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ARV3040 > Lectures obligatoires > Flashcards

Lectures obligatoires Flashcards

1
Q

Fourniture de fonctionnalités dans un système informatique équivalentes à celles d’un autre système (souvent désuet). Cela peut se faire sur le plan du matériel informatique ou sur le plan des logiciels. Un exemple d’émulation pourrait être un logiciel qui permet à un système d’exploitation Windows moderne d’exécuter des applications conçues pour un ordinateur Commodore des années 1980.

A

émulation

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2
Q

L’inclusion de renseignements supplémentaires concernant les données, ce qui permet à un système d’accéder à ces données sans en connaître au préalable le format. Cela comprend généralement un fichier d’un format connu (connu sous le nom « enveloppeur ») qui contient des données dans un format qui n’est peut-être pas connu à l’avance de l’application d’accès, ainsi que des directives pour accéder à ces données.

A

encapsulation

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3
Q

Transfert de données vers des environnements système plus récents. Cela peut comprendre de nouveaux formats de fichier, de nouveaux systèmes d’exploitation ou de nouveaux supports physiques.

A

migration

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4
Q

Transfert de données vers une version plus récente du même support de stockage (c’est-à-dire le même type de support physique) de sorte que la dégradation de l’ancien support ne présente pas de risque de perte de données.

A

régénération

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5
Q

Création de copies de données sur un ou plusieurs systèmes.

A

reproduction

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6
Q

Processus de transfert de données dans une archive ou un dépôt de données en vue de leur préservation à long terme.

A

traitement

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7
Q

La contribution la plus importante qu’un
archiviste puisse faire par rapport à la conservation à long terme des documents consiste à

A

élaborer et à mettre en oeuvre un plan de gestion de la préservation

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8
Q

La gestion de la préservation peut se définir comme

A

l’élaboration et l’application d’un
plan systématique de préservation couvrant toutes les activités d’un service d’archives.

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9
Q

Grâce à la réalisation d’un plan systématique de préservation, le service d’archives s’assure de pouvoir

A

respecter à long terme son double mandat de préserver les documents tout en facilitant
leur accessibilité.

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10
Q

Le concept de gestion de la préservation a été élaboré pour répondre à

A

la détérioration généralisée des fonds et collections d’archives que nous constatons
actuellement

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11
Q

3 supports de documents les plus menacés

A

documents sur support papier produits depuis le milieu de XIXe siecle, films d’acétate et la plupart des supports magnétiques.

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12
Q

Un bon plan de gestion de la préservation comporte 3 étapes:

A

L’évaluation, la planification et l’action

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13
Q

À quoi sert l’évaluation

A

identifier les besoins en matière de
préservation et à évaluer les forces et les faiblesses du bâtiment, des politiques et directives,
de l’entreposage, des différents supports d’information, de l’entretien des fonds et des
collections et, enfin, de la gestion des sinistres.

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14
Q

Planification: Les recommandations à court terme portent sur

A

les problèmes et les
opportunités de redressement immédiats.

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15
Q

Planification: Les recommandations à moyen terme portent sur

A

problèmes ou à des
possibilités d’intervention nécessitant un effort de planification et d’organisation
(ou de réorganisation) des ressources humaines, matérielles et informationnelles
disponibles.

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16
Q

Planification: Les recommandations à long terme portent sur

A

des objectifs plus globaux
nécessitant des dépenses substantielles ou une restructuration
administrative en profondeur

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17
Q

Action: C’est à ce stade que sont entreprises…

A

…les activités de préservation comme telles.

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18
Q

La politique de préservation doit être rédigée en tenant compte de…

A

du personnel et des
budgets dont dispose l’institution

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19
Q

Pour être efficace, la politique de préservation doit être…

A

révisée régulièrement

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20
Q

Une politique de préservation comprend généralement les éléments suivants : (6)

A
  1. Un mandat ou un énoncé de mission
  2. Un but
  3. Des normes et un engagement
  4. roles et responsabilités
  5. définition des termes
  6. procédures
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21
Q

La durée de vie des documents repose largement sur

A

la qualité de l’environnement qui
règne dans les locaux où ils sont entreposés.

