Lectures Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le triangle didactique ?

A

Un modèle conceptuel utilisé en éducation pour décrire les interactions dans un processus d’apprentissage.

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2
Q

Quels sont les trois pôles du triangle didactique ?

A
  • La personne enseignante
  • L’élève
  • Le savoir
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3
Q

Quel est le rôle de la personne enseignante dans le triangle didactique ?

A

Structurer l’enseignement, guider les activités d’apprentissage et fournir des rétroactions.

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4
Q

Quel est le rôle de l’élève dans le triangle didactique ?

A

Construire des connaissances à travers des activités d’apprentissage, en fonction de ses expériences et de ses habiletés.

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5
Q

Que représente le savoir dans le triangle didactique ?

A

Les savoirs (connaissances, savoir-faire, savoir-être) ou compétences (savoir-agir) à acquérir dans une discipline spécifique.

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6
Q

Quelle relation concerne la communication et la médiation pédagogiques ?

A

La relation enseignant-élève.

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7
Q

Comment l’enseignant organise et transmet le contenu disciplinaire touche quelle relation?

A

Cela concerne la relation enseignant-savoir.

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8
Q

Qu’est-ce que la démarche didactique ?

A

L’interaction directe entre l’apprenant et les savoirs par exploration ou assimilation.

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9
Q

Pourquoi le triangle didactique est-il important dans l’enseignement des sciences au primaire ?

A

Il aide à comprendre les interactions qui favorisent l’apprentissage des sciences.

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10
Q

Quel rôle joue l’enseignant dans l’adaptation des savoirs scientifiques ?

A

Il adapte les savoirs à des niveaux compréhensibles pour ses élèves.

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11
Q

Comment les élèves apprennent mieux selon les recherches ?

A

En manipulant des objets ou en observant des phénomènes concrets.

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12
Q

Quelles sont les limites à prendre en compte lors de l’enseignement scientifique aux jeunes élèves ?

A
  • Limites attentionnelles
  • Mémoire de travail
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13
Q

Quels types de concepts scientifiques doivent être enseignés aux élèves du primaire ?

A
  • Phénomènes directement observables
  • Concepts concrets et illustrés par des manipulations
  • Problématiques liées à leur quotidien
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14
Q

Donnez un exemple d’activité pour apprendre le cycle de l’eau.

A

Observer l’évaporation et la condensation avec des outils comme des bols d’eau et des glaçons.

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15
Q

Vrai ou Faux : Les expériences doivent être engageantes pour maintenir la curiosité des élèves.

A

Vrai

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16
Q

Qu’est-ce que l’écart épistémologique dans le contexte du triangle didactique ?

A

Le savoir scientifique doit être simplifié sans le dénaturer, en tenant compte du niveau de compréhension des élèves.

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17
Q

Qui est l’auteur associé au concept de la transposition didactique ?

A

Yves Chevallard

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18
Q

Quel chercheur a formalisé le modèle du triangle didactique dans le cadre de ses recherches sur la didactique des mathématiques ?

A

Guy Brousseau

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19
Q

Quel est le rôle de Gaston Bachelard dans le développement du triangle didactique ?

A

Fournir des bases philosophiques et épistémologiques pour comprendre les tensions dans les relations du triangle.

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20
Q

Quel est le lien entre le triangle didactique et le constructivisme ?

A

Le triangle didactique s’inscrit dans une approche d’apprentissage centré sur l’élève.

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21
Q

Quels types de recherches ont influencé le développement du triangle didactique ?

A
  • Recherches en didactique
  • Recherches en psychologie cognitive
  • Recherches en sociologie
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22
Q

Qu’est-ce que la science en tant que démarche méthodique ?

A

La science vise à explorer et expliquer le monde naturel par l’observation, l’expérimentation et l’analyse rigoureuse.

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23
Q

Quels sont les caractéristiques du savoir scientifique ?

A

Objectivité, vérifiabilité, capacité à être remis en question.

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24
Q

Pourquoi est-il crucial pour les enseignants du primaire de comprendre la nature de l’activité scientifique ?

A

Pour favoriser chez leurs élèves des compétences critiques et un esprit analytique.

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25
Q

Vrai ou Faux : De nombreux enseignants du primaire perçoivent l’enseignement des sciences comme une simple transmission de faits à mémoriser.

A

Vrai

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26
Q

Quels facteurs contribuent à la vision simpliste de l’enseignement des sciences ?

