La profondeur de champs Flashcards

1
Q

Def profondeur de champ

A

= étendue de la profondeur de la scène que l’œil considère sur une image comme parfaitement nette dans les conditions d’observation données

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Q

Quel est le format standard de la profondeur de champs?

A

13*18 que l’on regarde à 25 cm

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3
Q

A quoi correspond un plan d’image parfaitement net sur le capteur ?

A

revient a dire que tout ce qui est avant ou après formera des tâches d’une certaine taille sur le capteur

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4
Q

Quelle est la formule de l’etendit quis sera consideree comme nette dans lespace?

A

f(plan de mise au point = plan de netteté du capteur) -> tâches suffisamment petites sur le capteur pour être considéré comme net car différenciables pour l’œil humain dans des conditions standards

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5
Q

Quelle est la regle du 1/3 - 2/3?

A

net par rapport au plan de mise au point ->
pour photo à moyenne distance
(pour plan > hyperfocale)

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6
Q

Quelles sont les choses qui peut faire varier PC?

A

Impact de l’ouverture relative sur la profondeur de champ
Impact de la fermeture du diaphragme sur PC > réduction du diamètre -> augmentation PC
Plus on ferme le diaphragme, plus la zone de netteté s’étend
La profondeur de champ diminue avec la focale (attention > influence le cadrage aussi)
Plus on s’éloigne du sujet, plus la zone de netteté s’étend

–> condition optiques FIXE

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7
Q

def tolerance de nettete?

A

taille de la tâche maximale ou limite qui permet d’être considérée comme nette dans des conditions standards

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8
Q

pour un capteur donne, la PC depend de?

A
  • La distance au sujet et la distance de mise au point
  • De la focale de l’objectif
  • Du diaphragme
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9
Q

Que doit on choisir en priorite? pq? et comment?

A

optimisation du diphragme car possible de jouer ensuite sur texp et sensibilité

Rester à diaphragme moyen > vers f/11 : permet une certaine optimisation en gardant des texp relativement raisonnable

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10
Q

Def l’hyperfocale

A

distance la plus courte à laquelle un sujet sera net lorsque la mise au point est infinie

	ie, on fait la mise au point à l’infini > 1er plan de netteté = hyperfocale 
	Pour lieux et photos d’espaces vides
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11
Q

Quelle est la corollaire de l’hyperfocale

A

Si la netteté est faite à la distance de l’hyperfocale, la profondeur de champ s’étend de la moitié de cette distance jusqu’à l’infini (notion théorique)

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12
Q

calcul de la corollaire de l’hyperfocale

A

h= f²/(N.u)+f

Où :
f= focale
N = numéro du diaphragme (ouverture relative)
u = tolérance de netteté ie taille du cercle de confusion -> taille de la tâche de lumière qui sera considérée comme nette dans des conditions d’observations standard (= f(objectif et capteur))
ex : si plein format u = 0.03, si capteur plus petit u = 0.019 – plus c’est petit, plus les conditions doivent être optimums pour être considérées nettes

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13
Q

Quel est l’interet de la corrollaire de la focale?

A

Une fois focalisé sur l’hyperfocale :
Ne touche plus la mise au point, ni le zoom ni le diaphragme
Se contente de rester à la bonne distance du sujet principal (2m-2m40)
 Si on travaille correctement sur le reste des paramètres -> conditions d’observations standards&raquo_space; considérer tous les objets dans le cadrage comme nets
A utiliser dans le cadre de l’intervention de scène de crime

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14
Q

Donner les diff calcul possible pour calculer la profondeur de champs?

A

-premier plan net
-derner plan net
-prodonfeur de champs

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15
Q

Donner calcul premier plan net

A

PPN= (p.h)/(h+(p-f))

f = focale
h = hyperfocale
p = distance objet

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16
Q

Donner calcul dernier plan net

A

DPN= (p.h)/(h-(p-f))

f = focale
h = hyperfocale
p = distance objet

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17
Q

Donner calcul profondeur de champs

A

PC= (2.p(p-f).h)/(h^2-(p-f)²)

f = focale
h = hyperfocale
p = distance objet

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18
Q

A quoi sert l’eclairage au flash electronique

A

Utilisé pour éclairer une scène sombre > censés intervenir avec les conditions d’éclairage telles que retrouvées

Utilisé en lumière du jour comme éclairage d’appoint
Atténuation des ombres « fill-in » en contre-jour
Source idéale de lumière artificielle, sa température de couleur est très proche de la lumière moyenne du jour (environ 5800K)
 Teinte de lumière assez homogène si travail à la lumière du jour
 Si travail en intérieur > différence de teintes avec le flash ou l’éclairage domestique

Permet d’opérer en éclairage mixte (flash + lumière du jour) sans dérive de couleurs