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22
Q

Les principaux facteurs environnementaux
pouvant influer sur les fonds et collections d’archives sont : (4)

A

l’humidité relative, la
température, l’éclairage et la pollution biologique ou chimique.

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23
Q

Idéalement,
les documents sont entreposés par type de

A

support

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24
Q

chaque augmentation de température de 5 °C fait

A

doubler la réaction.

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25
Q

des documents entreposés à 20 °C plutôt qu’à
15 °C verront leur durée de vie

A

diminuer de moitié

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26
Q

en
réduisant de moitié le taux d’humidité, on

A

double la durée de vie des documents

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27
Q

L’humidité relative se définit comme

A

la quantité de vapeur d’eau contenue dans un
certain volume d’air, exprimée en pourcentage par rapport à la quantité totale de vapeur
d’eau que l’air peut contenir à une température donnée.

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28
Q

La température et l’humidité relative sont

A

inversement proportionnelles

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29
Q

Lorsque la
température s’élève, l’air chaud peut contenir davantage

A

d’humidité

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30
Q

quand la température descend, l’air plus
frais retient moins

A

d’humidité

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31
Q

papier, parchemin, cuir, supports photographiques et magnétiques. Ces matériaux sont

A

hygroscopiques, c’est-à-dire qu’ils absorbent et rejettent
l’humidité contenue dans le milieu ambiant.

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32
Q

Un taux d’humidité relative élevé favorise la croissance de

A

moisissures et de mildiou

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33
Q

Un taux d’humidité relative élevé cause une accélération des

A

réactions chimiques responsables de la détérioration des
documents

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34
Q

Si le taux d’humidité relative est
trop bas, les documents se

A

dessèchent

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35
Q

Papier de chiffon,
parchemin, papier
alcalin, la plupart des
photographies en noir et
blanc (argent/gélatine) ont une stabilité chimique….

A

…élevée

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36
Q

Papier légèrement acide,
la plupart des photographies
en noir et blanc
(argent/gélatine) ont une stabilité chimique…

A

…moyenne

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37
Q

Papier très acide, photographies
mal développées,
la plupart des photographies
en couleur, les
supports magnétiques, etc. ont une stabilité chimique…

A

…faible

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38
Q

Un environnement sec et frais profite à…

A

…tous les documents.

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39
Q

c’est le chaînon le plus
faible (par exemple, les supports magnétiques) qui dicte les…

A

…conditions
d’entreposage.

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40
Q

Une humidité relative de 45 % plus ou moins 10 % et une température entre 18 et 20 °C
représente…

A

…un bon compromis pour un fonds ou une collection à supports
multiples

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41
Q

Qui suis-je? conditions environnementales que l’on retrouve
à l’intérieur des aires d’entreposage : humidité relative, température et qualité de l’air.

A

macroenvironnement

42
Q

Dans les aires d’entreposage, on peut retrouver des zones de températures et humidités différentes. Ces zones sont très localisées (ex,: une boite d’archives) (endroits plus chauds que d’autres). On l’appelle…

A

…microenvironnement

43
Q

Les boîtes de qualité «archives» et les cadres scellés créent un microenvironnement plus…

A

…stables

44
Q

Les humidificateurs et les déshumidificateurs peuvent être utilisés pour

A

modifier l’humidité
relative dans une pièce close.

45
Q

Le programme de surveillance de l’environnement constitue l’un des éléments centraux
du

A

programme de préservation

46
Q

Qui suis-je? j’enregistre la température et le taux d’humidité relative sur un
papier graphique attaché à un tambour ou à un disque rotatif.

A

Thermohygrographe

47
Q

Éviter d’utiliser ces lieux comme lieux d’entreposage

A

greniers et sous-sol

48
Q

Installer des doubles fenêtres pour

A

protéger du froid et réduire la condensation
en hiver.

49
Q

Que fait la lumière aux documents?

A

Elle les décolore, les fait jaunir et affaiblit la matière qui les
compose.