A
  • Formation initiale insatisfaisante
  • Programmes scolaires axés sur l’acquisition de connaissances spécifiques
  • Environnement scolaire axé sur des tests de mémorisation
  • Manque de ressources et de temps pour des activités pratiques
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27
Q

Qu’est-ce que le SAVOIR scientifique ?

A

Un ensemble de connaissances interconnectées et évolutives, résultant de l’activité scientifique.

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28
Q

Quels sont les éléments de base du SAVOIR scientifique ?

A
  • Faits scientifiques
  • Concepts scientifiques
  • Modèles scientifiques
  • Lois scientifiques
  • Principes scientifiques
  • Théories scientifiques
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29
Q

Qu’est-ce qu’un fait scientifique ?

A

Une observation ou mesure directement vérifiable et reproductible.

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30
Q

Définir un concept scientifique.

A

Idée générale ou abstraction permettant de comprendre et de regrouper des phénomènes.

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31
Q

Quel est le rôle des modèles scientifiques ?

A

Représentations simplifiées de phénomènes complexes, servant à expliquer ou prédire.

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32
Q

Quelle est la différence entre une loi scientifique et une théorie scientifique ?

A
  • Loi scientifique : décrit des relations universelles
  • Théorie scientifique : système explicatif basé sur des faits, lois et concepts
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33
Q

Quelles sont les principales caractéristiques de l’activité scientifique ?

A
  • Fondement empirique
  • Formulation et test d’hypothèses
  • Utilisation de la méthode scientifique
  • Recherche de régularités et généralisation
  • Révisabilité et autocorrection
  • Communication et transparence
  • Dimension collaborative
  • Dimension contextuelle et sociale
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34
Q

Vrai ou Faux : L’activité scientifique ne suit pas une démarche organisée.

A

Faux

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35
Q

Quelles étapes inclut la méthode scientifique ?

A
  • Identification d’une question ou d’un problème
  • Recherche d’informations et formulation d’une hypothèse
  • Conception et réalisation d’une expérimentation
  • Analyse des résultats
  • Élaboration de conclusions
  • Réévaluation des hypothèses
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36
Q

Comment la science est-elle autocorrective ?

A
  • Réplication des expériences
  • Examen par les pairs
  • Correction d’erreurs à travers le temps
  • Accumulation de nouvelles données
  • Débat scientifique
  • Falsifiabilité
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37
Q

Qu’est-ce qui distingue le savoir scientifique d’une croyance ou d’une opinion ?

A
  • Savoir scientifique : basé sur des données objectives
  • Croyance : repose sur une adhésion personnelle
  • Opinion : fondée sur des expériences individuelles
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38
Q

Le savoir scientifique est-il une vérité absolue ?

A

Non, il évolue avec de nouvelles preuves.

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39
Q

Quels sont les fondements du savoir scientifique ?

A
  • Données objectives
  • Observations rigoureuses
  • Expérimentations reproductibles
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40
Q

Quel est le fondement du savoir scientifique ?

A

Basé sur des données objectives, des observations rigoureuses et des expérimentations reproductibles.

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41
Q

Quelles sont les caractéristiques du savoir scientifique ?

A

Validé collectivement par la communauté scientifique, ouvert à la réfutation et à la révision en fonction de nouvelles preuves.

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42
Q

Donnez un exemple de savoir scientifique.

A

La théorie de la gravitation universelle, établie par des preuves expérimentales et constamment vérifiée.

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43
Q

Quel est le fondement d’une croyance ?

A

Repose sur une adhésion personnelle ou collective, souvent liée à des traditions, des autorités ou des convictions intimes.

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44
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une croyance ?

A

Subjective, généralement indifférente à la réfutation, et peut persister indépendamment des preuves contraires.

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45
Q

Donnez un exemple de croyance.

A

Croire en l’existence d’entités surnaturelles sans preuve empirique.

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46
Q

Quel est le fondement d’une opinion ?

A

Basée sur des jugements personnels, des expériences individuelles et des informations diverses.

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47
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une opinion ?

A

Personnelle, susceptible d’évoluer avec de nouvelles informations ou perspectives, et peut être débattue.

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48
Q

Donnez un exemple d’opinion.

A

Préférer une œuvre d’art à une autre en fonction de goûts personnels.

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49
Q

Pourquoi est-il important de comprendre les distinctions entre savoir, croyance et opinion ?

