L'interprétation du rêve (1897 à 1900) Flashcards
Auto-analyse
+ ou - Observation int MAIS :
- se fait normalement au sein de la cs –> Freud veut étudier son incs, càd ses rpz refoulées.
- Analyse porte donc sur le rêve (et remarque que ses patientes ft svt des rêves dt le récit est éclairant) = permet d’étendre champ de la psycha au-delà du pathologique.
- Cmt vaincre ses propres résistances : dp des interprétations réussites ou ratées.
Remise en question du trauma psychique à partir 97
Trauma psychique = rpz inconciliable refoulée. Il explique qu’une rpz refoulée peut ne ps avoir “d’indice de réalité”, ds l’incs, on ne peut distinguer un souvenir d’un fantasme. Ne nie ps pour autant charge traumaq.
Il a aussi du mal à admettre que la pratique du viol soit si répandue ds les familles = il ne peut y avoir que de la réalité ds ces souvenirs et confidences.
= Recul nécessaire pour avancée psycha MAIS prbq du pov d’un contre-récit en marge de la psycha.
==> Cet abandon permet l’ouverture du champ de la psycha à tt individu. Tt individu a vécu un fantasme qui doit être refoulé : Complexe d’Œdipe.
Le complexe d’Œdipe
En 97, terme complexe (ensemble organisé de rpz qui est incs) ps encore employé (faut attendre 1910). En analysant ses rêves, il remarque des sentiments d’amour sexuel envers sa mère et jalousie envers son père = veut généraliser cette observation. Le fait prck se retrouve ds les gds mythes de notre culture (reflétant ce que nos incs ont de commun).
Œdipe, roi Laïos, reine Jocaste, de Thèbes, oracle de Delphes, berger, royaume voisin, dispute, sphinx, épouse veuve …
= Réalisation d’un désir incs partagé par tous, refoulé à la puberté.
Complexe vient structurer le dvpt de notre psychisme. On est face à un fantasme formé pdt enfance, universel. A une forme traumaq réel.
Plan l’interprétation du rêve, 19oo
7 chapitres, 3 moments :
- Chap. I : revues théories du rêve de son époque
- Chap. II à VI : élaboration de sa théorie, concepts (désir, censure)
- Chap. VII : théorique, élaboration théorie générale sur notre psychisme.
Chapitre I
Théorie du rêve doit expliquer carac hallucinatoire du rêve, et étrangeté du rêve. Remarque 2 gdes tendances ds les théories du rêve :
- Antiquité : relève du surnaturel, + ou - visions prophétiques. Perdure et existe encore aujd
- Domaine de la sc : Aristote, Le Manuscrit des rêves, 462a13-15 = rêve est image produite par le mvt des impressions sensibles venant du corps ds le sommeil. Il fait ainsi entrer le rêve ds le psychisme ms on perd l’idée du rêve comme ayant un sens.
= Freud va proposer une théorie qui va venir réunir et écarter les avantages et les inconvénients des 2 théories. Propose théorie du rêve comme “création psychique chargée de sens”.
–> Image du rêve s’explique par une rpz psychique : image du rêve se substitue à une autre rpz psychique qui permet d’en donner sens.
–> Rêve possède org d’ensemble, chaine cohérente de rpz.
Il propose une interprétation (Traumadentung, rêve interprété) + technique psychanalytique. Validité se fait par résultats cliniques ou cohérence.
Faut aussi relever proximité du patient pdt la cure ET endormissement = relâchement de la pensée.
Injection faite à Irma, chapitre II
Rêve été 95 : patiente hystérique, amie famille, ne parvient ps à la guérir. Elle considère qu’il a échoué. Son ami Otto lui dit qu’elle ne va ps bien non plus. Freud y voit un reproche. Le soir, écrit récit patiente. Rêve : réception, où y a Irma. Va la voir, lui fait remarquer qu’elle souffre, c’est sa faut prck accepte ps la solution. Lieu change, chambre à part, elle lui fait remarquer qu’elle souffre ds la gorge, où voit taches blanches et abcès nez. Se dit qu’elle a besoin d’un médecin + que d’un psycha. Otto arrive en tant que médecin, et remarque infection prck Otto aurait fait injection Irma qq mois auparavant.
