Les relations interpersonnelles Flashcards

1
Q

Les types de relations sociales (2)

A

 Relations sociales formelles (Peut être ponctuelle ou régulière, rapport transactionnel ou utilitaire (ex : une personne qui nous donne ses notes de cours))

 Relations personnelles (affinité sexuelle et/ou affective, la relation a une signification et elle est importante) (vécu gratifiant pour les deux)

Relation parent-enfant (pas de choix ou de Liberté, en théorie, il y a une obligation)
C’est la nature de l’implication qui définit le type de relation

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2
Q

Les dimensions des relations interpersonnelles (3)

A

 Dimension projective e (ex : si le passé s’est bien passé, on va tendre à penser que ça va bien se passer ensuite, ça nous ramène à notre vécu antérieur pour s’imaginer/projecter la relation) On se base sur)

 Dimension historique (et sur la vrai vie)

 Dimension potentielle (et les interactions potentielles)

Plus Historique et potentiel sont développés, plus on tend vers des relations personnelles.

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3
Q

Les caractéristiques des relations interpersonnelles

A

 Durée de l’interaction (Plus grande=plus de chance d’aller dans une relation personnelle, mais pas forcément)

 Participation de deux partenaires ((pas les deux, plus formelle, mais pas forcément)

 Signification (conduite sociale (on considère nos conséquences sociales sur l’autre), si on s’en fou, on est dans du formelle, mais pas forcément)

 En bref : l’interaction nécessite une référence au contenu et à la qualité du contenu.

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4
Q

Les aspects affectifs et cognitifs des relations interpersonnelles

 Les interactions de l’individu avec son partenaire sont: (9)

A
  • Sélectives (s à la personne qu’on parle)
  • Teintées par des attentes
  • Associées à une valeur (parler de la pluie vs parler d’avoir des enfants)
  • Associées aux sentiments et aux émotions de chacun
  • Associées aux expériences antérieures accumulées (répertoire interactionnel) ( basé sur l’histoire de vie)
  • Influencées par des normes (sociales)
  • Actives
  • Dynamiques (temporalité de l’histoire
  • Régulières (aspect sélectif (comportement régulier selon la personne avec qui on est) et aspect général (généralement comment j’agis en général ?))
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5
Q

Relations interpersonnelles et cadre social

2 types de règles:
Tributaires de: (2)

A

 Règles spécifiques à chaque type de relation

 Règles de conduite en société (ex : politesse)

 Systèmes sociaux impliquant des normes et des règles :

o Tributaires d’un répertoire de comportements propres à la relation

o Tributaires de rôles spécifiques aux protagonistes

o Tributaires de lieux et environnements spécifiques (ex : ami d’école, ami de job)

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6
Q

Les règles régissant la relation

A
  1. Règle de satisfaction-Récompense (à chaque parti)
  2. Régulation de l’intimité (niveau d’intimité Désiré, pour que la relation soit viable, il faut Qu’ils désirent le même niveau)
  3. Coordination et évitement des difficultés (vise l’atteinte de but commun visé)
  4. Comportements envers des tierces personnes (ex : un couple exclusif ne doit pas avoir de comportement sexuel avec d’autres))
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7
Q

Étude sur les règles universelles en relation

 Étude (Argyle et Hendersin, 1984)

 Participant.es: 180 sujets en Grande-Bretagne; Italie; Hong-Kong; Japon

 Méthodologie: une liste de 33 règles de conduite prescrites vs proscrites en relation

 Résultats: 4 règles semblent s’appliquer à tous les types de relation :

A
  1. Le respect de la privacité d’autrui (régulation de l’intimité)
  2. La prescription de regarder l’autre dans les yeux au cours de la conversation (régulation de l’intimité)
  3. Ne pas divulguer les confidences dont on a fait l’objet (comportements envers des tierces personnes)
  4. Ne pas critiquer son partenaire ou ami devant les autres. (Évitement des difficultés)
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8
Q

Le rôle de l’attachement en relation

 Socialisation (parents, école, fratrie, groupes)

A

o Formation de l’identité par la différenciation avec autrui

o Apprentissage de la reconnaissance (capable de se décentrer et reconnaitre l’autre)

o Modélisation des comportements parentaux.

