le bonheur

Question 1

Extrait de Rêveries du promeneur solitaire, Rousseau

Answer 1

Le bonheur comme accumulation de plaisirs:
- État dans lequel s’enchaînent les plaisirs, soit la satisfaction de ses désirs.
- Le bonheur comme satisfaction d’exister, comme plaisir d’être soi même, contentement se sa situation

Question 2

Le divertissement pascalien, extrait de Pensées

Answer 2

• Pour être heureux, il faut vivre dans l’illusion de notre misère.
  “C’est que le présent d’ ordinaire, nous blesse”
• La projection dans l’avenir est une façon de se donner l’illusion de bonheur. On se condamné a ne jamais être heureux.

Question 3

Extrait des Propos sur le bonheur, Alain

Answer 3

Malgré les oppositions flagrantes entre bonheur et devoir, Alain soutient que dans le texte que il y un devoir d’être heureux.

Question 4

Extrait de Gorgias et Platon

Answer 4

Présentation de deux genres de vie qui spposent et qui ont en commun le fait de concevoir le bonheur comme ce qu’il dépend de notre manière de vivre:
- Callicles => vie de plaisir: si l’on identifie le bonheur comme satisfaction/plaisirs il faut multiplier les plaisirs. Ils doivent être constamment renouvelés, et variés
- Socrate s’appuie sur l’image des tonneaux (l’écho des tonneaux de Danaïdes), des sœurs qui doivent remplir le tonneaux percer. Cette image est reprise pour illustrer le supplice absurde et épuisant.

Question 5

Le stoicisme lien bonheur

Answer 5

Pour être heureux dit Epictète, il faut distinguer ce qui dépend de nous, nos devoirs, nos inclinations, nos opinions, et d’autre part ce qui ne dépend pas de nous les biens matériels

Question 6

Texte de Hobbes, extrait du Léviathan

Question 7

Le bonheur de l’amitié, extrait de Ethique à Nicomaque, Aristote

Answer 7

La question d’Aristote: Qu’est ce qui permet d’être heureux?
“Sans ami, nul ne choisirait de vivre, eut-il par ailleurs tout le reste des biens”

Question 8

Extrait des Propos sur le bonheur, Alain

Answer 8

• Le paradoxe consiste en ce qu’il associe 2 concepts qui semblent s’opposer dans la mesure où le travail désigne toute activité, qui a une dimension pénible. En général, travailler signifie se donner de la peine pour améliorer le réel pour le modifier.