Laboratoire ex 3 Flashcards

1
Q

Quelle est le spécimen de l’image et la structure pointée qui la distingue ?

A

Rhizoctonia solani, les ramidications à angle droit ish

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Q

Quel est le spécimen et la strucutre pointée ?

A

Rhizoctonia solani, les sclérotes

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3
Q

Quel est le spécimen et la structure pointée ? Le mycélium est il fécond ou stérile ?

A

C’est Sclerotium spp. C’est des sclérotes et le mycélium est stérile

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4
Q

Quel est le spécimen et la strucutre pointée?

A

Coprinus sp, c’est les lamelle et lamellule (lame)

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5
Q

Quel est le spécimen et les strucures pointées ?

A

Coprinus sp, Baside en vert (unicellulaire) et les basidiospores en brun

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6
Q

Quel est le spécimen et les structures ?

A

C’est Armillaria sp.
1. Basidiocarpe (carpophore ou basidiome)
2. Rhizomorphe (racines ish)

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7
Q

Spécimen et structures

A

Polyporus, c’est un l’assise hyméniale dans un TuBE (pore) de basidiocarpe

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8
Q

Spécimen et structures

A

Polyporus, c’est les tubes (pores)

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9
Q

Spécimen et structures

A

Polyporus, c’est des basidiopores (ovales) et les basides (uni cell)

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10
Q

Spécimen et structures

A

Typhyla sp. C’est des Sclérotes

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11
Q

Quels soit les types de basidiomycota ?

A
  1. Les agaricomycotina ( à chapeau ou basidiocarpe ou basidiome),
  2. Les Rouilles , URÉDINALES (sous embranchement PUCCINIOMYCOTINA)
  3. Les CHARBONS (et caries) (sous embranchement USTILAGINOMYCOTINA/USTILAGINALES)
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12
Q

Quels sont les deux types de rouilles et leur caractéristiques ?

A
  1. La rouille hétéroiques a un cycle épidémique sur deux (2) hôtes : a. L’hôte télien portes les téleutospores (syn. téliospores), les urédospores et les basidiospores) et b. L’hôte écidien porte les écidiospores et les spermaties (pycniospores)
  2. La rouille autoique, cycle évolutif de tous les types de spores sur un seul et même hôte
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13
Q

Spécimen et structures

A

C’est Puccinia graminis, en rouge c’est les téleutospores

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14
Q

Spécimen et structures

A

Puccinia graminis, la rouille noire sur la tige, on remarque l’épiderme soulevé en haut à gauche, les URÉDOSPORES(polycycliques) ( on voit deux pores germinatifs en dessous de l’épiderme)

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15
Q

Spécimen et structures

A

Puccinia graminis, on peut voir les fructification (écidie qui est la structure en coupe) et les écidiospores, les structures rouges c’est les écidiospores.

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16
Q

Spécimen et structures

A

Puccinia graminis, c’est des écidies sur ÉPINE VINETTE ( BERBERIS, c’est l’hôte écidien) à gauche pointé c’est les spermaties et à droite les écidiospores

17
Q

Spécimen et strucutre

A

Puccinia coronata c’est les téleutospore(téliospores) “couronnée” sous l’épiderme

18
Q

Spécimen et structure

A

Puccinia coronata, c’est les écidie/ÉCIDIOSPORES sur NERPRUN( RHAMMUS SP. (hôte écidien)

19
Q

Spécimen et structure

A

Gymnosporangium juniperi-virginianae (pas à savoir). En haut (TÉLEUTOSPORES (SYN.TÉLIOSPORE après germination), à droite (BASIDIOSPORE), en bas (TÉLEUTOSPORE/téliospore avant germination), au centre c’est le promycélium ou baside cloisonnée

20
Q

Spécimen, structure, type de rouille et le type de cycle)

A

Cronartium ribicola, c’est la ROUILLE HÉTÉROIQUE, MACROCYCLIQUE, c’est l’ÉCIDIE et les ÉCIDIOSPORES (à gauche), en haut c’est l’écorce soulevée

21
Q

C’est quoi ?

A

La rouille hétéroique ou cronartium ribicola, on va vouloir identifier l’écidie et écidiospores sur la lame, pin blanc

22
Q

Spécimen, type de rouille et le cyclique

A

Puccinia malvacearum (pas à savoir), c’est une ROUILLE AUTOIQUE MICROCYCLIQUE (seulement téliospores et basidiospore)

23
Q

Type de plante, type d erouille et le cyclique

A

C’est le Melampsora lini, la rouille du lin une ROUILLE AUTOÎQUE et MACROCYCLIQUE, comporte téleutospores, baidiospores, spermogonies, écidiospores et urédospores

24
Q

Type de plante, type de rouille et cyclique

A

Arthuriomyces peckianusC’est la rouille oranger du framboisier rouge, une ROUILLE AUTOÏQUE et MACROCYCLIQUE comporte téleutospores, basidiospores, spermogonies, écidiospores et urédospores

25
Q

Type de plante, type de rouille et cyclique

A

Uromyces appendiculatus, la rouille du haricot ROUILLE AUTOÏQUE et MACROCYCLIQUE), tout le cycle et tous les types d espores chez le haricot

26
Q

Quelles sont les deux type sde spores produites par les charbons USTILAGINALES?

