres comme
étant célèbre

Mesatibution de la source
Est-ce que je reconnais car vu hier ou célèbre

145
Q

Bransford et Johnson 1073 (considerations of some problems of comprehension)
Étude : écoute histoires et reconnaissance de phrases. Experimental (histoire suggère la présence d’un instrument/consequence)

Résultats

A

Si phrase non relié
Capable de dire que différent

Si phrase identique
70% correcte

Si phrase inférence possible
60% dit que c’est la même phrase
Inférence de détails supplémentaires

Biais !

146
Q

Fazio et al 2015 (effet de vérité illusoire)
Étude : lire énoncés et dire à quel point semble intéressant. Ensuite dire si énoncé sont vrai ou faux parmi déjà vu et nouveaux.

Résultats

A

Énoncés déjà vu perçus comme plus vrai

Répétition augmente la vérité perçue à cause du phénomène de la fluence.
Facilité avec laquelle un énoncé peut être
rappelé
Affecte le jugement

147
Q

Loftus, Burns et Miller 1978 (semantic integration of verbal info into a visual memory)
Experience #1
Étude: regarder un vidéo d’une collision, puis répondre à une question (tendancieuse selon verbe utilisé) puis dire à quelle vitesse + s’il y avait eu du verre brisé.

Résultat

A

Plus le verbe est intense plus ils mettaient la vitesse élevée et plus il y avait du verre brisé

148
Q

Loftus, Burns et Miller 1978 (semantic integration of verbal info into a visual memory)
Experience #2
Étude: regarder un vidéo d’une voiture arrêté. Puis répondre à une question conséquente ou inconséquente (dire que c’était un stop ou laissez passer)

Résultat

A

Info conséquente
75%

Info inconséquente
41%

Perfo diffère selon question trompeuse ou non
Tendance à réintégrer l’info dans
représentation

149
Q

Loftus, Burns et Miller 1978 (semantic integration of verbal info into a visual memory)
Experience #3
Étude: regarder un vidéo puis répondre à question soit conséquente/trompeuse/neutre. Soit répondre tout de suite où après délai
Soit 0/20min/1 jour/2 jour/1 semaine.

Résultat immédiatement

A

Plus l’intervalle de rétention est grand plus la perfo diminue
Épiphémérité

Info conséquente aide et info trompeuse nuit
Suggestibilité

Info trompeuse perd influence avec temps tout comme événement

150
Q

Loftus, Burns et Miller 1978 (semantic integration of verbal info into a visual memory)
Experience #3
Étude: regarder un vidéo puis répondre à question soit conséquente/trompeuse/neutre. Soit répondre tout de suite où après délai
Soit 0/20min/1 jour/2 jour/1 semaine.

Résultat délai

A

Plus interval est long plus perfo diminue
Épiphémérité

Info conséquente aide et trompeuse nuit
Suggestibilité

Info trompeuse gagne influence avec temps
Événement s’efface et info trompeuse fraîche

Plus on attend avant d’essayer de tromper, plus ça fonctionne

151
Q

Mémoire procedurale est plus explicite ou implicite?

A

Implicite

152
Q

V ou F : avec la pratique pa mémoire procédurale nous permet de faire quelque chose dans trop y penser

A

Vrai

Amnésie de l’expert

153
Q

Est-ce qu’il y a lien entre mémoire procédurale et sémantiques?

A

Oui
Pas capable de d’identifier peintre célèbre
Mais capable de dire quel procédé il fait utiliser lorsque veut enlever excès de peinture

154
Q

Labar et Phelps 1998
Étude : apprendre mots liés à émotions sexuelles

Résultats

A

Meilleure mémoire pour mots avec émotion

155
Q

Dolcos et al 2005
Étude : observer image émotionnelle et neutre

Résultats

A

Plus de reconnaissance pour images émotionnelles

Plus d’activation amygdale pour choses émotionnelles

156
Q

Cahill et al 2003
Étude: regarder vidéo avec parties émotionnelles

Résultats

A

Personnes normales se rappel plus des parties émotionnelles

BP se rappelle autant de toute l’histoire

157
Q

Cahill et al 2003
Étude : regarder images émotionnelles et neutres
+ mettre bras dans eau (gelée ou chaude)
Gelée: libération de cortisol

Résultats

A

Groupe stress
Se rappel plus des images
émotionnelles

Groupe non stress
Se rappel autant des 2

158
Q

Brown et Kulik 1977 (amène terme de flashbulb)

C’est quoi ?