50
Q

La lumière se mesure en

A

nanomètres

51
Q

rayons les plus nocifs pour les documents

A

rayons ultraviolets (300-400 nanomètres)

52
Q

Quels sont les différents filtres UV existant? (4)

A

feuille d’acrylique, pellicule, papier, revêtement

53
Q

On peut vérifier les filtres UV à l’aide d’un

A

moniteur à rayons UV

54
Q

Sert à mesurer l’éclairement

A

Luxmètre

55
Q

Sert à mesurer l’intensité des rayons ultraviolets

A

Radiomètre UV

56
Q

Dans un centre d’archives, la moisissure se nourrit de (4)

A

cellulose, gélatine, colle et amidon

57
Q

Les problèmes de moisissure et de mildiou surviennent généralement lorsque les
documents sont

A

entreposés dans des locaux humides où l’air circule mal

58
Q

La moisissure
commence à se développer lorsque

A

l’humidité relative s’élève au-dessus de 65 % - 70 %
durant au moins 48 heures.

59
Q

Pour éviter les moisissure, il faut (…) les document nouvellement acquis

A

inspecter soigneusement et mettre en isolation

60
Q

Les principaux gaz polluants responsables de la déterioration des documents (3)

A

Dioxyde de soufre, bioxyde d’azote et l’ozone

61
Q

Température de préservation optimales pour les documents textuels, cartes, plans et dessins

A

Aires de préservation
optimales :
17 °C à 18,3 °C
Aires d’entreposage :
15,5 °C - 18,3 °C

62
Q

humidité relative de préservation optimales pour les documents textuels, cartes, plans et dessins

A

30 - 50 % plus ou moins 3 %

63
Q

Température de préservation optimales pour épreuves noir et blanc

A

Inférieure à 18 °C
plus ou moins 2 °C sur 24 h.

64
Q

Température de préservation optimales pour Négatifs sur verre

A

18 °C plus ou moins 2 °C sur 24 h.

65
Q

Température de préservation optimales pour Négatifs noir et blanc en
gélatine argentique sur
base de polyester

A

21 °C plus ou moins 2 °C sur 24 h.

66
Q

Température de préservation optimales pour Images en mouvement

A

21 °C

67
Q

Température de préservation optimales pour Négatifs en acétate de
cellulose et en nitrate de
cellulose et les supports
de couleur

A

-18 °C

68
Q

Température de préservation optimales pour Négatifs noir et blanc en
gélatine argentique sur
base de triacétate

A

2 °C HR 20-50%
5 °C HR 20-40%
7 °C HR 20-30%

69
Q

Température de préservation optimales pour Films couleur (développement
chromogène) sur
pellicule de triacétate et
de polyester; diazos sur
pellicule de triacétate et
de polyester

A

2 °C HR 20-30%
-3 °C HR20-40%
-10 °C HR 20-50%

70
Q

Température de préservation optimales pour Épreuves couleur

A

Inférieure à 2 °C

71
Q

Microfilm : copies
maîtresse
Négatifs noir et blanc en
gélatine argentique sur
base de polyester
Films argentiques traités
thermiquement
Films vésiculaires sur
base de polyester
Image argentique traitée
par blanchiment sur
base de polyester

A

Maximum 21 °C

72
Q

Supports magnétiques
sur base de polyester

A

23 °C plus ou moins 2 °C sur 24 h.
17 °C plus ou moins 2 °C sur 24 h.
11 °C plus ou moins 2 °C sur 24 h.

73
Q

Disques optiques

A

5 °C plus ou moins 2 °C
Entre -10 °C et 23 °C

74
Q

procédé qui consiste à placer entre deux feuilles de plastique
transparent un document endommagé ou très fréquemment utilisé.

A

Encapsulation

75
Q

Certains types de documents ne devraient pas être encapsulés (3)

A

dessins au charbon ou à la craie, le parchemin et le vélin, les documents humides ou attaqués par la moisissure

76
Q

les étagères doivent avoir une tablette inférieure distante du sol d’au moins

A

10 à 15 cm

77
Q

aires d’entreposage: des étagères et des meubles de rangement éloignés des

A

murs extérieurs

78
Q

aires d’entreposage: Les étagères en bois ne sont pas recommandées car

A

toutes les essences de bois libèrent
dans l’atmosphère des acides dommageables pour les documents.

