Livres Flashcards

1
Q

Expliquez la pensée de l’auteure lorsqu’elle dit « L’amour, c’est la clé de la motivation ».

A

Lorsqu’un enfant a son besoin d’amour comblé, il peut se détacher de l’adulte pour aller faire d’autres activités, explorer, créer et se propulser. Un enfant dont le besoin d’amour n’est pas comblé sera toujours à la recherche d’un moyen de combler ce besoin en s’accrochant à l’adulte. Il n’aura donc pas la motivation à faire rien d’autre que chercher l’affection de l’adulte.

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2
Q
  1. Expliquez la phrase suivante : « L’encadrement sécurise quand il est présenté clairement dans le respect absolu du vécu et des différences individuelles. »
A

même, le « faire à la place », la surprotection, peut tout autant l’être. Dans le premier cas, le jeune peut avoir de la difficulté à se structurer tandis que dans le deuxième cas, cette surprotection peut empêcher le jeune de réaliser quelque chose par lui-même, de se prendre en main. Ainsi, un encadrement sécurisant se situe entre les deux, à savoir un cadre qui permet au jeune de se responsabiliser, tout en lui posant des règles claires. Par règle, on entend les limites de l’intervenant. Car des règles créées dans l’absolue et dont l’obéissance devient une question de conformisme plutôt que de respect des limites d’autrui produisent le même effet d’insécurité chez le jeune. L’encadrement sécurisant n’est donc pas une question d’autorité, mais bien d’amour et de respect et qui prend son sens dans le cadre d’une relation précise et qui existe pour les personnes impliquées.

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3
Q
  1. Quelle est la différence entre la congruence et l’empathie ?
A

La congruence c’est la capacité à être authentique envers soi-même et de l’exprimer aux autres. C’est la capacité à s’accepter et à se montrer tel qu’on est. C’est le préalable à l’empathie.

L’empathie est la capacité à être à l’écoute de l’autre, de ses émotions, de ses besoins, de son fonctionnement psychique, sans projeter sur lui ce qui nous appartient.

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4
Q
  1. Expliquez en quoi « La reconnaissance est propulsive ».
A

La reconnaissance est propulsive dans le sens où, lorsque nous sommes reconnus, nous pouvons alors nous reconnaitre nous-mêmes, ce qui fait cesser la souffrance et le déséquilibre créé par un manque de reconnaissance. On peut alors avancer sans se sentir dévalorisé (celui qui est reconnu apprend à se reconnaitre et à ouvrir les portes de l’affirmation de soi).

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5
Q
  1. Nommez et expliquez les différentes manifestations d’une attitude de pouvoir chez l’intervenant. (5)
A

Par l’interprétation : interprétation à partir de connaissances théoriques et de ses expériences personnelles, plutôt qu’en étant à l’écoute du client et en partant de son vécu, mettant tous les aider dans le même moule. La théorie prend l’apriorité sur la personne.

Par le conseil, on oriente le client vers une décision, choix, croyance, attitude nuisible.

Par la confrontation/provocation/jugement, cela entraine des résultats remarquables en peu de temps, mais mobilise les mécanismes de défense de l’aidé et ne respecte pas son rythme, ce qui permet ne permet pas d’amorcer des changements en profondeur.

Par l’Évaluation : c’est lorsque l’intervenant cherche à analyser tout ce qui a trait à son client, mais sans utiliser ses facultés irrationnelles en lien avec l’émotion.

Par le fanatisme/technicisme : utilisation d’une théorie ou d’une technique quelconque en la présentation comme une vérité absolue. Le psychothérapeute devient à côté de sa propre personnalité et de la personne étant son client.

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6
Q
  1. Qu’est-ce que la créativité ?
A

La créativité est une fonction naturelle de l’être humain dont l’exploitation assure le développement des capacités intellectuelles, imaginaires et pratique, l’apprentissage a la liberté et l’actualisation des potentialités latentes.

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7
Q

Qu’est-ce que l’observation participante périphérique ?

A

Les chercheurs considèrent qu’il faut s’impliquer à un certain degré qui est nécessaire pour devenir « membre » du groupe observé sans pour autant être au centre des activités. Ils n’assument donc pas de rôles importants dans le groupe. I

ls veulent ainsi éviter que leur implication nuise à leur objectivité ou qu’elle ne les conduise à avoir des activités déviantes (dans le cas d’une étude d’un groupe de délinquants).

De plus, être au centre des situations n’est parfois pas possible en raison des caractéristiques du chercheur (age, sexe, race, etc.), par exemple un musulman voulant participer à des rituels chrétiens. Ces chercheurs préfèrent donc les contacts quotidiens ou semi-quotidiens.

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8
Q

2- Observation participante active

A

Le chercheur cherche à acquérir un statut au sein de groupe afin de pouvoir jouer un rôle et de participer activement tout en maintenant une certaine distance. Il veut donc participer à des activités sans participer ou provoquer des changements. Par exemple, un chercheur voulant étudier le milieu scolaire peut devenir enseignant à mi-temps. Cette technique prend beaucoup de temps, et peut confronter le chercheur à des dilemmes moraux et éthique. Par exemple, en tant qu’enseignant, laisse-t-on les élèves avoir des comportements contraires aux règles pour avoir leur confiance ?

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9
Q

3- Observation participante complète

A

Le chercheur s’implique corps et âme dans le groupe observé, soit par une appartenance préalable à la situation étudiée ou par une conversion. Par exemple, un chercheur pourrait adopter la religion d’une tribu d’Afrique après les avoir étudiés. Le chercheur devient donc l’objet de son étude.

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10
Q

Énoncé de fait (ou OOP)

A

description de la réalité observée par l’éducateur.

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11
Q

Jugement de fait

A

Information qui provient d’une autre source (incluant une observation faite par quelqu’un d’autre que l’éducateur, mais pas par ce dernier).

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12
Q

Inférence

A

Mode de raisonnement qui consiste à tirer une conséquence ou une conclusion logique d’un ensemble de données. Les principales formes d’inférence sont la déduction et l’induction. On parle d’induction si le sujet infère par hypothèse et s’il va du particulier au général. On parle de déduction s’il fait découler de deux propositions une troisième.

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13
Q

Jugement de valeur

A

Évaluation qualitative de la valeur esthétique ou morale d’objets, de personnes, de productions de ces dernières, ou de la valeur d’une information à la lumière d’une théorie ou d’une hypothèse.

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14
Q

Accord interjuge 2 observateurs

A

A / (A + D + O) x 100%

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15
Q

Accord interjuge ensemble

A

(N×A) /(JA+JB+ JC) × 100%

N = Nombre d'observateurs
A = Nombre d'accords entre les 3 observateurs
J = Nombre d’observations par observateur(s) (ici A, B et C)
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16
Q

Kappas

A

( Po−Pe) / (1−Pe)

Po = nbr d’accords / nbr d’observation total

Pe= ((AO1× BO1)+(AV1×BV1)+ (AS1× BS1)+…) / (nb d′observations total) à la 2