A

Souvenirs pour circonstances entourant un événement chargé ou choquant
Pas l’événement lui même mais autour

159
Q

V ou F : les flashbulb sont comme des photographies

A

Faux

Ils changent au fil du temps

160
Q

Neisser et Harsch 1992
Étude : se rappeler d’un événement important à différents intervalles (1 jour / 2 1/2 ans / 3 ans)

Résultats

A

1 jour après
25% disait avoir entendu à la tv
en premier

2 1/2 plus tard
45% disait l’avoir vu à la tv en premier

161
Q

Neisser et Harsch 1992
Étude : se rappeler d’un événement important à différents intervalles (1 jour / 2 1/2 ans / 3 ans)

Hypothèse

A

Hypothèse de la répétition narrative
On se rappel à cause de la répétition

Flashbulb est trompeur

162
Q

Talarico et Rubin 2003
Est-ce que les flashbulbs sont différents des autres souvenirs?
Étude : question sur l’attentats et sur vie personnelle. Réponse à 4 intervalles (1 jour / 1 semaine / 6 semaines / 32 semaines)

Résultats

A

Autant de dégradations pour flashbulb que souvenirs vie quotidienne

Flashbulb plus net

Flashbulb semble plus précis que souvenirs de tout les jours selon les participants

163
Q

Goldatone et Kersten 2003

4 fonctions d’avoir des concepts

A
Filtrage
  Façon de structurer monde 
  naturel
  Filtre influence façon d’interpréter le monde
Économie cognitive 
  Économie pour l’espace de stockage
  TR plus vite en identification objets
Prediction 
  Généraliser expérience dans même catégorie 
  Utilise connaissance pour nouveau item
Communication 
  Partage concept = facile de se comprendre
164
Q

Approche classique de Bruner, Goodnow et Austin 1956

Quels sont les 3 étapes?
1-Représentation sommaire
2-Caract nécessaire et suffisante
3-Inclusion des caract dans relation sous-ensemble

A

1-Description pour la classe entière. S’applique à tous les exemplaires

2-Individuellement nécessaire : chacune des définitions est nécessaire
Conjointement suffisante : pas besoin de plus
Jamais disjonctif: pas de choix (ou)

3-Sous-ensemble hérite caract ensemble au dessus

165
Q

Approche par réseau sémantiques de Collins et Quillian

Décrire

A

App class sans postulat restrictif

Noeuds = catégorie
Liens = relation
Caractéristiques pour chaque catégorie

Différence avec app classique
Peut annuler caract si le me tionne

Ajout
Hiérarchisé : économie cognitive
Propagation de l’activation : expl amorçage

166
Q

Tester hierarchie Collins et Quillian 1969 (retrieval time from semantic memory)
Étude: voir TR pour réponse à question super-ensemble ou propriétés selon le nombre bond de catégorie à faire

Résultats

A

Nombre de niveau est un facteur dans le TR

Propriétés plus long que appartenance

Processus additif : parallèle

Soutien pour approche hiérarchique

167
Q

Meyer et Schavaneveldt 1971 (facilitation in recognizing pairs of words)
Étude : regarder des pairs de mots et dire s’ils sont tous les 2 des mots. Soit pas des mots, soit des mots non associés, soit des mots associés.