(Se base sur la petite enfance pour définir l’attachement, avec l’age il va y avir la socialisation avec les pairs)

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9
Q

L’importance des relations interpersonnelles

 Les épisodes considérés comme les plus positifs dans la vie:

 Relations sociales satisfaisantes=

 Isolement et solitude :

 Réactions à la solitude selon la théorie de l’attribution :

A

 Les épisodes considérés comme les plus positifs dans la vie: l’amitié, la vie sociale et le fait d’être amoureux

 Relations sociales satisfaisantes= meilleure santé mentale, physique et un sentiment de bonheur

 Isolement et solitude : dépression, faible estime de soi

 Réactions à la solitude selon la théorie de l’attribution :

  • Internes-stables : (p.ex., attribution à leur personnalité, leurs caractéristiques)
  • Internes-instables : (p.ex., attribution au manque d’effort)
  • Instables-externes : (p.ex., parce que je viens de déménager)
  • Stables-externes : (p.ex., les autres m’excluent intentionnellement)
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10
Q

Le désir d’affiliation

(ce désir est très important) :

 3 approches tentent d’expliquer le désir d’affiliation :

1-renforcement positif par :
2-Identité (pour créer l’image de soi) :
3-Permet d’atteindre des :

A

Le désir d’affiliation

(ce désir est très important) :

 3 approches tentent d’expliquer le désir d’affiliation :

  1. Les théories de l’apprentissage
  2. La théorie de la comparaison sociale
  3. La théorie des échanges sociaux

1-renforcement positif par :1) la gratification associé avec la compagnie de l’autre et 2) le besoin d’approbation nécessaire à a formation de l’identité

2-Identité (pour créer l’image de soi) : la comparaison et l’ajustement aux sujets similaires à nous (on se réfère aux autres, ex : tous le monde sont habillés chics, donc je me sens mal d’être mal habillé)

3-Permet d’atteindre des buts et besoin de l’autre pour la gestion du stress et des émotions désagréables

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11
Q

Le stress et l’autre

 PARTIE 1 Étude (Schachter, 1959) 2 groupes de femmes:

  1. Chocs douloureux
  2. Chocs à peine perceptibles

Est-ce que les femmes préfèrent être seules ou en compagnie d’autres femmes qui se trouvent dans la même situation qu’elles?

 Résultats:

A

o Groupe 1:20 sur 32 femmes préfèrent attendre en compagnie d’autrui

o Groupe 2:10 sur 32 femmes préfèrent attendre en compagnie d’autrui

o Interprétations: distraction ou comparaison

(je devrais tu etre sur les nerds ou non ? Les autres le font tu ?)

Similitudes de l’expérience et comparaison sociale

Attention aux nuances…certaines personnes sont trop anxieuses pour être accompagné pour les énerver plus, aussi, la similitude de l’individu est plus importante (des femmes vont préférer être avec quelqu’un qui leur ressemble)

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12
Q

PARTIE 2 Étude (Schachter, 1959) 2 groupes de femmes:

Groupe 1:

-Choix 1: attendre en compagnie de sujets qui attendent un rendez-vous avec un professeur

-Choix 2: attendre seules

Groupe 2:

-Choix 1: attendre avec d’autres sujets qui recevront des chocs douloureux

-Choix 2: attendre seules

 Résultats

A

o Groupe 1: les femmes choisissent d’attendre seules

o Groupe 2: les femmes choisissent d’attendre avec des compagnons d’infortune

o Interprétations: similitude de l’expérience et comparaison sociale

o Attention aux nuances..