A

Les TÉLEUTOSPORES (téliospores) et les SPORIDIE (syn. basidiospore)

27
Q

Le nom de la maladie, le type de plante et le type d’inoculation

A

C’est USTILAGO TRITICI, charbon nu sur BLÉ ET ORGE, l’innoculation par INFECTION FLORALE (infection des fleurs par la germination des téliospores, la pénétration dans l’ovaire et la colonisation de l’embryon par le mycélium, le tout à la floraison, l’incolum porté par les semences infectées disséminées par le vent

28
Q

Le nom de la maladie, le type de plante et le type d’inoculation

A

C’est l’ustilago hordei, le charbon vêtu de l’orge et de l’avoine, l’inoculation des semences par CONTAMINATION EXTERNE (SURFACE) DES GRAINS DE SEMENCE au battage/infection après le semis lors de la germination des semences

29
Q

Le nom de la maladie, le type de plante et le type d’inoculation

A

C’est l ustilago zeae, le CHARBON COMMUN DU MAIS, l’inoculation : CONSERVATION DANS LE SOL(quelques années) ET DANS LES DÉBRIS DE CULTURE (disséminées par le vent et la pluie/infection favorisée par les blessures sur toutes les parties aériennes jeunes et en croissnace)

30
Q

Le nom de la maladie, le type de plante, le type d’inoculation

A

Sporisorium holci-sorghi, le charbon des inflorescences , inoculum : CONSERVATION DANS LE SOL (jusqu’à 10 ans), CONTAMINATION EXTERNE DES GRAINS DE SEMENCE: ( téleutospores disséminées par le vent et la machinerie/pénétration des jeunes pousses INVASION SYSTÉMIQUE/ les symptômes et signes se manifestent sur les panicules et les épis de mais

31
Q

Le nom de la maladie, la structure pointée et la plante, temps d’inoculum

A

Tilletia sp. la carie comunes ou naine, épi/blé , c’est les TÉLEUTOSPORES (syn. TÉLIOSPORES) réticulées, inoculum du sol 7 ans

32
Q

Le nom de la maladie, le nom commun et la plante, le temps d’inoclum

A

Urocystis magica, CHARBON de l’OIGNON, inoculum du sol (15 ans) et propagé par le sol et l’eau

33
Q

Quel est le nom exact du laboratoire visité à Ste-foy

A

Le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP)

34
Q

QU’est ce que Genviève Aseneault Labrecque (LEDP) a présenté ? Et comment est ce que ça fonctionne ?

A

Le séquençage haut débit (SHD), permet le séquençage simultané de millions de molécules d’ADN à moindre coût que le séquençage traditionnel Sanger. Cela permet l’identification précise de la plupart des organismes pathogènes présents dans un échantillon en UNE SEULE ANALYSE et sans a priori

35
Q

Julien VIvancos (LEDP) a présenté quoi au niveau des bactéries ?

A

Les MÉTHODES DIRECTES utilisées couramment au LEDP: les tests directs concernant ceux que l’on peut faire directement sur la plante snas passer par des isolements sur des millieux de culture(champi et bactéries) ni en faisant un test sérologique par elisa pour les virus. En pratique cela concerne :

  1. L’observation directe des tissus infectés sous loupe (flux bactérien et présence de mycélium ou structures fongiques caractéristiques)
  2. Les tests pcr réalisés sur des extraits d’ADN ou ADNc de plantes infectées
  3. Les immunostrips disponibles pour les bactéries, champignons et virus.

En revanche, le test biochimique par biolog est une méthodologie indirecte qui passe par un isolement bactérien sur des milioeux gélosés spécifiques

36
Q

Antoine Dionne (LEDP) a présenté quoi ?

A

Les nématodes phytoparasites. Il faut savoir que les NÉMATODES PHYTOPARASITES sont tous PARASITES OBLIGATOIRES et ont tous un STYLET

37
Q

Que représente l’acronyme RAP ?

A

Le réseau d’avertissement phytosanitaire

38
Q

Qu’à présenté Marianne St-Laurent (RAP) ?

A

Elle a évoqué que depuis 2018, l’information est transmise aux abonnés par quatre types de communiqués écrits:

  1. Les AVERTISSEMENTS PHYTOSANITAIRES ( à caractèreurgent dans les plus brefs délais
  2. LES FICHES TECHNIQUES ( en support aux avertissemnts: caractères plus permanents
  3. LES BULLETINS D’INFORMATION ( en support aux avertissements à caractère plus éphémère
  4. LES ALERTES ( cas exceptionnels, plus urgents que les avertissements)

On a lancé un NOUVEAU RÉSEAU en 2018-2019 la MALHERBOLOGIE

39
Q

tiss

A