A

Essentiel pour développer un esprit critique et une compréhension claire des informations.

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50
Q

Vrai ou faux : La science est un processus en constante révision.

A

Vrai.

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51
Q

Quels défis sont associés à la compréhension publique de la démarche scientifique ?

A

Nature autocorrective de la science, attentes pour des réponses rapides, méconnaissance du processus scientifique.

52
Q

Comment la perception de la science a-t-elle été affectée pendant la pandémie de COVID-19 ?

A

Perception d’instabilité ou de contradiction due à l’évolution rapide des informations.

53
Q

Quelles leçons importantes doivent être retenues pour les personnes éducatrices ?

A
  • Importance d’une communication claire et honnête
  • Sensibilisation à la démarche scientifique.
54
Q

Complétez : Le processus autocorrectif de la science demande du temps pour _______.

A

[valider des hypothèses, analyser les données et parvenir à des conclusions robustes]

55
Q

Quelle est la clé pour renforcer la compréhension publique de la démarche scientifique ?

A

Une communication adaptée et un effort constant.

56
Q

Vrai ou faux : Les révisions dans les recommandations scientifiques sont des signes de faiblesse.

58
Q

Quel est le but du questionnement dans une investigation?

A

Comprendre plutôt qu’à croire aveuglément

Le questionnement aide à explorer les relations entre les variables.

59
Q

Quelles sont les formulations typiques de questions en recherche?

A
  • Quel est l’effet de… sur…
  • Comment ou à quel point… affecte…
  • Quel (ou quelle)… est/produit/résiste…

Ces formulations aident à structurer la recherche.

60
Q

Qu’est-ce qu’une variable indépendante?

A

Une variable manipulée par l’investigateur

Elle est souvent la cause dans une relation causale.

61
Q

Qu’est-ce qu’une variable dépendante?

A

Une variable qui répond aux changements de la variable indépendante

Elle est souvent l’effet dans une relation causale.

62
Q

Comment sont désignées les autres variables dans une investigation?

A

Variables contrôlées

Elles sont gardées constantes pour ne pas influencer les résultats.

63
Q

Dans l’exemple de Joël, quelle est la variable indépendante?

A

La température

Elle est considérée comme la cause qui influence la quantité de sel dissout.

64
Q

Dans l’exemple de Joël, quelle est la variable dépendante?

A

La quantité de sel dissout

Elle est l’effet du changement de température.

65
Q

Quel est le rôle de la formulation d’hypothèses dans une investigation?

A

Guider la collecte de données et prédire l’effet d’une variable sur une autre

Elle est formulée après de nombreuses observations.

66
Q

Quelle est la structure typique d’une hypothèse?

A

Si… alors…

Cela décrit le changement de la variable indépendante et son effet sur la dépendante.

67
Q

Donnez un exemple d’hypothèse.

A

Si la quantité de lumière est augmentée, alors les plantes vont croître davantage

Cette hypothèse prédit une relation entre la lumière et la croissance des plantes.

68
Q

Quel est l’effet de la lumière sur la croissance des plantes?

A

Une question de recherche possible

Cela illustre l’importance de formuler des questions claires pour la recherche.

69
Q

Quel détergent produit le plus de bulles?

A

Une question de recherche possible

Cela montre comment les questions peuvent se concentrer sur des comparaisons.

70
Q

À quel point la viscosité d’un liquide affecte-t-elle le point d’ébullition du liquide?

A

Une question de recherche possible

Cela illustre l’exploration de l’effet d’une variable sur une autre.

71
Q

Vrai ou Faux: La variable indépendante est l’effet dans une relation causale.

A

Faux

La variable indépendante est la cause, tandis que la variable dépendante est l’effet.

73
Q

Quel est le rôle principal du langage dans l’apprentissage des sciences?

A

Le langage structure la compréhension des savoirs et le développement des habiletés scientifiques.

Le langage est essentiel pour communiquer des connaissances scientifiques et structurer les apprentissages.

74
Q

Quels sont les différents types de langage utilisés en sciences?

A
  • Descriptif
  • Explicatif
  • Argumentatif
  • Procédural

Ces types de langage sont fondamentaux pour enseigner et apprendre les sciences.

75
Q

Comment le langage influence la perception et l’attention?

A

Le langage permet d’associer des mots à des concepts ou objets, facilitant leur reconnaissance et organisation.

La clarté du langage influence la qualité et la rapidité du décodage.