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13
Q

L’attraction interpersonnelle
Niveau de développement

 NIVEAU I:
 NIVEAU II:
 NIVEAU III:

A

Niveau de développement

 NIVEAU I: La prise de conscience de la présence d’autrui, la formation des impressions

 NIVEAU II: L’exploration mutuelle (se rencontrer volontairement dans un autre contexte)

 NIVEAU III: La réciprocité de l’intérêt pour autrui (l’autorévélation, il faut s’ouvrir, on commence à plus comprendre l’autre et à l’apprécier)

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14
Q

Facteurs déterminants l’attraction mutuelle :

A

 La proximité physique (ex : habiter dans la même ville

 L’apparence physique

 Le rôle des valeurs et des attitudes (similaires ou non)

 Le rôle de la compétence d’autrui (on préfère es gens qu’on trouve compétents, intelligents et autres, il faut estimer l’autre)

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15
Q

Similitude versus complémentarité en relation

 Similitudes :

A
  • La similitude sociodémographique
  • La similitude de l’attractivité physique
  • La similitude des attitudes
  • La similitude effective versus la similitude à l’idéal de soi
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16
Q

La réciprocité de l’attraction :

A

La réciprocité de l’attraction

 Comme facteur d’attraction et facteur de consolidation

 Faire l’objet de jugements positifs augmente l’attraction que peut ressentir l’individu envers la source de ces jugements

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17
Q

 Étude (Walster, 1965): la réciprocité de l’attraction

 Le rôle de la perception de soi et de la confiance

A

 Nous ressentons à notre tour de l’attirance pour les personnes qui nous aiment (surtout envers celles qui nous le font savoir)

18
Q

Le rôle des attentes dans l’attraction

 Étude (Tanke et Bershied, 1977)

 Participant.es: étudiants et étudiantes qui ne se connaissent pas. Formation de couples, placés dans les pièces séparées

 Méthodologie:

  • Le sujet masculin reçoit une photo
  • Le sujet masculin donne son impression
  • Une conversation téléphonique entre sujet masculin et sujet féminin

 Résultats

A

1-Les sujets attractifs sur les photos sont jugés plus positivement sur l’ensemble des caractéristiques sociales et de personnalité par les sujets masculins

2-Les sujets masculins se montrent plus amicaux envers leur partenaire si celle-ci est attractive (selon la photo)

3-Le comportement verbal des sujets féminins se module à l’attitude des sujets masculins

« Les attentes influencent non seulement le comportement du sujet, mais également le comportement de la personne cible de ces attentes »

19
Q

Le processus relationnel Schutz (1960)

 Trois besoins fondamentaux :

A

Le processus relationnel Schutz (1960)

 Trois besoins fondamentaux :

  1. L’inclusion
  2. Le contrôle
  3. L’affection

 Compatibilité harmonieuse

 Psychanalyse versus psychologie sociale

20
Q

Les théories de l’échange et de l’interdépendance (6)

A

Les théories de l’échange et de l’interdépendance

 La récompense (et son anticipation)

 Le coût

 Les bénéfices

 Les ressources

 La dépendance de la valeur

 Les alternatives

21
Q

Les modèles de l’équité

A

 Comparaison sociale dans la perception des bénéfices réciproques

 Perception d’injustice en relation

 Calcul coût-bénéfice pour soi et pour l’autre

 Les individus cherchent à restaurer l’équité relationnelle

  • Manipulation des coûts-bénéfices
  • Dissonance cognitive
22
Q

Les théories cognitives

A

Les théories cognitives

 Confirmation du système de pensée: source du sentiment d’attraction

 Système de pensée (croyances, valeurs, attitudes)

 Un besoin d’équilibre et de cohérence cognitive

 Motivation fondamentale à maintenir et entretenir des relations équilibrées

23
Q

L’amitié comme support social

► La satisfaction en amitié :

  • ► Amitié= grands liens avec le _______________, il y a un aspect ______________, pas de______________ dans le choix d’activité. Il y a plusieurs degrés _________________ (de meilleur ami à connaissance). Il y a une évolution avec _______.