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19
Q

Comment gerer le contre jour

A

Baisser la lumière et régler le temps de pose sur les hautes lumières puis utilisation du flash pour éclairer toute la zone sombre pour avoir de l’information à la fois dans les hautes lumière et ombres

20
Q

Donner les deux modes d’utilisation principaux du flash

A

-flash TTL automatique
-dosage flash TTL automatique/lumiere ambiante

21
Q

Expliquer le flash TTL auto

A

Dose lui-même la quantité de lumière nécessaire pour l’exposition optimale du sujet
Utilisation d’un pré-flash
Choix de l’exposition en fonction du retour obtenu
Exposition correct du sujet au 1er plan uniquement
Travail à la vitesse de synchronisation du flash (1/200 pour Canon)

22
Q

Expliquer dosage flash TTL auto/lumiere ambiante

A

Possibilité de doser le flash avec la lumière ambiante – mode hybride
L’image finale est obtenue en combinant :
 L’exposition du sujet au 1er plan, assurée par le capteur du flash TTL
 L’exposition de la luminosité ambiante, ajustée par le système de mesure de l’appareil photo
* Synchronisation en vitesse lente : texp plus long que celui de synchronisation où la lumière de la scène réelle prend de l’importance en fonction de l’exposition supplémentaire laissée quand Flash TTL auto

23
Q

Comment utiliser un flash en mode TTL?

A

Direct
Indirect :
 En utilisant les plafonds (si blanc > diffusion)
 Moins d’effets d’ombres directs
 Eclairage plus homogène
Flash avec réflecteur
Flash avec diffuseur :
 Requiert des réglages
* À indiquer à l’appareil pour recalculer de la relation (l’appareil connait le modèle de flash > peut indiquer quelle puissance nécessaire pour atteindre quelle exposition > auto
* Si dispositif qui diffuse > sous ou sur exposition des images  réglages pour indiquer au pré-flash qu’il y a un diffuseur
Orientation du flash
 Direct/indirect

24
Q

A quoi sert un flash avec diffuseur

A

permet de voir l’info meme sur du metal

25
Q

Def obsturateur d’un reflex

A

= rideau qui travaille à différentes vitesses d’exposition – garanti que le capteur est exposé entièrement, de manière homogène, toute la durée du flash

26
Q

Def vitesse de synchronisation X

A

= vitesse d’obturation la plus rapide pour laquelle le capteur est totalement impressionnée par l’éclair émis par le flash

27
Q

Comment choisir la vitesse d’obstruction?

A

doit être choisie égale ou inférieur à la vitesse de synchronisation (entre 1/60 et 1/500)

28
Q

Que se passe til si la vitesse d’obstruction est plus lente que x? au niveau du flash

A
  • Flash assure une exposition correcte du sujet au 1er plan
  • Vitesse lente enregistre les détails de l’arrière-plan
    Dosage flash TTL auto/lumière ambiante > lumière ambiante prend de l’importance

Associe en une seule exposition globale les expositions relatives pour le flash et pour la lumière ambiante

29
Q

Donne les deux principales contraintes de l’emploi du flash

A

La portée du flash :
o Contrôle de la portée par l’échelle métrique du flash (avant l’exposition) en fonction des paramètres choisis, et confirmation (après l’exposition) par la lampe-témoin
La vitesse maximale utilisable (vitesse de synchronisation) :
o Dépend des caractéristiques du boitier

30
Q

QUelles sont les parametre a prendre en compte lors de l’utilisation d’un flash

A

Sensibilité ISO : monter en ISO rend son flash plus puissant
L’ouverture du diaphragme conditionne aussi la puissance du flash
La vitesse n’a aucune influence sur l’exposition au flash. En réalité, la vitesse ne contrôle que la quantité de lumière ambiante qui va participer à l’image. Limitée à un maximum qui est la synchronisation flash du boitier
o Plus la vitesse est lente, plus la lumière est présente sur l’image finale
 Si travail juste flash, augmenter la vitesse ou temps de pose ne va pas augmenter l’exposition car le flash ne part qu’une fois

31
Q

Ou sont les specificite de la photographie forensique ?

A

au niveau de chq image –> 3 principes generaux

32
Q

Donner les 3 principes generaux

A

1)Démarche de travail scientifique
Les prises de vue doivent avoir un but précis et s’inscrire dans une démarche de travail logique et cohérente

2)Représentation exacte, équitable, adéquate et reproductible
Représenter ou reproduire de la manière la plus fidèle et adéquate la réalité et ses observations
Adéquate -> représentation fidèle par rapport à l’usage

3)Continuité de la preuve
L’image doit être considérée au même titre qu’un indice
Traitement et documentation précis afin de garantir l’intégrité

33
Q

Quelle sont les enjeux de travail scientifique ?