79
Q

aires d’entreposage: Ce type d’étagère est souvent privilégié car il semble être celui qui produit le moins de
réactions

A

Acier à revêtement par poudre

80
Q

aires d’entreposage:
ces étagères ont longtemps été considérées comme le
choix idéal à cause de leur disponibilité et de leur coût relativement bas. Cependant,
depuis quelques années, on s’inquiète de l’émission potentielle de gaz nocifs tel le
formaldéhyde

A

Acier émaillé

81
Q

L’établissement d’un plan d’urgence comporte trois étapes :

A
  1. Planification et prévention
  2. Intervention
  3. Sauvetage
82
Q

indice servant à mesurer la concentration de l’ion hydrogène dans une
solution, sur une échelle de 0 à 14.

A

PH

83
Q

à base de zéolite ou de charbon activé, est
conçu pour absorber certains types de gaz polluants. Certains contenants d’archives en contiennent

A

Tamis moléculaire

84
Q

Les plastiques suivants sont considérés comme sécuritaires :

A

Polyester (polyéthylène térephtalate) Mylar type D ou Milinex 516
* Polypropylène
* Polyéthylène – haute densité
* Polystyrène
* Polycarbonate

85
Q

entreposage: Si la boîte n’est pas pleine,
remplir l’espace libre avec

A

du papier de soie sans acide, un bloc de mousse
Ethafoam21 ou tout autre matériel d’archives sécuritaire

86
Q

Si un document est plié, le déplier et le ranger à plat autant que possible. Les
pliages et les dépliages répétés finissent par provoquer

A

des déchirures le long
des plis.

87
Q

Les documents de grand format, tels les dessins d’architecture, les cartes et
les plans, devraient être rangés à

A

l’horizontale

88
Q

Les bleus devraient être rangés dans des contenants

A

non tamponnés, sans
charge alcaline.

89
Q

Le parchemin et le vélin sont faits de

A

peaux d’animaux traitées à la chaux, grattées,
étirées et polies.

90
Q

Ces matériaux sont hygroscopiques, c’est-à-dire qu’ils

A

absorbent
l’humidité de l’air et réagissent fortement aux variations du taux d’humidité relative.

91
Q

(…) se présentent sur divers supports, entre autres la plaque de verre et la
pellicule de plastique à base d’acétate de cellulose, de nitrate de cellulose et de
polyester.

A

Négatifs photographiques

92
Q

(…) ont été fabriqués à partir des années 1850 jusqu’au début
des années 1920.

A

Les négatifs sur plaque de verre

93
Q

(…) a été commercialisé en 1889 pour servir de base aux négatifs et
aux films; il a été utilisé jusqu’au début des années 1950. était le
seul film de plastique disponible avant l’introduction de l’acétate de cellulose au début
des années 1920.

A

Négatifs en nitrate de cellulose

94
Q

Au début des années 1920, on assiste à la mise en marché d’un nouveau type de plastique,
la pellicule en

A

acétate de cellulose

95
Q

La pellicule d’acétate de cellulose souffre du « syndrome du

A

vinaigre

96
Q

apparue au milieu des années 1950. Ce matériau est
supérieur à l’acétate et au nitrate de cellulose; il est plus stable et dure beaucoup plus
longtemps.

A

La pellicule de polyester

97
Q

Les
microfilms sont faits de (3)

A

nitrate de cellulose, d’acétate de cellulose ou de polyester

98
Q

Si une enveloppe contient plus d’une photo, s’assurer que l’image de chaque
photographie soit placée contre le dos de la photo voisine – ne jamais ranger
les images

A

face à face

99
Q

Ranger les films cinématographiques dans des contenants hermétiques en

A

plastique polypropylène
ou en métal.

100
Q

Avant de les ranger, s’assurer que les films cinématographiques sont

A

embobinés correctement

ARV3040 (3 decks)

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