► Pour l’aide et l’assistance, les gens vont tendre à aller plus vers leur famille ou conjoint/conjointe. Pour le point 3, c’est égal avec les amis, amoureux (eusse) et la famille.

A
  • Le support social et émotionnel (1)
  • L’aide et l’assistance (2)
  • Le partage d’intérêts communs (3)
    L’amitié comme support social
  • ► Amitié= grands liens avec le support social, il y a un aspect volontaire, pas de prescription dans le choix d’activité. Il y a plusieurs degrés d’intimité (de meilleur ami à connaissance). Il y a une évolution avec l’âge.

► Pour l’aide et l’assistance, les gens vont tendre à aller plus vers leur famille ou conjoint/conjointe. Pour le point 3, c’est égal avec les amis, amoureux (eusse) et la famille.

24
Q

L’amitié est liée à la santé mentale et physique (Grand rôle dans le support émotionnel)


Il faut que ça soit satisfaisant.

A

L’amitié est liée à la santé mentale et physique (Grand rôle dans le support émotionnel)

► Les amis offrent de la compagnie, réduisent la solitude, renforcent l’estime de soi et la satisfaction de la vie

► Les amis ont une influence sur les comportements (sains et malsains) Ex : des gens qui sèchent les cours, on aura tendance à faire pareil.

Il faut que ça soit satisfaisant.

25
Q

L’amitié comme source de détresse

► Conflits, blessures, actes de trahison

► Fin active (grande dispute, séparation immédiate) versus fin passive de l’amitié (On a pris des chemins différents, il y a des chances que ça revienne)

► Effritement de la relation proche versus relation de surface (contact plus rares) (ne survis pas à un déménagement)

► Points tournants dans la relation (Exemple :

(Détresse +++++ chez l’ado)

A

L’amitié comme source de détresse

► Conflits, blessures, actes de trahison

► Fin active (grande dispute, séparation immédiate) versus fin passive de l’amitié (On a pris des chemins différents, il y a des chances que ça revienne)

► Effritement de la relation proche versus relation de surface (contact plus rares) (ne survis pas à un déménagement)

► Points tournants dans la relation (Exemple : changement dans le réseau social de l’autre ou de soi, l’impression que l’autre ne met pas assez d’effort dans la relation, le déclin dans la valeur mutuelle (moins de point commun), trahison de cœur , un point tournant dans la relation (ex :un décès, son ami à un enfant…)……..Ça peut aussi causer un effritement ou venir ébranler le lien temporairement avant de se re-souder)

(Détresse +++++ chez l’ado)

26
Q

Réseau d’amitié : Continuum d’intimité : (4)

Les habilités sociales, les éléments de la personnalité font en sorte si ça se réalise ou non. Personne extravertie a besoin de chargé sa batterie sociale, ça ne veut pas dire qu’elle est apte socialement. Un introverti peut être vite vidé, mais être très habile.

On n’a pas la même relation de confiance dans toutes les amitiés On n’a pas besoin d’au haut niveau d’intimité pour être ami avec quelqu’un. Intimité implique la compréhension mutuelle et l’autoconservation.

A
27
Q

► L’enfance:

  • 3-5 ans:
  • 4-9 ans:
  • 8-10 ans:
  • 12 ans et +:

► L’adolescence:

  • Choix basé sur:
  • Différences garçons et filles_____________________.

Étude: préférences amicales de jeunes entre 13-17 ans (Wright et Keple, 1981)

Surtout chez les filles, les amitiés sont toute leur vie. Les différences entre les amitiés avec les différents genres commencent à cet âge. Les filles considèrent leurs amitiés comme très gratifiantes, après c’est leur relation avec leur mère, puis leur père. Pour les garçons, les relations les plus gratifiantes sont avec les filles de leur âge, après leur mère, après leur père et après les amitiés entre d’autres garçons (car, moins gratifiants vu moins intimes). Les garçons cherchent plus ce qui est gratifiant de ce qui est important pour eux. Les amitiés avec les filles sont plus intimes et émotionnelles en général ce qui expliquerait entre autres ça.