Résultats

A

TR plus rapide si les mots sont reliés

Soutien le principe de propagation de l’activation

168
Q

Critiques de l’approche classique (3)

A
1-Représentation sommaire trop restrictive 
  Trop d’exception pour la plupart 
  des catégories 
  Sous ensemble avec caract distinctive 
2-Définition suffisante et nécessaire 
  Difficile à trouver surtout pour concept qu’on
  a créé comme les jeux
3-Concept disjonctif existe
  Cuillère / prise au baseball
169
Q
Rosch 1973 (on the internal structure of perception and semantic categories) pour montrer que tous exemplaires sont pas égaux 
Étude : jugement de typicité dans une catégorie 

Résultats

A

Pomme bcp plus typique qu’olive

Tous exemplaires ne sont pas égaux

Appartenance à une catégorie serait basé sur ressemblance globale (typicité)

170
Q

Rips, Shoben et Simth 1973 (semantic distance and the verification of semantic relations)
Étude : technique de vérification de phrases entre différents niveaux dans catégories.

Résultats

A

Plus long classer comme mammifère que animal car on n’est pas autant habitué (c’est moins typique)

171
Q

Rips, Shoben et Simth 1973 (semantic distance and the verification of semantic relations)
Étude : technique de vérification de phrases entre différents niveaux dans catégories.

Interprétation

A

Effet de typicité influence le TR pour catégorisations

Approche hiérarchique est donc invalidée

Pas que c’est pas une hiérarchie mais qu’elle n’est pas autant stricte qu’ils le disent

172
Q

Rosch et al 1976 (basic objects in natural categorie) Niveau de base
Experience #1
Étude : lister un max de caract qui définisse un concept en 90 secondes

Résultats

A

Superordonné
Le plus bas nombre de caract

Base
Le deuxième

Subordonnée
Pas d’ajout d’information même si plus précis

173
Q

Rosch et al 1976 (basic objects in natural categorie) Niveau de base
Experience #7
Étude : voit une image et dire dans quelle catégorie il fait partie (superordonné, base, subordonnée)

Résultats

A

Avantage pour niveau de base

Le plus long
Si subordonnée, même si devrait être le plus vite

174
Q

Tanaka et Taylor 1991 (object categories and expertise: is the basic level in the eye of the beholder?) expert et niveau de base
Experience #1
Étude : lister nouvelles caractéristiques pour concept

Résultats

A
Expert
  Base autant de nouvelles 
  caractéristiques que 
  subordonnée 
  Perd l’avantage du niveau de bas
  Leur préféré est subordonné
175
Q

Tanaka et Taylor 1991 (object categories and expertise: is the basic level in the eye of the beholder?) expert et niveau de base
Experience #3
Étude : classer object dans catégorie

Résultats

A

Expert
Aussi rapide pour niveau de base
que niveau subordonné

176
Q

Ressemble familiale
Wittgenstein 1953

Ressemblance familiale est basée sur…

A

Nombre de propriétés partagées par les membres d’une catégorie

177
Q

Rosch et Mervis 1975 (family resemblances : studies in the internal structure of categories)
Étude: jugement de typicité puis lister propriétés de différents exemplaires (qui va donner un score de ressemblance familiale)

Résultats

A

Haute corrélation entre jugement de typicité et mesure de ressemblance familiale

Items plus typiques partagent plus de propriétés avec autres membres de catégorie

178
Q

Lorsqu’un item montre le plus grand score RF on dit …

A

C’est le prototype de la catégorie

Prototype serait notre représentation mentale de cet item

179
Q

Approche prototypiste

Définition?

A

Concepts sont des prototypes

Moyennage
Choisir la valeur la plus commune pour
chaque propriétés

Moyenne mathématique
Quand propriétés e peuvent être identifiés

Règle de classification
Si objet assez de propriétés en commun au
prototype - il est classé comme membre

180
Q

Posner et Keele 1968 (on the genesis of absract ideas)
Tester l’approche prototypique
Étude : phase induction catégorielle puis phase test. Regarde taux d’exactitude/TR.
Résultats critique : pour les nouveaux

Résultats?