= Se rejoue partout le désir de ne ps ê responsable de sa maladie.
Tt rêve est satisfaction désir
Enfance chez Freud permet d’expliquer complexification psychisme à partir éléments simples. Propre des rêves enfants est transparence. Chez l’adulte, certains besoins circonscrits gardent cette transparence. Si chez l’adulte c’est différent, c’est que certaines rpz peuvent ê incstes, le moi se défend.
Défense / censure ds le rêve
Censure est fonction psychique continuellement présente en nous. Maintient certaines rpz hors de la cs. Ds le cas du rêve, il s’agit de désirs.
Au moment de l’endormissement, relâchement de la censure = libé de désirs refoulés pdt la journée. Mais relâchement comporte risque : prendre cs désirs refoulés, ou libérer des désirs empêchant le sommeil.
= Compromis : rêve est “gardien du sommeil” en satisfaisant le désir de manière hallucinatoire par la déformation de nos rpz. Ainsi désirs refoulés ne remontent ps à la cs. Censure se joue pdt le rêve, ds le récit, et ds l’oubli du rêve.
= Je satisfais mon désir, qui reste en dehors de ma cs car apparaît déformé.
Contenu latent / manifeste du rêve
Contenu manifeste : rêve tel qu’il est raconté à l’état de veille –> ps de transparence.
Contenu latent : rpz refoulées, qui vt trouver satisfaction ds le rêve, sous forme déformée.
Mécas propres au rêve
- Déplacement : charge affective doit trouver satisfaction ds le rêve, en se déplaçant d’une rpz à une autre = investissement d’une autre rpz liée et suffisamment éloignée pr ne ps ê reconnue.
- Condensation : une image réunit des traits issus de différentes rpz. Crée des effets de déformations.
Contenu pénible des rêves ?
Patiente dt la sœur a perdu son fils, dt elle était très proche, et a un autre neveux vivant. La patiente dit avoir rêvé que son neveu Carrie est mort. Il fait analyse approfondie de l’histoire de sa patiente, qui montre qu’elle a été élevée ds la maison de sa sœur où il y avait un homme avec qui elle entretenait une relation amoureuse. Lorsqu’elle se termine, la patiente reste amoureuse et obsédée par lui, cherchant à le croiser à la moindre occasion. Or elle l’a nt rencontré lors de l’enterrement de son neveu. Par ailleurs, le jour de son rêve, elle a acheté des places de concert, car elle savait que l’homme s’y trouverait. Freud propose que son rêve est due au désir de revoir l’homme qu’elle aime lors de l’enterrement. Evidemment, elle ne pourrait formuler consciemment ce désir. Ds le rêve, il y a une satisfaction de son désir de voir l’homme, ms il n’y a ps de plaisir puisqu’il lui est pénible de voir son neveux mort.
Rêves pénibles d’enfant (chap. 7 section b)
Rêves d’angoisse. Dit ne ps avoir de matériaux dispos pr y répondre, puisque pédiatrie ne s’y est ps intéresse et que lui n’a qu’un matériau clinique adulte. Hypo : chez les enfants de 8 à 12 ans, la censure se met en place.
Un nv modèle de l’AP (chap. 7)
Le rêve peut “ns apprendre qqc sur la structure de notre AP”. = construction d’un AP à partir de ce que ns a appris le rêve. Propose genèse psychisme.
Pk parle d’AP et ps de psychisme
Modèle AP entre neurologie et psycho. Analogie appareil photo : permet de se rpz AP comme ensemble de différentes pièces articulées les unes aux autres, décrites comme des “localités psychiques”. L’interprétation du rêve présente ainsi la première topique de Freud. Attention : diffère des cartographie du cerveau qu’on fait à ce moment.
AP simple
Appareil réflexe. Extrémité sensitive où il y a perception –> entraîne réflexe. Perception est cste, pensée comme accumulation d’excitations. Elle doit être déchargée = système moteur. Mvt produit fait aussi l’obj d’une perception. Ps de volonté ni d’anticipation.
// William James, Principles of Psychology, chap. 26 : 1er mvt-réflexes du petit enfant sont pr lui aussi étonnant que l’évent qui peut en être la cause. Enfant qui sursaute en entendant sifflet train peut être aussi terrorisé par son sursaut que par le son.