A

► L’enfance:

  • 3-5 ans: disponibilité, proximité physique, activités partagées, amitiés non permanentes
  • 4-9 ans: admiration, coopération accrue, intérêts égoïstes
  • 8-10 ans: collaboration, bénéfices mutuels, possibilité de durabilité
  • 12 ans et +: besoins d’intimité, indépendance par rapport aux parents, interaction au sein d’un groupe

► L’adolescence:

  • Amitiés intenses
  • Choix basé sur: similitudes, admiration, idéal du soi
  • Différences garçons et filles commencent ✓ Étude: préférences amicales de jeunes entre 13-17 ans (Wright et Keple, 1981)

Surtout chez les filles, les amitiés sont toute leur vie. Les différences entre les amitiés avec les différents genres commencent à cet âge. Les filles considèrent leurs amitiés comme très gratifiantes, après c’est leur relation avec leur mère, puis leur père. Pour les garçons, les relations les plus gratifiantes sont avec les filles de leur âge, après leur mère, après leur père et après les amitiés entre d’autres garçons (car, moins gratifiants vu moins intimes). Les garçons cherchent plus ce qui est gratifiant de ce qui est important pour eux. Les amitiés avec les filles sont plus intimes et émotionnelles en général ce qui expliquerait entre autres ça.

28
Q

► Âge adulte:

  • (18-24 ans):
  • (30-60 ans):
  • Amitiés issues des :
  • Impact du _______________ sur les amitiés

► Surtout chez les femmes, les amitiés moins nombreuses deviennent plus ________________.

A

► Âge adulte:

  • (18-24 ans): Amitiés intimes, rencontres fréquentes
  • (30-60 ans): Déclinaison du nombre d’ami.es (nombre et intensité)
  • Amitiés issues des relations de travail, loisir, ami.es de couple
  • Impact du mariage sur les amitiés

► Surtout chez les femmes, les amitiés moins nombreuses deviennent plus intimes.

29
Q

L’amitié féminine et l’amitié masculine

► Femmes (avec femmes)

► Hommes (avec hommes)

A

► Femmes (avec femmes)

  • Dyadique plutôt que de groupe
  • Genèse de l’amitié: conversations centrées sur les émotions
  • Modèle en étoile (la fille est dans le centre, les amis ne sont pas connectés entre eux (ils sont en bout des pics de l’étoile))

► Hommes (avec hommes)

▪ Les clubs d’amis : informels et décontractés (la gang de hockey, la gang du secondaire, faut avoir les caractéristiques associées au club pour y être, donc moins basé les caractéristiques personnelles) ▪ Genèse de l’amitié : le rire et le plaisir

▪ Modèle intégré

30
Q

► La notion d’intimité:

A
  • Proximité entre deux individus
  • Ouverture à l’autre
  • Honnêteté
  • Autorévélation réciproque
  • Protection et aide
  • Démonstration mutuelle d’affectivité
  • Exploration des similitudes et différences
  • Interdépendance comportementale (réalisation des besoins du partenaire)
31
Q

► Aspects de l’intimité selon Perlman et Fehr (1987)

A

▪ Attachement mutuel et investissement (restaurer la proximité)

▪ Interdépendance (impression d’avoir besoin de l’autre)

▪ Impression que la relation est irremplaçable (aspect unique de la relation)

▪ Confiance mutuelle

▪ Codes de communication propres à la relation (aptitude à déchiffrer et anticiper l’attitude et le comportement du partenaire)