76
Q

Vrai ou faux: Un langage chargé augmente la charge cognitive.

A

Vrai.

Un vocabulaire inconnu ou une structure syntaxique complexe peuvent rendre difficile le ciblage de l’information essentielle.

77
Q

Comment le langage contribue-t-il à la mémorisation?

A

Il organise nos pensées et des mots spécifiques agissent comme des déclencheurs pour récupérer des souvenirs associés.

Des consignes bien formulées facilitent le rappel et la révision des apprentissages.

78
Q

Quels sont les rôles du langage dans le raisonnement et la résolution de problèmes?

A

Le langage permet de traiter des idées complexes et favorise des raisonnements nuancés.

Un vocabulaire varié aide à adapter nos pensées en fonction de l’environnement.

79
Q

Quelles émotions le langage peut-il influencer lors de la prise de décision?

A

Le langage influence l’évaluation des situations et affecte la décision et l’action.

Les récits et descriptions linguistiques jouent un rôle clé.

80
Q

Qu’est-ce que l’acquisition de concepts scientifiques?

A

Le langage est essentiel pour nommer les concepts, rendant ces derniers accessibles et manipulables mentalement.

Une définition claire construite par les élèves aide à saisir des idées abstraites.

81
Q

Quel est l’impact d’un langage clair sur la surcharge cognitive?

A

Il aide à réduire la charge cognitive en simplifiant des informations complexes.

Des métaphores ou analogies adaptées au niveau des élèves peuvent être utilisées.

82
Q

Quelles compétences sont développées par l’observation et la description?

A

Les élèves apprennent à nommer et décrire avec précision ce qui est observé.

L’utilisation de termes précis est essentielle pour relater des expériences.

83
Q

Comment le langage procédural est-il utilisé en sciences?

A

Il décrit les étapes nécessaires pour réaliser une expérience ou un processus.

Il doit être clair et précis pour assurer la reproductibilité et la rigueur des expériences.

84
Q

Quel est le rôle du langage argumentatif?

A

Il justifie des résultats et convainc en défendant une position avec des preuves.

Cela implique d’interpréter ou de conclure à l’aide de données ou de raisonnements.

85
Q

Complétez: Le langage _______ explique des mécanismes et des phénomènes.

A

[explicatif]

Il identifie les mécanismes ou causes derrière les phénomènes observés.

86
Q

Quels savoir-faire sont associés au langage descriptif?

A
  • Observer attentivement
  • Utiliser un vocabulaire précis
  • Décrire avec rigueur

La description doit être factuelle et fidèle à la réalité observable.

87
Q

Vrai ou faux: Le langage formel est utilisé pour structurer et organiser les savoirs scientifiques.

A

Vrai.

Les élèves adoptent des termes spécifiques et des phrases techniques pour exprimer leurs idées de manière précise.

88
Q

Quel est le passage du langage informel au langage formel?

A

Les élèves passent d’un langage quotidien à un langage précis et scientifique.

Cela inclut l’introduction de termes appropriés par l’enseignant.

89
Q

Quels types de langage se complètent dans l’apprentissage des sciences?

A
  • Descriptif
  • Explicatif
  • Argumentatif
  • Procédural

Ces langages ne fonctionnent pas isolément mais interagissent pour transmettre les savoirs.

90
Q

Quels sont les deux types de langage qui coexistent pendant l’apprentissage?

A

Langage informel et langage formel

Le langage informel est utilisé pour exprimer des idées, tandis que le langage formel introduit des concepts scientifiques.

91
Q

Comment les élèves formulent-ils leurs observations lors d’une expérience sur l’électricité?

A

Ils peuvent dire : « La lampe s’allume quand on connecte les fils. »

Cela illustre l’utilisation du langage informel.

92
Q

Quelle stratégie l’enseignant utilise-t-il pour aider les élèves à formuler des observations?

A

Il les aide à utiliser un langage formel en introduisant des notions comme « circuit fermé » ou « conducteur électrique ».

Cela permet aux élèves de passer d’un langage informel à un langage plus structuré.

93
Q

Quel est le rôle de la répétition dans l’intégration du vocabulaire?

A

Un mot doit être rencontré entre 10 et 20 fois dans des contextes variés pour être solidement mémorisé.

Cela est soutenu par des recherches en sciences cognitives.

94
Q

Quelles sont les quatre conditions pour une mémorisation efficace des mots?