A

Au niveau de chaque image :
o Etablir une photo aussi parfaite que possible et qui ne doit donner lieu à aucune erreur (Reiss)
o Chaque image pensée pour être optimisée pour son usage judiciaire

Au niveau d’une problématique générale :
o Etablir une documentation visuelle logique, complète et compréhensible qui retrace les constatations et les observations du criminaliste (raconter visuellement)

-> Prises de vue doivent avoir un but précis et s’inscrire dans une démarche de travail logique et cohérente

34
Q

Comment bien documente des images en forensique?

A

Documentation basée sur des images&raquo_space; où étaient les éléments photographiés ? quantité ? rapport avec l’activité criminelle ?
» Ne pas passer d’une photo générale à une photo de détail directement -> mi-distance pour mieux restituer dans le contexte par rapport à l’activité

Etape de fixation des lieux avant l’étape d’investigation – dès que l’investigation commence : documentation

35
Q

Que doit contenir un protocole de travail en forensique?

A
  • Un plan de travail pour établir une documentation globale > quelles images nécessaires, quel ordre ?
  • Une raison à une documentation spécifique > quoi ? pourquoi ? quel(s) but(s) ?
36
Q

Quelles sont els regles fondamentales pour une bonne capture?

A

-du gen au particulier
-equilibre preservation/documentation
-quelque elements
-prevoir la fonction ou l’utilisation finale d’une image
-evaluer et visualiser le resultat escompte aussi bien au niveau global que specifique a chq image

37
Q

Expliquer du gen au particulier

A
  • Photos générales
  • Photos de moyenne distance (contexte)
  • Photos spécifiques à un événement, un objet ou une action
  • Photos de détails ou de traces
38
Q

Expliquer Equilibre Préservation/Documentation

A

Si modification potentielle imminente > traitement prioritaire

39
Q

Expliquer quelque elements

A
  • Vérification du matériel, des réglages de date et heure
  • Progression cohérente
  • Enregistrement photo de chaque indice et de sa situation
  • Prendre note des éléments factuels d’intérêt (odeur, lumières…)
  • Assez de photos pour bonne documentation
  • Varier les prises de vue sur un objet d’intérêt
  • Repère (permanent) permettant de remettre le sujet dans son contexte
  • Lorsque la perception correcte de la perspective et des distances entre en considération, utiliser des focales proches de la normale
  • Garder les mêmes conditions optiques cadrage, éclairage, zoom, focus) pour des lots d’images de même type
  • Mesures métriques
  • Utilisation de repères appropriés
  • Maximiser la profondeur de champ
  • En général, capteur en position horizontale, verticale ou // au sujet (avec niveau à bulle
40
Q

Expliquer prévoir la fonction ou l’utilisation finale d’une image

A

La fonction détermine les conditions photographiques

41
Q

Expliquer “Evaluer et visualiser le résultat escompté aussi bien au niveau global que spécifique à chaque image “

A

Permet de confronter le résultat attendu et celui obtenu

42
Q

Que faut il aussi en plus des regles fondamentales pour faire une bonne capture forensique

A

competance forensique
–> adopter une methode de travail (un protocale)

43
Q

Quels competance forensique faut il donc avoir?

A

La qualité de l’image
o Quels traitements sont nécessaires ?
 Analyse de l’image et des histogrammes > recherche d’histogrammes continus
 Importation et passage en niveaux de gris > diminution de la saturation
o Adéquation entre les traitements appliqués et l’utilisation de l’image ?
o Validité du traitement par rapport à l’utilisation ?
 Attention au contraste
La transparence et la reproductibilité des traitements
o Stratégie d’application/documentation des traitements ?
La continuité de l’image
o L’image représente-t-elle réellement ce qu’elle est sensée représentée ?
o Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Comment ?

44
Q

Quel autre type de competance (a part forensique) faut il avoir pour une bonne capture?

A

Compétences photographiques :
 Comment appliquer un traitement ? > logiciel, technologie ?
 De manière valide ?

45
Q

Expliquer la Représentation exacte, équitable, adéquate et reproductible . comment

A

Reproduire un objet au plus proche des conditions dans lequel on le voit

Comment est l’objet ? > vue générale
Esthétisme = signe plastique  indication de rigueur et de savoir-faire/professionnalisme (le + important)
Etre en adéquation avec les objectifs et l’utilisation des images
o Optimisation : cadrage (pour comparaisons), netteté, exposition, contraste…
o Résolution suffisante de l’image au vu d’une identification ?

46
Q

Expliquer la continuite de la preuve

A

Traitement et documentation précis afin de garantir l’intégrité
o Quels traitements ?
o Par qui ?
o Comment ?
o Méthode accréditée ?…
o Importance des procédures de travail
 Sauvegarde de l’original
 Continuité de la preuve
 Reproductibilité
 Transparence