32
Q

► Intimité et autorévélation

A
  • Passage à un stade plus intime
  • Effet sur l’attraction
  • Attentes selon les stades
  • Accroissement de l’intimité des communications
  • L’ajustement réciproque
  • Progressive (2 exceptions)

(Stade de l’intimité)

Profondeur (plus on avance, plus il y a de la profondeur et plus il y a de l’intimité) À chaque stade, il y a un niveau optimal et attendu au sein de la relation. L’attraction est favorisée par l’intimité. Exception : 1-Coup de foudre (permet pas de construire une relation avec des bases solides de confiance mutuelle, donc on risque plus de conflits ultérieurs) 2-Les échanges intimes avec des inconnus(vu qu’on sait qu’on va pas les revoir).

33
Q

Les particularités des relations amoureuses

► La relation amicale implique :

► La relation amoureuse implique :

(La relation amoureuse est AUSSI impliquée dans les mêmes choses que les relations amicales.)

A

Les particularités des relations amoureuses

► La relation amicale implique :

  • L’évaluation positive et le respect pour le partenaire
  • L’impression de similitude entre moi et le partenaire

► La relation amoureuse implique :

  • D’être concerné.e par le bonheur d’autrui
  • L’attachement au partenaire
  • L’intimité

(La relation amoureuse est AUSSI impliquée dans les mêmes choses que les relations amicales.)

34
Q

Les particularités des relations amoureuses Rubin, 1973

► L’amour passionnel (attirance physique et intensité émotionnelle, engagement important (ex : engagement présent comme dans les activités))

► L’amour ludique (Dans le jeu, faible implication émotionnelle, l’idée de changer de partenaire n’est pas très dérangeant)

► L’amour-amitié (stable, agréable, intime)

► L’amour pragmatique (rationnel, cherche des qualités précises chez l’autre)

► L’amour possessif (plus à l’ado, la possessivité en amour vient de l’incertitude de soi et de l’autre, jalousie intensif, haute tension)

► L’amour altruiste (s’oublier pour l’autre, dynamique inégale)

► Première conception théorique, dans cette théorie, c’est vraiment des catégorie d’amour.

A
35
Q

Sternberg, 1998

► Les trois ingrédients d’une relation amoureuse:

  1. L’intimité
  2. La passion (on a absolument besoin de l’autre, on veut fusionner dont sexuellement mais aussi sur les autres aspects…)
  3. L’engagement
  • Sympathie (intimité)
  • Engouement (passion) (peut trouver de l’idéalisation)
  • Amour vide (engagement)
  • Amour romantique (intimité-passion) (instable)
  • Amour-Amitié (intimité-engagement) (souvent vieux couple)
  • Amour insensé (passion-engagement) (engagement vient du désir de posséder, de la passion)
  • Amour complet (intimité-passion-engagement)
A
36
Q

-Étude basée sur le modèle de Sternberg, 1998

► Objectif de recherche :

► Méthodologie:

  • 16 030 participant.es via une enquête en ligne
  • Questionnaires:

-BIG FIVE

-Trois dimensions de l’amour de Sternberg (intimité, passion et engagement)

-Durée de leur relation

Résultats :

A

► Résultats:

  • L’âge des participant.es était lié négativement à la passion et positivement à l’intimité et à l’engagement
  • L’agréabilité était positivement associée aux trois dimensions de l’amour
  • Conscience était positivement associé à l’intimité et à l’engagement
  • La passion était négativement liée à la durée de la relation
  • L’engagement était positivement corrélé à la durée de la relation
37
Q

Autre étude

► Méthodologie :

  • 180 couples
  • 4 temps de mesures : au début de la grossesse, pendant le premier trimestre, pendant le deuxième trimestre et pendant le troisième trimestre
  • Questionnaire basé sur la théorie de Sternberg pour évaluer les niveaux d’intimité, de passion et d’engagement au sein des couples.

