Les relations interpersonnelles Flashcards
Les types de relations sociales (2)
Relations sociales formelles (Peut être ponctuelle ou régulière, rapport transactionnel ou utilitaire (ex : une personne qui nous donne ses notes de cours))
Relations personnelles (affinité sexuelle et/ou affective, la relation a une signification et elle est importante) (vécu gratifiant pour les deux)
Relation parent-enfant (pas de choix ou de Liberté, en théorie, il y a une obligation)
C’est la nature de l’implication qui définit le type de relation
Les dimensions des relations interpersonnelles (3)
Dimension projective e (ex : si le passé s’est bien passé, on va tendre à penser que ça va bien se passer ensuite, ça nous ramène à notre vécu antérieur pour s’imaginer/projecter la relation) On se base sur)
Dimension historique (et sur la vrai vie)
Dimension potentielle (et les interactions potentielles)
Plus Historique et potentiel sont développés, plus on tend vers des relations personnelles.
Les caractéristiques des relations interpersonnelles
Durée de l’interaction (Plus grande=plus de chance d’aller dans une relation personnelle, mais pas forcément)
Participation de deux partenaires ((pas les deux, plus formelle, mais pas forcément)
Signification (conduite sociale (on considère nos conséquences sociales sur l’autre), si on s’en fou, on est dans du formelle, mais pas forcément)
En bref : l’interaction nécessite une référence au contenu et à la qualité du contenu.
Les aspects affectifs et cognitifs des relations interpersonnelles
Les interactions de l’individu avec son partenaire sont: (9)
- Sélectives (s à la personne qu’on parle)
- Teintées par des attentes
- Associées à une valeur (parler de la pluie vs parler d’avoir des enfants)
- Associées aux sentiments et aux émotions de chacun
- Associées aux expériences antérieures accumulées (répertoire interactionnel) ( basé sur l’histoire de vie)
- Influencées par des normes (sociales)
- Actives
- Dynamiques (temporalité de l’histoire
- Régulières (aspect sélectif (comportement régulier selon la personne avec qui on est) et aspect général (généralement comment j’agis en général ?))
Relations interpersonnelles et cadre social
2 types de règles:
Tributaires de: (2)
Règles spécifiques à chaque type de relation
Règles de conduite en société (ex : politesse)
Systèmes sociaux impliquant des normes et des règles :
o Tributaires d’un répertoire de comportements propres à la relation
o Tributaires de rôles spécifiques aux protagonistes
o Tributaires de lieux et environnements spécifiques (ex : ami d’école, ami de job)
Les règles régissant la relation
- Règle de satisfaction-Récompense (à chaque parti)
- Régulation de l’intimité (niveau d’intimité Désiré, pour que la relation soit viable, il faut Qu’ils désirent le même niveau)
- Coordination et évitement des difficultés (vise l’atteinte de but commun visé)
- Comportements envers des tierces personnes (ex : un couple exclusif ne doit pas avoir de comportement sexuel avec d’autres))
Étude sur les règles universelles en relation
Étude (Argyle et Hendersin, 1984)
Participant.es: 180 sujets en Grande-Bretagne; Italie; Hong-Kong; Japon
Méthodologie: une liste de 33 règles de conduite prescrites vs proscrites en relation
Résultats: 4 règles semblent s’appliquer à tous les types de relation :
- Le respect de la privacité d’autrui (régulation de l’intimité)
- La prescription de regarder l’autre dans les yeux au cours de la conversation (régulation de l’intimité)
- Ne pas divulguer les confidences dont on a fait l’objet (comportements envers des tierces personnes)
- Ne pas critiquer son partenaire ou ami devant les autres. (Évitement des difficultés)
Le rôle de l’attachement en relation
Socialisation (parents, école, fratrie, groupes)
o Formation de l’identité par la différenciation avec autrui
o Apprentissage de la reconnaissance (capable de se décentrer et reconnaitre l’autre)
o Modélisation des comportements parentaux.