A

Ancien exemplaires
Classés avec exactitude, rapidité

Prototype jamais vue
Classé avec exactitude et rapidité

Perfo pour nouvelles distortion
Selon leur similarité au prototype

181
Q

Posner et Keele 1970 (retention of abstract ideas)
Tester l’approche prototypique
Étude : induction catégorielle puis patrons de points de 4 catégorie. Mesure exactitude et TR
Avec ou sans délai

Résultats

A

Avantage pour ancien disparait avec le délai

Prototype
Perfo élevé et stable même après 1 semaine

Nouvelles distorsions
Perfo prédite par similarité au prototype

Oublie pour ancienne distorsion plus grand que pour les prototypes

182
Q

Approche exemplariste

Description?

A

Concepts sont des sous ensemble de tous les exemplaires rencontrés précédemment

Pas représentation sommaire/moyenne

On mémorise tous / compare à tous

183
Q

Medin et Scaffer 1978 (context theory of classification learning)
Tester approche exemplariste
Étude : induction catégorielle avec forme géométrique (4 catégories binaires). Structure 5-4.

Si prototype résultats seraient …?

A

Exemplaires maximalement similaires vont être appris plus rapidement.

Exemplaire 1 devrait être appris plus facilement que le 2, car plus de propriétés communes avec prototype.

184
Q

Medin et Scaffer 1978 (context theory of classification learning)
Tester approche exemplariste
Étude : induction catégorielle avec forme géométrique (4 catégories binaires). Structure 5-4.

Si exemplariste résultats devraient…?

A

Exemplaires similaires à catégorie et non similaires à l’autre devrait être appris plus vite

Exemplaires 2 devrait être appris plus facilement car il est hautement similaire à 2 autres de sa propre catégorie et aucun de l’autre catégorie
Exemplaire 1 semblable à juste 1 de sa catégorie et 2 de l’autre

185
Q

Medin et Scaffer 1978 (context theory of classification learning)
Tester approche exemplariste
Étude : induction catégorielle avec forme géométrique (4 catégories binaires). Structure 5-4.

Quels sont les vrais résultats

A

Exemplaires 2 plus facile a apprendre

Donc pour cette tâche utilise ressemblance aux exemplaires et non aux prototypes

186
Q

Brady et al 2008 (visual long term memory has a massive, storage capacity for objects details)
Étude : étudier des images, noter les doublons puis test reconnaissance (dure 5h30)

Résultats de détection de doublons

A

Détecte 79% du temps

Fausse alarme juste 1% du temp

187
Q

Brady et al 2008 (visual long term memory has a massive, storage capacity for objects details)
Étude : étudier des images, noter les doublons puis test reconnaissance (dure 5h30)

Résultats reconnaissance
Nouveau / exemplaire / état

A

Performance de 90% peu importe la condition après 2896 images

188
Q

Brady et al 2008 (visual long term memory has a massive, storage capacity for objects details)
Étude : étudier des images, noter les doublons puis test reconnaissance (dure 5h30)

Conclusion

A

Cerveau enregistre tout ce qu’on voit

Niveau de détails excellent

Soutien modèle exemplariste

189
Q

Mémoire exceptionnelle
S avait une excellente mémoire pour tous, même qu’il ne pouvait pas oublier des choses qu’il voudrait.

Mais sur quoi avait-il de la difficulté?

A

Dessiner par inférence

Compléter les trous basé sur de l’info partielle

190
Q

Mémoire autobiographique supérieure
A.J. Pouvait se rappeler de tous les événements reliés à une date précise

Est-ce qu’elle avait d’autres super habileté avec sa mémoire?

A

Non elle performait dans la moyenne pour les tests de mémoire

191
Q

Est-ce qu’il est possible de créer des souvenirs d’enfance chez quelqu’un ?

A

Oui

La personne va finir par penser qu’elle a réellement vécu ce souvenir inventé

192
Q

V ou F

Les définitions fonctionnent pas pour la catégorisation?

A

Vrai

Car ce n’est pas tous les membres d’une catégorie qui ont les mêmes caractéristiques