► Résultats:

  • Les niveaux d’intimité et de passion étaient plus élevés au début de la grossesse
  • L’engagement était plus élevé chez les femmes que chez les hommes (au début et au troisième trimestre)

LE TRIANGLE CHANGE AU COURS DES ÉPISODES DE LA VIE, L’IMPORTANT C’EST LA CONCORDANCE DES TRIANGLES AU SEIN DU COUPLE

A

► Résultats:

  • Les niveaux d’intimité et de passion étaient plus élevés au début de la grossesse
  • L’engagement était plus élevé chez les femmes que chez les hommes (au début et au troisième trimestre)

LE TRIANGLE CHANGE AU COURS DES ÉPISODES DE LA VIE, L’IMPORTANT C’EST LA CONCORDANCE DES TRIANGLES AU SEIN DU COUPLE

38
Q

La sexualité et le couple (selon les études récentes)

  • L’intimité dans le couple et la satisfaction dans la relation :
  • Les niveaux élevés d’intimité sont souvent associés à:
  • Le manque d’intimité est une raison courante pour laquelle les couples :
  • L’intimité, un concept plus large que :

► La ________________________ influence de manière significative l’intimité émotionnelle (tant pour les femmes que les hommes)

► __________________________ n’influence pas de manière significative la satisfaction sexuelle (tant pour les femmes que les hommes)

► Une association positive entre la communication sexuelle et la satisfaction relationnelle-sexuelle

► La qualité de la communication sexuelle a un effet important sur la satisfaction relationnelle-sexuelle

► L’association entre la communication sexuelle et la satisfaction sexuelle est plus grande pour les couples vivant dans des pays individualistes

► L’association entre la communication sexuelle et la satisfaction sexuelle est plus faible pour les couples vivant dans des pays où il y a beaucoup d’inégalités entre les sexes

A

La sexualité et le couple (selon les études récentes)

  • L’intimité dans le couple et la satisfaction dans la relation : Bien établi dans la littérature actuelle
  • Les niveaux élevés d’intimité sont souvent associés à une satisfaction élevée dans la relation
  • Le manque d’intimité est une raison courante pour laquelle les couples recherchent une thérapie
  • L’intimité, un concept plus large que la sexualité

► La satisfaction sexuelle influence de manière significative l’intimité émotionnelle (tant pour les femmes que les hommes)

► L’intimité émotionnelle n’influence pas de manière significative la satisfaction sexuelle (tant pour les femmes que les hommes)

► Une association positive entre la communication sexuelle et la satisfaction relationnelle-sexuelle

► La qualité de la communication sexuelle a un effet important sur la satisfaction relationnelle-sexuelle

► L’association entre la communication sexuelle et la satisfaction sexuelle est plus grande pour les couples vivant dans des pays individualistes

► L’association entre la communication sexuelle et la satisfaction sexuelle est plus faible pour les couples vivant dans des pays où il y a beaucoup d’inégalités entre les sexes

39
Q

Les étapes du développement d’une relation

► Levinger et Snoek identifient trois étapes principales :

A

Les étapes du développement d’une relation

► Levinger et Snoek identifient trois étapes principales :

  1. Prise de conscience de la présence d’autrui
  2. Contacts superficiels
  3. Réciprocité et partage
40
Q

► Modèle “ABCDE” de Levinger

  • Cinq stades du développement des relations :
A
  1. –Acquaintance- Exploration de la relation, faire connaissance
  2. –Buildup- Construction progressive de la relation
  3. -Continuation– Développement de la relation
  4. –Decline- Déclin ou détérioration de la relation
  5. –Ending- Fin, rupture de la relation
41
Q

Les facteurs responsables de la rupture de la relation

A

► Le déclin de l’implication mutuelle : facteurs internes (propre au couple et propre à la personnalité des partenaires) et facteurs externes
► Décision de rompre : présence d’alternatives ?

► Forces contradictoires : certaines en faveur de la stabilité et d’autres en faveur du désengagement