A
  • Exposition répétée
  • Qualité de l’exposition
  • Espacement des apprentissages
  • Utilisation active

Ces conditions sont essentielles pour intégrer le vocabulaire dans le vocabulaire actif d’un apprenant.

95
Q

Vrai ou Faux: La répétition seule suffit pour mémoriser un mot.

A

Faux

Une combinaison d’activités est nécessaire pour renforcer la mémorisation.

96
Q

Quelles activités peuvent renforcer l’utilisation active du vocabulaire?

A
  • Décrire un phénomène
  • Argumenter ou expliquer une observation scientifique
  • Réaliser une activité pratique

Ces activités permettent une meilleure intégration des mots appris.

97
Q

Quelles stratégies langagières peuvent soutenir l’apprentissage des élèves?

A
  • Intégrer la langue et le contenu scientifique
  • Enseigner explicitement le vocabulaire scientifique
  • Encourager la communication scientifique orale et écrite
  • Favoriser les interactions en petits groupes
  • Adapter les supports et les évaluations
  • Créer un environnement linguistique inclusif
  • Renforcer les liens entre les sciences et le quotidien
  • Exploiter les ressources communautaires

Ces stratégies visent à développer simultanément les compétences linguistiques et scientifiques.

98
Q

Quel est l’objectif d’une approche intégrée combinant l’enseignement des sciences et de la langue?

A

Favoriser un apprentissage plus approfondi et significatif pour les élèves.

Cela est particulièrement pertinent dans les contextes francophones minoritaires.

99
Q

Comment les évaluations doivent-elles être adaptées pour les élèves en contexte linguistique minoritaire?

A

Elles doivent valoriser les connaissances scientifiques tout en tenant compte des compétences linguistiques limitées.

Des évaluations multimodales sont recommandées.

100
Q

Quelles sont quelques méthodes pour enseigner explicitement le vocabulaire scientifique?

A
  • Utiliser des fiches visuelles
  • Créer un mur de mots
  • Amener les élèves à créer leurs propres notes
  • Répéter et réutiliser les termes dans différents contextes

Ces méthodes aident les élèves à maîtriser le vocabulaire technique.

101
Q

Pourquoi est-il important de créer des opportunités pour que les élèves ‘parlent sciences’?

A

Cela les aide à pratiquer le vocabulaire et les structures linguistiques spécifiques.

Des discussions en petits groupes et l’utilisation de cahiers d’observation sont des exemples d’opportunités.

102
Q

Qu’est-ce que le principe de l’espacement en matière d’apprentissage?

A

Il s’agit de répartir les expositions au mot sur une période prolongée avec des rappels à intervalles réguliers.

Cela favorise une meilleure mémorisation des mots.

103
Q

Quel est l’impact de contextualiser les apprentissages scientifiques?

A

Cela rend les apprentissages plus accessibles en les reliant aux expériences quotidiennes des élèves.

Par exemple, discuter des jus ou des soupes lors d’une leçon sur les mélanges.

104
Q

Qu’est-ce qu’un modèle mental ?

A

Représentations internes que les enfants forment pour comprendre et interagir avec leur environnement

Les modèles mentaux sont à la base de l’apprentissage des enfants et se développent grâce à l’expérience sensorielle, l’interaction sociale, l’observation, et les erreurs.

105
Q

Quels sont les mécanismes qui favorisent la création des modèles mentaux ?

A
  • Expérience sensorielle
  • Interaction sociale
  • Observation et imitation
  • Erreurs et rétroactions

Ces mécanismes interconnectés permettent aux enfants de construire et d’affiner leurs modèles mentaux.

106
Q

Qu’est-ce que le changement conceptuel ?

A

Processus par lequel une conception initiale est remplacée ou transformée par une compréhension plus avancée

Cela peut être le résultat de l’intégration d’informations nouvelles ou contradictoires.

107
Q

Quels sont les deux mécanismes complémentaires du développement cognitif selon Piaget ?

A
  • Assimilation
  • Accommodation

L’assimilation est l’intégration de nouvelles informations dans des modèles existants, tandis que l’accommodation est l’ajustement des modèles aux nouvelles informations.

108
Q

Quelles sont les étapes clés du changement conceptuel ?

A
  • Confrontation à un conflit conceptuel
  • Identification des limites du modèle initial
  • Construction et test d’un nouveau modèle
  • Intégration et stabilisation du nouveau concept

Ces étapes montrent comment un enfant passe d’une compréhension intuitive à une compréhension plus avancée.