(Se base sur la petite enfance pour définir l’attachement, avec l’age il va y avir la socialisation avec les pairs)
L’importance des relations interpersonnelles
Les épisodes considérés comme les plus positifs dans la vie:
Relations sociales satisfaisantes=
Isolement et solitude :
Réactions à la solitude selon la théorie de l’attribution :
Les épisodes considérés comme les plus positifs dans la vie: l’amitié, la vie sociale et le fait d’être amoureux
Relations sociales satisfaisantes= meilleure santé mentale, physique et un sentiment de bonheur
Isolement et solitude : dépression, faible estime de soi
Réactions à la solitude selon la théorie de l’attribution :
- Internes-stables : (p.ex., attribution à leur personnalité, leurs caractéristiques)
- Internes-instables : (p.ex., attribution au manque d’effort)
- Instables-externes : (p.ex., parce que je viens de déménager)
- Stables-externes : (p.ex., les autres m’excluent intentionnellement)
Le désir d’affiliation
(ce désir est très important) :
3 approches tentent d’expliquer le désir d’affiliation :
1-renforcement positif par :
2-Identité (pour créer l’image de soi) :
3-Permet d’atteindre des :
Le désir d’affiliation
(ce désir est très important) :
3 approches tentent d’expliquer le désir d’affiliation :
- Les théories de l’apprentissage
- La théorie de la comparaison sociale
- La théorie des échanges sociaux
1-renforcement positif par :1) la gratification associé avec la compagnie de l’autre et 2) le besoin d’approbation nécessaire à a formation de l’identité
2-Identité (pour créer l’image de soi) : la comparaison et l’ajustement aux sujets similaires à nous (on se réfère aux autres, ex : tous le monde sont habillés chics, donc je me sens mal d’être mal habillé)
3-Permet d’atteindre des buts et besoin de l’autre pour la gestion du stress et des émotions désagréables
Le stress et l’autre
PARTIE 1 Étude (Schachter, 1959) 2 groupes de femmes:
- Chocs douloureux
- Chocs à peine perceptibles
Est-ce que les femmes préfèrent être seules ou en compagnie d’autres femmes qui se trouvent dans la même situation qu’elles?
Résultats:
o Groupe 1:20 sur 32 femmes préfèrent attendre en compagnie d’autrui
o Groupe 2:10 sur 32 femmes préfèrent attendre en compagnie d’autrui
o Interprétations: distraction ou comparaison
(je devrais tu etre sur les nerds ou non ? Les autres le font tu ?)
Similitudes de l’expérience et comparaison sociale
Attention aux nuances…certaines personnes sont trop anxieuses pour être accompagné pour les énerver plus, aussi, la similitude de l’individu est plus importante (des femmes vont préférer être avec quelqu’un qui leur ressemble)
PARTIE 2 Étude (Schachter, 1959) 2 groupes de femmes:
Groupe 1:
-Choix 1: attendre en compagnie de sujets qui attendent un rendez-vous avec un professeur
-Choix 2: attendre seules
Groupe 2:
-Choix 1: attendre avec d’autres sujets qui recevront des chocs douloureux
-Choix 2: attendre seules
Résultats
o Groupe 1: les femmes choisissent d’attendre seules
o Groupe 2: les femmes choisissent d’attendre avec des compagnons d’infortune
o Interprétations: similitude de l’expérience et comparaison sociale
o Attention aux nuances..
L’attraction interpersonnelle
Niveau de développement
NIVEAU I:
NIVEAU II:
NIVEAU III:
Niveau de développement
NIVEAU I: La prise de conscience de la présence d’autrui, la formation des impressions
NIVEAU II: L’exploration mutuelle (se rencontrer volontairement dans un autre contexte)
NIVEAU III: La réciprocité de l’intérêt pour autrui (l’autorévélation, il faut s’ouvrir, on commence à plus comprendre l’autre et à l’apprécier)
Facteurs déterminants l’attraction mutuelle :
La proximité physique (ex : habiter dans la même ville
L’apparence physique
Le rôle des valeurs et des attitudes (similaires ou non)
Le rôle de la compétence d’autrui (on préfère es gens qu’on trouve compétents, intelligents et autres, il faut estimer l’autre)
Similitude versus complémentarité en relation
Similitudes :
- La similitude sociodémographique
- La similitude de l’attractivité physique
- La similitude des attitudes
- La similitude effective versus la similitude à l’idéal de soi
La réciprocité de l’attraction :
La réciprocité de l’attraction
Comme facteur d’attraction et facteur de consolidation
Faire l’objet de jugements positifs augmente l’attraction que peut ressentir l’individu envers la source de ces jugements