109
Q

Vrai ou Faux : Les préconceptions des enfants sont toujours correctes.

A

Faux

Les préconceptions sont souvent intuitives et peuvent être partiellement correctes, mais elles peuvent également être erronées.

110
Q

Quels sont les obstacles au changement conceptuel ?

A
  • Résistance cognitive
  • Résistance émotionnelle
  • Facteurs socioculturels
  • Connaissances incohérentes
  • Manque d’expérience
  • Immaturité cognitive

Ces obstacles peuvent influencer la capacité de l’enfant à réviser et enrichir ses connaissances.

111
Q

Qu’est-ce que la zone proximale de développement (ZPD) selon Vygotsky ?

A

Écart entre ce que l’enfant peut faire seul et ce qu’il peut réaliser avec un soutien

Les interactions dans la ZPD facilitent l’acquisition de modèles mentaux plus avancés.

112
Q

Remplissez le blanc : Le processus d’évolution cognitive se caractérise par un passage progressif de représentations _______ à des modèles mentaux plus élaborés.

A

intuitives

Ce processus est influencé par les expériences directes, l’apprentissage social et le développement cognitif.

113
Q

Quels facteurs stimulent le développement intellectuel de l’enfant ?

A
  • Richesse des expériences
  • Retours d’information
  • Intérêt et motivation
  • Langage et narration

Ces facteurs sont interconnectés et favorisent une progression cohérente de l’évolution cognitive.

114
Q

Qu’est-ce que la métacognition ?

A

Capacité à réfléchir sur ses propres processus de pensée

Cela aide les enfants à détecter et à corriger leurs erreurs, ainsi qu’à ajuster leurs modèles mentaux.

115
Q

Quel exemple illustre un changement majeur dans la compréhension des plantes ?

A

Remplacer l’idée que ‘les plantes mangent de la terre’ par ‘les plantes utilisent l’énergie solaire et le dioxyde de carbone pour produire leur propre nourriture’

Cet exemple montre une transformation complète du modèle initial.

116
Q

Quels sont les défis à l’évolution des modèles mentaux ?

A

Les défis incluent :
* Considérer les nouvelles connaissances comme des faits isolés
* Temps insuffisant consacré au changement conceptuel
* Avancer trop rapidement sur des notions complexes
* Ne pas réviser de manière approfondie

117
Q

Qu’est-ce que le changement conceptuel ?

A

Le changement conceptuel est essentiel à l’évolution des modèles mentaux, permettant de corriger des préconceptions erronées et de construire des concepts plus complexes.

118
Q

Quelles sont les stratégies pédagogiques favorisant l’évolution cognitive ?

A

Les stratégies incluent :
* Créer des conflits cognitifs pertinents
* Encourager le questionnement
* Rendre les concepts concrets
* Offrir un soutien adapté
* Intégrer des approches ludiques
* Proposer des explications claires
* Favoriser la métacognition
* Revenir sur les concepts

119
Q

Qu’est-ce qu’un conflit cognitif pertinent ?

A

Un conflit cognitif pertinent est l’introduction de phénomènes surprenants ou contraires aux préconceptions.

120
Q

Quelle théorie soutient l’idée de la zone proximale de développement ?

A

La théorie de Vygotsky soutient l’idée de la zone proximale de développement.

121
Q

Comment favoriser la métacognition chez les élèves ?

A

Aider les élèves à réfléchir sur leurs propres croyances et leur processus d’apprentissage.

122
Q

Vrai ou Faux : Le changement conceptuel est un processus immédiat.

123
Q

Complétez : Le changement conceptuel est activé par des _______.

A

[situations contradictoires]

124
Q

Quels types d’activités peuvent rendre le changement conceptuel moins intimidant ?

A

Des activités interactives et engageantes telles que :
* Jeux
* Simulations
* Expériences concrètes

125
Q

Pourquoi est-il important de revenir sur les concepts ?

A

Pour répéter et renforcer les idées complexes au fil du temps pour stabiliser les nouveaux modèles mentaux.

126
Q

Quels auteurs sont cités dans la bibliographie concernant le changement conceptuel ?

A

Les auteurs incluent :
* Bruner
* Carey
* Chi
* Chinn
* Dole
* Gentner
* Hattie
* Johnson-Laird
* Masson
* Piaget
* Posner
* Sinatra
* Vosniadou
* Vygotsky